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politique - Page 22

  • CHRONIQUES DE LA PRESIDENTIELLES A VANVES

    ATTAL DANS LA CELLULE RIPOSTE

    Un organigramme très intéressant est paru dans le journal Le Monde  ce week-end, de l’équipe de campagne du non-candidat Macron où apparait bien sûr le vanvéen Gabriel Attal: Différents pôles ont été constitués, «société civile», «idées», «communication et stratégie numérique», «poilitique», avec une cellule «riposte» où apparaissent les noms de Gabriel Attal, Christophe Castaner et Stanilas Guerini. Elle est chargée de délivrer les éléments de langage à une dizaine de porte-parole de la campagne et du parti comme les députés Aurore Bergé ou Sacha Houlié, ainsi que les angles d’attaque à développer sur les plateaux TV. Elle se réunit déjà, une fois par semaine au siége de LREM. Ils sont prêts pour la déclaration de candidature officielle qui devrait intervenir la semaine du 21 février, avant ou pendant le salon de l’Agriculture que le chef de l’État doit inaugurer samedi 26 février. A partir de ce moment là, il est possible que Gabriel Attal porte-parole du gouvernement démissionne avec Julien Denormandie, ministre de l’Agriculture, de Sébastien Lecornu, ministre des Outre-Mer pour se consacrer entièrement à la campagne

    DES ELUS UDI PAS CONTENT DU TERME «GRAND REMPLACEMENT»

    L’UDI  par la voix de son président Jean Christophe Lagarde a appelé Valérie Pécresse à «sortir des thèmes de l’extrême droite» dans le cadre de sa campagne présidentielle. Ses élus et militants, comme à Vanves, ainsi que des vanvéens non encartés,  n’ont pas apprécié du tout, à quelques exceptions prés, lors de son meeting au Zénith qu’elle affirme notamment qu’il n’y a « pas de fatalité, ni au grand déclassement, ni au grand remplacement», et regretté qu’elle utilise l’expression « Français de papier » qui était celle de Jean-Marie Le Pen. Selon le président de l’UDI, «ces mots-là sont un piège tendu par l’extrême droite » et il faut « qu’elle sorte de ces thèmes qui étaient ceux de la primaire» de la droite.

  • CHRONIQUES DE LA PRESIDENTIELLES A VANVES

    DES VANVEENS AU ZENITH POUR REGONFLER LA CAMPAGNE A PLAT DE PECRESSE

    Le meeting parisien de Valérie Pécresse au Zénith de Paris dimanche auquel devraient participer quelques vanvéens, la section LR ayant affrété un car,  intervient à un moment crucial de sa campagne qui connait un plat depuis quelques jours. Les Républicains mise sur cet évènement pour mettre en avant «sa vision». La présidente de région sera quasiment seule en scène. Pas un tunnel de discours pour chauffer la salle, mais des vidéos de témoignages ou des interventions depuis le public car «ma force c'est vous tous» expliquait elle ces jours-ci . La candidate  ne fera pas un discours version catalogue de mesures. Elle donnera sa vision, elle donnera du sens, avec un  impératif : se faire connaître davantage des Français, en espérant qu’elle sedévouile et  «fende l’armure». «Tout le monde a compris que tu avais un cerveau, maintenant il faut que tu montres ton cœur», c'est ce que lui a suggéré un élu. «Car c'est maintenant que les choses sérieuses commencent» explique un autre.

