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politique - Page 18

  • RENCONTRE AVEC LA DEPUTEE DE VANVES : I – CLAIRE GUICHARD, UNE ELUE TRES ASSIDUE

    Depuis la Rentrée à l’Assemblée Nationale la semaine dernière, aprés quinze jours de vacances parlementaires, la députée de Vanves (et d’Issy les Moulineaux) Claire Guichard (sur la photo avec le ministre) a retrouvé l’ambiance électrique de l’hémicycle et un rythme de travail assez soutenu, de 9H à minuit et même 4H du matin. «J’ai la chance de dormir peu. Mais lorsque je peux me reposer, il n’est pas rare que je fasse le tour du cadran » confie au blog cette personnalité politique très abordable, attachante qui est la députée suppléante de Gabriel Attal, après Florence Provendier (entre 2017 et 2022)

    Contrairement à  Florence Provendier qui a siégé dans une assemblée nationale où  Renaissance (ext-LREM) avait la majorité absolue, Claire Guichard siége dans un hémicycle où l’atmosphére a totalement changée, souvent électrique, avec beaucoup de tensions, des échanges qui dérapent, notamment lors des débats sur la réforme des retraites  «Jamais on n’a vu cela à l’assemblée ! On l’a vécu comme une agression permanente. Et sont bien des insoumis, ne respectant pas les régles, osant jusqu’à dire que « la police tue ». Je ne sais pas ce que serait la France avec ses gens au pouvoir ! » s’inquiéte t-elle. D’autant plus qu’elle siége dans l’un des rangs du fond de l’hémicycle, tout prés des non-inscrits -  «là où sont placés les députés-suppléants qui ont un statut différent par rapport aux autres députés,  car du jour au lendemain, la situation peut changer pour nous. On a monté avec mes  collégues,, un groupe « le rang du fond »  où on s’encourage, on organise des repas… » raconte Claire Guichard  - en étant tout proche de certains collègues mélenchonistes, à deux siéges pratiquement d’eux, sentant plus que d’autres la pression, surtout avec ce genre d’invective : «Vous ne perdrez rien pour attendre ! », tout en ayant de la peine à entendre les intervenants, car «on n’imagine pas le bruit, les invectives, les menaces » qui régne dans cet hémicycle, plus petit qu’il n’y parait à la TV

    Elle s’est même frittée avec quelques uns :  « J’ai eu un petit souci avec eux, car je suis à 3 siége de Quatremens. Lorsqu’il est revenu dans l’hémicycle, il a été salué par une standing ovation. Une élue LFI est même venue s’installer à côté de moi. Je lui ai dit qu’elle n’avait rien à faire là. J’ai eu le droit à plein de noms d’oiseaux qui m’ont choqué. Je me suis levé, en disant « c’est inadmissible » et j’ai pointé du droit Quatremens en disant « vos collégues ont un comportement inadmissible ! ». Les huissiers ont commencé à monter pour le protéger car ils ont pensé que j’agressai Quatremens. Quand on est insoumis, on ne respecte pas le régles, on n’a pa de code, ni de moral »

    Ainsi, dés le 23 Juillet 2022 où elle a siégée la première fois, un samedi, elle a été mis dans le bain, tout de suite : «On découvre un nouvel univers, j’ai eu à coeur d’être très présente, tant dans l’hémicycle, où j’ai commencé par voter des textes sur lesquels je n’avais pas travaillé qu’en commission ! ». Elle siége à la commissions des affaires sociales, où théoriquement «on épure les amendements, en les triant, pour aller plus vite en séance avec uniquement ceux qui ont été retenu,  mais nos opposants les redéposent. On a beau faire des concessions avec eux, et pour autant, on est trahi ! » explique cette députée qui est l’une des plus assidue à l’Assemblée Nationale selon le site nos Députés.fr, ayant posée une question orale au gouvernement sur la réforme des bourses sur crières sociaux, intervenu à la tribune lors d’une motion de censure. Elle a pris en main la question des centres dentaires en étant rapporteuse du texte présenté par la commission : « Roselyne Bachelot ayant enlevé l’agrément pour l’installation de tels centres dans les zones rurales, afin d’alléger la procédure, des voyous l’ont  détourné pour prospérer dans les zones rurales et les bourgs en province. Nous avons essayé de réglementer l’installation de ces cabinets avec des régles plus drastiques pour éviter les dérapages… ».

    Elle a même suscité la polémique concernant les AESH (Accompagnement des élèves en situation de handicap). «J’avais remplacé mes collégues à la commission des finances, un samedi matin (27 Janvier dernier) , où j’ai pris la défense des AESH  face aux propos réducteurs de l’opposition qui catonnait ces femme aux statuts d’exploités. Il se trouve que j’en connais sur la circonscription, qui ont fait un choix de faire ce métier, pour avoir un peu de temps en familles ! Ils ont trouvé le moyen, comme je suis la suppléante de G.Attal, de l’attaquer par mon intermédiaire,  en sortant mes propos de leur contexte, en les détournant à des fins politiues, et des journalistes n’ont retenu qu’une partie de la phrase ! »

    A SUIVRE....

