Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Aménagement local - Page 46

  • VANVES SIGNE UN CONTRAT DE DEVELOPPEMENT AVEC LE DEPARTEMENT DES HAUTS DE SEINE

    Vanves fait partie des 9 communes des Hauts de Seine qui inaugure la démarche partenariale avec le Conseil Général au travers des contrats de développement lancé le 16 Décembre 2011. « Elle a pour objectif de rendre plus lisible l’intervention financière du Conseil Général et de permettre aux communes de valoriser leurs projets structurants » indique Patrick Devedjian son président. « Plus qu’en temps ordinaire un parenariat doit être nouées avec les communes et les intercommunalités afin de les aider à continuer à jouer leur rôle. Le département assure une sorte de « péréquation à l’envers » lorsqu’il pallie les carences de l’Etat au moyen, notamment, du nouveau régime des subventions contractuelles » constatait un conseiller général de la majorité départementale.

     

    Cette contractualisation se décline à travers des contrats pluriannuels de développement comportant une programmation d’investissement et/ou de fonctionement d’une durée de 3 ans portée par la commune. Les différentes aides dépatementales sont ainsi redéployées en faveur de projets structurants afin de permettre leur réalisationau bénéfice des habitants de ses communes. Et dés la signature, pour une période de 3 ans, la commune ne pourra plus bénéficier d’un financement départemental autre que celui précu au contrat s’agissant des domaines de compétences intégrées dans le périmétre ded la contractualisation.

     

    Bernard Gauducherau,maire de Vanves,  a informé le 21 Juin 2012 Patrick Devedjian  de son souhait de s’inscrire dans ce dispositif et a proposé une programmatiion d’investissement et de fonctionnement  pour 2 776 861,81 €  sur 3 ans (2013-15) qui a été batie en accord avec les services du département, avec un mpontant maximal annuel  de 462 724 €  en privilégiant les projets phares vanvéens :

     

    En investissement ( 1 388 689,81 €) :

    La mise aux normes accessibilité, sécurité-aménagement du stade André Roche (395 000 € soit 36% du coût total) : Il s’agit de remettre à niverau les installations de la tribune du PMS A.Roche tant au niveau sécurité que de l’accessibilité, et de se conformer aux exigences des fédérations françaises d’Athlétisme (FFA) net de Football (FFB) pour un classement compatible avec l’activité du Stade A.Roche

    La réfection compléte de la toiture de l’hôtel de ville et la réfection lourdes des façades (226 000 € soit 27% du coût) : Il s’agit là de préserver le bâti et de prolonger la vie du site. Ses travaux permettront de renettre en état l’étanchéiité de la couverture du toît, d’optimiser les performances énergétiques  avec un renforcement de l’isolation des combles et de ses 27 fenêtres, avec la mise d’illumination par desx projecteurs à leds

    Le réaménagement de l’aide droite de la créche Pomme Cannelle (75 000 € soit 25% du coût) afin de valoriser cet espace. 

    La réfection tous corps d’état du 1er étage de l’école élementaire Marceau (273 250 € soit 34,7% du coût) afin d’améliorer l’accueil des enfants 

    La réfection et le réaménagement du biblio club  (83 750 €  soit 25% du coût)  qui permettra de remodeler l’espace intérieur et d’intégrer l’accessibilité des PMR (Personnes à Mobilité réduite)

    La réfection tous corps d’état du 1er étage de l’école élémentaire Larmeroux (297 000 € soit 37% du coût) afin d’améliorer l’accueil  des enfants. 

    L’aménagement de la mini créche « Pain d’Epices » (38 689,81 € soit 8,8% du coût) dans le local du 1 rue de Châtilon légué à la vlle par Maurice Magne

     

    En Fonctionnement (1 388 172 €) :

    Structures municipales petite enfance (1 113 000 €)

    Activités culturelles (99 000 €) et notamment le fonctionnement de la bibliothéque

    Activités sportuves (75 000 €)

    Relais assistances maternelles/Relais Assistants parentales municipaux (72 000 €)

    Accueil de loisirs (20 100 €)

    Manifestations festives (9 072 €)

  • AU CONSEIL MUNICIPAL DE VANVES : Débat sur la place de Vanves au sein de GPSO

    L’ambiance était plutôt conviviale lors de ce dernier conseil municipal de l’année 2012 qui s’est tenu un 12/12/12 tout de même si la fin du monde n'est pas pour demain. Il s’est terminé autour d’un verre vers 21H45/22H après 3 heures de débats. L’un des gros morceau de ce conseil était l’avis donné sur le CDT (Contrat de Développement territorial) GPSO (Grand Paris Seine Ouest). L’opposition qui n’a pas participé au vote a demandé la  vigilance sur la place de Vanves dans GPSO alors que la Majorité considérait que l’on s’en sortait bien. Le rapport d’activité 2011 de GPSO était d’ailleurs communiqué à l’occasion de ce conseil, le maire faisant remarquer que « le 1er Janvier 2013, cela fera 10 ans que nous sommes en interco ». A l’époque c’était Arc de Seine, sans Boulogne, ni Sévres, avec André Santini comme président

