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Aménagement local - Page 48

  • VANVES PAR LE PETIT BOUT DE LA LORGNETTE

    STADE DE VANVES : PROBLEMES DE CRENEAUX HORAIRES

    La section Hand ball du Stade de Vanves vient de ruer dans les filets en posant le problème des créneaux horaires et des occupations de gymnases en mettant en cause la section basket. Un véritable brulot envoyé par l’un de ses dirigeants bénévoles par  mail à des membres du Comité Directeur du Stade de Vanves  : « Il faut savoir que la section Basket, utilise en grande partie, la majorité des creneaux de gymnase de la ville : Roche, Magne, Michelet. Même à certain moment, de la journée, ils ont les deux principaux gymnase ( Roche et Michelet) en même temps. Ce qui n’est pas normal » explique t-il en ajoutant :  « Nous avons demandé à la section Basket de déplacer leur école le samedi matin au gymnase Roche (qui est vide), pour nous laisser le creneau du Mercredi soir à Magne de 18h30-20h. Elle a refusé, car soit disant les parents ne veulent pas, alors qu’au Hand, la section et les parent n'ont pas le choix. Et  nous ne pouvons pas disposer du gymnase Roche, à cause de la tribune métallique, car la salle est trop petite et dangereuse pour la pratique du Handball ».

    Mais il n’y a pas que l’école de hand à être victime du Basket. Il y a aussi l’équipe premiere de Hand qui évolue en National 3, joue et s’entraine à Meudon (au gymnase Bec) : «  Les dirigeants de la section hand sont obligés de se couper en deux lorsque Vanves reçoit, entre les matchs qui se jouent à Magne, et l'équipe premiere à Meudon. C'est un sacrée boulot, gérer les deux salles, transporter le matériel, les journée du samedi sont bien rempli, et il faut aussi remettre ça le dimanche. De plus nous avons aussi une équipe qui s'entraine là bas tous les lundi soir. Car ils n’ont pas le choix. Et l'hiver il faut allez s'entrainer à Meudon la fôret, dans un gymnase ou il n'y a aucun transport en commun, mis à part la gare RER de Meudon Bellevue, à 20 min à pied, !  Il faut prendre les voitures » explique ce dirigeant bénévole très en colère. Mais on peut le comprendre ! D’ailleurs cela rappelle l’époque d’avant les courts couverts du tennis, où des dirigeants du tennis occupaient le gymnase André Roche pour des parties de tennis en salle le samedi matin. Et à ce moment là, c’était la section Basket qui ruait dans les filets, parce qu’elle ne pouvait pas l’utiliser pour son école de basket.   

     

     

    CHANTIERS : UN SITE INTERNET POUR HACHETTE ET DES SENTINELLES POUR A.BRIAND

    Deux initiatives sont prises par la municipalité de Vanves pour Informer, expliquer, ouvrir le dialogue sur les chantiers en cours sur son territoire. Telles sont les missions assignées au blog « Chantier 58 Bleuzen » qui est mis aujourd’hui en ligne par la Ville de Vanves ( www.chantier-58-bleuzen.vanves.fr). « Démarré à l’été 2012, le chantier du 58 rue Jean Bleuzen à Vanves offrira à l’horizon 2014 un nouveau visage à cette adresse retenue par Hachette Livre pour l’implantation de son futur siège social. Le premier éditeur de France a en effet choisi Vanves pour héberger son nouveau siège social conçu par l’architecte Jacques Ferrier, concepteur notamment du « Pavillon France » lors de l’Exposition Universelle de Shanghai 2010 » indique un communiqué de presse de la ville. « Le blog Chantier 58 Bleuzen a été conçu comme une passerelle entre la Ville, les acteurs du chantier et les Vanvéens, dans un souci d’information et de transparence » ajoute ernard Gauducheau. Ainsi ce site comprend une présentation exhaustive du projet, un suivi richement illustré de l’actualité du chantier semaine après semaine, une foire aux questions très utile pour l’information des riverains, un formulaire de contact permettant aux Vanvéens de poser directement leurs questions, demandes ou remarques aux différents acteurs du projet.

    Une semaine plus tard, le mardi 23 Octobre à 19H30, le maire animera la ptemière réunion du comité de suivi d’Aristide Briand  à l’ex-école mateernelle provisoire. Cette instance de concertation inédite rassemblera des sentinelles, c'est-à-dire des citoyens volontaires qui résident à proximité des chantiers, des élus, des responsables de services municipaux sous la responsabilité d’un coordinateur chargé des relations et du suvi des actions en directions des entreprises et des promoteurs. Il s’agit de limiter l’impact des chantiers pour les riverains. Occasion de rappeler la liste de ces chantiers : MARTEK Promotion à l’emplacement de l’ex-imprimerie, sur 3600 m2 SHON avec trois bâtiments de R+4 à R+7, de 60 logements. AREKA Developpement  avec un immeuble R+3 de 26 logements avec 26 parkings, construit sur un  terrain de 785 m2 Shon à l’entrée de la villa des Matraits. Une autre résidence comprenant deux immeubles de 4 étages rue RenéCoche, l’un en façade accueille des logements (12) avec porte cochére, façade traitée avec de la pierre et du zinc, l’autre derrière des duplex (2) et une petite coulée verte.  Enfin, sur l’ex-Cat, Vinci, une résidence classique beaucoup mieux intégré dans le site pavillonnaire et résidentiel, en jouant sur la déclinivité du terrain sur ses 1700 m2 de surfaces constructibles : 34 logements en accession avec 25 répartis dans deux cages d’escaliers, porche d’entrée, et 8 duplex dans l’autre bâtiment derrière.

