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GPSO (Grand Paris Seine Ouest) - Page 24

  • BILAN D’UN MANDAT SUR LA TRANSITION ENERGETIQUE ET ECOLOGIQUE : VANVES COLLE A L’INTERCO !

    Vanves au Quotidien poursuit sa série d’articles sur le bilan de l’équipe municipale avant les Municipales de 2014, à partir de son programme municipal pour 2008-14,  axé autour de 3 grands objectifs : Vanves Agréable, Vanves Vivante et Vanves Solidaire. Dans le cadre de Vanves Agréable, l’un des objectif poursuivi était d’assurer un développement raisonné et durable  dans deux axes : les services et le patrimoine municipale, et  être au coeur des actions intercommunales afin d’agir et innover pour l’environnement (en gras les propositions faîtes en 2008, en clair ce qui a été fait ou pas fait). Des thémes tout à fait d’actualité durant ce mois d’Octobre qui se termine avec le vote du SDRIF (Schéma directeur Régional Ile de France) qui a mis en avant la transition énergétique, GPSO avec sa « Fête le Plein d’Energie » à la mi-Octobre et l’intervention du maire lors du dernier conseil communautaire sur un bilan de l’action de GPSO en matiére d’économies d’énergies, Vanves avec son Agenda 21 qui a fait l’objet d’une réunion du Comité Consultatif du Développement Durable et de l’Environnement

     

     

    UN DEVELOPPEMENT RAISONNE ET DURABLE AU CŒUR DU PROJET DE VILLE

     

    1) Préserver les ressources naturelles : Les services municipaux en référence

    La Commune a recruté un chargé de mission Energie – Développement Durable rattaché à la direction des services techniques de la ville qui travaille en lien avec le service bâtiments. Ses missions s’articulent principalement autour de l’efficacité énergétique dans les bâtiments communaux en recherchant à optimiser les contrats avec EDF, GDF/GAZ NATURAL DENOSA-SIGIEF EAU (optimisation et suivi des fluides, mise en place d’un plan pluriannuel d’investissement, recherche de subventions, etc.), mais aussi sur des questions liées au développement durable (mise en place du tri sélectif, sensibilisation du personnel et des habitants, etc.). Avec des résultats : luminaires basse consommation ou leds, mousseurs économiseurs d’eau, robinets thermostats, régulateurs thermiques mis en place dans les bâtiments municipaux, Tri sélectif et collectes spécifiques (cartouches d’imprimantes) à l’hôtel de ville et au centre administratif municipal,  guide de l’éco-agent et de différents outils valorisant les éco-gestes, mise en place de régulateurs et de télégestion 

    Vanves a adhéré à la campagne d’information européenne « Display – campagne climatique dans les bâtiments municipaux d’Energie-cités -  depuis le 15 Juin 2010 qui permet d’accompagner les écoles dans la maîtrise de leurs consommations d’énergies et d’eau à travers le dispositif mis en place en partenariat avec l’Agence Locale de l’Energie. Elle lui a permis d’afficher à l’entrée de chaque bâtiment municipal le niveau de performance énergétique de l’équipement

    - Récupérer les eaux pluviales et de la piscine pour l’arrosage,

    Le service des Sports a profité des travaux du terrain synthétique pour implanter une cuve de stockage d’eau de pluie de 600 m3 sous le terrain annexe de football. Cette cuve est alimentée en continu par le réseau de drainage du terrain de football dont la superficie de captage des eaux de pluie est de 7000m2, ainsi qu’une partie de la toiture de la piscine d’environ 450 m2. Le volume stocké est complété ponctuellement par les eaux de baignade de la piscine traitées à l’ozone, lors des 3 opérations annuelles de vidange des bassins. Ainsi l’eau stockée alimente le réseau d’arrosage automatique du terrain d’honneur de football, et une vanne de puisage permet le remplissage des citernes mobiles assurant l’arrosage des jardinières de la ville ainsi que des laveuses de voirie.

