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politique - Page 41

  • LES MARCHEURS DE VANVES SE SERAIENT ILS FAIT PIEGES A LA GIRAFE ?

    Comme le laissait entendre le blog, la campagne pour les élections municipales 2020 à Vanves, ne sera pas très «républicaine». Le patron de la Crêperie a vivement réagit – par des propos très limites sur Facebook avec comme par hasard des commentaires assez orduriers de partisans du maire sortant  - en disant s’être fait piégé, suite à la tenue de l’atelier participatif de la candidate LR Séverine Edou, samedi drnier ( ?). Les marcheurs reconnaissent ne pas l’avoir contacté directement mais être passé par l’une de ses principales collaboratrice -  et pour cause : il n’est pas très souvent dans sa crêperie -  au demeurant patronne d’un restaurant corse qui lui donne un sérieux coup de main pour la tenue de sa crêperie, et manager les serveuses. 

    Ce qui est vraiment bizzare et troublant d’autant plus que le patron de la crêperie n’aurait pas caché son soutien au maire sortant, en tous les cas lors de la dernière campagne des municipales, et que Con Amor serait la cantine du Maire selon la rumeur. La ficelle, si c’était le cas, est un peu grosse, vu les réactions en majorité de soutiens du maire sur Facebook. Et ce serait la première fois que des commerçants/restaurateurs se prêtent à ce genre de manœuvre politique. Et qui devraient mieux s’occuper de leurs commerces, où l’accueil est très limite.     

    D’autant plus qu’avec la fermeture du Tout Va Mieux durement ressenti par les riverains et les habitués, car il animait vraiment le Centre Ancien, certains clients se sont tournés vers  La Girafe qui a essayé de suppléer à cette absence en ayant ouvert le matin un peu plus tôt pour les cafés et petits déjeuners. Mais voilà, certaines fois, l’accueil laisse à désirer, surtout en fin de matinée ou d’après-midi, pour un petit café ou apéritif, avec l’ex patronne de Con Amor, assez abrupt lors des «mises en place» et qui ne cherche pas à être convivial, quite à vous faire comprendre que vous êtes de trop. C’est plus coal avec d’autres jeunes serveuses. On comprend pourquoi à Corn Amor, cela ne marche pas trop, car elle n’hésitait pas à presser des seniors à laisser libre la place pour le second service, en n’offrant même pas le café au comptoir. Pas sur que la Girafe, pourtant apprécié des vanvéens, y est gagné, à moins d’éviter d’ouvrir dés le matin. Les vanvéens sauront trouver d’autres lieux où l’accueil est plus convivial et où leurs responsables ne se livrent pas à des manœuvres de basse politique.

  • UNE SOIREE SUR LES RETRAITES A VANVES DE LA DEPUTE PROVENDIER RATTRAPEE PAR LES EVENEMENTS

    Les vanvéens ont eu un avant goût de la grande gréve prévue le 5 Décembre prochain, et peut être les jours suivants, contre le projet de réforme des retraites. Grâce aux agriculteurs qui avaient envahi Paris mercredi, et notamment bloqué le Périph. C’est pourquoi, contrairement aux heures habituelles de pointe du matin et du soir,  les rues de Vanves, notamment dans les quartiers jouxtant le parc des expositions et le Bd Périphérique, ont été le théâtre d’embouteillages, de longues files d’attentes aux feux tricolores notamment sur les trajets malins qui permettent d’éviter le périph, et sur le CD 50 qui traverse Vanves  entre Malakoff et Issy les Moulineaux, en paralléle au Périph.

    Comme ar hasard, c’est ce soir là, pure coïncidence, que Florence Provendier député LREM de Vanves et de la 10e circonscription des Hauts de Seine (Vanves/Issy) animait un atelier citoyen sur la réforme des retraites avec Eric Girardin, député de la Marne et ambassadeur retraites, au restaurant Chez Manu, dans le centre Ancienn-Saint Remy. Elle avait d’ailleurs,  quelques jours auparavant, animé un atelier participatif sur la loi anti gaspillage sur l’économie circulaire, à Issy les Moulineaux : «L’objectif, à travers ses ateliers sur des sujets d’actualités et des projets de lois, est de préparer l’avenir, penser avec vous sur la façon d’aller de l’avant» a-t-elle expliqué en présentant son collégue d’Eparnay venu expliquer, trés clairement,r le contexte, les ambitions de cette réforme, et éclairer l’assistance sur cette question, avec une vision moins parisienne des choses.  

