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covid-19 - Page 17

  • UNE RENTREE 2020 PLEINE D’ESPOIR POUR LES ATELIERS GRAPHIQES DE VANVES AVEC DES SURPRISE DECEVANTES

    A quelques jours d’un anniversaire dont on se serait bien passé, avec l’entrée en vigueur du premier confinement le 17 Mars 2020, le Blog de Vanves a recueilli le témoignage de Françoise Schneegans, la présidente des Ateliers Graphiques sur cette année inédite qui après le premier confinement, est retombé dans un second confinement moins de deux mois après la Rentrée 2020  

    «Lors de cette rentrée 2020, qui s’est bien passé, les adhérents étaient au rendez-vous, car on s’était arrangé pour ré-engranger les adhésions durant l’été auprès de tous les anciens. On a connu une période normale très courte, avec le forum des associations, avec le même nombre d’adhésions de l’année dernière. On est reparti sur un fonctionnnement prés normale en respectant les consignes sanitaires qui n’ont pas changé grand-chose, en nombre de personnes parc salle, sachant que nous avons des ateliers limités à 12 personnes en général, avec distribution de gel, port du masque, dérouleur de papier, nettoyage des tables avant et après, respect des distances etc…même s’il y a des inter-actions. On n’a pas eu d’adhérents qui soit tombés malades, ni touchés par le Covid-19. Mais tout s’est arrêté avec le 2e confonement fin Octobre. Et on n’a pas cessé entre Septembre et Décembre d’ouvrir, de fermer, ré-ouvrir, que pour les enfants, pour qu’ils puissent suive leur atelier dans le pavillon … Avec parfois des réactions d’incompréhension des adhérents qui disaient ne pas comprendre que ce soit ouvert à Clamart, pas à Vanves. Ce qui a été compliqué d’expliquer sachant que nous, nous n’y retrouvions pas trop non plus. Mais on voit bien que c’est compliqué pour les autorités, pour le gouvernement, les communes. Et depuis le début de l’année, on est fermé, sans être confiné, et on ne voit pas le bout du tunnel» regrette-t-elle

    « Nous continuons nos ateliers à distance, mais nous sentons une lassitude. Les gens sont lassés, mais en même temps, ils s’habituent. Une espéce de torpeur s’est même installé ! Pour certains, c’est compliqué de faire les choses chez soi, de suivre les ateliers via Internet. Nous avons essentiellement un public de femmes, et elles ont toujours quelque chose à faire chez elles. Et puis, certaines activités ne sont pas facile à faire chez soi comme de la sculpture, du modelage. Et comme il n’y a plus de rendez-vous régulier pour l’atelier, forcément à un moment, cela s’étiole. On sent moins de volonté !» constate-t-elle.

    Mais Françoise Schneegans n’est pas femme à se laisser abattre, tenant chaque mois ses réunions du conseil d’administration par Zoom pendant une après-midi, en ayant tenu une assemblée générale par zoom qu’elle a soigneusement préparée et animée. Elle a même relancé, un projet «Nature», pour donner  la possiblité à tous ses adhérents «de traiter ce théme, pour fédérer l’ensemble des adhérents et des animateurs afin de créer une œuvre quel que soit le support, la matière utilisé, avec pour seul contrainte d’être un format de 20x20 et de créer un espace de patchwork qui serait évolutif en fonction des œuvres. Il sera présenté lors de la prochaine exposition virtuelle, et sera utilisé lors de manifestations comme le forum des associations à la Rentrée 2021, les journées portes ouvertes peut être en Juin 2021, aux puces» annonce t-elle. « Ainsi, nous essayons de garder le lien ,  d’envoyer une newsletter à tout le monde de façon mensuelle» conclut elle avec l’espoir de ré-ouvrir à la fin du printemps »

  • LES ATELIERS GRAPHIQUES DE VANVES ONT TRAVERSE LA CRISE PANDEMIQUE TANT BIEN QUE MAL

    Au fil des jours, à quelques jours d’un anniversaire dont on se serait bien passé, avec l’entrée en vigueur du premier confinement le 17 Mars 2020, le Blog de Vanves rencontre des responsables associatifs, socio-économiques vanvéens, pour savoir comment ils ont traversé cette crise pandémique. C’est le cas avec les Ateliers d’Expression avec ses 20 ateliers qui accueillent, en temps normal, 250 adhérents selon un rythme hebdomadaire, auxquels s’ajoutent 35 adhérents qui viennent pour des stages qui ont lieu souvent le samedi, à la journée ou à la demi-journée, et entre 20 et 30 anfants qui suivent les ateliers du Mercredi et participent aux stages pendant les vacances scolaires (pendant une semaine)..   