     

    Bernard Gauducheau (UDI) a présenté lui-même ce CDT en insistant sur le fait qu’il ait été le premier à être signé dans les Hauts de Seine et en Ile de France et  sur les trois objectifs : Une ville numérique tout d’abord avec une agence numérique communautaire pour favoriser la diffusion des innovations et le développement économique par le numérique, un soutien aux filières numérique...  Une ville créative ensuite avec l’île Seguin qui a vocation à devenir un pôle de destination du Grand Paris culturel qui s’insére dans le projet de vallée de la culture porté par le Conseil Général. Enfin une ville durable sachant que l’aménagement du territoire de GPSO s’organise autour de centralités déjà fortement identifiées : cœurs de ville, stations de métro, de tramway, de RER, et bientôt de Grand Paris Express avec ses 3 gares (Pont de Sévres, Issy RER et Issy/Vanves/Clamart) qui constitueront des centralitées renouvellées appuyées sur une mixité de fonctions affirmées selon des orientations d’aménagement durable pratiquées de longue date.

     

    Les objectifs poursuivis se traduisent par 43 fiches actions, portefeuille de projets portés soit par une ville, soit par plusieurs, soit par GPSO ou bien encore d’aqutres partenaires. Vanves est concerné par la création d’une agence numérique communautaire (fiche action n°1), le déploiement de télécentres et d’espaces de co-working, avec un tel espace dans les locaux de la Maison de l’emploi de la rue Mary Besseyre (n°5),  l’élaboration du schéma trame verte et bleue articulé autour de deux axes de travail, à savoir le rétablisement de continuité écologique et la prise en compte de la nature en ville (n°24), la gestion des parcs classés et des arbres de l’espace public (n°26) avec l’élaboration en 2013 d’un plan de gestion du patrimoine arboré du parc F.Pic, la rédaction d’une charte communautaire d’aménagement durable comportant un volet éco-construction et un volet aménagement urbain (n°38)…. « Ses 43 actions projettent Vanves dans l’avenir ! » a conclu le maire.

     

    Anne Laure Mondon (PS) a manifesté la réprobation des « élus socialistes et communistes face à la précipitation avec laquelle ce CDT a été conduit et arrêté, sans aucune concertation avec les élus qui ont appris par la presse le contenu de ce document ». Elle a remis en cause « cette procédure accélérée pour être les premiers alors qu’aucun autre CDT n’a été signé, au détriment de l’information élémentaire des élus » a-t-elle déclarée en faisant quelques remarques  sur les actions où Vanves est concerné. « On ne peut pas s’en réjouir. Ses actions sont axées sur les villes de d’Issy les Moulineaux et de Boulogne. Sans parler de l’arrivée de Velizy » (en laissant entendre qu’elle va tout prendre vu son poids économique). « Il semble nécessaire d’être vigilant sur la place qui sera faite à Vanves qui peut présenter des spécificités »

    Claire Papy (EELV) a considérée que « la place de Vanves est assez minime même avec la trame verte et bleue ». Sans parler de l’absence du parc du lycée Michelet et de références environnementales en dehors de l’étude d’impact. « On aurait pu s’attendre à ce qu’il y ait quelque chose sur la densification autour de la gare de Vanves-Malakoff ». Pierre Toulouse (EELV) est revenu sur la forme du CDT qui « montre un vide sidéral des fiches actions permettant d’avaliser des projets déjà validés (Pont de Sévres, Trapéze, Pont d’Issy…). Chaque commune est arrivée avec son petit panier, sauf Vanves. On a précipité les choses en agglomérant tous ces projets. Sans rien dire de concret sur la charte de l’environnement. C’est extrêmemant décevant ».

     

    « Anne Laure Mondo a fait la fine bouche, Claire Papy et Pierre Toulouse ont été excessif. Pourtant on s’en tire plutôt bien ! » a répondu Bernard Gauducheau (UDI). « Depuis 10 ans,  notre territoire a largement évoluée. On n’avait pas prévue de gare à Vanves au démarrage du projet Grand Paris Express… et nous avons une gare qui apportera beaucoup de chose. Nous avons la particularité d’avoir une ville déjà dense et d’éviter de renforcer cette densification. Et j’entends Claire Papy parler de surdensification, et territoire riche, ce qui est cruel ». Cette dernière a tenté de se défendre en expliquant qu’elle parlait des Hauts de Seine. « Je ne pense pas avoir été négative, ni fine bouche. On a critiqué la forme » a répondu Anne Laure Mondon qui souhaite que « l’on valorise Vanves au sein de GPSO »

  • LOUIS DARDENNE A VANVES : UNE ZONE « 20 » COMME A SADI CARNOT ?

