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conseil municipal - Page 98

  • CONSEIL MUNICIPAL RONRONNANT ET SEREIN A VANVES

    45 délibérations inscrites à l’ordre du jour du Conseil Municipal de Rentrée dont certaines très importantes mais débattues dans la sérénité…devant un public peu nombreux, avec des résidents de l’immeuble racheté par Toît et Joie du Plateau qui a fait l’objet d’une décision du Conseil, et du nouveau président de l’association Tous Ensemble, avec un ou deux adhérents. Seule ombre au tableau : Cet immense écran qui empêche le public d’être face au Conseil Municipal, et se retrouve dans la pénombre avec un rétro projecteur et un ordinateur défaillant à chaque conseil. Lorsque l’image n’est pas floue toutes les cinq minutes c’est l’ordinateur qui lâche. Pourquoi ne pas installer de petits écrans comme pour les soirées électorales, ce sera plus simple et moins gênant. Quant à la sono, cela dépend.  

     

    Vanves au Quotidien s’en tiendra aujourd’hui aux débats qui ont marqué ses 3H30 de délibérations. Justement en commençant par l’immeuble Toît et Joie avec l’octroi d’une garantie d’emprunt de 2,9 M€, la ville obtenant, en contrepartie,  la possibilité d’attribuer 6 logements. Claudine Sharfe (PC) a rappelé qu’elle avait eu l’intention de poser une question orale sur ce rachat et les surloyers, sans succés pour cause de délais, et que maintenant… « Il n’y avait pas lieu de vous répondre avant » lui a séchement répliqué le maire. Guy Janvier (PS) s’est réjoui que cet immeuble reste dans le patrimoine social et a de nouveau demandé comment étaient attribué les logements sociaux.  « Sûrement mieux qu’entre 1995 et 2001 » a répliqué Bernard Gauducheau (NC) qui a donné quelques critéres ( notamment l’urgence). « Mais je reçois des concitoyens dont certains sont demandeurs de logement depuis longtemps. Plus il y a de transparence, mieux c’est ! » a répondu Guy Janvier. « Quand on demande un logement, c’est toujours trop long ! » a constaté le Maire.

     

    VIDEOPROTECTION

    Le second grand débat a concerné la vidéoprotection à l’occasion de l’installation d’une diziéme caméra au Fun Park, rue Louis Vicat. Riverain de cette zone, Fabian Estellano (PS) a exprimé son opposition à la vidéosurveillance – « vidéoprotection » a précisé le maire, « mais c’est pareil ! » lui a-t-il répondu  – «  qui coûte chére, qui stigmatise ce quartier, et sa population ». Jean Cyril Le Goff (PS) a demandé « une évaluation prouvant que la vidéosurveilance apporte un plus à la population. Est-ce que cela a amélioré sa sécurité ? ». Laurent Lacomére, maire adjoint (UMP) a précisé que les caméras fonctionnent 24H sur 24, permet à la police d’identifier les délinquants. « Et dans ce cas là, nous pourrons voir qui casse les installations rue Louis Vicat. Mais comment voulez-vous qu’on vous donne le rendement exact de telle ou telle caméra. La police municipale a pu grâce à ces caméras arrêter et appréhender des individus. Et depuis l’installation d’une caméra rue Louis Dardenne, les problèmes ont cessé ! » a-t-il affirmé.  Bernard Gauducheau (NC) a insisté : « Le meilleur indicateur, ce sont les chiffres de la délinquance sur la commune. Et on n’a jamais voulu développer un systéme très important. Et il y a eu des effets bénéfiques après l’installation de caméras. Pour le Fun Park, au-delà des installations, c’est aussi pour la sécurité de ses utilisateurs. Enfin, l’une des subtilité de cette vidéoprotectuon est d’être relié au commissariat ».

    Du coup, Lucile Schmid (Verts) a surenchérit en considérant qu’il y a plusieurs arguments contre : « S’il y a eu des résultats à Dardenne, c’est grâce au travail avec les professeurs. Je ne crois pas que cela soit efficace, car je ne crois pas à ce sentiment d’insécurité, et nous ne voulons pas d’une société de vidéosurveillance ! ». Du coup Laurent Lacomére (UMP) s’est exclamé : « Mais c’est un moyen de tranquillité publique ! ». Isabelle Debré (UMP) s’est réjoui que la Vidéosurveillance permet à des jeunes d’éviter de trainer dans la rue. Guy Janvier a repris son antienne « Mais dans quelle société voulons nous ? Il faut évaluer cette politique. La meilleure prévention est d’avoir des éducateurs (de rue) pour encadrer les jeunes. Cette caméra en plus, c’est de la sécurisation rampante. Et la mettre sur un terain de jeux pour les jeunes, ce n’est pas bon ! ». Ce qui fit réagir Bernard Gauducheau : « Ne mélangez pas tout ! Arrêter avec des positions dogmatiques. Laisssez-nous faire. Et vous expliquerez à la population pourquoi, vous êtes contre ! ».  