    - Développer et optimiser l’arrosage automatique des espaces verts

    - Inciter tous les services à la maîtrise et à la consommation d’eau

    Sensibilisation du personnel et des habitants (Guide de l’éco-agent). Installations de mousseurs économiseurs d’eau, de robinets thermostats, dans les bâtiments municipaux.

    - Etablir un diagnostic énergétique des bâtiments municipaux

    Des audits ont été menés sur l’isolation par l’extérieur de l’école Larmerox, sur l’hôtel de ville, les EPAE Pomme Canelle, Boule de Gomme, Pain d’epices, les écoles Larmeroux et Marceau, le biblio-club, la piscine afin d’identifier des pistes d’amélioration de la performance énergétique… Des travaux ont été entrepris : rénovation  et isolation des tuyauterie, du chauffage et  de la toiture du groupe scolaire Gambetta ; Rénovation thermique de l’étage de l’école maternelle Marceau grâce à des travaux d’isolation, des travaux d’étanchéité de sa terrasse basse, et installation d’un panneau solaire sur sa toiture ;  modernisation des chaudiéres de l’école du Parc et du club Murillo, réfection de la toiture de l’hôtel de ville  

    - Généraliser les véhicules propres dans la flotte de véhicules municipaux

    21% de la flotte municipale sont des véhicules propres (électrique, GPL) dont un véhicule électrique Renault (Twizy) pour le service communication

    - Augmenter les produits bio et labellisés dans la restauration scolaire en excluant les produits contenant des OGM,

    Le Bio a commencé à faire son entrée dans les cantines scolaires vers 2008 avec notamment des produits bio issus de l’agriculture régionale. La ville a adhéré au programme « mon assiette bio, ma pelle » en 2011 et établit un partenariat avec des agriculteurs des Yvelines et de Seine et Marne pour servir des produits bio franciliens. L’objectif à atteindre est de 20% de produits bio régionaux dans les plats scolaires (14% en 2011). La ville réalise un contrôle régulier de la traçabilité complète des viandes servis dans les cantines par Elior . 

    - Introduire des clauses de mieux disant environnementale dans les marchés publics

    A travers le Plan d'Administration Exemplaire de GPSO (volet interne de son Agenda 21 / Plan Climat), les marchés publics intégrent des critères de performance énergétique et d'émission de CO2. Ce qui doit inciter les prestataires à intégrer cette notion dans leurs offres et diffusera la comptabilité carbone dans leur fonctionnement.

     

    2)Agir et innover pour l’environnement : Etre au cœur des actions intercommunales

    - Elaboration d’un agenda 21éme siécle pour la ville avec la communauté d’agglomération Arc de Seine

    Grand Paris Seine Ouest s’est engagée depuis 2008 dans une démarche d’Agenda 21 – Plan climat. Le plan climat vise à réduire les consommations d’énergie, les émissions de gaz à effet de serre et la vulnérabilité d’une collectivité au changement climatique. L’agenda 21 a une portée plus large car il concerne le développement durable de façon générale. La démarche de Grand Paris Seine Ouest a été menée en partenariat étroit avec les villes membres de l’agglomération, l’objectif étant que chacune d’entre elles déclinent ensuite l’Agenda 21 – Plan climat à l’échelle de son territoire. Après un travail de préfiguration du projet effectué au cours de l’été 2012 et le recrutement d’une personne en charge de l’énergie et du développement depuis le 1er septembre 2012, la commune a décidé de s’engager volontairement dans un Agenda 21 – Plan climat  le 14 Novembre 2012 qui permettra de formaliser, structurer et coordonner ces différentes actions et d’en faire émerger de nouvelles. Dans un premier temps, et dans un souci d’exemplarité, l’Agenda 21 – Plan climat vanvéen portera sur le patrimoine et les compétences de la ville

    - Création d’une agence locale pour la maîtrise de l’énergie avec Arc de Seine

    Vanves a adhéré à Arc de Seine Energie le 24 Juin 2009 qui est devenu GPSO Seine Ouest Energie

    - Construction d’un mur anti bruit et isolation phonique des habitations en bordure de la voie SNCF dés 2009

    Cette opération lancée en 2002 ne s’est pas encore concrétisée, la ville n’étant nullement en cause, puisqu’elle résulte d’une mauvaise volonté de RFF qui a considéré jusqu’à présent que Vanves n’était pas un secteur  prioritaire. Le dossier parait être relancé dans le courant 2013.