    «Depuis le 15 Mars 2020, on a fermé comme tout le monde, et on n’a pas réouvert de l’année 2019/2020 c’est-à-dire jusqu’à fin Juin 2020,  pratiquement toute l’année l’année scolaire. Nous avons mis nos animateurs qui, pour la moitié, sont salariés (8), en chômage partiel. Les adhérents se sont retrouvés comme les autres, confinés jusqu’en Mai. On aurait pu ré-ouvrir mais cela n’avait plus de sens. On a pris le parti de ne rien faire. On a proposé un remboursement du dernier trimestre aux adhérents qui, pour la plus grande majorité, ont refusé, et ont fait don de ce 3E trimestre à l’association. Ce qui nous a permis financièrement de tenir le coup, d‘autant plus que si les salaires étaient pris en charge par l’Etat, les honoraires versés aux autres animateurs, n’étaient pas payés, puisque pas facturés. Ce gain d’argent nous a permis de le re-basculer,  vers les animateurs qui n’étaient pas salariés, n’étaient pas payé, et qui, pour certains, n’avaient pas droit aux aides de l’Etat, se retrouvant dans des situations finacièress parfois précaires. On les a aidés, en faisant don de 2 mois de rémunérations. En l’expliquant bien sûr aux adhérents qui avaient dons de leur 3e trimestre» témoigne Françoise Schneegans, sa présidente

    «Ce premier confinement est tombé durant une période où nous organisons notre Journée Ports Ouvertes. Plutôt que de ne rien faire, on a proposé aux adhérents de nous envoyer des photos des réalisations qu’ils avaient pu faire avant le confinement, et de celles qu’ils avaient pu réaliser pendant le confinement chez eux. On a organisé une exposition virtuelle par internet, via facebook, et une newsletters. Et nous avons fait, en sorte, d’être relayé par la mairie et son service communication. Les adhérents ont joué le jeu, d’autant plus qu’on avait fait en sorte qu’ils soient en contact avec chacun de leur animateur. Certains ont mis en place des ateliers via internet, whapsat etc… avec un partage des oeuvres via des photos,  et puis d’autres ont gardé un contact téléphonique lorsqu’ils étaient moins à l’aise à l’outil Internet» ajoute-t-elle.

    A Suivre avec une rentrée et une nouvelle saison pleine de surprise…

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

    LE COMMISSARIAT DANS LA TOURMENTE

    Décidemment, la ville de Vanves ne fait parler d’elle  dans les médias qu’à propos de «faits divers». Après l’affaire Youriy qui a fait ressortir la question des bandes doit faire l’objet d’un comité interministériel aujourd’hui, où une dizaine de mineurs vanvéens ont été mis arrêté, ne voilà t-il pas que la police nationale s’y met :  Deux gardiens de la paix ont été accusés d'avoir violenté une collègue lors d'un bizutage avant de faire accuser un homme interpellé qui du coup, risquait 75 000 € d’amendes et 5 ans d’emprisonnement, avec la complicité de la policière harcelée qui a participé à la rédaction du faux procés-verbal. On croit rêver, surtout aprés l’affaire du producteur dans le XVIe arr. de Paris que les caméras de vidéo-protecteur ont sauvé d’un fausse accusation après avoir été tabassé par des policiers.  Une affaire rocambolesque remontant à mai 2020 qui ternit la réputation du commissariat de Vanves et que l’on apprend dix mois après les faits, alors que la procureure de la République de Nanterre a ouvert une enquête et saisit l'Inspection générale de la police nationale (IGPN). Les premières réactions sur les réseaux sociaux demandaient des sanctions exemplaires

    UN DOC SUR UN AN DE COVID-19 OU LE FILS DEVEDJIAN SE CONFIE

    Dans un documentaire qui sera diffusé dimanche soir sur LCI, des médecins, des ministres et des élus en première ligne sur la gestion de la crise sanitaire témoignent de l'année intense qui vient de s'écouler, profondément marquée par la pandémie. Avec un témoignage poignant  de François Devedjian, un des quatre enfants de l’ancien ministre et président du CD 92  que beaucoup de vanvéens connaissaient, qui fait partie des 90 000 français qui ont perdu la vie à cause du Covid-19. Il  revient  sur ses 24H où son état va subitement s’aggraver puisqu’il est décédé le 28 mars 2020, deux jours après avoir affirmé qu’il allait mieux. «Le 26 mars, il annonce même sur twitter qu'il est hospitalisé mais qu'il va mieux, et en profite pour remercier les médecins et le personnel soignant. Quand il a tweeté ça, il était convaincu […] qu'il avait passé le plus dur et qu'il allait s'en remettre» témoigne  François Devedjian. Le décès de Patrick Devedjian a d'autant plus surpris ses proches que, à l'époque, « on ne savait pas trop ce qu'était le Covid.  On voyait ça un peu de loin, en se disant «la maladie, c'est pour les autres». Quand Patrick Devedjian décède, je me dis, pardonnez-moi du terme : «Cette maladie, c'est une saloperie… Le fait qu'un homme politique puisse décéder du Covid-19  a alerté des gens, qui se sont dit que, même des personnalités […], ça leur arrive». A Voir Dimanche

    LE PROLONGEMENT DE LA 12 INTERESSE LES VANVEENS

    Le prolongement de la ligne 12 du métro, véritablement serpent de de mer isséen sur lequel s’est de nouveau attelé André Santini, Maire d’Issy les Moulineaux, au lendemain des municipales 2021, a fait l’objet d’études de faisabilité dont les premières conclusions ont été présentés lors du dernier conseil territorial de GPSO. Initialement, il était prévu jusqu’à «la Ferme» à la limite d’Issy les Moulineaux et de Meudon au niveau d’Auchan, ce qui serait pratique pour les vanvéens qui prennent le métro à Corentin Celton ou Maire d’Issy, avec un gare d’interconnexion à Léon Blum avec la ligne 15 Sud du Grand Paris Express et la ligne C Du RER. Mais elle pourrait aller plus loin dans ce quartier de Meudon Sur Seine jusqu’à une station du tramway T2, car il a bien changé. Les communes espèrent que ce prolongement soit inscrit dans le CPER (Contrat Etat-Région 2021-2027) qui doit être négocié ces prochains mois