Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lrem 92

  • GALETTE DES ROIS DE MOBILISATION POUR LLES MARCHEURS DU 92 A VANVES

    Pour le neuviéme samedi de mobilisation des gilets jaunes, les marcheurs des Hauts de Seine n’avaient pas trouvé mieux que de se retrouver pour une galette des rois de cohésion et de mobilisation. A L’école Marceau samedi en fin d’aprés où prés de 300 d’entre eux se sont retrouvés autour de leurs parlementaires dont Florence Provendier, le ministre Gabriel Attal, et Stanilas Guerini, délégué LRM (sur la photo).

    «En 2018, on s’était retrouvé ici pour célébrer le premier anniversaire de l’élection d’Emmanuel Macron. Depuis, on a porté des réformes importantes et on fait face à un mouvement social, inédit, dur. Il y a encore beaucoup de soutiens pour LRM, dans sa volonté de réforme, dans un pays qui ne se résigne pas» a déclaré Gabriel Attal secrétaire d’Etat à la Jeunesse qui a ajouté :«On est dans un département qui n’a pas été marqué par les gilets jaunes. Mais leurs habitats ont des choses à dire !».

    « On va avoir beaucoup de travail de terrain. On est comme dans la conquête des présidentielles et des législatives, avec maintenant un gros challenge : les élections européennes. On s’est aperçu que l’on manquait d’ancrage local et d’enracinement. Ce qui peut expliquer ce que nous vivons actuellement. Il est indispensable que l’on  soit des relais pour prendre le pouls de cette France» ont insisté avec les référents départementaux LRM 92. «Peut être n’a-t-on pas assez veillé à ce que vivent les gens comme difficulté. Mais on a aussi changé la vie des gens ! Il faut que l’on soit sur le terrain les prochaines semaines. Le mouvement doit prendre part à ce débat en étant là où cela se passe. Il faut que l’on soit contributeur et en profiter pour que ce soit un moment d’affirmation de notre mouvement. On a mis en place des groupes de travail pour en être le réceptacle» a indiqué Stanilas Guerini délégué LREM.

  • PLETHORE DE MINISTRES A VANVES POUR LE PREMIER ANNIVERSAIRE DE MACRON A L’ELYSEE

    Pléthore de ministres depuis le début de cette semaine : Frédérique Vidal ministre de l’enseignement supérieure était mardi matin au lycée Michelet et au Lep Dardenne. La veille au soir, Muriel Pénicaud, chargée du travail et Sophie Cluzel chargé des handicapés participaient à la petite fête organisée par En Marche des Hauts de Seine à l’école Marceau pour célébrer la première année d’Emmanuel Macron  Cette réunion anniversaire  intervenait à un moment très intéressant où ce mouvement se lance dans la campagne des Européennes avec sa marche pour l’Europe, mais aussi où tous les esprits sont déjà préoccupés par les municipales. Mais Sandrine Engels référente LREM pour les Hauts de Seine avait demandé à chaque intervenant de donner un ou deux souvenirs marquants de ces campagnes présidentielle et législative, avant de couper le gâteau d’anniversaire. 

    «Je ne me suis pas ennuyé une seconde depuis un an. C’est une fantastique aventure politique et humaine. Quand on a envie faire ensemble, il n’y a pas de limites. Qui imaginez donner un autre avenir à nos concitoyens» a confié Muriel Pénicaud ministre du travail qui a rappelé quelques souvenirs : «J’ai senti cette émotion qui montait, la vague grandir, et on sentait que rien ne pourrait l’arrêter. Avec un signal qui m’a été donné à Meudon (où j’habite) par ce couple de commerçants qui m’ont dit que c’est lui, deux mois avant son élection. Et ils n’ont pas arrêté de faire campagne au quotidien» a-t-elle raconté. Mais ce qui l’a sans doute le plus marqué, c’est la réforme du code du travail : « On a commencé ensemble avec des députés qui venaient d’être élu, qui n’avaient pas encore de bureaux, ni d’assistants parlementaires. C’était le marqueur de notre volonté de réformer. Et il y a eu un débat de génération exceptionnel, notamment sur le télétravail, avec des députés LFI qui n’y comprenaient rien du tout» Et cette confidence : «c’est formidable de travailler auprès d’Emmanuel Macron. Il intègre tout ce qu’on lui dit, avec la conviction d’aller plus loin. Et on lui rapporte ce que nous disent les gens : Ne lâchez rien ! »  

    « Et il y a encore du travail !» lui a répondu en écho Gabriel Attal en accueillant dans ce préau d’école, tous ces marcheurs :   «Cette célébration doit être l’occasion de rappeler que l’on réforme la France. Et c’est notre fil rouge. IL y a une cohérence. Et c’est le sens que l’on a défendu pendant la campagne. Il y a une opportunité !» a expliqué Gabriel Attal qui a été marqué par tous ces gens qui, au lieu de rester indifférent ou refuser de prendre leurs tracts généralement, venaient les chercher. Et son meilleur souvenir de campagne est cette distribution de ballons gonflables à l’effigie d’en marche à l’entrée du parc F.Pic. « Il y en avait partout dans le parc où on ne pouvait entrer pour faire campagne. Et certains  parents qui n’étaient pas vraiment pour nous,  ne pouvaient pas les refuser à leurs enfants ». André Gattolin, sénateur, André Taqué ou Céline Galvez ont aussi apporté des témoignages semblables devant un assemblée de militants dont une grande majorité était jeune comme l’ont constaté les vanvéens d’En Marche qui participaient bien sûr à cette soirée