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Aménagement local - Page 50

  • UNE REUNION PUBLIQUE DE PROJETS POUR LES HAUTS DE VANVES : LA REQUALIFICATION ET LA SECURISATION DU CARREFOUR DU CLOS MONTHOLON

    UNE REUNION PUBLIQUE DE PROJETS POUR LES HAUTS DE VANVES : LA REQUALIFICATION ET LA SECURISATION DU CARREFOUR DU CLOS MONTHOLON

     

    La dernière des trois réunions de quartier s’est déroulée le 1er Décembre dernier,  salle des Cinéastes à la piscine. Elle a été consacrée à la présence de nombeux projets qui concernent les habitants du quartier du Clos Montholon. Ce qui est le cas avec le réaménagement du carrefour dont beaucoup se plaignent de la dangerosité, surtout au débouché de l’avenue de la paix.

     

    Ce carrefour très important voit la convergence de 5 voies à l’entrée de 3 villes, avec une forte présence de l’ouvrage SNCF. Il est très minéralisé avec des trottoirs très étroits (moins de 1,50 m de latrge) et des voies où circulent 2500 véhicules/heure lors des heures de pointe de la journée, avec du stationnement sauvage tant du cpité de lidl que de l’autre côté du pont, sur la petite placette et l’impasse. 

    Plusieurs objectifs sont poursuivis par le Conseil Général dans ses travaux de requalification et d’embellissement : Elargir les trottoirs où c’est passible, réaménager l’impasse, renforcer la sécurité du débouché de la rue de l’avenir, créér des espaces végétalisés sur les trottoirs, remettre aux normes les traversées piétons, notamment au bas de l’avenue de la paix, rénover les feux tricolore, refaire le revêtement de la chaussée et les marquages.

     

    Les travaux se dérouleront en 3 phases : La première phase concernera la partie allant du débouché de l’avenir jusqu’au débouché de l’avenue Stalingrad (à Malakoff), avec démolition et reconstruction des trottoirs. La seconde concernera le trottoir en face entre l’avenue de la Paix et du Boulevard des Fréres Vigouroux (à Clamart). Avec à chaque fois, réduction à deux files des 3 voies sur la chaussée côté travaux. La 3éme phase concernera les travaux de revêtement des voies et des trottoirs qui auront lieu durant la nuit pendant une semaine en Avril, car il faudra préserver une voie de passage pour la circulation, passage stratégique pour les secours et les transports en commun.    

    Les riverains sont intervenus en faisant des suggestions : Changer le rythme des feux tricolores, traiter la sécurisation des piétons pour la trabversée au bas de l’avenue de la Paix où les véhicules arrivent souvent à pleine vitesse. Le maire a insisté sur l’aménagement d’un ilôt ferme et définitif a débouché de la rue de l’avenir pour rendre impossible le débouché à gauche

     

    A SUIVRE : LES PROJETS POUR LE CLOS MONTHOLON DE GPSO ET DU SIPPEREC

  • ILOT CABOURG A VANVES : UNE INAUGURATION CONVIVIALE ET FAMILIALE

    Contrairement à ce que craignaient certains grincheux, l’inauguration officielle de l’îlot Cabourg n’a pas été obstentatoire en ce samedi matin ensoleillée du 15 Octobre 2011 qui restera gravée dans l’histoire de Vanves. Elle s’est déroulé dans la simplicité, la convivialité, où tous ceux qui devaient être associé, l’ont été, maire, conseil municipal, parlementaires de Vanves, député et Sénateur, représentant de l’Etat, de la Région, du département et surtout les enfants, les jeunes, leurs parents, les enseignants, les animateurs… et les vanvéens qui participent à la vie et l’animation locale.   

