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  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

    RENAISSANCE  : Un vanvéen Martin Caragnon (sur la photo) vient d’être nommé correspond de Renaissance (ex-LREM) des Hauts de Seine « Une très bonne nouvelle pour les Hauts-de-Seine. C’est une fierté pour notre comité de voir un des nôtres nommé à un poste à responsabilité dans notre département. Nous sommes certains que Martin saura relever les futurs enjeux grâce à sa force de travail et à son investissement que nous connaissons tous » a twittée Séverine Edou, conseillère municipale de Vanves. Il avait été sur sa liste aux Municipales de 2020 et candidat LREM aux élections départementales sur le canton ded Vanves. Il remplace Bai Achidi, qui a fait un travail formidable et désormais déléguée de la deuxième circonscription des Hauts-de-Seine, qui a fait un travail formidable. Il a pour mandat donné par Stéphane Séjourné, président de Renaissance, d’organiser la restructuration du parti à l’échelon départementale et la préparation des prochaines échéances. « Fier et honoré de la confiance de la confiance de S.Séjourné de pour construire notre parti Renaissance dans les Hauts de Seine» a-t-il réagi en ajoutant : «Militants, élus, parlementaires, vous pouvez compter sur mon engagement total pour porter notre projet politique au service des Français et de l’intérêt collectif»

    UDI : Hervé Marseille qui est souvent venu à Vanves, sénateur des Hauts de Seine,-Président du Groupe Union Centriste au Sénat a déclaré sa candidature, la semaine dernière, à la Présidence de l’UDI, dont il est Président délégu depuis le retrait de Jean-Christophe Lagarde à la mi-octobre. Un congrès pour élire le futur Président de l’UDI sera organisé le 10 décembre à Boulogne. Les  adhérents de Vanves comme tous les autres un courrier annonçant cette candidature. Il indique vouloir garantir l'autonomie du parti de centre-droit : «Notre courant n’aura d’avenir que s’il sait garantir son indépendance». Il appelle également à une refondation programmatique : «il est indispensable d’ajuster nos propositions sur l’avenir de l’Europe, sur l’équilibre de nos institutions, sur la décentralisation, sur la protection de l’environnement et pour une meilleure justice sociale : c’est la condition sine qua non pour faire entendre nos valeurs». Hervé Marseille est soutenu par un large rassemblement des cadres du mouvement et notamment par les porte-parole de l’UDI, Valérie Létard, vice-Présidente du Sénat et Christophe Naegelen, co-président du groupe LIOT à l’Assemblée nationale. Il défendra les convictions centristes : européennes, humanistes, social-libérales dans un paysage politique divisé qui fait face à la montée des extrêmes. Fondée par Jean-Louis Borloo en 2012, l’UDI est une formation politique de centre-droite indépendante dont la première adhérente est Simone Veil et la troisième force politique territoriale du pays.

  • VANVES ET L’ELECTION PRESIDENTIELLE : PAS DE TREVE PASCALE ?

    La campagne présidentielle a, enfin, commencée ! Tout au moins sur les chaînes d’Infos sur lesquelles les vanvéens peuvent suivre visites sur le terrain, conférences de presse, interview des deux candidats et de leurs soutiens, avec notamment Gabriel Attal, conseiller municipal de Vanves, porte parole du gouvernement, dont le débit (de parole) est considéré un peu rapide confiaient quelques vanvéens 

    « Cette victoire, il va falloir aller la chercher, rien n'est joué, rien n'est gagné » régissait il sur France Inter lundi dernier. «c'est une nouvelle campagne qui démarre et l'enjeu de l'entre-deux-tours va être de convaincre ces Français qui n'ont pas voté pour Emmanuel Macron au 1er tour et qui parfois ne partagent pas du tout le projet du président sortant» expliquait ilen ajoutant : «Les réserves des voix sont chez tous les Français qui ne veulent pas sortir de l'Union européenne, chez ceux qui sont attachés à la question des droits des femmes, ceux qui veulent continuer à lutter contre le réchauffement climatique» énumérait-il en pointant du doigt les limites et les dérives de Marine Le Pen sur ces sujets. «Ça va être un travail de conviction, projet contre projet, valeur contre valeur », poursuivait il en  affirmant que le président candidat compte bien être davantage présent sur le terrain. Et les vanvéens qui regardent BFM TV  s’en sont aperçus en assistant à un remake du grand débat, mais en plein air avec Macron répondant longuement aux français qui l’interpellaient

