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  • PLETHORE DE MINISTRES A VANVES POUR LE PREMIER ANNIVERSAIRE DE MACRON A L’ELYSEE

    Pléthore de ministres depuis le début de cette semaine : Frédérique Vidal ministre de l’enseignement supérieure était mardi matin au lycée Michelet et au Lep Dardenne. La veille au soir, Muriel Pénicaud, chargée du travail et Sophie Cluzel chargé des handicapés participaient à la petite fête organisée par En Marche des Hauts de Seine à l’école Marceau pour célébrer la première année d’Emmanuel Macron  Cette réunion anniversaire  intervenait à un moment très intéressant où ce mouvement se lance dans la campagne des Européennes avec sa marche pour l’Europe, mais aussi où tous les esprits sont déjà préoccupés par les municipales. Mais Sandrine Engels référente LREM pour les Hauts de Seine avait demandé à chaque intervenant de donner un ou deux souvenirs marquants de ces campagnes présidentielle et législative, avant de couper le gâteau d’anniversaire. 

    «Je ne me suis pas ennuyé une seconde depuis un an. C’est une fantastique aventure politique et humaine. Quand on a envie faire ensemble, il n’y a pas de limites. Qui imaginez donner un autre avenir à nos concitoyens» a confié Muriel Pénicaud ministre du travail qui a rappelé quelques souvenirs : «J’ai senti cette émotion qui montait, la vague grandir, et on sentait que rien ne pourrait l’arrêter. Avec un signal qui m’a été donné à Meudon (où j’habite) par ce couple de commerçants qui m’ont dit que c’est lui, deux mois avant son élection. Et ils n’ont pas arrêté de faire campagne au quotidien» a-t-elle raconté. Mais ce qui l’a sans doute le plus marqué, c’est la réforme du code du travail : « On a commencé ensemble avec des députés qui venaient d’être élu, qui n’avaient pas encore de bureaux, ni d’assistants parlementaires. C’était le marqueur de notre volonté de réformer. Et il y a eu un débat de génération exceptionnel, notamment sur le télétravail, avec des députés LFI qui n’y comprenaient rien du tout» Et cette confidence : «c’est formidable de travailler auprès d’Emmanuel Macron. Il intègre tout ce qu’on lui dit, avec la conviction d’aller plus loin. Et on lui rapporte ce que nous disent les gens : Ne lâchez rien ! »  

    « Et il y a encore du travail !» lui a répondu en écho Gabriel Attal en accueillant dans ce préau d’école, tous ces marcheurs :   «Cette célébration doit être l’occasion de rappeler que l’on réforme la France. Et c’est notre fil rouge. IL y a une cohérence. Et c’est le sens que l’on a défendu pendant la campagne. Il y a une opportunité !» a expliqué Gabriel Attal qui a été marqué par tous ces gens qui, au lieu de rester indifférent ou refuser de prendre leurs tracts généralement, venaient les chercher. Et son meilleur souvenir de campagne est cette distribution de ballons gonflables à l’effigie d’en marche à l’entrée du parc F.Pic. « Il y en avait partout dans le parc où on ne pouvait entrer pour faire campagne. Et certains  parents qui n’étaient pas vraiment pour nous,  ne pouvaient pas les refuser à leurs enfants ». André Gattolin, sénateur, André Taqué ou Céline Galvez ont aussi apporté des témoignages semblables devant un assemblée de militants dont une grande majorité était jeune comme l’ont constaté les vanvéens d’En Marche qui participaient bien sûr à cette soirée

  • RETOUR SUR 37 ANS DE COMMERCE A VANVES SUR LA PLACE DU VAL : LE RELAIS DE VANVRES

    L’un des plus anciens commerçants a pris sa retraite la semaine dernière, 37 ans après avoir repris ce café à Simone en 1981 qui l’avait tenu 13 ans : Luc Arias. Occasion de revenir sur l’histoire contemporaine de cette place, de ces commerces avec ce bistrot, de ces riverains

    La place du Val (de Lattre de Tassigny) des années 80 n’avait rien à voir avec celle des années 2010 : Tout d’abord au centre, entre deux petites rues  qui se rejoignaient au niveau du Cabinet Chrétien et du restaurant le jardin du Bonheur, une petite place avec sa fontaine et ses 4 platanes, sous lesquels Luc Arias avait installé quelques tables. Le trottoir devant son café était étroit, avec 2 tables de chaque côté de l’entrée, avec une façade en bois. Sur le même trottoir, la BICS faisait l’angle avec le Bd du Lycée, et la librairie de monsieur Danan. En face, le pressing du couple Bettane (à l’emplacement de Vanv’En Poupe), un boucher (à la place du Salon de coiffure Hair), le très petit salon de coiffure (inoccupée aujourd’hui) accolée au restaurant asiatique, Le Jardin du Bonheur. Et à l’angle de la rue de la République, un très petit magasin qui a accueilli un fleuriste, puis une permanence du Parti des Républicains avant le tout nouvel immeuble avec la BICS au rez-de-chaussée construit à la fin des années 90 après des fouilles archéologiques rocambolesques qui retardérent le chantier. « Tout un monde actif au service du quartier ! » constatait Luc Arias dans ce livre collectif de témoignages de vanvéens « Paroles de Vanvéens » (Edt au Bout de la Rue 2004)

    Voilà pour le décor lorsque Luc Arias repris ce bistrot de quartier qui avait le vent en poupe à l’époque, par rapport à aujourd’hui. Il ne comptait pas ses heures, avec un cuisinier et une serveuse, et déjà ses habitués. Notamment certains commerçants du marché qui venaient faire un gueulleton, le samedi matin, entre l’installation au petit matin  et l’arrivée des premiers clients à 8H avec apéro, entrée, généralement des huitres, plat principal, dessert, café etc… A l’époque, il ouvrait à 5H du matin. A Midi, c’est apéritif-crevettes. Avec des personnages haut-en couleur comme cette femme dénommée «Coco girl», véritable titi parisienne, petite comme Piaf, qui entonnait certains airs de Paris. En fin de journée, avec ses habitués, c‘était des parties endiablées de 4/21 avec notamment le fils Lemonnier, partit brutalement trop tôt, qui travaillait aux Figurines de Paris (installé alors à la place de l’échoppe de l’Encadreur qui vient de fermer), avec quelquefois des « filles de vie » qui venaient boire leur coup avant d’aller faire le tapin à Paris ou aux alentours, ou certaines familles venus de l’autre bout du monde dans des tenus exotiques, résidants du Rosier du Rouge venus soigner un proche dans les hôpitaux voisins

    A Suivre Jeudi : Pourquoi le Relais de Vanvres ?

  • LE RESULTAT SPORTIF DU WEEK-END A VANVES : VANVES BAT COLOMBES 3 A 0.

    Victoire très importante dans la course au maintien del’éauipe première de football du Stade de Vanves dimanche après midi.  « Nous sommes 7 ème  à une journée de la fin du championnat D 1 ( dernier match le 27 mai à Clichy ). Félicitations aux joueurs et à l'encadrement pour cette saison avec quelques péripétiesen début de championnat. Place au deuxième tour de la coupe de France 2018/2019 le 3 juin et à la préparation de la saison prochaine » pense déjà Jean Claude Vignal, président de la section football du Stade de Vanves