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politique - Page 39

  • LE MINISTRE DE VANVES LANCE «#SANS FILTRE», UNE EMISSION SUR TWICH ET YOU TUBE DEPUIS L’ELYSEE POUR S’ADRESSER AUX JEUNES

    Un nouveau pas du gouvernement vers la jeunesse, après le défi d'Emmanuel Macron aux youtubeurs McFly et Carlito, dont tous les médias ne cessent de parler ses deriners jours  Gabriel Attal a lancé hier une nouvelle émission sur les réseaux sociauxau cours de laquelle il va débriefer le Conseil des ministres avec l'aide d'influenceurs pour trouver plus facilement grâce aux yeux de la jeunesse. Elle est nommée «Sans filtre» et devait durer entre 1h et 1h30, pendant lesquelles, il a promis promet de répondre à toutes les questions qui lui seront posées. Si la crise du Covid-19 et ses conséquences sur le quotidien des Français devrait sûrement demeurer au centre des sujets évoqués, d'autres problématiques de société devraient également être évoquées, comme la lutte contre les discriminations ou la protection de l'environnement. «Cette initiative du gouvernement semble ouvrir la voie à un nouveau mode de communication sortant des médias traditionnels pour aller toucher un public différent. L'exécutif tente en particulier de capter l'attention de la jeunesse, fortement marquée par la crise sanitaire, et au cœur des mesures en faveur de l'égalité des chances qui seront prises d'ici à la fin du quinquennat» ont noté les observateurs qui ajoutaient : «A 31 ans, Attal, macroniste de la première heure poursuit ainsi doucement sa route vers les sommets de l’influence numérique. Il rencontre déjà un certain succès auprès d’une communauté Instagram qui s’élève à 67 000 personnes ». Dans les commentaires sous ses photos, certains de ses fans ne lésinent pas avec les démonstrations d’amour. Au hasard, l’un le qualifie ainsi : «Notre roi». Un autre écrit carrément : «C’est le genre de personne pour qui j’aimerais voter en 2022

    Au 101, rue de Grenelle, siège du porte-parolat du gouvernement, ou dans les live qu’il organise le dimanche sur Instagram, influenceurs (EnjoyPhoenix, Tibo InShape, Emma CakeCup, Fahd El), et agents de youtubeurs, défilent pour rencontrer Gabriel Attal… «Lui-même missionné par Emmanuel Macron en personne. L’histoire ? Le chef de l’Etat lui a envoyé un message au cœur de l’automne pour lui demander de s’adresser aux jeunes – selon son entourage, le Président est obsédé par «la génération sacrifiée» depuis le début de la crise sanitaire. «Le gouvernement a d’ailleurs eu la bonne surprise de voir un changement s’opérer chez les jeunes vedettes des réseaux au fil de la pandémie. Les influenceurs, qui n’engageaient jamais leur image sans rémunération, acceptent désormais de participer gratuitement à la stratégie de communication gouvernementale pour sensibiliser leur public à l’importance du respect des consignes sanitaires» constataient ils. «Ça les fait gagner en crédibilité et leurs parents sont fiers d’eux» se félicitait un conseiller de l’exécutif. Ce qui n’a effectivement pas de prix !

  • DEPUTEE ET MINISTRE DE VANVES SUR TOUS LES FRONTS

    FLORENCE PROVENDIER ENTRE DEFENSE DE L’ENFANCE ET LAICITE

    La députée LREM De Vanves et d’Issy les Moulineaux (10e circonscription des Hauts de Seine) est sur tous les fronts ces jours-ci, ce qui ne l’empêche pas de faire son jogging dimanche dans le parc F.Pic, comme l’ont constaté quelques vanvéens, malgré la pluie.  Et d’avoir fait l’objet d’un reportage-entretien sur LCP dans l’émission «Emois et moi ! » poutr découvrir les raisons d’un engagement d’un député, de sa vie d’avant aux habits de député