    Bernard Gauducheau, maire UDI de Vanves, a appelé à voter pour Macron, , comme le Bureau politique départemental de l’UDI dans les Hauts-de-Seine, présidé par Hervé Marseille, sénateur, qui a  appelé à soutenir le président sortant. « L’application du programme de Marine Le Pen tant sur les plans économique, social, budgétaire qu’européen, constituerait une grave menace pour notre pays » précisait même l’UDI 92. Ce qui n’empêchera pas certains militants ou sympathisants UDI vanvéens, de voter Le Pen, comme en 2017, certains ne s’en étant pas caché. Ce qui est quand même bien curieux pour des centristes qui se disent européens de surcroît

    Enfin, côté LR, ce n’est pas mieux, car non seulement, si certains sont prêt à voter pour Le Pen, d’autres reprochent à Nicolas Sarkozy, après des mois de silence et des mots très durs  à l'encontre de Valérie Pécresse en privé, de s’être fendu d'un long post sur Facebook pour expliquer : «Je voterai pour Emmanuel Macron» en citant «la fidélité aux valeurs de la droite républicaine» et son engagement européen «clair et sans ambiguïté».

    «Il n'aura pas été élégant» regrettait un proche de Pécresse en constatant qu’il n'a toutefois pas pris le temps d'appeler Valérie Pécresse.  «Nous attendions avant le premier tour que vous veniez aider votre famille politique. Vous parlez maintenant. C’est trop tard, comme Grouchy à Waterloo. Ce sera clairement non pour moi !» ajoutait un député LR exprimant le sentiment de certains militants ou sympathisants LR qui regrettent d’avoit participé au Sarkothon. «Il n'était pas rentré dans la campagne électorale. A partir du moment où les résultats sont ceux que l'on connaît, il est normal qu'il donne sa position très clairement. Marine Le Pen n'est pas très loin de l'Élysée et lui qui a toujours été un combattant contre les extrêmes et notamment l'extrême droite, il est essentiel qu'il puisse appuyer sa position» répliquait Frank Louvrier maire de la Baule et ancien conseiller en communication de l’ex-chef de l’Etat.

    Qu’en est il des Républicains de Vanves qui n’ont pas réagi jusqu'à présent ! Hibernartus va-t-il sortir de son hibernation ?

  • CHRONIQUES DE LA PRESIDENTIELLES A VANVES

    ATTAL DANS LA CELLULE RIPOSTE

    Un organigramme très intéressant est paru dans le journal Le Monde  ce week-end, de l’équipe de campagne du non-candidat Macron où apparait bien sûr le vanvéen Gabriel Attal: Différents pôles ont été constitués, «société civile», «idées», «communication et stratégie numérique», «poilitique», avec une cellule «riposte» où apparaissent les noms de Gabriel Attal, Christophe Castaner et Stanilas Guerini. Elle est chargée de délivrer les éléments de langage à une dizaine de porte-parole de la campagne et du parti comme les députés Aurore Bergé ou Sacha Houlié, ainsi que les angles d’attaque à développer sur les plateaux TV. Elle se réunit déjà, une fois par semaine au siége de LREM. Ils sont prêts pour la déclaration de candidature officielle qui devrait intervenir la semaine du 21 février, avant ou pendant le salon de l’Agriculture que le chef de l’État doit inaugurer samedi 26 février. A partir de ce moment là, il est possible que Gabriel Attal porte-parole du gouvernement démissionne avec Julien Denormandie, ministre de l’Agriculture, de Sébastien Lecornu, ministre des Outre-Mer pour se consacrer entièrement à la campagne

    DES ELUS UDI PAS CONTENT DU TERME «GRAND REMPLACEMENT»

    L’UDI  par la voix de son président Jean Christophe Lagarde a appelé Valérie Pécresse à «sortir des thèmes de l’extrême droite» dans le cadre de sa campagne présidentielle. Ses élus et militants, comme à Vanves, ainsi que des vanvéens non encartés,  n’ont pas apprécié du tout, à quelques exceptions prés, lors de son meeting au Zénith qu’elle affirme notamment qu’il n’y a « pas de fatalité, ni au grand déclassement, ni au grand remplacement», et regretté qu’elle utilise l’expression « Français de papier » qui était celle de Jean-Marie Le Pen. Selon le président de l’UDI, «ces mots-là sont un piège tendu par l’extrême droite » et il faut « qu’elle sorte de ces thèmes qui étaient ceux de la primaire» de la droite.