    Ses soutiens espérent que ce meeting donnent un coup de bouster à cette campagne qui ne décolle pas encore. Certains ont leur explications : «A la télévision, Valérie Pécresse livre de très bonnes prestations, détendue, souriante sachant convaincre. Sur le terrain, la candidate semble moins à l’aise dans un genre qui exige de la spontanéité, et peine à se faire entendre par les électeurs». Ils sont nombreux chez LR, depuis quelques semaines, à regretter des déplacements et des discours sans réel impact sur une campagne qui peine à décoller. «Une campagne électorale c'est du long terme, nous faisons des propositions écrites, avec des projets de loi prêts pour les 100 premiers jours» expliquait, Philippe Juvin concernant le «faux plat » de sa campagne, à la veille de son meeting au  Zénith  «Une campagne présidentielle se coagule dans le tout dernier mois. L'important c'est d'être crédible, nous ne faisons pas de com. Rachida Dati a raison de dire qu'une campagne n'est pas qu'une addition de propositions» ajoutait il

     

    LES PREMIERS PARRAINAGES D’ELUS ALTOSEQUANAIS DONT 2 VANVEENS

    Le Conseil constitutionnel actualise,  chaque semaine, depuis début février 2022, la liste des parrainages validés pour les candidats à la présidentielle, sachant que cinq types d’élus peuvent signer le parrainage d’un candidat à la présidentielle dans la région capitale : sénateurs, députés, conseillers régionaux, maires d’arrondissement et conseillers de Paris. Au 8 février 2022, une semaine après le début des validations des parrainages par le Conseil constitutionnel, trois candidats ont les 500 parrainages requis :  Emmanuel Macron, Valérie Pécresse Anne Hidalgo. C’est moins le cas pour Yannick Jadot (EELV), Fabien Roussel (PCF) et Jean-Luc Mélenchon (LFI), où les signatures se font plus rares. La moitié des élus franciliens pouvant donner un parrainage ne l’a pas encore fait au 8 février. Aucun élu n’a parrainé Christiane Taubira, Marine Le Pen (FN), ni Éric Zemmour. Parmi les élus des Hauts de Seine :

    Pécresse : Jeanne Becart maire (Garches), Sandrine Bourg CD, Yves Coscas CD, Sophie Deschiens CR, Roger Karoutchi et  Christine Lavarde, sénateurs, Jean Yves Senant maire (Antony), David-Xavier Weiss, CD, Marie Do Aeschlimann CR, Jean Didier Berger maire (Clamart), Véronique Berjerol CD, Guillaume Boudy maire (Suresnes), Joelle Ceccaldi Raynaud maire (Puteaux), Rita Demblon et Josiane Fischer CD, Florence de Pampemlonne CR, Vincenty Franchi CD, Bernard Gauducheau maire (Vanves), Marie Laure Godin, Thomas Lam, Nathaly Lederman CD, Constance Le Grip, députée, Marie Pierre Limoges CD, Pascal Pelain maire (Villeneuve La garenne), Nathalie Pitrou CD, Agnés Pottier Dumas maire (Levallois), Georges Siffredi CD président du CD 92,   

    Macron : Christine Hennion députée, Caroline Calvez, Jacques Marilossian, Bénédicte Pastelle, Florence Provendier, Laurianne Rossi députés, Aurélie Taquillain CR, Isabelle  Florennes députée, Alexandra Fourcade CD, Savier Iacovelli sénateur, Jacques Maire et Thierry Solére députée

    Hidalgo : Lougnes Adjroud CD, Joaquim Timotéo CD, Chantal Barthelemy-Ruiz, CD

    Jadot : A.Bouzid CR, Astrid Brobecker CD

    Roussel : Pierre Ouzoulias sénateur, Jacqueline Belhomme maire (Malakoff), Nadia Mouaddine CD

    Mélenchon : Raphael Qnouchi CR

  • LES CONVOISDE LA LIBERTE DANS LA CAPITALE ? VANVES NE SERA PAS BLOQUE MAIS SES HABITANTS GENES

    Les vanvéens qui circulent à Paris ou en Ile de France pourraient connaître un début de week-end animé, par ces convois de la liberté qui arrivent ce soir dans la capitale, malgré l’arrêté du préfet de police interdisant de telles manifestations, du vendredi 11 février 2022 au lundi 14 février 2022 inclus».