    Elle est l’une des députés à l’initiative et signatrices d’une tribune dans le JDD demandant  la création d’une délégation parlementaire consacrée aux droits de l'enfant : «Un an après la résolution des députés sur les droits de l'enfant, 17 députés dressent le bilan de l'action effectuée, notamment celle d'une commission d'enquête qui a rendu son rapport en décembre. Et réclament la création d'une délégation permanente consacrée au sujet. Nous devons faire entrer définitivement le sujet des Droits de l'Enfant à l'Assemblée nationale. À l'heure de la libération de la parole des victimes d'inceste, à l'heure d'une prise de conscience du mal-être étudiant, à l'heure de publications de nombreux rapports (Cour des comptes, IGAS sur l'ASE, etc), à l'heure où un enfant décède tous les cinq jours sous les coups de ses proches, où un enfant sur dix est victime de violences à l'école, et en ce que leur vulnérabilité augmente du fait de l'actuelle crise sanitaire, nous devons faire entrer définitivement le sujet des droits des enfants au sein de l'Assemblée nationale et enfin créer une délégation parlementaire qui leur soit consacrée».

    Alors que lundi, l’assemblée Nationale commençait l’examen du projet de loi confortant le respect des «Principes Républicains », elle animait un débat lec soir même sir Facebook sur «laïcité, religions et enjeux de cohésion» avec le curé de Vanves, le rabbin de Boulogne et l’iman du centre musulma, d’Issy les Moulineaux. Le Blog essayera d’y revenir, mais cette conférence débat sur Zoom a souffert d’un faible son qui rendait inaudible certaines interventions. Dommage, Ce sont les surprises de Zoom et d’Internet

    ATTAL LE PORTE PAROLE «REPONSE A  TOUT»

    Depuis quelques jours, quelques vanvéens sont bluffés par les multiples interventions de Gabriel Attal porte parole du Gouvernement sur la crise sanitaire et économique dans les médias, en considérant qu’il a maintenant pris plus d’aisance face aux journalises, mais surtout comme s’interrogeait une senior vanvéens : «Comment fait il pour avoir réponse à tout ? » :«Il bose beaucoup. Il a beaucoup d’échanges avec le Président, le premier Ministre qui lui font confiance et l’invitent à toutes les réunions stratégiques restreintes comme les conseils de défense. Il a également des échanges avec les ministres quant des sujets d’actualités apparaissent. Et notre maigre contribution de veille et de notes qu’il ingurgite tous mes jours. Mais c’est surtout son travail qui fait la différence » confie un de ses très proches conseillers

  • GABRIEL ATTAL LE MINISTRE-ELU DE VANVES EN PREMIERE LIGNE POUR DEFENDRE LA STRATEGIE DU GOUVERNEMENT

    Face aux critiques sur la lenteur des vaccinations au lendemain des fêtes, Gabriel Attal porte parole du gouvernement a dû monter en première ligne, en se répandant sur les radios et les télés. Il n’a même pas accompagné le premier Ministre lors de son déplacement  au Tchad, prié à la veille de son départ, par le président Macron, de rester à Paris pour expliquer la stratégie du gouvernement dans les médias. Mais le fait que le porte-parole de l'exécutif garde la main dans cette riposte ne semble pas être dû au hasard. Selon les spécialistes, Jean Castex a expressément demandé aux membres du gouvernement, y compris aux plus coutumiers de la confrontation politique, d'éviter les prises de position sur des sujets ne relevant pas de leur domaine de compétence, et ce,  afin d'empêcher une dispersion de la communication de l'exécutif. 

