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politique - Page 23

  • DES ELUS DE VANVES MOBILISES POUR LE LANCEMENT DU COMITE DE SOUTIEN A PECRESSE

    Le comité de soutien à la candidate LR a été lancé samedi dernier à La Défense avec la quasi-totalité des maires, conseillers régionaux et départementaux LR/UDI/DVD ainsi que plus de 300 élus municipaux et militants selon les organisateurs  qui avaient fait le déplacement pour une impressionnante concentration d’écharpes tricolores en cette matinée d’hiver, parmi lesquels Sandrine Bourg, conseillére départementale de Vanves. Pendant ce temps là, des militants LR et UDI tractaient à Vanves

    Ce comité de soutien départemental est une véritable  armée mexicaine :   A sa tête du comité, Philippe Juvin pour LR 92 et Hervé Marseille pour UDI 92, et des co-présidents : Georges Siffredi (LR) président du CD 92, les deux secrétaires départementaux LR et UDI, Marie-Do Aeschlimann (LR) et Denis Larghero (UDI), les cinq parlementaires LR restants, Constance Le Grip, Christine Lavarde, Geoffroy Didier, Philippe Pemezec et Roger Karoutchi, les quatre 4 présidents des territoires Pierre-Christophe Baguet, Jean-Didier Berger, André Mancipoz et Jacques Kossowski et enfin Agnès Pottier-Dumas, maire LR de Levallois-Perret et représentante des Hauts-de-Seine au sein du comité national des Maires. «Avec Patrick Stefanini nous avons souhaité associer dans chaque département un coprésident issu de la société civile», précise François Varlet, le directeur adjoint de la campagne de Valérie Pécresse.

    La prochaine étape sera la création de comités au niveau communal et intercommunal avec à leurs têtes, les maires, comme ce sera sûremment le cas à Vanves avec Bernard Gauducheau (UDI) et Sandrine Bourg conseillère départementale (LR) pour bien montrer comme au niveau départemental que la droite est bien unie face à une gauche désunie et éclatée pour ses présidentielles.

    Mais il y aurait un petit problème assez croustillant  : Le maire aurait demandé l’investiture de l’UDI dans cette circonscription. Ce qui expliquerait que la conseillère départementale qui a l’investiture de LR dans cette circonscription serait restée très discrète depuis sa nomination. . Mais il aurait face à lui un autre candidat à l'investiture UDI: Ludovic Guilcher conseiller départemental et maire adjoint à la vie sociale d'Issy les Moulineaux, un protégé d'André Santini ex-député de cette circonscription

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

    CHANCEUSE Fidèle cliente d'Intermarché place de l’insurrection, une vanvéenne a remporté un chéque de 10 000 euros à un jeu concours avec  en prime, signe un CDI, car cette mère célibataire de quatre enfants,  était à la recherche d'un emploi depuis près de deux ans. Le 19 janvier dernier, en insérant son ticket de caisse dans la borne de jeu du magasin, la mère de famille a vu s'afficher la somme de 10 000 €. Il s'agissait d'un des dix chèques mis en jeu par l'enseigne dans toute la France. C'est en discutant avec le superviseur du supermarché ce jour-là que celui-ci comprend qu’elle recherche un emploi : «Comme nous cherchions à embaucher une hôtesse de caisse depuis un mois, je lui ai proposé un entretien et elle a tout de suite accepté», a-t-il raconté au Parisien. Embauchée, elle a déjà commencé sa formation.

    CANDIDAT : Gabriel Attal, porte parole du gouvernement aurait confié au journaliste vanvéen, Bruno Jeudy à Paris Match, responsable de la rubrique politique, qu’il serait candidat dans la 10e circonscription (Vanves-Issy)  qu’il avait remporté en Juin 2017 avec Florence Provendier comme suppléante qui l’avait remplacé à l’Assemblée Nationale lorsqu’il avait nommé Secrétaire d’etat à la Jeunesse. Il vait alors travaillé avec  Jean Michel Blanquer, ministre de  l’éducatio nationale qui pourrait se présenter dans la circonscription voisine de Clamart-Le Plessis Robinson (12e). Il remplacerait Jean Louis Bourlanges qui a fait part de son intention ne pas se représenter

