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messes

  • A VANVES SES PAROISSES MULTIPLIENT LE NOMBRE DE MESSES PAR 2 CE WEEK-END

    «Alors que nous entrons dans une nouvelle année liturgique, nous avons la joie de pouvoir la débuter en retrouvant, même dans des proportions très restreintes, les célébrations publiques des messes. Mais la paroisse s’adapte Ainsi, suite aux annonces gouvernementales, les messes publiques reprennent dès ce week-end, dans la limite de 30 personnes, ce qui n’a pas de sens.  Nous le déplorons mais nous obéissons. Nous avons multiplié le nombre de messes pour permettre la participation du plus grand nombre de fidèles» annonçaient les paroisses de Vanves sur les réseaux sociaux en ayant fixé à 18H le samedi, à 10H,  puis 11H15 et 18H dimanche  les messes tant à Saint Remy qu’à Saint François. Mais attention, il faut s’inscrire avant par téléphonr, envoyer un mail au catho.vanves@free.fr ou passer à la maison paroissiale

    Les décisions du gouvernement concernant la reprise des cultes étaient attendues avec beaucoup d'espérance de la part de tous les catholiques. Un protocole strict avait été proposé par la Conférence des évêques de France aux différentes instances. Il aurait pu permettre aisément la reprise des messes en public pour tous, tout en appliquant un protocole sanitaire rigoureux et garant de la protection et de la santé de tous. «Imposer une jauge en valeur absolue (30 personnes) est une décision qui relève de l'absurde. Pour des ville comme Paris et ses voisines de la banlieue (comme Vanves),  avec une population dense et des paroisses qui accueillent chaque week-end plusieurs centaines de personnes, cette décision imposerait de multiplier le nombre de messes à un rythme insoutenable pour toute équipe pastorale, quelle que soit sa taille, sans pouvoir, en tout état de cause, accueillir au final tout le monde. A défaut de pouvoir suffisamment multiplier les messes, cette mesure demanderait à chaque curé d'établir des critères pour «choisir» les personnes susceptibles d'assister aux messes. Enfin, c'est une décision d'autant plus difficile à comprendre que le simple bon sens aurait pu permettre de proposer aux cultes ce qui a été proposé aux commerçants, à savoir une jauge proportionnelle à la taille du lieu concerné. Quand l'Église est au service des plus pauvres, elle ne fait pas le tri.  Elle ne le fera pas non plus pour l'accueil des fidèles» ont réagi les autorités religieuses à l’instar de Mgr Aupetit Archevêque de Paris ou Mgr Rougié, Evêque du diocése des Hauts de Seine.

    Cette jauge n'est ni compréhensible ni acceptable en l'état. En conséquence, le Conseil permanent de la Conférence des évêques de France (CEF) a décidé de déposer un référé liberté au Conseil d'État dès vendredi, les évêques estimant qu'ils ont le devoir de veiller à la liberté de culte dans notre pays, sachant qu’ils ont un nouveau rendez-vous avec le premier Ministre dimanche en fin d’après midi. En revanche, et contrairement à beaucoup d'évêques sur le territoire, la conférence des évêques n'appelle pas à outrepasser la toise des 30 personnes pour les messes. Elle demande donc l'obéissance à cette règle : « dans l'attente de l'aboutissement de ces deux démarches, les règles fixées par le Premier ministre sont en vigueur même si nous sommes tous conscients des grandes difficultés dans lesquelles ces décisions gouvernementales placent les fidèles. Puisse le recours au droit contribuer à apaiser les esprits. Il est clair pour nous tous que la messe ne peut pas devenir un lieu de combat et de revendication mais rester un lieu de paix et de communion».

  • L’ACTUALITE COMMENTEEE A VANVES PAR QUELQUES PERSONNALITES

    ATTAL SUR L’ELECTION DE BIDEN
    Gabriel Attal espère le «retour d'une approche plus coopérative» des Etats-Unis avec l’élection de Joe Biden comme il l’a exprimé dimancher dernier dans le Grand Rendez-vous d'Europe 1, CNewset les Echos. Il espère que «l'arrivée d'un nouvel occupant à la Maison-Blanche permettra aux Etats-Unis de rompre avec l'isolationnisme », et a appelé à un renouvellement du dialogue des États-Unis avec leurs alliés et les institutions internationales. «C’est probablement le retour à une plus approche coopérative sur un certain nombre de sujets multilatéraux», a déclaré le porte parole du gouvernement. Il s'est avant tout réjoui « d'une participation record », mais espère aussi «voir la première puissance mondiale reprendre sa place dans le concert des nations. Le repli sur soi qui a caractérisé la présidence de Donald Trump pourrait prendre fin. C'est important pour plusieurs sujet, notamment la lutte pour la défense du climat» a affirme le conseil municipal de Vanves qui a ajouté « qu'Emmanuel Macron avait immédiatement dénoncé la décision de Donald Trump de se retirer unilatéralement des accords de Paris». Joe Biden a d'ores et déjà fait part de son intention de réintégrer les États-Unis dans ce traité. Enfin, le dialogue sur les enjeux sanitaires pourrait être facilité et déboucher sur une détente avec l'Organisation mondiale de la Santé. «Il y beaucoup à attendre de la nouvelle administration», a-t-il conclut le porte-parole du gouvernement.

    LE PERE AUVILLE SUR LES MESSES ANNULEES :
    «Un certain nopmbre de référés ont été déposé dont celui des Evêques de France devant le Conseil d’Etat qui a été rejeté. On peut râler, être déçu, on peut trouver que ce n’est pas la bonne décision que les sages du Conseil d’Etat ont pris. Et pourtant, il y a une tradition chrétienne des Ecritures qui nous rappelle qu’il faut nous soumettre à l’autorité, de bon ou de mauvais gré. Les Evêques de France ont réagis très vite par un communiqué suite à cet arrêt du conseil d’Etat en disant qu’ils acceptaient dans la peine et la rristesse, la décision qui avait été prise» a indiqué le pére Bertrand Auville, curé de Vanves lors du premier Zoom apéritif de ce reconfinement dimanche en fin d’après-midi. «Il ne faudrait pas consacrer toute notre énergie à râler contre cette décision, à pleurer contre l’absence de messe, mais l’énergie consacré à cela ne serait pas disponible pour être consacré à autre chose. Il y a un devoir d’Etat peut être malheureux, que nous regrettons sans doute, car nous sommes, pour l’instant, privé de la messse, ce qui ne veut pas dire que nous sommes privé de l’eucharistie. Elle peut être honoré, prié, adoré, comme nous nous l’avons fait dimanche devant le Saint Sacrement où il y avait du monde. On peut se rendre devant les tabernacles de nos églises, mais l’Eucharistie se vit hors des murs de l’Eglise. Il y a un défi qui vconsiste à faire que notre propre vie soit eurachastisque, c’est dire que nous aceptions d’apporter le peu que nous avons, que nous sommes, pour le Seigneur le transforme en son propre corps ou son propre esprit. Privé de la mlsse, nous ne sommes pas, pour autant privé de l’Eucharistie, et sur cela, les sages du Conseil d’Etat n’ont aucun pouvoir. C’est bien de notre responsabilité d’en vivre et de la faire vivre !»