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  • STADE DE VANVES : COMITE DIRECTEUR AUTOMNALE ELARGI APRES UN PSYCHODRAME ESTIVAL

    L’assemblée générale du Stade de Vanves Mercredi soir à Panopée a marquée la fin d’une première séquence qui devrait amener cette association omnisports à améliorer son fonctionnement et auquel réfléchissent un groupe de travail constitué au sein du comité directeur et bien sûr la Municipalité.

     

    « Notre volonté est de renforcer la structure associative du Stade de Vanves, école de responsabilité. Demander ce que l’on peut faire soi même au lieu d’attendre que la collectivité fasse tout. Nous nous sommmes rencontrés le 4 octobre dernier et j’ai retenu deux choses essentielles de cette réunion avec les présidents des sections : Les exigences administratives ont changé, ce qui prend du temps et de l’énergie de la part des bénévoles. Un certain nombre de difficultés dans la gouvernance du Stade de Vanves. La Municipalité va réfléchir ausssi de son côté : Nous sommes prêt à accompagner cette volonté de remettre à niveau (en moyens financiers, personnels complémentaires) cette association. Car le Stade de Vanves est le bras armé de la politique sportive de la ville. Notre partenariat doit être plus étroit sans s’immiscer bien évidemment dans son fonctionnement. Il faut que nous soyons plus précis dans notre convention qui sera révisée à la suite de nos réflexions réciproques. Ce sera l’occasion de repartir sur de nouvelles bases, et de lui redonner un second souffle. Le moment est de faire ce travail pour rester une structure associative avec un fonctionnement plus professionnel » a déclaré Bernard Gauducheau en répondant à François Praud qui a fait allusion dans le courant de cette soirée au débat qui agite le Comité directeur et ses 15 sections depuis quelques mois : « Le stade de Vanves a un fonctionnement lourd avec un seul salarié. Il est assuré essentiellement par des bénévoles. Mais il n’a pas la meilleure organisation qui soit par rapport à une association similaire (dans d’autres communes). C’est pourquoi à la suite de la réunion du 4 Octibre et au Comité Directeur du 20 Octobre, un groupe de travail a été constitué pour trouver des réponses à ces questions et à ces besoins ». 

     

    CLASH ET REUNION

    Pour ceux qui auront manqué le début du feuilleton, il faut savoir que le torchon brûle entre le maire adjoint chargé des Sports, Maxime Gagliardi, qui souhaite « relooker » ou « bouster » cette association en lui donnant de véritables moyens de fonctionner  et le président du Stade de Vanves François Praud qui, dans un moment de découragement à la suite les événements qui ont touché notamment la section football, avait fait savoir qu’il en avait assez, qu’il ne se représenterait pas à l’assemblée générale, qu’il était prêt à passer la main, qu’il  fallait lui trouver un successeur etc… avant les vacances d’été d’où il est revenu requinqué, reconnaissant qu’il avait parlé un peu rapidement, et que pour l’instant il n’y a pas de successeur vraiment sérieux prêt à s’investir dans une fonction qui prend du temps. Même si Bruno Chauvet, président de la section Basket avait été sollicité, celui-ci préférant s’investir dans la section basket, ou Yves Jurado, président de la G.R. s’était déclaré candidat si jamais…

    François Praud  était donc prêt  à la Rentrée à mettre en place une nouvelle organisation, reconstituer un bureau plus prêt des adhérents et actifs. Et surtout ne pas s’en laisser compter, en étant très remonté contre Maxime Gagliardi, avec lequel il aurait eu un clash qui a provoqué cette réunion du 4 Octobre à l’intiative du Maire Bernard Gauducheau : « J’ai ressenti des difficultés et des grognements. Et plutôt que laisser pourrir la situation, j’ai rencontré François Praud sur le devenir du Stade de Vanves, pour réfléchir à sa succession dans la mesure où il avait parlé de passer de relais, et préparer le 70éme anniversaire du stade de Vanves en 2011 » avait il expliqué aux présidents des sections tout en les rassurant : « Ce qui m’intéresse, c’est que le Stade de Vanves reste une association omnisport. Et ne pas perdre du temps dans des positions ego-centriques ».

