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meeting

  • VANVES ET LESPRESIDENTIELLES : UN WEEK END DE MEETING

    La campagne officielle est ouvert depuis lundi dernier. Les vanvéens s’en sont aperçus avec les clips de campagne diffusés sur les radios et télévisions sont diffusés, les professions de foi commencent à être distribuées dans les boîtes aux lettres, les panneaux électoraux aec les premières affiches. Les sondages d’intentions de vote, qui ne sont qu’un instantané avec des marges d’erreur, se succèdent et placent le président sortant (28,5%) loin devant Marine Le Pen (20%), qui est talonnée par  Jean Luc Mélenchon (14%), Eric Zemmour et Valérie Pécresse se disputant les quatriéme et cinquiéme place avec 11,5% chacun)… Près de quatre électeurs sur dix sûrs d’aller voter n’ont cependant pas encore fait leur choix et sont « dans l’hésitation ». Et l’abstention plane ostensiblement sur cette présidentielle atypique. La crise sanitaire liée au Covid-19 et la guerre en Ukraine ont écrasé une campagne qui a tardé à vraiment décoller, malgré des candidats faisant feu de tout bois.

    Les deux meetings du week-end prochain seront scrutés de prés : l’Arena La Défense, dans les Hauts de Seine avec ses 40 000 places, pour Macron samedi, qui pour l’instant, a délégué sa campagne aux « doublures » avec élu altoséquanais  en premiére ligne : Gabriel Attal, porte parole du gouvernement, conseiller municipal de Vanves et candidat à sa succession dans la 10e circonscription des Hauts de Seine qui avait été interrogé sur le mélange des genres : «Je suis porte-parole du gouvernement mais je suis aussi un soutien politique du candidat Macron à sa réélection Mais les choses sont très bien organisées » pendant ces deux semaines de campagne électorale officielle. Valérie Pécresse sera le lendemain, dimanche au parc des expositions de la porte de Versailles où elle tentera de «laver l’affront » selon les mots de Geoffroy Didier, son directeur de la communication, « du Zénith raté à partir duquel tout s’est enrayé. En attendant, les militants LREM comme LR devraient être présent au Métro ce soir et demain autour du marché pour inciter les vanvens à venir participer à ces deux grands rassemblements parisiens 

  • HOMMAGE NATIONAL A VGE : VANVES A ACCUEILLIT SON DERNIER MEETING DEUX JOURS AVANT SON ELECTION A LA PRESIDENCE LA REPUBLIQUE EN 1974

    L’hommage  de la France rendu à VGE à l’occasion du Deuil National décrété aujourd’hui avec MInute de silence dans chaque administration à midi,  est l’occasion de rappeler que le dernier Meeting de la campagne présidentielle de Valéry Giscard d'Estaing  en 1974, s’est tenu à vanves, au Palais Sud du parc des Expositions porte de Versailles le 17 Mai. .Plus de 100 000 personnes s’étaient rassemblées dans cet immense hall du dernier étage de ce bâtiment où se trouve aujourd’hui le Paris Convention Center, en majorité des jeunes populaires et progressistes, le comité de soutien ayant affreté 700 cars et 5 trains spéciaux. Quelques vanvéens y ont participés bien sûr. Des artistes comme Charles Aznavour qui chantait « la victoire en chantant » lorsque VGE est arrivé applaudit par une foule qui scandait son nom. Des personnalités comme Pierre Messmer alors premier Ministe  et la plupart de ses ministres, Jean Royer maire de Tours et jean Lecanuet come le montre le film de Raymond Depardon sur cette campagne de 1974 diffusé dimanche dernier par France 5,  « une partie de campagne » et les archives de l’INA

    Peu se souviennent de ce qu’il avait dit durant ce meeting qu’il avait trouvé réussi, en repartant son fidèle d’entre fidèle Michel Poniatowski  « Maintenant, ll faut gagner, et nous allons gagner. Il ne faut pas gagner parce qu’il s’agit de moi, il ne faut même pas gagner parce qu’il s’agir de vous, il faut gagner parce qu’il s’agit de la France ». VGE proposait alors trois voies du progrés pour la France : la voie du sérieux contre celle du risque, de la jeunesse contre celle des vieilles querelles, la voie de la fraternité sociale contre celle du collectivisme. IL s’en prenait alors au programme économique de son concurrent :  « Il nous propose d’entrainer la France dans un contrat absurde de collectivisation, rejetée par tous les pays d’Europe, de secouer l’appareil productif français, encore fragile, jusqu’à le  nationaliser, et bureaucratiser l’économie française. C’est le plus cadeau que nous puissions faire à l’Allemagne fédérale, la Belgique, la Hollande où il y a bien des socialistes, de plus longue date que M.Mitterrand mais qui se gardent bien de commettre de telles imprudences. Il ne faut pas laisser briser l’outil de travail des Français   Je veux être un artisan de l’unité social de la nation » poursuivait VGE qui se présentait comme le candidat de la liberté : « je sais bien qu’on nous propose une charte des libertés ! Je préfére les libertés tous courts. Et je préfére garder celles que nous avons. Les français peuvent faire pleine confiance à mon concurrent et à ses alliés pour imprimer en lettres majuscules, le mot de liberté sur une affiche électorale. Mais je suis sur, et je sais qu’ils me font davantage confiance  pour maintenir dans les faits la liberté en chair et en os !» concluait il