     

    Bernard Gauducheau avait bien prévu et organisé les choses avec, à la manœuvre, Zéna, Antoine, Olivia, les services de la ville, l’organisation générale (services protocole et Animation avec 12 personnes), les Centre de loisirs avec ses 20  animateurs, soit une trentaine de personnes qui portaient tous un tee shirt proclamant : « Espace Cabourg, pour vous et l’avenir ». Les officiels avaient été invités à 11H pour une visite guidé par un maire qui était fier de montrer ce qu’il avait fait (et à juste titre aux dires de tous), au préfet Pierre André Peynel, aux députés André Santini et Pierre Christophe Baguet, au Vice président du Conseil Général Paul Subrini,   au député européen Jean Marie Cavada rejoint en cours de visite par le ministre Frédéric Lefebvre. « C’est exceptionnel d’avoir récupérer une telle emprise » s’étonnait le Préfet des Hauts de Seine lorsque commençait la visite par l’espace Jean Monnet. Un peu plus tard en ressortant, le maire expliquait que « cette école a été marquée par le souvenir de Jacques Cabourgdont le portrait était à l’entrée », avant d’entrer dans l’école maternelle par sa cour de récréation. Jean Marie Cavada était surpris par la luminosité qui régnait dans les piéces de cette école parlant de « légéreté ».  En sortant du pavillon de l’ex-commissariat transformé et réhabilité, sur le devant, face à la mairie et au marché, le maire a fait remarquer que le tribunal d’instance avait été ravalé : « Vous avez sauvé le tribunal malgré Rachida Dati » s’est alors exclamé André Santini.

     

    Au cours de la visite, Bernard Gauducheau a fait admirer les toits végétalisés, puis une classe de l’école maternelle,  puis la chaufferie. Alors que ces collégues s’étonnaient qu’elle soit installée au dernier étage, il leur parlait plutôt « d’œuvre d’art de l’artisanat  » ayant pris plaisir à regarder à travailler ceux qui l’ont mis en place. Dans une classe de l’école primaire avec tableau numérique, après le self service,  André Santini échangeait quelques mots avec les architectes sur la conception des écoles où maintenant les doubles plafonds sont proscrits, alors que Bernard Gauducheau faisait remarquer que « la classe est spacieuse. On a prévu pour 30 éléves ». Beaucoup s’étonnaient qu’elle soit aussi silencieuse, sans bruits provenant de l’extérieur. Dans la cour de l’école élementaire, son billodrome a fortement intéressé Pierre Christophe Baguet alors que ses collégues André Santini et Hervé Marseille avec Paul Subrini  raillaient gentiment Bernard Gauducheau : « t’as installé un golf (miniature ) ! ». La visite s’est terminée par la salle polyvante dont le parquet a impressionné les visiteurs.

     

    Il était temps de passer à l’inaguration officielle elle-même, les élus UMP avec Isabelle Debré à leur tête rejoignant la délégation officielle juste au moment où elle se plaçait entre le public et les enfants de l’école du Centre devant le ruban tricolore, placé au milieu des escaliers menant à la place des Lavandiéres. Ils n’avaient pas jugé nécessaire de participer à la visite officielle du site, « le connaissant déjà » selon la version officielle, pour marquer une certaine « bouderie » visà vis du Maire et de la façon dont cette inauguration a été organisée, selon la version officieuse.  Ils étaient rejoint par François Kosciusko Morizet, maire de Sévres et pére de NKM, Denis Larghero conseiller général et tout nouveau Vice Président du Groupe Majorité » Présidentielle (UMP/NC) au Conseil Général. A ce moment là, sous la direction de deux professeur(e)s d’écoles, les enfants ont entonné le célébre succés de France Gall « Sacré Charlemagne », avant que le maire coupe le ruban tricolore. La délégation a alors rejoint la place des Lavandières devant l’entrée des écoles où des panneaux sur les grilles de l’espace Jean Monnet rappelaient l’historique, et où attendaient déjà quelques vanvéens dont les élus de l’opposition socialiste, avec Guy Janvier, conseiller général, Fabian Estellano, Jean Cyril Legoff, Anne Laure Mondon, mais sans, apparamment,  les verts Claire Papy, Pierre Toulouse et Marc Lipinski.