     

    DEFENDRE CE QUI VOUS RAPPROCHE

    Après un tour de table, il était apparu très nettement qu’il y avait un probléme de fonctionnement et d’organisation général au sein de cette association qui fonctionnait plutôt comme un patronage, sans mutualisation des moyens financiers, logistiques et matériels,  sans véritables stratégie et objectif,  avec un comité directeur plutôt passif, « qui ne sert à rien », « pas opérationnel du tout » qui « ne constitue pas un organe de décision ». D’autant plus que certains dirigeants attendent un soutien de la part du secrétariat où il faudrait une personnne de plus, plus compérente,  pour les soutenir, pour faire par exemple des demandes de subventions qui deviennent complexes,  parce qu’ils sont déjà envahi par les contraintes administratives imposées par leur fédération qui leur prennent du temps et qu’ils n’ont pas la compétence pour certaines démarches complexes. « J’ai l’impression d’avoir entendu les mêmes propositions formulées voilà deux ans lors d’une autre réunion similaire » avait alors constaté Maxime Gagliardi qui considére que « le rôle du Stade deVanves et son importance nécessite effectivement des compétences en rapport  - car il représente la ville dans des compétitions nationales, défend son image, gére un budget associatif qui est le plus important de la ville – même si la tâche est difficile, il faut donner aux adhérents envie de s’investir ».

    Et de son côté, Bernard Gauducheau avait demandé que « les dirigeants du Stade de Vanves prennent en main leur avenir en partenariat avec la ville, sans tenir compte d’éventuels divergences internes, des tensions possibles qui sont inévitables mais qui peuvent aisément être surmontées sachant que toutes les sections du Stade de Vanves ont plus d’intérêt commun et gagneront en force et efficacité si elles défendent ensemble ce qui les rapproche ». Du coup, le Comité Directeur du Stade Vanves qui suivait, décidait de créer un groupe de travail chargé de  mener une étude sur les améliorations possibles à apporter à son organisation. Voilà où on en était le Stade de Vanves lorsque s’est déroulé son assemblée générale à la veille de l’un des rares et longs ponts de cette année 2010 et dans une salle où il est particulièrement difficle de trouver une soirée libre pour organiser une telle réunion alors que cela l’est moins dans d’autres sales communales. Ce qui explique le peu d’adhérents par rapport aux dirigeants bénévoles ce soir là. « Ce qui serait bien pour une AG, c’est qu’il y ait des adhérents ! » n’a pas manqué de dire Bernard  Gauducheau en arrivant à Panopée. « D’autant plus lorsque l’on sait ce qu’ils apportent à la ville et au Stade ». Ambiance. D’autant plus que le président du Stade Vanves et le maire adjoint chargé des sports ne se sont pas serrés la main, ni salués, même si le premier s’est exclamé en voyant arriver le second : « Tiens voilà mon copain ! ».

     

    DES MOMENTS TENDUS

    Tout cela n’a pas empêché l’AG de ronronner comme à l’habitude en donnant l’impression d’être un Comité Directeur élargi. Hommage aux stadistes disparus, malheureusement nombreux – Maurice Mafne, Daniel Gery, Alain Jaunas, Marcel Dambron, Yves Saccard – minute de silence, film vidéo qui permet aux présidents du Stade comme des 15 sections de dresser un bilan de la saison passée et quelques perspectives pour la suivante. François Praud a noté que la saison dernière a été compliquée à ses débuts à cause de la neutralisation du gymnase Maurice Magne pour cause de grippe A H1N1, ce qu’a reconnu le maire en parlant « de moments tendus heureusement résolus rapidement »,  puis par la suite à cause des incidents qu’a vécu la section football. « Si nous ne sommes pas exigeants sur lesrésultats sportifs vis-à-vis des dirigeants sportifs, nous le sommes sur la non violence » a-t-il déclaré en annonçant l’arrivée d’un éducateur spécialisé recruté avec l’aide financière de la ville pour encadrer les jeunes footballeurs.

    Il a salué les nouveaux présidents de sections : Paul Rambon aux Arts Martiaux qui a remplacé Jérôme Tournier qui a reçu la Médaille du Stade de Vanves, Dominique Billat aux Boules Lyonnaises, Françoise Roumier à la G.V. Durant le film, les présidents de section sesont exprimés. Ainsi la section Basket a dépassé le club de Sceaux au niveau formation des jeunes grâce à 15 moniteurs/éducateurs. La section Hand souhaite que son équipe première joue plus souvent au gymnase André Roche qui dispose d’une tribune pour son public de supporters. Le stadiste de l’année, absent pour cause d’entrainement, a été révélé : Yann Calanquin, entraîneur des nageurs de compétition de la section natation qui a été sélectionnée comme meilleur entraîneur des Hauts de Seine. Enfin l’intervention du Maire qui a insisté sur l’action de la municipalité – subventions, équipements sportifs – et ses initiatives en matière d’animations sportives avec Vanves en sports, Kivanis etc…

  • LE PLU DE VANVES : COMPLEMENTAIRE MAIS PAS REVOLUTIONNAIRE ! BON PERE DE FAMILLE ET REACTIONNAIRE !

