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covid-19 - Page 19

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

    COVID-19 : Le maire de Vanves a annoncé sur le site de Vanves être positif au Covid-19 et avoir été pris en charge par « les soignants de l’AP-HP dont je salue le professionnalisme et l’incroyable dévouement. Mon état de santé est stationnaire et le suivi médical me permet de traverser cette épreuve du mieux possible. Soyez plus que jamais vigilants car la circulation du virus est toujours aussi élevée et nos services hospitaliers sont extrêmement sollicités. La COVID-19 est particulièrement contagieuse et nous devons toutes et tous impérativement respecter les gestes barrières» écrivait il le 25 Février dernier. Le Blog lui souhaite un prompt rétablissement et de retrouver vite son bureau à la mairie

    VACCINATIONS : Même s’il est prévu un peu plus de doses pour élargir la campagne de vaccination dans les Hauts-de-Seine, dans les Hauts de Seine, ce n’est pas encore cela : 228 doses supplémentaires sur les 420 hebdomadaires pour le Centre d’Issy-Vanves. Même si cette montée en puissance intervient timidement, que tous les maires des Hauts-de-Seine appellent de leur vœu depuis des semaines. La préfecture table désormais sur 24 000 injections pour le mois de mars, avec « une répartition équitable entre les centres, entre 228 et 240 doses par centre, soit 3 054 premières doses par mois ».

    PANDEMIE : Vanves fait partie des villes les moins touchées par la pandémie avec Marnes la Conquette, Vaucresson, Ville d’Avray avec un taux d’incidence inférieur à 150 pour 100 000 habitants recensés. Les Hauts de Seine ne font pas partie des départements les plus touchées en Ile de France comme la Seine Saint Denis. Mais le virus a progressé dans la quasi-totalité de ses communes depuis un mois. 14 de ses 36 communes ont un taux d’incidence compris entre 250 et 500, ce qui est supérieur à la moyenne nationale (dont le taux est de 205,3), selon les données de Santé publique France. Les communes les plus touchées dans le sud :  Garches, Saint-Cloud, Boulogne-Billancourt, Issy Les Moulineaux, Clamart, Chaville et Bourg-la-Reine. Dans les autres communes du Sud entre 150 et 250 cas pour 100 000 habitants sont relevés

    CONFINEMENT  : Tout se décidera cette semaine pour un confinement territorialisé le week-end comme à Nice et à Dunkerque en Ile de France. Jean Castex a présidé samedi matin une réunion avec les préfets et directeurs généraux des Agences régionales de Santé des 20 départements placés en « surveillance renforcée », parmi lesquels figure toute l'Ile-de-France. Des concertations doivent ensuite être menées localement, entre préfets et élus, afin d'aboutir prochainement aux nouvelles restrictions nécessaires si la situation épidémique continue de se dégrader. La proopsition émise par la ville de Paris d’un confinement total pendant 3 semaines de la Capitale sera étudié selon le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal. Mais «les mesures, il faut qu'elles aient un sens au niveau territorial et quand on réfléchit sur Paris, il faut réfléchir sur la région Île-de-France car il n'y a pas de no man's land derrière le périphérique»,a-t-il assuré sur France Inter vendredi dernier, qualifiant un reconfinement «d'ultime recours». Cette proposition de la mairie de Paris a provoqué une levée de bouclier dans l'opposition parisienne, la droite et le centre dénonçant une proposition «aberrante : « Anne Hidalgo ne peut pas instrumentaliser les Parisiens aux travers de coups de communication» ont accusé les LR parisiens. Valérie Pécresse (Libres!) présidente de la Région,  a qualifié «d'illusions d'éventuelles décisions sanitaires prises au niveau départemental en Ile-de-France. Si on peut éviter un reconfinement total, il faut essayer de trouver un chemin qui permette de le faire», son entourage ajoutant  qu'il «faudra sans doute des mesures de restriction supplémentaires mais qu'il faudra doser pour préserver l'activité économique».

  • LE MINISTRE DE VANVES LANCE «#SANS FILTRE», UNE EMISSION SUR TWICH ET YOU TUBE DEPUIS L’ELYSEE POUR S’ADRESSER AUX JEUNES

    Un nouveau pas du gouvernement vers la jeunesse, après le défi d'Emmanuel Macron aux youtubeurs McFly et Carlito, dont tous les médias ne cessent de parler ses deriners jours  Gabriel Attal a lancé hier une nouvelle émission sur les réseaux sociauxau cours de laquelle il va débriefer le Conseil des ministres avec l'aide d'influenceurs pour trouver plus facilement grâce aux yeux de la jeunesse. Elle est nommée «Sans filtre» et devait durer entre 1h et 1h30, pendant lesquelles, il a promis promet de répondre à toutes les questions qui lui seront posées. Si la crise du Covid-19 et ses conséquences sur le quotidien des Français devrait sûrement demeurer au centre des sujets évoqués, d'autres problématiques de société devraient également être évoquées, comme la lutte contre les discriminations ou la protection de l'environnement. «Cette initiative du gouvernement semble ouvrir la voie à un nouveau mode de communication sortant des médias traditionnels pour aller toucher un public différent. L'exécutif tente en particulier de capter l'attention de la jeunesse, fortement marquée par la crise sanitaire, et au cœur des mesures en faveur de l'égalité des chances qui seront prises d'ici à la fin du quinquennat» ont noté les observateurs qui ajoutaient : «A 31 ans, Attal, macroniste de la première heure poursuit ainsi doucement sa route vers les sommets de l’influence numérique. Il rencontre déjà un certain succès auprès d’une communauté Instagram qui s’élève à 67 000 personnes ». Dans les commentaires sous ses photos, certains de ses fans ne lésinent pas avec les démonstrations d’amour. Au hasard, l’un le qualifie ainsi : «Notre roi». Un autre écrit carrément : «C’est le genre de personne pour qui j’aimerais voter en 2022

