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politique - Page 41

  • Le décés de l’ancien président VGE suscite de nombreuses réactions à Vanves et ailleurs

    Hospitalisé à Tours depuis la mi-novembre, l'ancien président de la République Valéry Giscard d'Estaing (1974 à 1981) est décédé le 2 Décembre, des suites du Covid, était âgé de 94 ans. Les réactions sont nombreuses tant sur le plan international et national que sur le plan régional et local . Notamment André Santini, maire d’Issy les Moulineaux et ex-déoputé UDI de la 10e circonscription tweetait : «Ce fut un président moderne et porteur d’espoir. Ses réformes (majorité, loi sur l’avortement...) ont démontré son progressisme et son indéniable sens de l’anticipation». Le maire de Vanves tweetait : « J'ai une pensée pour les siens, ses proches et notre famille ID. Le legs de cet Homme d'Etat visionnaire, réformateur de la société, promoteur de notre chère Europe, est immense. Je salue cet esprit libre»

    Mais c’est Anne Hidalgo, maire de Paris qui a parfaitement résumé ce que lui doivent tant les français et les franciliens : «J'apprends avec émotion la disparition de l’ancien Président de la République Valéry Giscard d’Estaing. Je salue cet Européen convaincu qui a œuvré pour inscrire notre pays sur la voie du progrès. Grâce à des avancées majeures comme l’autorisation de l’interruption volontaire de grossesse, l’abaissement de la majorité légale à 18 ans, l’instauration du divorce au consentement mutuel et la loi d’orientation en faveur des personnes âgées. En confiant à Françoise Giroud le secrétariat d’Etat  à la condition féminine – instauré en lien avec J.Chirac,- il a fait une place à part au combat pour l’égalité entre les femmes et ma homme » reléve-t-elle.

    «Comme nombre de Président de la République, VGE portait Paris dans son cœur et lui a toujours voué un intérêt tout particulier. Il a ainsi mis fin à une anomalie en permettant aux parisiens en 1977 d’élire à nouveau un maire au suffrage universel ce qui n’était plus possible depuis 1871 et la Commune de Paris. Paris lui doit également le musée d’Orsay. Inauguré par François Mitterrand et dont la décision officielle de construction fut prise à son initiative à la fin des années 1970,  tout comme la Cité des Sciences et de l’Industrie en lieu et place des anciens abattoirs de la villette dans le 19e

    Porteur d’une vision pour Paris, il a été précurseur sur de nombreux projets. Dés son élection, il mit fin au projet de la voie express rive gauche, véritable autoroute au cœur de la Capitale, et transforma en profondeur le projet des Halles en y réintroduisant la nature, par le biais d’un grand jardin en lieu et place d’un simple centre d’affaires. Plus récemment, j’avais eu le plaisir de travailler à ses côtés sur la transformation de l’hôtel de la Marine, mission que lui avait confiée N.Sarkozy.

    Au dela de l’homme politique, VGE était un fin lettré, épris des arts et de la littérature. J’en garderai l’imag d’un homme élégant et cultivé à l’intelligence rare»

  • L’ACTUALITE COMMENTEEE A VANVES PAR QUELQUES PERSONNALITES

    ATTAL SUR L’ELECTION DE BIDEN
    Gabriel Attal espère le «retour d'une approche plus coopérative» des Etats-Unis avec l’élection de Joe Biden comme il l’a exprimé dimancher dernier dans le Grand Rendez-vous d'Europe 1, CNewset les Echos. Il espère que «l'arrivée d'un nouvel occupant à la Maison-Blanche permettra aux Etats-Unis de rompre avec l'isolationnisme », et a appelé à un renouvellement du dialogue des États-Unis avec leurs alliés et les institutions internationales. «C’est probablement le retour à une plus approche coopérative sur un certain nombre de sujets multilatéraux», a déclaré le porte parole du gouvernement. Il s'est avant tout réjoui « d'une participation record », mais espère aussi «voir la première puissance mondiale reprendre sa place dans le concert des nations. Le repli sur soi qui a caractérisé la présidence de Donald Trump pourrait prendre fin. C'est important pour plusieurs sujet, notamment la lutte pour la défense du climat» a affirme le conseil municipal de Vanves qui a ajouté « qu'Emmanuel Macron avait immédiatement dénoncé la décision de Donald Trump de se retirer unilatéralement des accords de Paris». Joe Biden a d'ores et déjà fait part de son intention de réintégrer les États-Unis dans ce traité. Enfin, le dialogue sur les enjeux sanitaires pourrait être facilité et déboucher sur une détente avec l'Organisation mondiale de la Santé. «Il y beaucoup à attendre de la nouvelle administration», a-t-il conclut le porte-parole du gouvernement.

    LE PERE AUVILLE SUR LES MESSES ANNULEES :
    «Un certain nopmbre de référés ont été déposé dont celui des Evêques de France devant le Conseil d’Etat qui a été rejeté. On peut râler, être déçu, on peut trouver que ce n’est pas la bonne décision que les sages du Conseil d’Etat ont pris. Et pourtant, il y a une tradition chrétienne des Ecritures qui nous rappelle qu’il faut nous soumettre à l’autorité, de bon ou de mauvais gré. Les Evêques de France ont réagis très vite par un communiqué suite à cet arrêt du conseil d’Etat en disant qu’ils acceptaient dans la peine et la rristesse, la décision qui avait été prise» a indiqué le pére Bertrand Auville, curé de Vanves lors du premier Zoom apéritif de ce reconfinement dimanche en fin d’après-midi. «Il ne faudrait pas consacrer toute notre énergie à râler contre cette décision, à pleurer contre l’absence de messe, mais l’énergie consacré à cela ne serait pas disponible pour être consacré à autre chose. Il y a un devoir d’Etat peut être malheureux, que nous regrettons sans doute, car nous sommes, pour l’instant, privé de la messse, ce qui ne veut pas dire que nous sommes privé de l’eucharistie. Elle peut être honoré, prié, adoré, comme nous nous l’avons fait dimanche devant le Saint Sacrement où il y avait du monde. On peut se rendre devant les tabernacles de nos églises, mais l’Eucharistie se vit hors des murs de l’Eglise. Il y a un défi qui vconsiste à faire que notre propre vie soit eurachastisque, c’est dire que nous aceptions d’apporter le peu que nous avons, que nous sommes, pour le Seigneur le transforme en son propre corps ou son propre esprit. Privé de la mlsse, nous ne sommes pas, pour autant privé de l’Eucharistie, et sur cela, les sages du Conseil d’Etat n’ont aucun pouvoir. C’est bien de notre responsabilité d’en vivre et de la faire vivre !»

