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philippe juvin

  • LES REPUBLICAINS A VANVES VOTENT POUR LEUR CANDIDAT AUX PRESIDENTIELLES

    Les Républicains à Vanves comme en Ile de France et France voteront depuis aujourd’hui pour choisir  leur candidat à la Présidentielle parmi cinq prétendants, Xavier Bertrand, Michel Barnier, Éric Ciotti et deux franciliens  sur lesquels devraient se reporter leurs suffrages :  Valérie Pécresse parce  qu’elle préside la Région Ile de France et Philipe Juvin, car il est le président des Républicains dans les Hauts de Seine.

    Mais, bien malin celui qui peut prédire les résultats et faire un pronostic. L'élément qui rend les pronostics impossibles, c'est l'augmentation des adhésions. Les Républicains sont passés de 80.000 à 140.000 adhérents en deux mois, et il est difficile pour l'heure de savoir à qui va bénéficier de cette hausse «Cela se jouera à quatre…dans un mouchoir de poche» selon un observateur du jeu politique à droite. Car personne n’imagine Philippe Juvin, maire de la Garenne Colombes  au second tour. «Philippe a formidablement bien réussi son grand oral de ministre de la santé» a-t-on entendu lors de l’un des quatre débats.. Il n’en a pas moins réussi à faire entendre une voix singulière dans la compétition : «Sur la forme déjà, on a découvert un politique plutôt à l’aise et percutant dans l’exercice oral – parfois meilleur que certains favoris du congrès. Sur le fond, il a aussi réussi à marquer sa différence, promouvant sa « droite des services publics» remarquait un journaliste

    Par contre, Valérie Pécresse s’est révélée au cours de cette campagne avec des idées et des propositions qui se tiennent alors qu’elle était mal à l’aise au début : «Les gens ne retiennent plus la Versaillaise, mais la déterminée » constatait Geoffroy Didier, conseiller Régional-député Européen.  Elle s’est battu,  « comme une lionne» selon Patrick Stefanini, son directeur de campagne et jusqu’à la derniére minute,  en faisant distribuer ce week-end  un tract de 4 pages  imprimé à 200 000 exemplaires, intitulé «Le courage de dire et la volonté de faire» permettant de relayer le plus largement possible son projet réformateur, audacieux et offensif pour redresser la France. Et en animant sa dernière réunion publique à Boulogne lundi soir où étaient présents quelques vanvéens

  • VANVES ET LES PRESIDENTIELLES 2021 : LES CANDIDATS LR FRANCILIENS SONT MAL BARRES

    Les vanvéens Républicains ont participé au vote samedi dernier qui a  décidé  à 58% d'organiser un congrès pour choisir leur candidat, et  de réserver la désignation de leur candidat aux seuls adhérents du parti. «Respectueuse de leur volonté et constante dans  mon engagement de jouer collectif, j‘en serai !» a réagie V.Pécresse  à la suite de la décision  des 79 181 adhérents des Républicains. La primaire ouverte n'a recueilli que 40,4% des suffrages exprimés. Comme  Valérie Pécresse, Xavier Bertrand, Michel Barnie  et Philippe Juvin ont aussitôt confirmé leur intention de se plier à cette décision. «Nos adhérents ont fait le choix d’un congrés. Le 4 Décembre, ils seront invités à désigner celui qui sera notre candidat. La fidélité envers ma famille politique a toujours été pour moi une valeur cardinale. C’est donc avec honneur et fierté que je me présenterai» a tweeté Philippe Juvin président de la fédération LR 92.  

    Valérie Pécresse a regrettée que l’UDI et les centristes soient exclus du congrés. Mais elle ira les rencontrer pour présenter sa candidature devant eux. Et on la comprend, car aux yeux des français comme à ceux des adhérents LR, le président des Hauts de France est devant la présidente de l’Ile de France selon les sondages. « Quel que soit l’adversaire, il est systématiquement vu comme le meilleur rempart» expliquait Frédéric Dabi DG de l’IFOP. D’autant plus que de Valérie Pécresse souffre d’un double handicap : Les militants et les élus LR (dont une bonne partie des sénateurs) lui préfèrent Michel Barnier, car elle a quitté les Républicains après les Européennes, et a choisi Alain Juppé plutôt que François Fillion pendant les dernières primaires. Sans parler de sa personnalité et de son manque de convivialité ou de compassion. Sa seule porte de sortie serait de passer un deal avec Xavier Bertrand puisque l’objectif de Jacob est d’arriver à un consensus sur un candidat que le Congrés du 4 Décembre n’aurait qu’à entériner. En attendant, les candidats non-LR – Xavier Bertrand et Valérie Pécressse - n’auront pas à s’encarter pour se présenter. Mais ils devront engranger 250 parrainages d'élus pour concourir.

    Un seuil difficile à atteindre pour certains candidats, notamment pour Philippe Juvin, selon les spécialistes qui a défendu sa candidature sur le terrain par des visites à travers la France, insistant comme il l’a fait aux journées parlementaires LR,  sur la nécessité du rétablissement de l'ordre, sur l'importance de redonner de la liberté aux Français et sur les moyens de retrouver la voie de la prospérité. Ainsi que dans les médias, en mettant l’accent sur son parcours professionnel et son expérience de terrain en temps qu'élu et médecin. «J'apporte un parcours qui n'est pas le parcours des autres» déclarait il récemment. Tout en pointant les candidats qui «ont été ministres il y a quinze ou vingt ans», en mettant en avant son expérience de terrain, en tant que maire de La Garenne-Colombes, dans les Hauts-de-Seine, et médecin-chef des urgences à l’hôpital Georges Pompidou. «Je gère une ville correctement depuis vingt ans, que j'ai désendettée. Je sais diriger des équipes. J'ai été député européen, je sais ce qu'est le poids réel de la France dans les institutions et je sais ce qu'il faut changer en Europe. J'ai été militaire volontaire en Afghanistan. J'ai d'une certaine manière, même si je n'étais pas combattant, risqué ma vie pour mon pays» détaille Philippe Juvin. Il souhaitait par ailleurs que le candidat LR soit désigné d'une manière très large au-delà de son parti, Les Républicains, grâce à cette primaire refusée par les militants.