    Et les élus locaux qui ont fustigés la lenteur des premiers jours et dénoncé sle manque de concertation sur le plan de vaccination, n’ont pas été déçu. «Ce que j'ai entendu, notamment de la part du président de la région Normandie, c'est qu'il déplorait un manque d'association des régions à la définition de la politique vacinale.Je pense que vous pouvez vous référer à des déclarations de présidents de régions qui, début décembre, saluaient à ce moment leur association». Et sa réplique a été cinglante face aux accusations d’Anne Hidalgo dans le JDD de Dimanche dernier : La maire de Paris avait estimé « qu’avec de telles carences, le Débarquement de juin 1944 aurait échoué». Ce qui a valu dés lundi, une réaction qui tranche avec le pacte de non-agression qui régissait jusqu'ici, tant bien que mal, les relations entre l'État et la capitale. «Je suis assez surpris d'entendre des leçons de logistique de la part d'une élue qui n'a pas su gérer le Vélib, qui n'a pas su gérer l'Autolib, qui a montré que s'agissant de la logistique, elle savait transformer l'or en plomb, alors même qu'il y a plus de fonctionnaires à la Ville de Paris qu'à la Commission européenne, qu'elle attaque»

    Mais ce fut son face à face avec Philippe Juvin, maire de la Garenne Colombes, jeudi dernier dernier sur la 5 ans « C à Vous » où Gabriel Attal l’a accusé d'avoir tenu des propos contradictoires au sujet du début de la crise du Covid-19, notamment à propos de l'efficacité du confinement. Certains vanvéens ont pu apprécier. Il  faut savoir que ce maire qui est médecin chef des Urgences de l’Hôpital Georges Pompidou a d’ailleurs signé un  livre réquisitoire, qui n'a pas été apprécié en haut lieu  «Je ne tromperai jamais leur confiance» ( éditions Gallimard). «On nous a menti avec aplomb. On a tenu des discours contradictoires. On a fait des promesses puis on les a trahies. Certes, personne n’a été dupe longtemps. Mais comment poursuivre les efforts quand le lien de confiance est rompu?», écrit le médecin-maire dans son livre. Il décrit le manque de masques et de lits en réanimation, la saturation des urgences, l’épuisement du personnel soignant, la solitude des résidents des Ehpad, «les immobilismes  de l’hyperadministration»,  «la dictature de ces petits chefs médiocres, qui s’épanouissent dans ces périodes de troubles», la «faillite de l’État». Mais surtout, Philippe Juvin rappelle les certitudes et les affirmations assénées comme autant de vérités. «La France est persuadée qu’elle a le meilleur système de santé du monde, et ce péché d’orgueil la conduit dans le mur», écrit il en racontant avoir alerté à tous les niveaux: Jérôme Salomon, le directeur général de la Santé, Olivier Véran, le ministre de la Santé, Patrick Strzoda, le directeur de cabinet du président de la République, et même Emmanuel Macron auquel il a adressé des recommandations

    Gabriel Attal l’a accusé de réécrire l'histoire en se donnant le beau rôle dans ce face à face tendu. Il a égrené des prises de positions publiques du médecin, au printemps dernier, en contradiction selon lui avec la version défendue dans l'ouvrage : «Dans votre livre, vous écrivez, le 28 février : «Nous ne testons pas suffisamment. Nous avançons comme des somnambules» Et sur LCI, le 6 mars, une semaine plus tard, vous dites : «Pour les formes bénignes, ce n'est pas utile de faire des tests ! ». Sur le confinement, vous dites le 3 mars : «Le confinement est efficace, je pense qu'il faut confiner, je le dis publiquement» Trois jours plus tard, sur LCI, vous déclariez « qu’'on ne peut pas confiner des villes entières» a-t-il critiqué. Et de conclure : «Est-ce-que vous dites la vérité dans ce livre et, à ce moment-là, ça veut dire que vous ne disiez pas la vérité sur les plateaux de télévision ? Ou est-ce-que vous disiez la vérité sur les plateaux de télévision et à ce moment-là, ça veut dire que vous avez un peu réécrit l'histoire dans votre livre ?». S'il a reconnu que cette crise «a été très compliquée à gérer», Philippe Juvin lui a répondu : «Il faut cesser de penser que tout a été bien fait. Et après le cafouillage sur les masques, les atermoiements sur la vaccination montrent que les leçons ne sont pas tirées».