     

    Les discours finalement courts, trois quarts d’heure, se sont déroulés sur cette place, avec une sono pas terrible parce que les élus ne se raprochaient pas assez prés du micro pour être bien entendus. Parlentaires maires, conseillers généraux et préfet sont montés sur la tribune alors que les maires adjoints et élus de Vanves l’entouraient. Bernard Gauducheau a salué les architectes, les entreprises qui ont menées à bien le chantier, pendant 2 ans, notamment sous la neige et le gel, ainsi que les fonctionnaires de la vlle et les élus sans qui le projet n’aurait pas pu voir le jour (et aboutir). Il a rappelé l’historique de la concertation, de la préparation du chantier, du chantier…et surtout de Jacques Cabourg dont il a dévoilé la plaque à l’entrée des écoles avec les deux directrices.  Et tout le monde s’est retrouvé salle Palestre pour une coupe de champagne qui s’est prolongé fort tard au début de l’après midi

  • L’ILOT CABOURG A VANVES - 3) UN CHANTIER DU PLAN DE RELANCE RONDEMENT MENE

    Au terme d’un chantier lourd et complexe qui aura durée deux années, l’Espace Cabourg qui a ouvert ses portes au mois de septembre dernier, doit être inauguré samedi. C’est l’occasion de rappeler l’historique de cette opération qui a été lancée en 2003 par Bernard Gauducheau, dont le chantier a été rondement mené, même si  certains vanvéens s’inquiétaient des conséquences financières sur la ville.

     

     « Je ne vois pas pourquoi aujourd’hui ce que l’on peut faire de plus…sinon ne rien faire ! Et on attendrait pourquoi ! C’est la meilleure décision que l’on aura prise ! » expliquait le maire lors d’une réunion de quartier au printemps 2009 où un participant s’était inquiété des conséquences de l’opération Cabourg sur les finances de la ville : « C’est un investissement colossal pour Vanves… Avec 20 M€ en 2009 » en constatant que « la reconstitution de l’épargne nette est irréalisable avec l’endettement de Vanves. Cela va être sportif » et « que le volontarisme ne signifie rien en comptabilité publique. Je sais bien que les investissements sont nécessaires pour l’avenir !. Mais il aurait fallu plus programmer, avec des investissements pluri-annuels sur 3 ou 4 ans »

     

    Bernard Gauducheau avait répondu  qu’il était conscient que « notre situation financière est fragile », « qu’avec Cabourgh, on est  limite »,  qu’il comprenait « que l’on puisse avoir des inquiétudes ! », mais « même si c’est délicat et fragile, je pense que cela peut passer ! ». Puis il avait expliqué que « les vanvéens m’ont confié les cordons de la bourse communale pour faire avancer les choses dans la ville »... « L’équipe municipale prend le risque parce que nous savons que nous agissons pour la bonne cause. Nous faisons une école pour les générations futures »… « Alors que toutes les conditions sont réunies aujourd’hui…Nous n’allons pas laisser tomber parce que la période n’est pas excellente. Le risque que l’on prend n’est pas aussi mauvais que cela »

     

    Au printemps 2009 les 15 lots de l’appel d’offres avaient été accordés du premier coup, aucun ne s’étant révélé infructueux, pour 18 M€ au lieu de 23 M€ selon les prévisions, après une longue journée de travail de la Commission d’Appels d’Offres. « Je n’ai jamais vu cela ! » constatait le maire. Durant l’été, les services municipaux s’étaient mobilisés pour déménager l’ensemble du mobilier, des équipements et des fournitures des deux écoles vers les locaux de la CPAM/PMI ou les bungalows du lycée Michelet. « Ce n’était pas évident que tout soit cadré pour la Rentrée » reconnaissait alors le maire sachant que des problèmes avaient été soulevés par les parents suite à quelques dysfonctionnements qui devaient rentrer dans l’ordre : L’ouverture retardée d’un bungalow pour des raisons de sécurité suite à une visite de la « Commission sécurité » au lycée Michelet, une cour jugée trop étroite à la CPAM pour les Maternelles, un service de car pour amener les écoliers de primaires de Cabourg aux bungalows situés dans le parc du lycée côté rue Michelet, les parents ayant refusé une solution « pédibus » via le parc…