    - Obtenir la couverture du périphérique porte Brançion-Porte de la Plaine en vue de la création d’un parc paysager

    La ville de Vanves n’a pas obtenu cette couverture du Bd Périphérique le long du quartier du Plateau jugée non prioritaire par rapport à la porte de Vanves

    - Mise au point d’un plan de lutte contre les risques naturels,

    Il n’en a rien été ! Par contre la Croix Rouge a présenté en Juin 2009 un projet de « Corps de réserve de l’Urgence »  qui serait constitué sous la responsabilité exclusive de la ville et mis à disposition de la Croix rouge en cas de crise. Une sorte de réserve opérationnelle de bénévoles formés qui interviendraient en cas de crise sanitaire (grand froid, canicule, pandémie)  pour être un apport complémentaire aux forces de sécuirité civile spécialisées (Sapeurs Pompiers, SAMU..) 

    - Lutte contre les nuisances sonores et de pollution dues aux voies à très grande circulation (périphérique) ainsi qu’aux couloirs aériens (proximité de l’héliport)

    Par contre une dalle recouvre le Bd Périph entre les portes Brançion et de Vanves depuis 2009, sur lequel a été aménagé et inauguré le 25 Avril  2013 le jardin Anna-Marly

  • RETOUR SUR LE CONSEIL MUNICIPAL DE VANVES : GPSO, PLH, CDT, SMART CITY+

    L’actualité, riche à Vanves ses derniers jours, a presque occulté le Conseil municipal de Rentrée qui a été animé sans plus, grâce surtout à un échange entre Bernard Roche (UDI)  et Fabian Estellano (PS). Le premier a accusé le second de ne pas être très présents aux événements de la ville et notamment au Forum des Associations. Fabian Estellano a très mal pris ses accusations alors qu’il s’était excusé d’être absent à cause d’une opération au genou. Et qu’il était prêt à se déculotter pour le prouver en joignant presque le geste à la parole en se levant alors que les élus protestaient : « Non ! Non ! ».  Une partie de ce Conseil municipal été consacré à GPSO qui lance aujourd’hui son plateforme numérique de services d’hyperproximité Smart City+ à 12H au Cube à Issy les Moulineaux et réunit ce soit son conseil communautaire à 18H30 à la mairie de Boulogne

     

    LES AVIS DE VANVES SUR LE PLH ET LE CDT

     

    PLH : Le nouvel avis du Conseil Municipal sur le PLH (Programme Local d’Habitation) de GPSO a donné lieu à un débat sur le logement bien sûr. Les Verts se sont abstenus même « si les modifications vont dans le bon sens ». Le groupe PS l’a voté en insistant « sur un parcours résidentiel avec une offre plus adaptée » par la voix d’Anne Laure Mondon. Alors que son collégue Fabian Estellano relevait les points noirs de la politique local du  logement à Vanves  : Distorsions entre besoins et réalisations, entre POS et PLU. « On avait prévu du logement plus social et on ne l’a pas réalisé. Les plus modestes et les plus jeunes ne peuvent pas se loger. On a des résidences pour les personnes âgées mais pas accessibles aux plus modeste »s. Bernard Gauducheau (UDI) a reconnu que « la situation n’est pas satisfaisante, mais la ville compte 23,6% de logements sociaux. Nous n’allons pas tarder à attendre 25% de logements sociaux (notamment avec le projet du Rosier rouge)  sachant que 25% de communes franciliennes n’ont pas de logements sociaux. Depuis 2002, nous avons réalisé 120 logements sociaux passant de 22,6 à 23,6% ». II a regretté que l’Etat n’ait pas donné son feu vert pour la construction d’une résidence étudiante sur le terrain qui avait accueilli l’école provisoire du Centre pendant les travaux de l »’îlot Cabourg. « On ne peut pas obtenir un blocage des sur-loyers par les bailleurs. Ils ont attendus le plus tard possible pour appliquer ses sur-loyers » a répondu B.Gauducheau à Claudine Charfe (PC) qui a re-soulevé la question et s’est abstenu.