     

    JEUNES ET ESCAL 

    Le débat a démarré sur la mise en place d’une carte d’adhérent au pôle jeunesse (16-25 ans). « Il s’agit d’essayer de fidéliser les 16/25, de leur faire profiter des équipements culturels et de s’nsécrer dans la vie associative et locale : 15 € pour un simple adhérent, 100 € pour ceux qui veulent suivre les activités Fitness, musculation et remise en forme confiéés à une association clamartoise Movies » a expliqué Marie François Goloubtzoff, maire adjoint (NC). « Votre politique manque d’ambition. C’est rop cadré. C’est plus pour servir à faire des statistiques. Et il y a peut être plus prés de Clamart » a réagit Jean Cyril Le Goff (PS) en parlant de l’Aquaboulevard. « C’est plus cher, avec moins d’avantages, et cela ne les intéresse pas » a-t-elle répliquée en parlant des responsables de l’Aquaboulevard. « Mais on a du mal à comprendre la raison et l’intérêt  de cette carte par rapport à ce qui existe déjà sur la ville avec le théâtre, Albert Gazier etc… » a continué Jean Cyril Le Goff. « D’autant qu’il y avait une salle de musculation à l’espace Sébastien Giner » surenchérit Guy Janvier. «  Giner a été réaffecté à autre chose » a précisé Bernard Gauducheau qui précise « que pour les 16/25 ans il y a d’autres associations avec le stade de Vanves, le conservatoire. Et on n’est pas loin de 100% de satisfaction chez les jeunes qui trouvent des activités à leur pied ».

    Il a continué  avec la demande de subvention pour la journée « Visite du Parlement Européen de Bruxelles » lors de la Tousssaint pour des jeunes de 11-17 ans et le Conseil des Jeunes. Lucile Schmid (Verts) a demandé « quel député allaient ils rencontrer ? » - « C’est en cours d’organisation » a répondu Bernard Gauducheau – « Mais il faut qu’ils rencontrent des députés de toutes tendances ! » -  « Lorsque je fais visiter le Sénat, je reçois des écoles de toutes les villes, quelles que soient leurs couleurs politiques » a précisé Isabelle Debré – « Mais je ne comprends pas comment on peut parler du Parlement européen sans parler des jeux politiques » surenchérit Claire Papy (Verts). Du coup, Jean Cyril Le Goff explique qu’il n’est pas choqué par le député qui les recevra : « Les jeunes sont bien loin de savoir pour qui ils vont voter. C’est une visite civique ! » - « D’ailleurs M.Le Goff est venu à l’une des visites que j’organise au Sénat » a précisé Isabelle Debré.    

     

    QUESTIONS DIVERSES

    Quelquefois, l’opposition municipale profite d’une délibération pour poser une question d’actualité ou affirmer une position ; Ainsi Fabian Estellano a demandé au Maire « s’il avait du  temps pour les vanvéens » lorsqu’il voyait « toutes ses fonctions cumulées : Vice président du GPSO, du SIGEIF, conseiller général, maire…et candidat aux cantonales ! » - « Pour l’instant ma candidature n’est pas officialisée ! » s’est il contenté de répondre. Un peu plus tard Claudine Sharfe  (PC) a constatée « qu’il devient compliqué de savoir quel terrain appartient à la ville ou à l’une des résidences du Plateau ! ». Du coup, le maire a indiqué qu’une étude parcellaire sera lancée par GPSO pour s’y retrouver entre les espaces publics et privés. « Cela pourra nous faire des économies car des fois, on nous dit que c’est à la Mairie, et d’autres fois que c’est à nous et on paie des charges en plus » constatait la représentante du PC. Jean Cyril Le Goff (PS) a demandé «  ce qu’il en était de ce faux plafond qui s’est effondré à l’école du Parc ?». Gérard Laubier, maire adjoint (UMP) a précisé « qu’il s’agissait d’un faux plafond en plâtre d’une classe qui est tombé, entraînant des morceaux de béton à cause d’infiltrations d’eaux. Un bureau de contrôle a vérifié et a rasssuré sur la solidité de la structure. Il faudra trouver l’origine de la fuite avant de faire les travaux. Le maire a demandé le contrôle de toutes les écoles et bâtiments où il y a des enfants »     