  • LE MINISTRE DE VANVES. GABRIEL ATTAL, A EU DROIT A SON CONCERT DE CASSEROLES

    Comme le président de la République, la première minitre, et d’autres collégues, Gabriel Attal a été accueilli vendredi dernier lors d’un déplacement à Pau, par une centaine de manifestants avec pancartes et casseroles, lorsqu’il s’est rendu  au poste frontière de Biriatou, après une viste au centre des finances et un dejeuner avec F.Bayrou et des élus à la villa Saint Basi’l en toute discrétion : «Je ne sais pas discuter avec une casserole, je sais discuter avec des gens» avait déclaré quelques plus tôt à Europe le ministre des Comptes Pulics. La veille, alors que le président Macron visitait une entreprise en Alsace, il avait déclaré que «ce ne sont pas les casseroles qui feront avancer la France même si on peut relancer massivement l'industrie de la fabrication de casseroles». En tous les cas une choseest sûre comme l’a assuré Gabriel Attal : « Je préfére un Président chahuté à un président planqué. On va continuer à se déplacer ! »

    Ainsi, frapper dans sa casserole, peut être un acte politique. C’est en tous les cas une tradition qui remonte au Moyen Âge, dans les campagnes où l’on tape sur des casseroles et des chaudrons hors des cuisines, sous les fenêtres de quelqu’un que l’on cherche à humilier. Un rituel appelé «charivari», sorte de «justice populaire qui concerne la morale domestique». Plus tard, en 1830, sous la Monarchie de Juillet de Louis-Philippe, les manifestants, des républicains, viennent taper dans des casseroles sous les fenêtres de préfets ou de députés jugés trop proches du pouvoir, ou encore d’élus corrompus. La pratique se raréfie ensuite avec l’arrivée du suffrage universel en 1848. Mais elle va revenir sous une forme différente, ailleurs dans le monde, et notamment en Amérique du Sud. : Dans les années 1970, le Chili connaît ses premiers concerts de casseroles, où les opposants au gouvernement socialiste de Salvador Allende, surtout des femmes aisées, dénoncent les pénuries alimentaires. Même méthode quelques années plus tard, utilisée par les classes populaires contre la dictature de Pinochet cette fois-ci. Plus tard, c’est en Argentine en 2001, mais aussi au Brésil en 2015, que la population use du bruit pour se faire entendre. Enfin, en France pendant la campagne présidentielle, c’est François Fillon,  empêtré dans le Penelopegate qui ne peut plus se déplacer sans être accueilli par un concert de casserole.

  • RENAISSANCE TRES PRESENT A VANVES CETTE SEMAINE

    Gabriel Attal était au restaurant La Maison en fin d’après midi samedi pour fêter, de nouveau,  avec Françoise Saimpert, ex-Maire adjointe de Vanves, sa médaille  de l’ordre Nationale du Mérite et des militants ou sympathisants de Renaissance  (sur la photo) qu'il lui avait remise voilà quelques semaines à l'hôtel Mercure. Une parenthèse dans un contexte social brûlant entre la validation par le Conseil Constitutionnel vendredi de la Réforme des  Retraites  et l’intervention ce soir du président de la République Emmanuel Macron, aprés les manifs et les grèves comme Jeudi dernier qui s’essoufflent, alors qu’un conseil national du parti Renaissance  prenait fin auquel ont participé Jean Cyril Le Goff, conseiller municipal et Martin Caragnon, Délégué Départemental vanvéen  .

    Claire Guichard, Député de Vanves-Issy qui était aussi présente, avait visité la fête du livre à la Palestre avec Martin Caragnon, l’un des chefs de File de Renaissance des hauts de Seine, pour rencontrer « des auteurs et éditeurs jeunesse qui font rayonner la littérature locale et celle de notre pays ! Ils sont les ambassadeurs de la culture française » twittait-elle. .

    Elle a été présente à Vanves cette semaine, car elle était à l’école Max Fourestier en fin de semaine car une classe de CP/CM2 représentera l’académie des Hauts de Seine au concours du Parlement des enfants. Ses éléves ont écrit une proposition de loi visant à renforcer le lien entre les représentants des institutions françaises et les jeunes pour qu’ils deviennent des citoyens motivés par la vie démocratique de leur ville et de leur pays. Une occasion unique de découvrir le travail d’un député, donc d’un législateur, et s’initier à au débat démocratique à un moment particulièrement chaud de l’actualité politique. «Un travail qui nous inspire. Prochaine étape le 11 Mai face au jury national » annonçait Claire Guichard