     

    CDT : Le conseil municipal a approuvé le CDT (Contrat de Développement Territorial) de GPSO, les Verts s’étant abstenus ave Claudine Charfe (PC) en considérant que « ce dossier de 1000 pages peu accessible a été réalisé d’une manière précipité à un moment plein d’incertitudes sur le SDRIF (schéma Directeur de la Région) et Grand Paris Express (GPE). Il est une preuve de l’égoisme territoriale » a tonné Claire Papy. « Ce document permet de positionner notre territoire sur projet de GPE en élargissant la zone dense » a répliqué B.Gauducheau en remarquant que ce premier CDT à être signé en Ile de France, a fait l’objet d’un avis négatif de la Région. Tout en constatant que « les perspectives qui se dessinent avec le nouveau projet de loi (sur la Métropole du Grand Paris) ne sont guère réjouissantes ». 

     

    SMART CITY+ :  UNE CONSEQUENCE DU CDT

     

    Cette plateforme numérique de services d’hyperproximité est  un outil unique d’échanges et d’informations personnalisées pour tous les habitants et les acteurs de la ville, lauréat du Grand Emprunt – Investissement d’Avenir (CDC), porté par huit partenaires de haut niveau (Navidis, chef de file du projet, Altran, coodinateur de cette initiative, ENSCI-les ateliers, ESRI France, GPSO, Issy Média, Le Cube et Télecom SudParis). Chacun pourra utiliser Smart City dans ces activités quotidiennes telles que services entre particuliers, e-services, échanges citoyens, informations locales, petites annonces hyperlocales, offres de jobs géolocalisées….pour effectuer un achat groupé dans son quartier, organiser un co-voiturage express, participer à une réflexion citoyenne…  « Smat City+ entend apporter une solution innovante et adaptée aux nouveaux enjeux du vivre ensemble, en favorisant les dynamiques d’interaction sociale et d’inter créativité dans les domaines de la culture, de l’éducation, de l’économie, de la solidarité et des initiatives citoyennes » indiquent ses créateurs en précisant que les 7 villes de GPSO constitueront le territoire d’expérimentation de ce projet qui est inscrit dans son CDT « Ville numérique, créative et durable » dont la mise en service s’étalera jusqu’en 2014. Ils indiquent  qu’ils répondent ainsi à « une demande de services de proximité adaptés au nouveaux modes de vie : sur les 2 milliards de recherches effectuées chaque jour sur Google, 30% concernent le local ». Smart City+ s’appuie sur des modes de représentations et de valorisation de données urbaines en environnement 3D temps réel, accessible via une infrastructure »Cloud ». Elle s’inscrit dans l’univers SOLOMO (Social, Local/Mobile) avec une approche transmedia sur Internet, tablettes et mobiles.

     

    A SUIVRE…

  • METROPOLE DU GRAND PARIS : VANVES FERA LE DEUIL DE GPSO LE 1er JANVIER 2016

    En seconde lecture,  Le Sénat  a mis sur les rails cette métropole du Grand Paris qui réunira la ville de Paris et les 124 communes de la petite Couronne à partir du 1er janvier 2016, en supprimant les intercommunalités existantes comme GPSO avec ses 350 000 habitants. Une interco qui a beaucoup apporté à Vanves, ce qui ne risque pas d’être le cas de la nouvelle qui entrera en vigueur en 2016.

