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politique - Page 19

  • LE MINISTRE DE VANVES SE PREPARE A DES SEMAINES INTENSES DE DEBAT SUR LE BUDGET 2023

    A partir de demain, Gabriel Attal plonge dans un long tunnel qui va l’occuper de longues semaines : le débat budgétaire au parlement, avec pour commercer l’Assemblée Nationale. Il l’a préparé en menant les « dialogues de Bercy », une série de trois après midi de discussions avec une trentaine de membres des bureaux des commissions des finances , des représentants des différents groupes qui y siégent, des deux assemblées, qui se sont sont déroulés, à chaque fois, dans un  lieu différent : A Bercy au 7e étage dans cette grande salle toute vitrée  sur un côté avec, en toile de fond, les imposantes toursde la bibliothéque françois Mitterrand, , à l’Assemblée, au Sénat. «L’intégralité des groupes sont venus et sont restés »constatait il. Un exercice «inédit» - comme il ne cesse de le répéter – et pourquoi pas, un «coup de com» en vue de mettre au pied du mur les oppositions.

    Auparavant, il a dû durant une bonne partie de l’été, recevoir  tous les ministres venus négocier leur budget qui avaient demandé pas moins de 45 milliards d’euros de crédits supplémentaires par rapport à 2022…  n’hésitant d’ailleurs pas à «tirer la sonnette d’alarme» directement auprès d’Alexis Kohler, secrétaire général de l’Élysée et bras droit d’Emmanuel Macron, qu’il voit régulièrement, lorsque certains restaient sourds aux timides alertes sur la dette, en revenant à la charge.

    «C’est l’un des budgets les plus difficiles à construire de ces dernières années» confiait  Gabriel Attal à ses équipes, dont la tâche sera plus difficile que celle de son prédécesseur, Olivier Dussopt. « Les budgets de crise Covid en 2020 et 2021 consistaient à dépenser des dizaines et des dizaines de milliards d’euros pour sauver l’économie tricolore, avec la sacro-sainte bénédiction du «quoi qu’il en coûte» présidentiel. Aujourd’hui, il faut tenter de revenir à une certaine normalité dans un contexte très incertain » notent les observateurs avertis. Depuis des semaines, il a aiguisé ses couteaux pour être prêt à l’affront dès l’examen du budget au Parlement, à partir de lundi. Tout en ayant aussi à l’esprit que «le 6e étage» - celui de Bruno Le Maire - lui laissera un peu d’espace sur ce terrain-là.

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

    ATTAL EN PREMIERE LIGNE SUR LE BUDGET

    Notre député-ministre des comptes Publics a eu un avant-goût de ce qui l’attend lorsqu’il va falloir défendre le projet de loi de finances devant le Parlement jour et nuit. Hier il a eu une journée très chargée pour présenter le budget 2023 avec Bruno Le Maire, ministre de l’Econome :  conférence de presse, conseil des ministres, intervention au point de presse qui suit le conseil des ministres, audition devant les commissions des finances de l’Assemblée Nationale, puis du Sénat. Mais il a bien préparé cette longue séquence qui va l’occuper jusqu’en Décembre au parlement jour et nuit. Il a bûché tout l’été les fiches préparées par son cabinet pour se mettre au niveau. Après avoir reçu tous les ministres venus défendre leur budget

    SUITES DE L’AGRESSION DE YOURI

    A La suite de l’agression du jeune Yuriy dans la soirée du 15 Janvier, le parquet de Paris vient de demander le procès de 13 adolescents dont quelques vanvéens  pour cette agression  aussi grave que retentissante dont sept mineurs âgés de 16 et 17 ans au moment des faits,  de deux majeurs de 18 ans, ainsi que  quatre autres mineurs âgés alors de 14 à 15 ans comparaissent devant le tribunal pour enfants statuant en matière criminelle. Ils  sont visés par les infractions criminelles de « tentative de meurtre » ou « complicité » de celle-ci. Certains mis en cause ont fini par exprimer des regrets et reconnaître leurs coups. Aucun des treize garçons, présumés innocents, n'a jamais été condamné par la justice. La grande majorité d'entre eux est décrite comme sans histoire, avec des cadres familiaux soudés et sans antécédent pénal.  La décision finale sur des renvois en procès revient à la juge d’instruction saisie.

    DEFAITE D’EXPOGRAPH VANVES PAR 3 A 0

    «...Mais la confiance règne et la saison sera longue. Pour nous ces 2 matches étaient des préparations à la semaine prochaine capitale. Les problèmes de licences, de délais etc etc..!ont fait que nous avons dérapé sur ces 2 premiers matches mais à 10 sans gardien et à chaque fois nos adversaires ont pris la misère. Donc continuez avec cet esprit,cette envie en respectant vos partenaires et tout le staff qui vous donne les moyens de réussir » commentent les co-présidents dece club après la martch de samedi.

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

    AGIR POUR LE PLATEAU EN SUSPENS

    «Nous souhaitions participer comme chaque année au Forum des Associations. Poursuivis par l'ostracisme récent de la municipalité et, au contraire des habitudes, nous n'avons pas reçu de convocation. Nous nous en sommes étonnés auprès du maire qui nous a fait part de sa décision de nous tenir à l'écart et ce sans la moindre explication. Après réflexion, nous avons finalement décidé d'attaquer en référé auprès du tribunal administratif cette décision non motivée. Notre demande a été considérée et passera en audience le vendredi 9 septembre» indiquait cette association vanvéenne dans un communiqué en début de semaine. «Nous vous informerons de la décision qui sera prise par le tribunal en espérant qu'elle nous permettra de nous retrouver au forum du 11 septembre» espérent ses responsable

     

    POKER MENTEUR

    Gabriel Attal, notre ministre vanvéen est à la manœuvre politique. Du grand art, pas de la basse manoeuvre politicienne à la petite semaine comme malheureusement à Vanves. Dés la Rentrée des vacances, alors qu’il commencé à travailler sur la finalisation du budget pour l'année 2023, après avoir reçu tous les ministres, il a proposé de travailler avec les oppositions pour éviter d'utiliser le 49.3, (permettant l'adoption du budget sans vote) et apaiser les tensions. «Je m’étonne de certaines déclarations, notamment côté LR, indiquant leur intention de voter contre, avant même que le projet de loi ne soit connu» expliquait le ministre des comptes publics,  dans les médias. «Si cela ne change pas», il estime que l'exécutif risque de n'avoir «d'autres choix que l'utilisation du 49.3 !  Et je ne me résous pas à cette perspective», assurait-il cependant. Pour tenter d'échapper à un passage en force à l'Assemblée nationale, Gabriel Attal comptait donc, avec Bruno Le Maire, demander aux oppositions de « travailler sur le budget 2023 avant même qu'il ne soit finalisé. Une opportunité d'anticiper certains points de blocage avec les membres de certains groupes politiques, comme le bouclier tarifaire, par exemple. Mais certains, pas dupe, ont senti le piège, car derrière, cette main tendue, il s’agit d’éviter d’apparaitre comme ayant recours au 49.3. « Il y a une petite musique qui tend à donner au gouvernement le beau rôle, et à laisser aux oppositions, le mauvais » c’est-à-dire à lui faire porter la responsabilité à son recours. Eric Coquerel (LFI) président de la commission des finances ira à Bercy pour discuter tout en prévenant : « S’il veut nous refiler le mistigri de l’utilisation du 49.3, s’il dit non à tous nos sujets, il n’y aura pas de possibilité d’avancer !»