    Il a présenté des éléments chiffrés sur les retraites pour en montrer les spécificités, les grandes principes du système universel de retraite par répartition avec un principe de base - 1 €  donne aux mêmes droits que tout le monde - qui prend le contrepied du système actuel avec ses défauts, en demandant toujours la contribution des actifs comme c’était le  cas jusqu’à présent, l’âge légal restant le même qu’avant. Mais il prévoit que les 42 régimes spéciaux ,en feront qu’un dans 15 à 20 ans pour résumer succintement ses propos. « Macron savait que l’on prenait un risque énorme, en embarquant les français sur un schéma nouveau dés 2017, en nommant un haut commissaire, des ambassadeurs retraites comme force de frappe, pour aider à améliorer le dispositif. On a véritablement fait participer nos concitoyens à travers de tels ateliers participatifs comme ce soir. Avec pour objectif de présenter un projet de loi à l’été 2020, et à régler certains détails d’ici là» a-t-il expliqué avant de répondre à de nombreuses questions

  • VANVES REGARDE SON MINISTRE ALLER AU FEU POUR ETEINDRE LES MANIFS ETUDIANTES

    Un vanvéen connaîtrait il son épreuve du feu avec cette mobilisation de la jeunesse contre la précarité étudiante, suite à l'immolation d'un jeune homme à Lyon le 8 Novembre dernier, des violences qui ont eu  lieu le 12 novembre au ministère de l'Enseignement supérieur. «Il y a une émotion très forte chez les jeunes, mais pas seulement,. Cette émotion, je la comprends et je la partage. Mais on ne peut pas accepter des violences» expliquait Gabriel Attal, secrétaire d'État à la Jeunesse dans les médias Depuis Jeudi,  cet élu vanvéen reçoit et négocie avec les syndicats étudiants (UNEF, FAGE) pour éteindre le feu, ce qui n’est un exercice facile. Une nouvelle expérience pour ce benjamin du gouvernement. Une initiative à la demande du Premier ministre pour faire un point d'étape sur l'accompagnement social des étudiants et les chantiers en cours, comme le projet de revenu universel d'activité réclamé parde nombreuses associations d'étudiants.  Il ne manque pas de courage, car apaiser la colère étudiante n'est pas chose facile. Certains prédécesseurs s'en sont mordus les doigts. Mais souvenez-vous, au lendemain du premier ou du second week-end de manifs des gilets jaunes. Il était le seul ministre à être sur le plateau de France 2 un dimanche soir face à Jean Luc mélenchon et d’autres élus de gauche. 

    Il a eu l’occasion de s’en expliquer avec un sénateur altoséquanais, collégue d’Isabelle Debré à l’assemblée départementale, mercredi dernier lors des questions au gouvernement : «Plus d’un étudiant sur deux ne mange pas tous les jours à sa faim, près d’un étudiant sur deux a renoncé à se soigner, par manque d’argent. Il n’y a que 175 000 places en résidences étudiantes pour 700 000 boursiers et le loyer représente plus de 70 % du budget moyen d’un étudiant. Plus d’un étudiant sur deux est obligé de travailler - et dans les postes les plus précaires et les moins rémunérateurs. Ils composent plus de 60 % de la main-d’œuvre des plateformes de prestations. À cela s’ajoutent des conditions d’enseignement indignes et un sous-encadrement pédagogique chronique. Cela aboutit à des situations de désespérance, à des drames humains, comme celui d’Anas, autant de cris de détresse que vous ne pouvez ignorer» a expliqué Pierre Ouzoulias (FG/PC) pour lequel « à la jeunesse qui veut se cultiver, vous renvoyez le message détestable qu’elle n’est qu’une charge qu’il faut alléger».

    «Depuis plusieurs années, les gouvernements qui se sont succédé veulent répondre à ce problème. Nous avons supprimé la cotisation de sécurité sociale, 217 €, payée par les étudiants à la rentrée. Il y a deux mois, nous avons augmenté les bourses de 46 M€, désormais payées à date, le 5 du mois, voire par anticipation en début d’année, pour les étudiants qui ont pu constituer leur dossier. Évidemment, il faut poursuivre ces progrès et mieux faire connaître les quelque 50 dispositifs d’urgence qui existent, pour éviter des drames comme celui qui vient de survenir» a t-èil répondu en s’interrogeant «Le Crous de Lyon était-il informé de la situation de ce jeune ? L’enquête administrative en cours le dira".Mais mieux, il assuré que « La concertation autour du revenu universel d’activité vise aussi à repenser l’accompagnement "