     

    Si le Sénat avait fait passer à la trappe, en première lecture, le 3 juin dernier,  le projet créant un syndicat mixte sans fiscalité propre et conservant les intercommunalités existantes grâce à un amendement UMP et Fdeg/PC -  ce que de nombreux élus du Syndicat Mixte Paris Métropole lui ont reproché – en seconde lecture, il a mis sur les rails cette métropole du Grand Paris qui réunira la ville de Paris et les 124 communes de la petite Couronne à partir du 1er janvier 2016, en supprimant les intercommunalités existantes dont certaines comptent parfois jusqu’à 400 000 habitants. Après d’âpres discussions – 180 amendements avaient été déposé uniquement sur la partie Grand Paris -  qui avaient commencé jeudi après-midi. « Ne revenons pas au texte initial du gouvernement, ne reprenons pas le texte de l'Assemblée nationale. Trouvons un chemin propre au Sénat » avait  demandé Jean Pierre Sueur président de la commission des lois.

     

    Le Sénat a décidé que les territoires constituant la Métropole du Grand Paris rassembleront 200 000 habitants au lieu de 250 000, que  le nouvel ensemble aura le statut d’un EPCI, qui s'occupera de l'aménagement de l'espace, du logement, du développement durable et écologique, et de la politique de la ville en établissant un projet territorial. Les compétences dites « de proximité » (gestion des déchets, cantines scolaires, etc.) relèveraient des communes ou syndicats de communes. Et les transports resteraient à la Région

     

    Par contre, des amendements ont été adoptés contre l’avis de la commission de lois et du gouvernement : Le PC a obtenu que le PLU ne soit pas adopté à l’échelle métropolitaine et que les communes ne puissent être écartées de leur élaboration, l’UMP que les maires conservent la maîtrise des objectifs de constructions de logements et que tout projet lancé par la métropole et issu de transferts de compétences, fasse l’objet d’un avis positif des communes concernées. Par contre la proposition de l’UDI qui proposait de créer une sorte de syndicat mixte associant Paris aux structures intercommunales a été rejeté.

     

    « On reconnaît le particularisme des territoires sans rien céder sur la volonté d'avoir une grande métropole à Paris » résumait le rapporteur René Vandierendonck. « On refait la bataille ! Mais cette fois-ci, il y a des avancées par rapport au texte qu’on nous avait présenté. Nous, on dit d’accord pour la métropole, mais on ne veut pas qu’elle se substitue aux intercommunalités» expliquait Roger Karoutchi (UMP). « On veut faire en sorte que la métropole soit un outil de coopération entre les structures déjà existantes » confirmait Christian Favier (PC). Seule, Hélène Lipietz (EELV)  a regretté que, « à droite et à gauche, les élus ne soient pas prêts à faire de la métropole une collectivité de plein exercice ».

     

    Le débat devrait se poursuivre aujourd’hui tout au moins entre  sénateurs et députés franciliens qui doivent se retrouver dés ce matin à 9H à la Maison de la Chimie pour une conférence parlementaire sur « le Grand Paris, le défi de la gouvernance » afin  de  discuter des contours du projet, des programmes d'aménagement inhérents au nouveau Grand Paris et de la gouvernance des territoires avec différents acteurs du secteur (présidents de grands groupes, industriels, économistes, universitaires...). Elle sera présidée par Alexis Bachelay, Député des Hauts-de-Seine, rapporteur de la mission de suivi du Grand Paris et André Santini, Député des Hauts-de Seine, maire d'Issy-les-Moulineaux, président du Conseil de Surveillance de la société Grand Paris. Deux grandes tables rondes sont prévus le matin, sur « le Nouveau Grand Paris » présidé par JY Le Bouillonnec et A.Santini, et l’aprés midi sur « La métropolisation en question » présidée par Alexis Bachelay et Roger Karoutchi. Ainsi le débat est loin d’être terminé.