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gpso - Page 76

  • VANVES AU CONSEIL COMMUNAUTAIRE DE GPSO : DES ECONOMIES ET DE L’ASSAINISSEMENT

    Le dernier conseil communautaire de GPSO qui s’est tenu le 7 Octobre dernier a pris plusieurs décisions qui concerne directement Vanves : Un avis sur son projet de modification de son PLU, l’adoption du nouveau règlement intérieur du Conservatoire de musique qui est géré par GPSO qui envisage de diminuer ses moyens, d’un partenariat avec la Caisse des Dépots et Consignations pour le financement d’une « opération Habitat Qualité » afin de lutter contre l’habitat et les co-propriétés dégradées (une vingtaine dans le secteur d’Issy, Meudon et Vanves), mais aussi d’autres décisions dont l’attribution de la concession publique pour l’exploitation des réseaux d’assainissement sur l’intégralité du territoire communautaire à Veolia Eau/Sade qui était en concurrence avec la SEVESC.  

    ASSAINISSEMENT : Les investissements devraient se monter à 48 M€ sur les 12 ans que durera ce contrat passé avec Veolia Eau /Sade, soit 4 M€ par an. C’est l’une des raisons qui a retenu l’attention des conseillers communautaires avec des propositions tarifaires performantes à leurs yeux - 0,22€ le m3 pour les eaux usées, 357 000 €/an pour les eaux pluviales – une offre très précise avec un programme prévisionnel de travaux calé sur la durée du contrat , équilibrée et dimensionnée pour assurer le renouvellement des ouvrages. Il est vrai que le service de collecte des eaux usées et pluviales comprend 247 km de réseaux d’eaux usées, 46 km de réseau d’eaux pluviales, 7 68 regards, 3 622 bouches d’égoûts et grilles d’avaloirs, 17 postes de refoulement ou de relèvement, 7 chambres à sable, 8 puis d’infiltration, 1 double siphon, 32 bassins de rétention et ouvrages de régulation, 15 séparateurs d’hydrocarbures… Un secteur dont est chargé Bernard Gauducheau comme Vice Président.

    CONSERVATOIRE : GPSO cherche à diminuer de 5% Le budget de fonctionnement de son réseau actuel de conservatoires de musique à cause du contexte actuel (raréfaction des ressources, création de la MGP). Il s’agit tout d’abord d’affirmer la complémentarité de leur offre pédagogique tout en maintenant une proximité avec leurs usagers. Ainsi 6 conservatoires constitueront 3 binômes, Vanves avec Issy les Moulineaux, par exemple. Ensuite d’achever l’harmonisation des temps de cours sur l’ensemble des 7 conservatoires avec complémentarité d’offres de 3éme cycle et de cycles spécialisés au sein des binômes, cibler l’offre adulte vers des pratiques collectives et supprimer les quelques cours individuels, mutualiser les actions de diffusion au sein des binômes. Enfin rationaliser les charges liés aux bâtiments en mettant en place une tarification commune à tous les établissements et prévoir une augmentation des tarifs lissée sur plusieurs années, et diminuer les charges de personnel avec diminution des emplois d’enseignants, redéploiement des équipes administratives et techniques…en tenant compte des besoins propres à chaque conservatoire. L’une des nouveautés du règlement intérieur de ce conservatoire de Vanves est la création d’un Conseil consultatif qui sera un organe de concertation et de réflexion portant sur les orientations générales, la mise en place et le suivi du projet d’établissement. Il est composé de tous les acteurs, du maire aux représentants des parents d’élèves et du personnel. 

     

    STATIONNEMENT : Selon le rapport de la Société Publique Locale Seine Ouest Aménagement, exploitant le stationnement à Vanves, en 2014, le stationnement de surfaces constitué de 2500 places a rapporté 388 980 € (contre 362 657 € en 2013) soit une augmentation de 7%. Il est vrai que 2013 a vu l’ensemble du territoire de Vanves couvert par le stationnement avec 300 places de stationnement et 13 horodateurs supplémentaires, soit 136 au total. L’exploitation des parkings Saint Remy et Cabourg a généré une recette de 111 913 € (110 108 €) en 2014. 

  • UN CONSEIL MUNICIPAL TENDU AVEC QUELQUES DOSSIERS CHAUDS

    Pour ce conseil municipal de Rentrée, l’ambiance était chaude, mais personne parmi les élus de la majorité n’en a rien montré, sauf à quelques petits signes ou attitudes. Alors que l’ensemble des élus UDI et de l’opposition étaient déjà installés, et qu’il était 19H Mercredi dernier, les élus groupe UMP sont enfin  arrivés ensemble. Ils s’étaient réunis dans l’un des bureaux du rez-de-chaussé, occupé par Maxime Gagliardi, où Delphine Roy leur a lu la déclaration qu’elle a faîte à la fin du conseil municipal, annonçant sa démission. Certains regardaient leurs chaussures. Le maire n’a pas accepté qu’elle fasse sa déclaration au début. Peut être parce qu’il souhaitait rendre hommage à François Kosciusko Morizet maire de Sévres, décédé fin Juillet. « Il a été un modèle d’intégrité pour beaucoup d’élus qui l’ont côtoyé » a-t-il déclaré. L’examen des 28 délibérations pouvait commencer devant un public clairsemé qui avait quelquefois du mal à entendre les propos des élus à cause d’une très mauvaise sonorisation, le technicien se gardant de mettre trop fort de peur de créer quelques perturbations.