  • RETOUR SUR LE CONSEIL MUNICIPAL DE VANVES (SUITE) : ILOT CABOURG, NUMERICABLE, SIMON DE CYRENE, OPAH SAINT REMY, ESCAL ET GAZIER

    Tous ces événements passés – 18 Juin, fête de la Musique, Mondial…nous ont empêché de traiter complètement le Conseil Municipal du Mardi 15 Juin. C’est pourquoi Vanves au Quotidien (VAQ) revient sur cette réunion où des décisions importantes ont été prises.

     

    ILOT CABOURG ET NUMERICABLE

    La démolition-reconstruction du local de Numéricâble devrait coûter 23 121 € dont 3600 € pour la démolition, et 19 521 € pour la reconstruction. Mais il faudra rajouter 2776,25 € pour des travaux d’étanchéité du local. C’était nécessaire car il se situait dans l’enceinte de la future cour de l’école maternelle. Un nouvel emplacement a été proposé à proximité du local existant, au fond de l’espace Marcheron, au droit de l’entrée de l’ancien commissariat, futur centre de loisirs. Sequalum qui est le regroupement d’entreprise réalisant le réseau fibre optique THD Seine a souhaité un emplacement dans ce local pour réaliser un nœud de raccordement optique pour desservir l’ensemble de la commune. Les Verts ont voté contre et le PS s’est abstenu avec le PC. 

    Sachant que d’autres travaux ont fait l’objet d’avenants pour restructurer le plancher (haut) du rez-de-chaussée de l’ancien commissariat (12 400 €), la réalisation d’un voile de souténement en paroi projeté entre la rue J.Cabourg et le local transformateur ERDF, la dépose, l’évacuation et le traitement du transformateur à pyraléne situé dans l’ancien commissariat (15 500 €) etc….

    MAISON RELAIS POUR HANDIPACES SIMON DE CYRENE

    Logirys qui réalise cette Maison Relais pour adultes handicapés a sollicité auprès de la ville de Vanves uine subvention pour surcharge foncière de 84 150 €. Il apparait que le coût de revient des 27 logements conventionnés est prés de 6,8 M€ avec une surcharge foncière de 3 038 781 €. Cette subvention représente 2,78% de la surcharge foncière. En contrepartie la ville bénéficiera d’un droit de réservation sur un logement supplémentaire, soit 6 au total. Il en est de même pour la Communauté d’Agglomération GPSO qui a apporté un soutien financier à hauteur de 243 000 €  et qui aura en contrepartie un droit de réservation sur 3 logements.

    DECLASSEMENT :

    Le Conseil Municipal a déclassé un bâtiment du domaine public communal qui n’est plus affecté au service de restauration du collége St Exupery. Il devrait permettre d’agrandir les locaux dont bénéficie l’association ACCIV pour ses activités cultuelles et culturelles qu’elle exerce déjà dans cette ancienne cuisine municipale… transformée bien sûr et donnant sur le square Etienne Jarrousse. Ce qui a fait réagir les élus Verts qui ont dénoncé le manque de transparence dans cette affaire alors que des riverains s’inquiétent des projets de cette association. « C’est votre point de vue » a répliqué Bernard Gauducheau à Pierre Toulouse qui n’a pas manqué de souligner la différence de traitements entre l’ACCIV et Vivre Ensemble, cette dernière utilisant dans des conditions draconiennes, la salle Gérard Orillard (ex-Michel Ange).

     OPAH SAINT REMY :  

    Depuis le démarrage de l’OPAH Saint Remy, le 26 Septembre 2007, la ville a versée différentes aides à des propriétaires privées (particuliers, bailleur etc..) pour un montant total de 20 218,98€ : 18 subventions pour conservation du patrimoine  à hauteur de 9 651,49 €, 7 subventions pour surcoût architectural pour un total de 6 835,07 €, 8 subventions au Clos et au Couvert pour un total de 3 328,41 € et 3 subventions à la confortation des structures et au traitement de l’humidité au sous sol pour 404,01 €. Enfin 14 propriétaires ont bénéficiés de différentes aides d’accompagnement social pour un montant total de 10 790, 50 €.

