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florence provendier député lrem

  • BILAN DE MANDAT DE FLORENCE PROVENDIER AVEC GABRIEL ATTAL

    Depuis quelques jours, un document de 8 pages est distribué tant à Vanves qu’à Issy les Moulineaux dans la 10 circonscription des Hauts de Seine présentant le bilan de mandat de la député LREM Florence Provendier qu’elle a présentée lors d’une réunion publique au centre de loisirs de l’Abbé Derry, tout à côté de Vanves (et du Rosier Rouge) à Issy les Moulineaux, mercredi soir, avec Gabriel Attal bien sûr dont elle était la suppléante avant qu’il ne devienne ministre de la jeuneuse en lançant le service civique, puis porte parole du gouvernement où il a pris du poids (politique) devenant incontournable

    «5 ans se sont écoulés depuis que mon chemin a croisé celui d’Emmanuel Macron qui m’a donné envie de m’engager politiquement. Quelques mois après, j'ai fait la connaissance de Gabriel Attal, une rencontre qui va transformer ma vie. Devenue députée le 17 novembre 2018, ce mandat est un immense honneur, une chance, un défi également» a-t-elle expliquée. «Des année exceptionnelles, pour moi qui vient de la société civile, et pour nous tous marquée par une crise sanitaire sans précédent, qui nous a contraint à adapter nos modes de vies… La pandémie nous a forcé à nous adapter en permanence, avec comme objectifs prioritaires, la sécurité sanitaire de tous, la protection des plus fragiles, la préservation de l’ensemble des acteurs économiques, ainsi que le soutien à la relance pour bâtir le France de 2030 ».

    Elle a commentée ses 8 pages du document, chacune consacrée à un théme : «Œuvrer à un monde plus juste et plus durable », «Les enfantsd ’abord », «Vivre la culture », «Tout est liée » sur sa mission sur le développement durable confiée par le premier Ministre, « France Relace pour construire la France de demain » qui l'occupe beaucoup ces temps-ci…

    «Dans mon travail de député, j’ai voulu également  porter les sujets sur lesquels je me suis engagée depuis des années : la défense des droits de l’enfant et de la jeunesse, l’accès de tous à la culture, et la mise en œuvre des objectifs de développement durable de l’agenda 2030 pour un monde plus juste et plus durable» a-t-elle expliqué en voulant rappeler «les grandes actions réalisées ensemble avec le gouvernement, partager les progrés accomplis, les petits pas comme les plus grandes avancées, et quelques souvenirs qui ont marqué mon mandat »  comme ce voyage en Arménie où elle est allée lors de la guerre du haut Karabagh en Octobre 2020 pour « apporter mon soutien au peuple arménien et témoigner » ; ou cette visite dans un  foyer d’hébergement pour mineurs non accompagnés où des jeunes ont séjournés pendant la pandémie : «Je leur ai apporté un petit cadeau, des masques cousus par des dames de la Croix Bleue Arménienne d’Issy les Moulineaux. Ils étaient super contents. C’était drôle de voir ces masques Winnie l’Ourson portés sur ces grands gaillards. J’aime quand la solidarité s’exprime de la sorte »

    De son côté Gabriel Attal qui s’exprime dans ce document sur son rôle de plus jeune ministre de la Ve République, n’en a pas moins gardé des moments clés du temps où il était député de la circonscription : : Le One Planet Summit  à la Seine Musicale où il avait accueilli le président de La République qui recevait les chefsd’Etat du monde entier : «C’est ici mêle que des actions de financement de la transition écologique et de lutte contre le réchauffement climatique ont été décidé ». L’invitation des enfants de la circonscription dont certains des quartiers populaires  (de Boulogne) à l’Elysée pour la réception des  bleus vainqueur de  la Coupe du Monde en 2018 : «Voir leur enthousiasme, leurs sourires, la fierté de pénérer à l’Elysée, c’était un immense bonheur ». Mais rassurez-vous, ce n’est pas parce qu’il est ministre, qu’il n’ a pas gardé un pied dans la circonscription, très présent aux manifestations locales, aux conseils municipaux de Vanves : «J’y habite toujours. J’y suis toujours,. Nous travaillons main dans le main avec Florence, on avance ensemble ». Et, même sans le dire, il n'est pas faux de penser qu'ils seront candidat ensemble en juin 2022 dans cette circonscription. 

  • UNE NOUVELLE MISSION POUR FLORENCE PROVENDIER DEPUTEE DE VANVES

    Florence Provendier, député de la 10e circonscription des Hauts de Seine (Vanves-Issy) (sur la photo au forum des associations)  a été chargée d’une mission temporaire sur les objectifs de développement durable auprès de Barbara Pompili ministre de la transition écologique : «Mobiliser etstructurer le mouvement multi-acteurs autour des objectifs de développement durable»

     «Afin de relever le défi d’un monde plus durable et solidaire, la France et les 192 autres États membres de l’Organisation des Nations Unies ont adopté, le 25 septembre 2015, l’Agenda 2030, le nouveau référentiel universel de développement durable structuré autour de 17 objectifs. Si l’Agenda 2030 constitue une véritable boussole permettant de préparer un futur souhaitable en France comme à l’international, l’appropriation de ce référentiel et son application suscitent encore des interrogations. De plus, la pandémie mondiale a exacerbé les déficiences des modèles de développement actuels, renforçant d’autant l’urgence pour les gouvernements et la société civile d’agir ensemble de manière structurée et coordonnée» explique-t-elle.