    L’octroi d’une garantie d’emprunt à la SA Logement Français pour des travaux sur l’un de ses immeubles sur le Plateau donna l’occasion au maire de dire « Preuve qu’il se passe quelque chose sur le plateau même s’il s’agit d’une simple rénovation ». Claudine Charfe, ex-conseillère municipale (FG/PC)  qui était dans l’assistance l’a pris pour elle. A l’occasion de demandes de plusieurs subventions concernant des travaux à l’espace Murillo (rénovation des façades), au PMS A.Roche (végétalisation de la toiture des tribunes réaménagés), à l’école Marceau (rénovation du 2éme étage), Lucile Schmid a constatée que ses travaux s’inscrivaient dans la démarche de l’agenda 21 de la ville, en demandant d’avoir « une vision d’ensemble sur ces investissements ».  Bernard Gauducheau (UDI) lui a répondu qu’il est prévu que « chaque année, il y ait un bilan » mais sans dire quand.

    A l’examen de la délibération concernant les tarifs de la  restauration scolaire pour les enfants hors commune, Jean Cyril Le Goff (PS) a posé une question sur la qualité des repas servis dans les cantines scolaires par la société Elior dont s’étaient plaints les parents d’élèves avant les vacances. « On a rencontré quelques problèmes sur la qualité. Nous avons rencontré le directeur régional d’Elior et nous avons décidé de mettre en place un processus sur la qualité des repas pour voir comment améliorer les choses » a répondu Jeremy Coste (UDI) en précisant que sont servis, en plus grand nombre, des plats bio  et que tous les produits proviennent de France. Il en a profité pour dire un mot succins sur la Rentrée qui s’est bien passée grâce à l’implication des parents d‘élèves, après ses dernières années qui ont été quelque peu mouvementées.

    Le conseil municipal a donné un avis favorable sur le projet fixant le périmètre et le siège du futur Etablissement Public Territorial (EPT) qui correspondront exactement à ceux de GPSO : « On n’est pas si mal dotés. On reste avec les mêmes communes. Et la plupart des compétences ont été transférées » constatait Bernard Gauducheau (UDI) qui n’en pas moins constaté : « C’est une montagne qui acouche d’une souris. Ce qui n’est pas de bon augure. Moins d’argent et plus de structure ». Lucile Schmid (EELV) s’est abstenu car elle est assez critique sur ce périmètre de GPSO qui n’inclut pas Clamart, ni Malakoff. Boris Amoriz (FG/PC) a voté contre en expliquant que « dés l’origine nous l’avons dit : notre région-capitale a besoin de rompre avec le repli sur soi, les égoïsmes locaux, la spécialisation et les inégalités territoriales. La métropole à laquelle nous aspirons ne peut être que solidaire, sociale, citoyenne, démocratique et durable. Or, c'est tout le contraire qui émerge de la construction actuelle. Et malgré, les arguments - que l'on peut entendre - sur l'existence d'un mille-feuilles institutionnel, la création de la métropole non seulement rajoute dans un premier temps des couches supplémentaires, pour ensuite sonner le glas de l'autonomie communale, éloigner les citoyens des lieux de décisions et supprimer à l'horizon 2020 les départements de la petite couronne »…. A SUIVRE

  • SQUARE JARROUSSE : UNE INAUGURATION TRES PLUVIEUSE A VANVES

    Il n’y a jamais eu autant d’eau pour la ré-inauguration du square Jarrousse après sa seconde requalification. Un sorte de clin d’œil même de la providence puisqu’il n’a jamais autant plut pour une telle cérémonie depuis longtemps à Vanves, samedi matin. Autant il faisait chaud avec un beau temps ensoleillé le 22 Juin 1991 lorsque ce square consacrée à l’eau avait été inauguré après sa première requalification et extension, autant  c’était le déluge en ce 12 Septembre 2015 lorsque Bernard Gauducheau (UDI) a inauguré cette seconde requalification d’un square désormais plus transparent, plus vert, avec toujours un petit bassin, des jets d’eau et son kiosque où tout le monde s’est regroupé pour écouter le discours du maire. « Cette inauguration nous tient à cœur, car ce square est extrêmement lié à la vie du Plateau, car il est le seul dans ce secteur de Vanves avec le petit square des Bruyéres, et pace qu’il est un espace de respiration dans un quartier très dense » a déclaré le maire en rendant hommage aux équipes de GPSO qui ont réalisé ce chantier étalé sur deux ans  et dint le coût se monte à 500 000 €  

    Cette inauguration avait été précédée de la plantation d’un abricotier en hommage aux victimes du génocide des arméniens dans le cadre des cérémonies du centenaire avec la croix Bleue des Arméniens de France, dans le square qui entoure le centre administratif  à l’angle des rues Mary Besseyre et Sadi Carnot. « Là où c’est le rendez-vous des chiens… et des crottes » constatait une riveraine revenant du marché. « On a planté un arbre, et pour l’aider à prendre racine, sous un temps humide » constatait le maire installé sous une petite tente, avec des invités sous les parapluies dont le maire de Clamart, Jean Didier Berger, alors que la pluie commençait à tomber drû