     

    Et à la veille du démarrage due chantier, un petit groupe de plus d’une trentaine d’anciens écoliers avait pu effectuer une dernière visite dans cette école qui était « l’école de Vanves » grâce à l’initiative de Bernard Roche. Dés le lendemain, les pelles mécaniques avaient fait leur apparition sur le chantier et avaient commencé leur travail de démolition. L'objectif était dans un premier temps de dégager et nettoyer les abords du bâtiment, afin de préparer la démolition de ces derniers à partir de la fin du mois d'octobre 2009, puis d’entreprendre les démolitions des bâtiments, notamment des écoles qui ont suscité quelques protestations de riverains qu’il a rassuré : « Nous avons la chance d’avoir une entreprise très sérieuse sur ce chantier. Ils sont très bien organisés. Ils savent faire » avait-il constaté lors d’une réunion de quartier.

     

    Le challenge était ambitieux, car il fallait tout d’abord respecter les délais pour que les écoles soient opérationnelles pour la Rentrée 2011. Ensuite réaliser un chantier propre surtout pendant la démolition et la construction des bâtiments, c'est-à-dire le gros œuvre. D’où des nettoyeuses-laveuses pour nettoyer la voirie, et des ouvriers dédiés au lavage des roues des camions lorsqu’ils sortaient du chantier. Enfin, limiter le bruit pour le voisinage en réduisant les travaux de nuit. Une réunion de chantier se réunissait tous les mardis matin sous la houlette de Gérard Laubier maire adjoint, secondé par Michel Dingreville, conseiller municipal, avec des fonctionnaires de la ville et surtout tous les entreprises intervenantes.  

     

    Il n’y a pas eu trop de soucis « parce que les entreprises ont respecté les délais », quelques retards vite rattrapés par la suite, à cause des intempéries et des périodes neigeuses des deux hivers 2009 et 2010. 7 avenants au marché voté par le conseil municipal représentant 321 000 € d’augmentation (2,62%) sur le prix initial (12 232 127 €) ont permis prestations supplémentaires  : mise en place d’un anti-graffiti sur les façades, d’un arrosage automatique dans les espaces verts, d’un contrôle d’accès par badge pour les bâtiments, de mâts d’éclairage publics conforme à la charte GPSO, la réalisation d’un bassin de rétention pour conformité au rejet à l’égoût, modifications de cloisons, la mise en place de tableaux muraux des salles de classes pour polyvision, l’équipement pour cuisine pédagogique… avec des travaux complémentaires avec la réfection des « hébergés » c’est du mur séparant cet espace de la villa Dupont, la démolition-reconstruction du local de Numéricâble, la restructuration du plancher du rez-de-chaussée de l’ancien commissariat, la réalisation d’un voile de souténement en paroi projeté entre la rue J.Cabourg et le local transformateur ERDF, la dépose, l’évacuation et le traitement du transformateur à pyraléne situé dans l’ancien commissariat (15 500 €) etc…. et surtout le ravalement du tribunal d’instance qui s’est terminé ses derniers jours.

     

    Ainsi ce chantier a participé au Plan de Relance lancé par le gouvernement en 2009.  Il faisait parti des 1947 projets  de moins de 50 M€ recensés en Ile de France, évalués à 6,4 milliards d’euros soit 40,4 milliers d’équivalents emplois en 11 mois d’activités : Il s’agissait notamment de la transformation des anciens locaux de la CPAM en école maternelle et en réfectoire (2,1 M€ en 2009 ), de l’îlot Cabourg (3,7 M€ en 2009) avec la reconstruction du groupe scolaire, une salle polyvalente et le parking public qui sont inaugurés aujourd’hui.