    Ainsi l’objectif de la mission est ainsi de « proposer des éléments de structuration du mouvement autour des ODD, de mobilisation des acteurs et de construction de coalitions sur les enjeux stratégiques de la France afin de renforcer la mise en œuvre de la feuille de route de la France ».Au cours des prochains mois, Elle ira  à la rencontre des associations, entreprises et de l’ensemble des acteurs qui participent au mouvement autour des ODD.

  • LA DEPUTE DE VANVES FAIT PARTIE DES ELUS LREM QUI PROPOSENT DE SUPPRIMER LA METROPOLE DUGRAND PARIS

    Florence Provendier député de la 10e circonscription fait partie des 39 députés LREM franciliens qui ont récemment rédigé  une tribune demandant à mettre fin à l’inaction concernant la Métropole du Grand Paris (MGP) et qui devrait sûrement apporter son soutien à une proposition de lois qui sera déposé bientôt par deux de ces collégues de Paris et du Val de Marne.

    «La MGP est aujourd’hui un territoire où la vie au quotidien est une épreuve pour beaucoup d’habitants et dont l’attractivité ne cesse de s’affaiblir. Si nous prenons aujourd’hui la plume, c’est pour tenter de mettre fin à l’inaction.  Le plan de relance que nous mettons en œuvre actuellement doit nous permettre d’accélérer les investissements, notamment dans les transports en commun, la rénovation thermique des bâtiments, la construction de logements, le développement des modes de déplacements plus propres comme le vélo. L’Ile de France représente un formidable terrain pour construire un marché du travail plus durable avec des filières professionnelles et des métiers d’avenir. Pour y parvenir, nous avons aussi des questions d’organisation territoriale à régler. Notre région capitale est un enchevêtrement de collectivités et d’institutions qui rend difficile la mise en place de politiques publiques efficaces. Nul ne sait qui a compétence sur quel sujet, qui est responsable de la mise en place de quelles politiques. La métropole est-elle en mesure de travailler dans les mois qui viennent pour l’intérêt général, de sortir du compromis mou pour porter une réelle vision et des politiques fortes ? On ne peut plus attendre» écrivent ces 39 députés LREM

    Ils proposent de «sortir de l’impasse institutionnelle. Les réponses ne viendront pas d’ailleurs. C’est à nous, élus franciliens, de nous saisir du sujet, comme cela a été fait dans d’autres territoires. Dans l’immédiat, il nous faut clarifier les circuits de redistributions fiscales entre les territoires et revenir au droit commun en transformant les EPT (Etablissement Public Territorial) – comme GPSO - en renforçant le bloc communal : c’est le bon échelon pour la mise en place de politiques publiques de proximité.  Dans un second temps, nous devrons nous poser la question de la clarification des compétences entre la région, les départements et le bloc communal. Cela sera l’occasion de revoir aussi la gouvernance démocratique de notre territoire : nous sommes nombreux à penser que demain les élus départementaux et régionaux pourraient être les mêmes, dans l’esprit de la réforme du «conseiller territorial» pour plus de cohérence. Tout ne se fera pas en quelques jours. Cela prendra même du temps. Mais à l’heure où notre territoire est confronté à des défis majeurs, nous ne pouvons pas continuer à accepter la situation de blocage et d’illisibilité démocratique dans laquelle nous sommes en Île-de-France. A nous toutes et tous de nous saisir du sujet et de construire l’avenir de notre Région du Grand Paris» invitent ils

    D’ailleurs deux d’entre eux vont déposer une proposition de loi pour revoir l’organisation institutionnelle du Grand Paris. Ils y proposent notamment de transformer la Métropole du Grand Paris en pôle métropolitain et les actuels établissements publics territoriaux en EPCI à fiscalité propre.  Une manière pour ces derniers de relancer les réflexions sur ce chantier annoncé par Emmanuel Macron au début du quinquennat, mais qui reste toujours au point mort. «Trop complexe sur le plan institutionnel, trop faible financièrement et en matière de compétences, la MGP, créée le 1er janvier 2016, ne dispose pas de prérogatives claires lui permettant d’assurer une cohésion sociale, incarner une puissance publique et développer l’attractivité internationale de la capitale du pays »expliquent ils. «Elle est enserrée dans un mille-feuille territorial - État, région, départements, communes et d’intercommunalités,  les EPT -  créant une cohabitation entre une multitude de strates, ce qui conduit à une impuissance collective» ajoutent ils.

    Cette première étape devrait être suivi par «une réflexion approfondie sur les projets que le futur Grand Paris devra porter pour renouer avec les objectifs du projet visionnaire initial, et sur le nouveau modèle de gouvernance approprié pour une réalisation efficace» pour « déboucher sur une réforme institutionnelle d’ampleur impliquant les EPCI, Paris, les départements et la région Île de France » indiquent ils