    Inspirés par les manifestations au Canada, où les routiers occupent depuis plusieurs jours Ottawa avec leurs poids lourds, différents groupes créés sur les réseaux sociaux se sont accordés pour se retrouver à Paris ce samedi puis converger vers Bruxelles le 14 Février. Au moins de huit convois, ont prévu de se regrouper au niveau de l’échangeur de la porte de Bercy, dans le 12e arrondissement à 20 heures aujourd’hui. Les convois en provenance de Brest, Bayonne, Perpignan et Montpellier arriveront par l'A6, tandis que ceux de Nice, Mulhouse et Strasbourg arriveront par l'A4, celui de Lille par l'A3. Le dernier, qui part de Cherbourg, devrait être le plus visible pour les Parisiens, puisque, arrivant de Cherbourg par l'A14, il a prévu de traverser Paris par le rond-point Charles-de-Gaulle-Etoile, passer devant l’Hôtel de Ville de Paris et rejoindre le point de rendez-vous en longeant la Seine.

    Mais, une fois sur place, la copie du modèle canadien, qui inspire le convoi de la liberté en France, semble d'ores et déjà très peu probable. Les images de dizaines de camions bloquant Ottawa ont très peu de chance de se reproduire autour de Paris. D’autant plus que les syndicats de routiers se désolidarisent du mouvement, il est possible qu'il soit peu suivi». Mais «nous mettons les moyens de renseignement et d’action si jamais des gens voulaient bloquer la liberté des uns et des autres, surtout un accès à la capitale. (…) Les gendarmes sont très mobilisés, nous prendrons nos responsabilités pour ne jamais laisser entraver la liberté de circulation» a prévenu Gérald Darmanin, ministre de l'Intérieur, précisant que «la réponse de l’État sera extrêmement ferme». D’autant plus que  si une partie des manifestants quittera Paris pour Bruxelles, d'autres comptent bien rester, et  peut être, pour certains, rejoindre la traditionnelle manifestation du samedi organisée par Florian Philippot qui les a invités à manifester contre le pass vaccinal. Face à cette invitation, le mouvement du convoi de la liberté a revendiqué être «apolitique».

    Pourtant, un convoi a été bloqué «dans le calme» lundi soir en région parisienne par les force de l'ordre» qui ont mis  en place un dispositif de détection de blocages des accès à l'IDF et à la capitale et un dispositif de verbalisation.Le préfet de Police a donné des consignes de fermeté aux forces de sécurité intérieure à l’égard de tout contrevenant à ces dispositions. «Un dispositif spécifique sera mis en place (...) pour empêcher les blocages d'axes routiers, verbaliser et interpeller les contrevenants à cette interdiction», a prévenue la préfecture de police dans un communiqué

    Cette nouvelle manifestation intervient à un moment où justement le gouvernement envisage la fin du pass vaccinal contre lequel ils protestent,  pour fin mars ou début avril alors qu'une nouvelle salve de restrictions anti-Covid  doit déjà disparaître. Mais plusieurs conditions doivent être au rendez-vous: un taux d'incidence 10 ou 20 fois moindre qu'actuellement, la fin de la surcharge hospitalière et une très forte proportion de vaccinés. «Il y a des raisons d'espérer qu'à cet horizon de temps la situation se sera suffisamment améliorée pour que nous soyons en mesure de lever ces ultimes mesure » a indiqué le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal, interrogé à l'issue du conseil des ministres suivant un conseil de défense sanitaire, mercredi dernier. La déferlante de contaminations liée à Omicron décroît nettement depuis fin janvier. «La baisse franche, nous y sommes, mais gardons-nous bien de fanfaronner». 

     Près de deux ans après le début de l'épidémie et à deux mois de la présidentielle, le gouvernement se dit régulièrement conscient de «la lassitude des Français face à la crise et aux restrictions». Clamant que «la France est probablement l'un des pays d'Europe qui a pris le moins de mesures contraignantes», le porte-parole du gouvernement a aussi déclaré que «comme partout dans le monde, des mouvements politiques, souvent radicaux, ont cherché à capitaliser sur cette lassitude».