  • PAS D’ARRETE MUNICIPAL AUTORISANT L’OUVERTURE DE COMMERCES A VANVES

    «Comme au printemps dernier, nous publierons régulièrement les informations et l'organisation des commerces proposant des services de ventes à emporter ou de livraisons sur la page du site de la ville «Consommez bien - Consommez Vanvéen ! » s’est engagé la ville de Vanves dés les premiers jours du re-confinement  en reprenant sa campagne pour soutenir les commerçants en  indiquant les restaurants qui font des plats à emporter, en insistant sur l’ouverture du marché etc….Mais elle n’aurait pas relayé la campagne de l’AMF et de l’AMIF, les associations nationale et francilienne qui regroupe les maires de France et d’Ile de France, pour ré-ouvrir les commerces non essentiels.

    La première a défendu «l'ouverture des commerces «non essentiels» par arrêtés municipaux, pour qu'ils «continuent à pouvoir vivre»  et  l’AMIF a demandé en urgence à ce que «l’injustice de la fermeture des commerces de proximité identifiés comme n’étant pas de première nécessité» soit réparée. «En autorisant des grandes surfaces à vendre des produits «non essentiels» au prétexte qu’elles vendent également des produits alimentaires, l’Etat s’ingère gravement dans le principe de libre-concurrence du commerce, en entraînant une rupture d’égalité de traitement….Alors que les maires se battent depuis des années pour revitaliser leurs centres-villes, il est inimaginable qu’ils regardent cette catastrophe sans agir» ajoutait l’AMIF

    Il est vrai que de nombreux maires, de tous bords politiques confondus, partout en France, ont signés depuis le re-confinement, des arrêtés municipaux autorisant l'ouverture des commerces considérés comme n'étant pas de «première nécessité», comme les librairies, par exemple. Mais cela ne risque pas d’être le cas à Vanves, alors que l’UDI a encouragé ses maires à prendre des arrêtés en ce sens. De toute façon, le nôtre n’avait pas de raisons à le faire puisqu’aucun de ses collègues franciliens ne l’a fait, en dehors de protester,  et qu’il y en a peu (de commerces non alimentaires) dans notre ville, par rapport à des voisines comme Issy les Moulineaux, Boulogne…  en dehors d’une quincaillerie, une bijouterie, d’une libraire ouverte depuis la Rentrée qui continue son activité grâce aux commandes faites par Internet, une boutique de mode qui survie grâce au fait qu’elle exerce une activité Relais Poste, une boutique de produits pour les passionnés de pêche, et de vélos… et bien sûr de tous les coiffeurs, fleuristes, opticiens, agences immobilières, agences de voyages etc….

    Anne Hidalgo a annoncé dans le JDD, dimanche dernier, «une initiative commune», avec d'autres villes, «pour autoriser la réouverture des librairies indépendantes», fermées pour cause de confinement. «La culture est essentielle, c'est une erreur de la sacrifier», explique la maire socialiste, qui «déplore que certains commerces de proximité, plus que jamais nécessaires pour maintenir le lien social et lutter contre les effets de l'isolement, aient été fermés, au moins dans un premier temps, comme les librairies ou les salons de coiffure»... «Avec d'autres villes, nous allons prendre une initiative commune, comme l'a fait Dijon, pour autoriser la réouverture des librairies indépendantes», ajoutait-elle. Mais le premier ministre a fermé tout espoir dimanche dernier au JT de TF1 à 20H : «nous ne reviendrons pas sur les mesures annoncées, c'est beaucoup trop tôt», en exhortant les Français  au respect du confinement, «indispensable» pour en sortir au plus vite», et en annonçant la fermeture des rayons non essentiels dans les grandes surfaces pour apaiser la colère des petits commerces.

    Mais il faut que «nous soyons extrêmement vigilants, que nous respections ce confinement: il en va de la survie de l'économie, il en va de notre santé collective» a-t-il ajouté. «Mieux vous respecterez les règles aujourd'hui (...), plus vite nous pourrons en sortir» a encore insisté le Premier ministre, évoquant la fin du confinement prévue pour l'instant le 1er décembre «s'il a, comme nous l'espérons, produit ses effets». Des députés ont tentés de revenir à la charge avec l'examen du projet de loi prolongeant l'état d’urgence sanitaire.

    Mais cela risque de se prolonger jusqu’à Noël, tout simplement parce que certains français n’ont pas compris l’enjeu de ce confinement en ne le respectant pas, suscitant l’exaspération. D’où la déclaration malheureuse de Gabriel Attal hier matin annonçant un couvre-feu à 21H sur Paris, démenti par Matignon dans l’heure qui suivait. Mais la question avait bien été soulevé entre ministres, et décidée, suite à l’intervention du préfet de police de Paris, mais que Matignon s’est refusé à prendre, pour l’instant, sans concertation  avec la maire de Paris et la présidente de Région.