  • SQUARE JARROUSSE A VANVES : PANSER LES PLAIES OU LE CONFIER A UN PAYSAGISTE ?

    « Au travers de ce qui se dit ce soir, nous allons faire une synthése. Et nous reviendrons vous faire une proposition de requalification de ce square, en reprenant vos idées » a déclaré Bernard Gauducheau (UDI), maire de Vanves, jeudi soir à l’école Marceau devant les vanvéens venus assister à la réunion publique consacrée au square Etiene Jarrousse. Il a même donnée une idée du calendrier en leur donnant rendez-vous dans un mois pour une présentation du projet car l’objectif serait de budgeter et réaliser les travaux en 2013. « Ce qui obligera à fermer le square pendant quelques mois » a-t-il prévenu en ajoutant : « Dans le cadre de notre démarche, il fallait présenter la problématique. Si des gens ont des idées, nos services vont les prendre en note, en faire une synthése,  pour revenir vers vous avec des propositions de requalification et sortir un projet qui gardera la fonction de square ». 

     

    Bernard Gauducheau était d’ailleurs accompagné de représentants de GPSO et des Services Techniques de la Ville qui ont pris beaucoup de notes lorsque les participants  se sont exprimés. David Mahé, conseiller municipal et proche riverain de ce square, qui s’est vu confié  une mission par le Maire sur ce square, était présent, avec beaucoup d’habitués et de riverains. « Ce square est arrivé au bout du rouleau. Tout le monde est conscient de ce square déclinait et se dégradait. Il est nécessaire de le requalifier, de le re-loocker comme nous l’avons avec le square du métro, tout en prenant compte l’aspect financier » a indiqué le maire en précisant que GPSO aura la maîtrise d’ouvrage car la Communauté Urbaine est compétente pour les espaces verts.  A ce moment là, un des participant a insisté sur le fait « qu’il s’agit d’une dégradation fonctionnelle plutôt que structurelle ». Auquel le maire a répondu que « de toute façon, il faut faire quelque chose » - « C’est peut être parce que c’est un architecte et non un paysagiste qui l’a conçu » a remarqué une riveraine au cours de la réunion en posant une question : « Allez-vous panser les plaies ou refaire un projet avec un paysagiste ? » - « Nous ferons justement le point après cette réunion, et nous déciderons en fonction de notre potentiel (financier) » a répondu le maire.

     

    Il a présenté la situation actuelle, aidé de photos,  de ce square de 3440 m2 aménagé en 1991/92 par un architecte vanvéen et inauguré en Juin 1992 qui connait une fréquentation inter-générationnelle : Une cinquantaine d’arbres avec beaucoup d’essences, la plupart sain, seul le marronnier devant être renouvelé. « On a mis beaucoup de choses sur une surface réduite » a-t-il constaté en listant les équipements : Un kiosque « qui est à garder », avec des aires de jeux « mal situés et mal agencés, et dégradés » a ajouté une participante. Une présence de l’eau à reconsidérer, sachant qu’elle occupe 300 m2 dans ce square, avec une cascade tombée en panne à deux reprises dont le coût de remise en marche est excessif, des problèmes d’étanchéité qui ne permet plus de remplir les bassins et canaux qui ont coupé en deux ce square. Des accés peu qualitatifs et peu fonctionnels, avec une entrée de l’aire de jeux des tous petits bloqueé, et une serrureruie vétuste, une hauteur de clôture insuffisante pour éviter des incursions nocturnes, un sol boueux ou poussérieux en fonction du climat, avec des racines affleurantes, et des massifs incomplet du côté du bassin. Un éclairage souvent dégradé…

     

    La plupart des participants qui ont considéré que cette « analyse était juste », se sont plaint des actes de vandalismes, des incursions nocturnes, - « le square n’est pas ouvert la nuit, mais il est occupé » a constaté le maire -  des dégradations provoquées lors des sorties d’écoles, ou « les bandes qui le fréquentent parce qu’il n’y a plus de gardiens. Il ne faudrait pas qu’elles s’implantent »… « Ne serait il pas possible que la police fasse des rondes ». Bernard Roche qui a fait une enquête sur les espaces verts avec son Conseil des Seniors a indiqué que « deux types de public fréquentent ce parc : calme le matin, agîté et remuant l’après midi. Et c’est à cela que l’on devra s’adapter ! »

     