    Pour cette réunion publique lundi soir sur la requalification de la rue Louis Dardenne, le maire avait choisi, pour la première fois, l’école maternelle Cabourg dans la salle de motricité. Occasion pour les riverains de cette rue mais aussi de cette école de la découvrir avec les commentaires ravis de Bernard Gauducheau : « Je suis très fier de cette réalisation » leur a-t-il confié avant d’aborder la question du jour. « Vous m’avez souvent fait des remarques sur l’état de la rue Louis Dardenne, de ses trottoirs, du stationnement. Je vous avais demandé d’être patient. J’avais expliqué d’attendre que le chantier de l’îlot Cabourg soit terminé à part des ravalements et  la construction d’un petit immeuble » a-t-il déclaré gêné par une toux extinctive de voix et sauvé par une bouteille d’eau apportée par la gardienne (de l’école) et des pastilles (de menthe) offerts par des participants. « J’avais prévu de refaire cette rue. L’objectif est de l’améliorer, de la remettre en état, et d’entendre ce que vous voulez » a-t-il ajouté.

     

    Les services de GPSO et de la ville ont présenté le diagnostic de cette rue qui s’étend sur 220 m entre les rues de la République et Raymond Marcheron avec une forte déclinivité de 8%, avec 27 places de stationnement, une chaussée en mauvais état où tout est à reprendre sauf l’assainissement, une largeur variant de 1m avec, à certains endroits, des trottoirs très étroits, parfois inacessible pour les PMR (Personnes à Mobilité Réduite). La loi impose dorénavant d’avoir un trottoir accessible de 1,40 m. En tous les cas les trottoirs sont à sécuriser. Les services n’ont recensés aucun accident dans cette rue depuis 2007 sauf au carrefour R.Marcheron/L.Dardenne concernant un vélo. Il faut reconnaitre qu’à ce carrefour les jardinières empêchent une bonne vision pour les véhicules débouchant de Louis Dardenne, ce qui a provoqué quelques tôles froissées par le passé. Mais GPSO prévoit de requalifier et de réadapter aux usages urbains, le jardin Jean Monnet à cet angle dans le cadre d’un plan touchant les 70 parcs et jardins gérés par l’agglo, tout comme de sécuriser les accés du LEP Dardenne et de refaire l’éclairage public. Ce dernier de type routier, est vétuste, disparate, disposé en quinconce. Là aussi, il bénéficiera du plan de rénovation mené par GPSO et étalé sur 7 ans sur plus de 10 000 pints lumineux. L’interco prévoit d’éclairer au plus juste, en intégrant la télégestion permettant d’économiser l’énergie tout en améliorant l’éclairement et en assurant la sécurité lumineuse. Grâce à un éclairage esthétique avec des mats moins hauts.

     

    Les riverains se sont exprimés après cette présentation : Le premier a posé la question principale : « Faut il garder ou non des places de stationnement, car de là dépendra son réaménagement ? ». Ce qui a provoqué des réactions : « Mais où se gareront nos visiteurs ? » - « Dans le parking Cabourg ? » - « mais on risque d’augmenter la vitesse des véhicules ! » - « Depuis la fin des travaux de Cabourg, beaucoup de véhicules et camions empruntent cette rue, alors qu’un panneau à l’angle République/Dardenne interdit le passage au poids lourds ? »- « Ce qui est gênant, ce n’est pas tellement le bruit, mais ce sont les trottoirs très étroit ? » - « la priorité est de monter ou de descendre de chaque côté sans caillou, sans trou…Le reste on s’en fout ! » - « Tout le monde devrait respecter le stationnement,  les trottoirs, et les bateaux ! Allez-vous mettre des gendarmes couchés, source de bruit supplémentaire ? Est-ce que le square sera autre chose qu’un crottoir ? ». Des riverains de Marc Sangnier se plaignent de stationnement anarchique, notamment sur l’accés Pompiers et devant les grilles des deux parkings qui empêchent la vissibilité. Une mére de famille demande une véritable sécurisation de cette rue et des trottoirs. « Les éléves qui restent groupés devant l’entrée du LEP sont gênant »….

     

    Bernard Gauducheau a répondu à toute cette série de questions et de constats… en commençant par rappeler que la ville avait aménagé un parking dans l’îlot Cabourg et institué le stationnement réglementé pour éviter les voitures ventouses. Et qu’il fallait maintenir quelques places de staionnement pour les riverains qui n’ont pas les moyens de louer un parking. « Avec des déposes minutes,  plutôt qu’une place livraison que les commerçants ont tendance à s’approprier, et qui servent tant à leurs livraisons et à leurs clients » a indiqué Bernard Gauducheau en annonçant que « les maires de GPSO ont mandatés des agents asermentés pour verbaliser les propriétaires de chiens et des auteurs de dépôts sauvages comme les excés de vitesse ou le stationnement illégal » suite à des questions sur la propreté.  « Pourquoi ne pas s’inspirer de Sadi Carnot où nous avons trouvé un compromis avec cete zone 20. Ce qui permet de créer et de donner plus d’espace en supprimant les trottoirs et des obstacles, tout en ajoutant des potelets, pour les gens puissent circuler en toute sécurité »