    Le projet du PLU (Plan Local d’Urbanisme) de Vanves a été voté par la majorité municipale lors du conseil municipal de mardi soir, le PS/PC s’abstenant et les Verts-Europe Ecologie votant contre. A partir de là et avant l’approbation définitive prévu fin Jui 2011, consultation des personnes publiques associées, mise à enquête publique durant un mois (début 2011), analyse des remarque et des avis par le Commissaire Enquêteur qui fera un rapport

     

    Cinq grands axes ont été définis  dans le PADD (Projet d’Aménagement et de Développement Durable) qui accompagne les documents réglementaires (écrits et graphiques) et les annnexes qui accompagnent ce PLU : Valoriser l’identité d’une ville à proximité immédiate de Paris et au sein de GPSO, Relever le défi d’une offre renforcée en logements, préserver la dynamique économique, promouvoir des pratiques de mobilité durable, préserver l’environnement et ses ressources…. Sur lesquels le maire a insisté dans son exposé préliminaire en reconnaissant que « le POS arrêté en 1997, auquel j’avais participé en tant que conseiller municipal d’opposition nous a permis de fonctionner jusqu’à ce jour. Nous avons envisagé un nouveau PLU parce que les attentes des habitants ont évolués. Il n’est pas révolutionnaire, mais complémentaire au précédent ».   Chacun  de ces axes se traduit par des dispositions en terme de zonage (8) qui font l’objet de régles sur lesquels Vanves Au Quotidien reviendra et d’un exposé du cabinet Codra. Enfin Julien Gazel a dressé le bilan de la concertation avec des réunions publiques et de quartiers, des articles dans V.I., des réunions des différents Comités Consultatifs à chaque étape de la procédure (diagnostic, définition des enjeux, PADD, phase réglementaire) puis exposition. Tout le monde a reconnu la qualité du travail effectué mais chacun en a tiré ses conclusions au travers des interventions, en ne sortant pas malheureusement des généralités et des positons connûes de chacun.

     

    Fabian Estellano (PS)  a constaté que « chaque quartier de Vanves a besoin d’un effort » en citant le Clos Montholon qui doit faire face aux projets urbains de Malakoff et d’Issy les Moulineaux avec le fort Numérique, qu’il y a un manque de vissibilité sur le paysage de Vanves  en citant les rues Jean Bleuzen et de la République, que l’absence de COS laisse la porte ouverte à des grosses opérations foncières du genre Bouygues comme l’a laissé entendre aussi G.Janvier. Il a souhaité qu’un effort de rénovation de l’habitat soit menée comme dans le Centre Ancien dans les autres quartiers de la commune, « Vanves comptant 5% d’habitat médiocre contre 2% dans les Hauts de Seine », qu’il y ait plus de mixité sociale, plus de logement social, une amélioration de l’offre et de la signalétique commerciale, un maillage plus important des serrvices publics, une ambiton énergétique pour les bâtiments communaux.

    « Ce n’est pas révolutionnaire par rapport à 1997. Nous avions alors prévu des modalités pour favoriser l’installation de résidences hôtelières » a constaté Guy Janvier, conseiller Général (PS) en soulevant 4 points : Le logement social où il y a un problème « car des gens ne peuvent pas s’installer à Vanves. Il est possible de transformer des immeubles non entretenus en logements sociaux » a-t-il expliqué. Les espaces verts en regrettant que « les surfaces réservés aux espaces verts soient infimes (square Jean monnet, angle V.Hgo/H.Marin) ». Les équipements publics  car « on a besoin de créches ! Mais rien n’est prévu ! ». Enfin, il a posé la question du devenir du terrain rue A. Briand (ex-sécurité sociale et DDE) occupé pour l’instant par la Maternelle du Centre.