    Au 101, rue de Grenelle, siège du porte-parolat du gouvernement, ou dans les live qu’il organise le dimanche sur Instagram, influenceurs (EnjoyPhoenix, Tibo InShape, Emma CakeCup, Fahd El), et agents de youtubeurs, défilent pour rencontrer Gabriel Attal… «Lui-même missionné par Emmanuel Macron en personne. L’histoire ? Le chef de l’Etat lui a envoyé un message au cœur de l’automne pour lui demander de s’adresser aux jeunes – selon son entourage, le Président est obsédé par «la génération sacrifiée» depuis le début de la crise sanitaire. «Le gouvernement a d’ailleurs eu la bonne surprise de voir un changement s’opérer chez les jeunes vedettes des réseaux au fil de la pandémie. Les influenceurs, qui n’engageaient jamais leur image sans rémunération, acceptent désormais de participer gratuitement à la stratégie de communication gouvernementale pour sensibiliser leur public à l’importance du respect des consignes sanitaires» constataient ils. «Ça les fait gagner en crédibilité et leurs parents sont fiers d’eux» se félicitait un conseiller de l’exécutif. Ce qui n’a effectivement pas de prix !

  • LES MEDECINS ET PHARMACIENS DE VANVES POURRONT VACCINER FIN FEVRIER/DEBUT MARS

    Dès le 25 Février février, médecins généralistes, et début Mars pharmaciens, pourront vacciner leurs patients âgés de 50 à 65 ans à partir de doses fournies par le laboratoire AstraZeneca. Ce laboratoire devrait livrer 2,5 millions de doses à la France d’ici à la fin février. Cette arrivée du vaccin AstraZeneca dans les cabinets médicaux était attendue par les médecins généralistes. Il faut savoir qu'en France, dans un premier temps, un seul flacon a pu être demandé par médecin, avec 10 doses. Le praticien qui a dû faire acte de candidature devra donc évaluer les priorités de vaccination parmi ses patients, car elle ne concernera que les personnes avec comorbidité, notamment l’hypertension artérielle, la transplantation d’organe, l’insuffisance cardiaque, les diabètes de type 1 ou 2 ou un cancer de moins de trois ans dont la chimiothérapie est terminée, soit 10 patients considérés comme les plus fragiles.  

    Le médecin devra contacter le patient pour une prise de rendez-vous car il devra grouper les injections pour utiliser au mieux les doses du flacon. Le patient restera sur place 15 minutes après la vaccination, pour surveiller une éventuelle réaction allergique. Un délai de surveillance courant, selon les professionnels de santé. Le vaccin AstraZeneca nécessite ensuite une seconde injection, quelques semaines plus tard. Mais il ne concerne pas les plus de 75 ans – «Plus de deux tiers des personnes de plus de 75 ans n'ont pas été vaccinées dans les centres de vaccination, en particulier ceux qui ne sont pas mobiles. C'est eux qu'il faut viser dans un premier temps. Ils commencent à nous poser des questions en consultation, ils veulent savoir pourquoi ils ne peuvent toujours pas les vacciner» témoignent beaucoup de médecins – et  laisse de côté les 65-75 ans qui ne sont concernés par aucun dispositif vaccinal, ce qui en étonne certains.  Et puis le problème, c’est que la livraison de vaccins effectuée mercredi par AstraZeneca, à hauteur de 700 000 doses, ne permettra aux 70 000 médecins volontaires de n'avoir que 10 doses pour cette première phase. 

    Enfin, la préfecture des Hauts de Seine devrait annoncer que durant le mois de mars, qu'un plus grand nombre de vaccinations devraient être réalisées dans les 13 centres de vaccination du département, avec une répartition équitable entre les centres (entre 228 et 240 doses par centre, depuis le 18 Janvier dernier), ce qui pourrait améliorer la situation. Mais cette semaine ce sont 444 secondes injections qui seront administrées ainsi que 120 nouvelles premières injections au centre d'Issy/Vanves, ce qui. suscite l’irritation, par exemple des vanvéens inscrits sur la liste d’attente. Ainsi, à la  fin mars, près de 23 000 personnes âgées de plus de 75 ans ou présentant des comorbidités devraient avoir été vaccinées, avec les 2 injections, dans le département. Le dispositif de vaccination devrait se renforcer dans les semaines qui viennent, pour cibler notamment les personnes âgées les plus précaires, en partenariat avec la CPAM, le département et les communes.

    Ses annonces interviennent alors que taux d’incidence est en légère augmentation, avec 232 cas pour 100 000 habitants (261 en Ile-de-France), et que le nombre de lits occupés par des patients atteints de la COVID en réanimation diminue légèrement dans le département : 63,6% (contre 69,8% en Ile-de-France, en augmentation)