    L’un d’entre d’eux a insisté sur la dégradation de l’entretien en constatant que c’est dû à un changement d’équipe, de responsabilité. « Tant que c’était la ville, c’était bien fait. L’espace des Tous petits était ratissé quotidiennement ». Claudine Charge, conseillère  municipale PC qui va y lire et « parler avec les petites dames de Danton » régulièrement,  a insisté sur le fait que ce square, mais aussi  tous ceux de la ville, sont mal entretenus. Bernard Gauducheau a donné une explication à ce constat : « Si l’entretien des espaces Verts s’est dégradé, c’est parce qu’il y a eu un changement d’équipe, des difficultés de recrutement, lorsqu’il y a eu transfert de compétence à GPSO des espaces verts. Mais nous avons remonté la pente en 2012. Mais ce n’est pas facile de trouver de bons jardiniers, des qens qualifiés et qui ont envie de travailler ! On a 3 millions de chômeurs en France. Et on ne trouve pas de candidats ! »

     

    D’autres ont insisté sur l’aspect paisible de ce « parc », comme le dénomme très souvent ses riverains qui mettent en avant l’ensemble formé par cet espace vert avec les arbres et jardins des propriétés qui l’entourent. Le maire a reçu des courriers de vanvéens qui ont fait des propositions : un petit bassin pour les oiseaux. La supression des canaux et de la cascade. Alors qu’un autre insiste sur cette présence de l’eau qui attire du monde lors des beaux jours. Un agrandissement de l’aire de jeux pour les tous petits. Des allées surélevées et non en creux. Des bances (en plus grand nombre). Certains ont fait des propositons irréalisablers : L’éclairer toute la nuit ! S’inspirer de la Grande Bretagne avec un gardien aux accès pour les enfants etc… Rendez-vous dans un mois pour voir le résultat !

  • VANVES SE PREOCCUPE DU SQUARE ETIENNE JARROUSSE QUI FAIT MOUSSER DES GENERATIONS DE PARENTS

    « Le square Etienne Jarousse fait partie des 13 parcs, jardins et squares de la Ville de Vanves. S’il constitue un lieu de détente et de loisirs indéniable pour les riverains, il présente néanmoins malheureusement aujourd’hui certaines faiblesses regrettables : allées peu praticables, vétusté du mobilier, bassins hors service… » reconnait le maire de Vanves dans un courrier où il invite les vanvéens à une réunion publique sur de futurs travaux de requalification aujourd’hui, Jeudi Octobre à 19H30 à l’école Marceau 

     

    Le square Etienne Jarrousse avait fait l’objet d’une question orale d’actualité à l’occasion d’un conseil municipal le 30 Mai dernier de Jean Cyril Le Goff (PS). Il faisait état des réactions des parents qui fréquentent avec leurs enfants, ce square « laissé à l’abandon, avec une pièce d’eau vide, des pelouses mal entretenues, sans parler du stationnement anarchique » notamment rue du docteur Mailfaire qui l’enserre avec ses pavillons. Mauricette Noyer, maire adjoint chargée du quartier du Plateau (et de l’emploi) avait reconnu que « son état n’était pas satisfaisant, et que l’on est en droit d’attendre un entretien un peu plus normal », puis dans un sercond temps elle avait indiqué que « ce site doit faire l’objet d’un travail paysager complet, et de reprise complet de cet espace vert dans le cadre d’un plan pluri annuel de GPSO sur les espaces verts de proximité ».

     

    Rappelons que ce square en a fait couler de l’encre :  un certain 22 Juin 1991, lors de son inauguration, des parents d’éléves menée par la FCPE avaient manifesté et fait signer une pétition contre cet espace vert, car il n’appréciaient pas du tout son réagencement, alors qu’il avait été redessiné, agrandi  grâce au déménagement des ateliers municipaux, par l’architecte Alain Lamy, avec des éléments verts, aquatiques, minéraux, avec deux canaux, une cascade, un  kiosque, des jeux pour enfants dans un enclos réservé pour les plus petits.  A l’époque ses parents considéraient que ce square avait coûté trop cher  « 8 Millions de francs (à l’époque) pour empêcher les enfants de jouer » - et qu’il y avait « trop de béton regrettant l’ancien square « très vert » mais aussi très sablonneux. « Nous ne pouvons pas toujours faire des heureux lorsque nous réalisons un équipement » phihosophait alors le maire de l’époque,  Didier Morin,  qui rappelait alors que ce « square répondait à deux critères : repos et création », imaginant des jeunes venant jouer avec leurs bateaux téléguidés sur le petit canal, alors qu’ils l’avaient inauguré en jetant de la lessive pour faire mousser ce square.

     

    Plus de 20 ans après, ce square fait toujours mousser les parents et ses habitués qui espérent une reconquête de cet espace vert qui pourrait être un petit joyau. Il rend hommage à un maire, Etienne Jarousse(1902-1911) qui a inauguré la nouvelle école Gambetta construite à partir de 1900 et agrandie en 1912.