     

    Pierre Toulouse (Verts-EE) a considéré « qu’on a un PLU bien lisse. On peut regretter d’être à Vanves où les contraintes sont telles qu’il n’y a pas de marges pour faire tout ce que l’on voudrait pour loger les gens. Et là où on pouvait faire quelque chose, on ne l’a pas fait notamment sur un point : Le COS qui a été renforcé par la Loi sur Le Grenelle 2 de l’Environnement  afin notament pour aider les habitants qui réalisent des travaux d’économies d’énergies ou des installations genre compost ». Il a dénoncé un « PLU de pére de famille, très réactionnaire, en continuité avec ce qui a été fait ! », même s’il a reconnu que des efforts ont été fait pour augmenrer la surface de stationnement des vélos. Lucile Schmid (EE) a posé une question sur la bilan de la concertation : « Dans quelle mesure avez-vous le sentiment que l’on a réussit une véritable concertation avec les habitants, compte tenu de la longueur du processus ? ».

    Le maire a laissé monter au créneau ses collégues avant de répondre : « On vous sent déconnecté de la réalité en vous entendant parler du monde ouvrier, du manque de logements sociaux alors que nous ne sommes pas le plus mauvais éléve des Hauts de Seine par rapport à vos amis » a déclaré Julien Gazel. « Après le magnifique programme présenté par FabianEstallano » a ironisé Bertrand Voisine avant d’apporter quelques réponses : « Si vous aviez assisté aux réunions publiques, vous auriez vu que certaines remarques ont été prises en compte ».

     

    « Je préfére afficher des objectifs accessibles » a attaqué d’emblée Bernard Gauducheau en répondant sur la concertation : « On déploie beaucoup de moyens pour consulter la population. Est-ce suffisant ? La grande majorité reste certes silencieuse, mais elle s’exprime à travers les votes. Et les électeurs peuvent rester vigilants sur la réalisation des engagements et s’exprimer à ce moment. Il est clair lorsqu’il y a un sujet épineux, les populations réagissent et s’xpriment. Nous voulions mettre la ville en conformité à certaines évolutions et ne pas la transformer totalement, car la population est atachée à sa ville. Nous ne sommes pas en régle avec le SDRIF qui nous demande de densifier. Mais ce n’est pas ce que veulent les vanvéens qui souhaitent préserver leur qualité de vie. Et en matière de densité, on a déjà donné ! Comme en matière de logement social, par rapport à d’autres. Quant au devenir de certains sites, il est encore rop tôt pour se prononcer » a-t-il expliqué en concluant : « J’avais atttendu une position modérée des votes des Verts qui ont participé aux travaux de ce PLU ».  

     

  • CANTONALES A VANVES : LE DUEL GAUDUCHEAU – JANVIER A COMMENCE

    Bernard Gauducheau a réussit un exploit lundi soir à l’école Marceau pour lancer sa campagne électorale pour reconquérir son siége perdu en 2004 de conseiller général. Il a réunit Patrick Devedjian président du Conseil Général et  Jean jacques Guillet député maire UMP de Chaville sans qu’ils ne disent un seul mot de leur bras de fer pour la tête de l’UMP 92 qui se décidera lundi prochain à Boulogne, avec Philippe Pemezec, Secrétaire Départemental UMP et maire du Plessis, Pierre Christophe Baguet député maire UMP de Boulogne, Isabelle Debré, sanateur UMP du 92, Hervé Marseille et Denis Laghero conseilers généraux NC. Tous étaient là pour expliquer aux militants et sympathisants UMP et NC de Vanves les enjeux de cette élection cantonale tant sur le plan local que national. Une dizaine de jours avant la réunion de Guy Janvier à l’école Larmeroux le 18 Novembre à 19H, beaucoup de vanvéens ayant reçu ses derniers un courrier d’invitation.

     

    Deux surprises ont marquée cette soirée qui a bien durée 3H. Tout d’abord le discours très vivant et plein d’humour ou de clins d’œil de la suppléante Françoise Saimpert qui a raconté 3 étapes de sa vie : Ses racines à Vanves où elle réside depuis 24 ans et où elle est née à la Maternité de la Poussiniére à côté du Lycée Michelet. « Un vrai petit poussin de Vanves devenue une poule blonde ». Sa famille qui lui a inculqué les valeurs de solidarité d’entraide de respect. La politique avec l’association « lire et faire lire » avec Alexandre Jardin, puis l’engagement dans la vie municipale entrainé par Isabelle Debré alors qu’elle n’était encarté dans aucun parti. « Sans la parité, je ne serais peut être pas là » a-t-elle constaté justement en ayant à coerur de bien remplir sa mission.