    ESCAL :

    Le Conseil Municipal a avalisé la création d’ESCAL (Espaces Socioculturels d’Animations et de Loisirs ) pour le secteur qui regroupe maintenant le Club Enfant, le Club Jeunesse (11-17 ans), les Adultes, un Service d’Aide à la Parentalité(Forum des Familles) qui utilise les espaces Albert Gazier et Sébastien Gîner. « L’objectif est de mettre fin à des confusions entre l’appellation des locaux de la rue J.Bleuzen et celle du Centre socioculturelle pris dans sa globalité et une interrogation sur la place du club jeunesse 11/17 ans dans cette organisation » explique t-on à la Mairie.  Guy Janvier s’est inquiété d’une possible débaptisation de l’espace Albert Gazier, nom d’un ancien ministre de la 4éme République qui a vécut à Vanves – « On ne vous aurez pas fait cela » répliquait Bernard Gauducheau -  alors que Claire Papy (Verts) rappelait fort justement que l’ancien maire PS de Vanves en avait été le fondateur. « L’espace Gazier était destiné à la solidarité que mon successeur a supprimé » a alors précisé Guy Janvier en rappelant « qu’aujourd’hui le Conseil Général travaille sur l’Economie Solidaire et Sociale (ESS) ».

  • RETOUR SUR LE CONSEIL MUNICIPAL DE VANVES…PAR LE PETIT BOUT DE LA LORGNETTE

    Tous ces événements passés – 18 Juin, fête de la Musique, Mondial…nous ont empêché de traiter complètement le Conseil Municipal du Mardi 15 Juin. C’est pourquoi Vanves au Quotidien (VAQ) y revient à partir d’aujourd’hui.

    DECISIONS : De nombreuses décisions sont prises par le Maire sans qu’elles fassent l’objet de délibérations mais d’une information des élus. Ainsi les vanvéens attentifs peuvent apprendre des tas de choses dans cette liste « à la Prévert » :

     - La société isséenne  STEAM’O devrait réaliser un accompagnement dans une démarche d’optimisation de l’organisation des services techniques de la ville.  

    - Une convention a été établie entre le lycée Michelet et la ville pour organiser des séances de sophrologie pour les lycéens.

    - Les marchés de maîtrise d’œuvre passé par la société BESL pour la rénovation de la piste d’athlétisme du PMS André Roche, pour la rénovation du sol de son gymnase avec le remplacement des gradins et l’aménagement d’un local de rangement.

     COMPTE ADMINISTRATIF 2009 DE A A Z

    THEATRE LE VANVES : Les recettes billeterie (+40 000€) ont connu une hausse sensible du fait de l’augmentation de la fréquentation : 10 332 spectateurs pour le théâtre pour la saison 2008/09 (contre 123 416 en 2007/08)

    SANTE : Le stade de Vanves et certaines de ces sections n’ont pas été les seules à avoir été perturbées par l’ouverture du Centre de Vaccination gymnase Maurice Magne. Il a aussi perturbé les actions de prévention et d’éducation à la Santé  (Forum santé, prévention des accidents domestiques) prévus par le service qui en parallèle avait déménagé.

    VACCINATION : l’Etat a versé une subvention de 126 000 € à la ville de Vanves  au titre des frais de personnel mobilisé pour la campagne de vaccinatons

    VANVES INFOS : Il a vu ses recettes publicitaires baisser victime comme beaucoup de journaux et magazines de la crise qui a frappé de plein fouet l’activité économique locale en 2009.

    CAMPAGNE « DISPLAY »

    Vanves a adhéré à la campagne d’information climatique  européenne « Display » dans les bâtiments municipaux menée par l’association « Energies-Cités » créée en 1990 auquel la Communauté d’Agglomération GPSO a adhéré. L’une de ses actions consiste à afficher la performance énergétique, d’émission de CO2 et de consommation d’eau,  des équipements fréquentés par de nombreux usagers dans au moins 5 bâtiments puisque Vanves compte moins de 50 000 habitants 

    TAGS ET GRAFITTIS :

    Le conseil municipal est de nouveau intervenu sur l’enlèvement des graffitis et tags sur les immeubles privés afin de simplifier la procédure qui impliquait de remplir un formulaire de demande d’intervention des services municipaux à la condition de porter plainte auprès du commissariat de police. Ce qui était évidemment disuassif, sans compter la façon dont certains plaignants étaient reçus au commissariat qui était là très très dissuasive. Du coup, la ville ne met plus comme condition de porter plainte mais à la condition que les graffitis soient visible depuis le domaine public, et effaçable. Ou sinon, le bénéficiaire devra financer la moitié de l’opération.

     A SUIVRE…