    PARRAIN : Bernard Gauducheau en tant que conseiller régional et Sandrine Bourg, en tant que conseillére départemental, devraient recevoir, si ce n’est déjà faut les formulaires de parrainage, puisque la période de collecte des parrainages par le Conseil constitutionnel en vue de la présentation d’une candidature à l'élection présidentielle s’est ouverte le  27 janvier 2022  et se clôturera le 4 mars 2022 à 18H. Un candidat doit recueillir 500 parrainages d'élus d'au moins 30 départements ou territoires d'outre-mer et sans que plus de 10% d'entre eux puissent être du même département ou TOM.  Chaque formulaire est accompagné d’une notice et d’une enveloppe de retour libellée à l’adresse du Conseil constitutionnel. «Un élu ne peut parrainer qu’un seul candidat, et ce même s’il est détenteur de plusieurs mandats ouvrant droit à la présentation d’une candidature. Le nom et la qualité des élus qui auront valablement présenté un candidat seront rendus publics par le Conseil constitutionnel sur son site internet au fur et à mesure de la réception des parrainages» indique la Préfecture. Tous les deux devraient parrainer Valérie Pécresse (LR), présidente de la Région Ile de France

  • A VANVES MÊME DEUX ELUS POURRONT PARRAINER UN CANDIDAT A LA PRESIDENTIELLE

    Il s’agit du maire, Bernard Gauducheau et de la conseillère départementale, Sandrine Bourg qui devraient parrainer la candidate LR Valérie Pécresse sans surprise.

    Il faut savoir que, parmi les 42 000 élus habilités à parrainer les candidats, figurent  non seulement des maires ou des présidents d’intercommunalité, mais aussi les parlementaires (Florence Provendier député de la 10e circ. qui parrainera Emmanuel Macron), les conseillers départementaux, régionaux et territoriaux, les représentants des Français de l’étranger, les membres d’assemblées ou d’exécutifs de collectivités à statuts particuliers (comme le corse). «Le droit de présentation» (dit parrainage) qui est reconnu aux maires est d’ailleurs une compétence individuelle et tracée. Elle ne peut être, et n’a pas à être, l’intermédiaire entre les maires et les candidats à l’élection présidentielle en recherche de leurs 500 parrainages» a rappelé David Lisnard, président de l’AMF  (Association des Maires de France) dans le cadre d’un débat sur les parrainages qui doivent étre déposés  entre le 30 Janvier et le 4 Mars 2022 au Conseil Constitutionnel

    Comme l’ont soulevé de nombreux élus, candidats comme V.Pécresse (LR)  ou pas, comme F.Bayrou (Moden), il y a un probléme : Il n’est pas normal que Jean-Luc Mélenchon, Éric Zemmour ou Marine Le Pen, à plus de 10% dans les sondages, affirment avoir du mal à récolter ces parrainages, alors que des candidats très bas dans les sondages (2 à 4%) n’ont pas de mal comme Anne Hidalgo ou Yannick Jadot à les recueillir. Valérie Pécresse n’a pas caché qu’elle veut «modifier la règle des parrainages» pour les candidats au-dessus de 10% dans les sondages : «Je considère que ce n'est pas possible dans une grande démocratie, quand on pèse plus de 10% des intentions de vote de ne pas pouvoir se présenter» expliquait-elle.  Elle considère que «les parrainages sont là pour éviter des candidatures farfelues, qu'un fou dangereux puisse se présenter. Ils ne sont pas là pour bloquer un courant d'expression fort».

    François bayrou (Modem) qui propose que des maires s'organisent en «réserve de signatures disponibles» pour parrainer les candidats à la présidentielle jugés «légitimes», considére que «les représentants des grands courants qui ont participé sous la Ve République à l’élection présidentielle devraient être garantis de disposer de leur parrainage. Et puis il y a les candidats de surgissement, ceux qui se sont imposés par le débat politique et qui ont atteints la barre des 10% dans les sondages, et qui doivent également être considérés comme légitimes et donc pouvoir concourir.  Sinon quoi, ça provoquerait une crise et les électeurs auraient le sentiment qu'on leur vole l'élection», estime-t-il

    Mais, il y a un probléme depuis la campagne présidentielle de 2017 : les élus locaux qui acceptent de parrainer un candidat doivent le faire publiquement, leur nom et leur choix étant rendus visibles sur le site du Conseil constitutionnel. Une réforme qui pénalise grandement les partis les plus mal réputés, aux deux extrémités de la scène politique. Du coup, les élus locaux n’osent plus soutenir certains candidats par peur d’être privés de subventions. «Que l’on se comprenne bien, parrainer ce n’est pas soutenir» met  en avant Jean Mélenchon regrettant les «pressions» auxquelles font face les élus au moment d’accorder leur parrainage, en rappelant que le groupe parlementaire LFI avait déposé une proposition de loi organique instaurant une procédure de 150 000 parrainages citoyens pour la candidature à l’élection présidentielle. Quant à Anne Hidalgo, les français jugeront sa réaction. Car elle a estimé que « les candidats n’ayant pas réussi à récolter les 500 parrainages pour la présidentielle «ne méritent pas d’y participer. Tant pis pour eux, ça veut dire qu’ils n’ont pas convaincu 500 maires»