    Ensuite un candidat maire qui paraissait décalé, peut ête encore à cause du décalage horaire de son déplacement à Hanoï. « Ce sont les purs et durs qui sont présents ce soir ! Il faut remobiliser tous nos amis. C’est dans quelques mois certes, mais le temps passe vite. Et à Vanves, on trouve que l’on n’en fait pas assez ! C’est pourquoi j’ai souhaité que l’on se voit dés ce soir et que l’on s’organise pour reprendre le siége perdu en 2004 » a-t-il déclaré en expliquant qu’il a proposé à Françoise Saimpert d’être sa suppléante : « Quelqu’un de très engagée, avec beaucoup de d’idées…avec laquelle nous ferons un très beau tandem ! »

     

    VOUS N’AVEZ PAS BESOIN DE JANVIER !

    Evidemment, il s’en est pris à Guy Janvier qu’il a qualifié de « Monsieur Plus » car il demande toujours faire plus. Mais c’est « Monsieur rien ». S’il était génial cela se saurait. Durant ses 7 ans de mandat, il n’a rien fait. Il lance sa campagne par un  bilan de mandat. Mais il  n’y a rien. Je n’ai jamais vu passer une lettre de Patrick Devedjian m’indiquant que grâce à monsieur Janvier, la ville de Vanves recevrait telle aide. Il faut reconquérir ce canton pour renforcer le conseil général » . Il a d’ailleurs été relayé dans ses critiques par ses invités : « Avoir Guy Janvier à Vanves ne sert à rien. Un conseiller général d’opposition ne vote pas le budget, et n’apporte rien à la commune… Pour sortir de ce cycle, il faut reprendre le canton » a expliqué Hervé Marseille maire de Meudon (NC). « La concordance entre maire et conseiller général est fondamentale dans une ville canton. Dans  ce cas, le conseiller général est très lié à l’action de la ville. Et lorsque je siegeais à l’hôtel du département, je l’ai souvent entendu critique, mais jamais parler d’un dossier concernant Vanves. Nous exercons dans ce département une vérotable solidarité, ainsi qu’au sein de GPSO. Vanves en a bénéficié. Mais un conseiller général PS n’apportera rien à cette solidarité et à cette synergie. Le seul à être sur le banc de touche est Guy Janvier » a expliqué Jean Jacques Guillet (UMP). Enfin Parick Devedjian a répété de « Guy Janvier ne servait à rien  car il, est dans l’opposition. Lorsqu’il s’ahit de faire quelque chose pour vanves, Bernard Gauducheau décroche son téléphone ou vient me voir. Il connaît bien sa vile et sait ce qu’attendent ses habitants. Guy Janvier, énarque, hauit fonctionnaire, très imbu de sa fonction nous fait des cours à chaque sé »ancxe. Mais ce qui se passe à Vanves est trop petit, trop loin de son regard et de son esprit. Vous n’avez pas besoin de Guy Janvier ! ».  

     

    UNE CRAINTE : LA DEMOBILISATION

    Mais c’est enjeu de ces cantonales qui a préoccupé les esprits : « On sait que les cantonales vont être difficiles. La politique conduite par le président de la République a provoqué les événements que l’on sait. Et ce ne sera pas facile. Mais il fait réusir ce examen de passage » (Hervé Marseille). « On n’est pas dans une bonne saison. Le gouvernement a beaucoup réformé. On a eu des élections régionales pas très réjouissantes, mais les choses  sont différentes. Car les régionales sont anonymes, sur listes. Alors que les antonales sont uninominales avec un homme, une femme, une équipe. Et elles peuvent donner lieu à une plus forte mobilisation. Il faut que nous ayons de bons résultats en Mars 2011 aux cantonales puis en Septembte 2011 aux sénatoriales, sinon, je ne vous fait pas un dessin » (Patrick Devedjian). Il n’en reste pas moins que l’UMP compte reprendre 3 cantons : Vanves, Chatenay et Châtillon. « Et je n’ai aucun doute sur Vanves. Parce que s’il est vrai que les élections se passent sur le fil du rasoir, Bernard Gauducheau a fait un peu plus de 55% aux Municipales en 2008. 55% veut dire que la gestion de sa vile lui a permis de la garder. La seule crainte est l’abstention, le désintérêt, la démobilisation des électeurs qu’il fauitr remobiliser ! » a t-il ajouté. « Nous avons des positions dans les Hauts de Seine, avec quelques érosions, nos adversaires étant présent au sein de la Métropole. Mais il ne faut pas jouer leur jeu eb les laissant faire, car nous avons des résultats sur le terrain qui vont au-delà des paroles » a tenté d’expliquer Bernard Gauducheau. Il a annoncé qu’Isabelle Debré et André santini co-présideraitent son Comité de soutien.