Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

motion de censure

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

    CEREMONIE PATRIOTIQUE : Comme chaque 5 Décembre, élus, anciens combattants ont marqué  la journée nationale d’Hommage aux « Morts pour la France » de la Guerre d’Algérie et des combats du Maroc et de la Tunisie devant le monument du square des combattants d’Afrique du Nord  et des Territoires d’Outre-Mer. Et comme d’habitude sous la pluie. Une cérémonie simple pour commémoré le souvenir des 23 000 français appelés sous les drapeaux. «Que cet héritage historique reste ancré dans nos mémoires et que les sacrifices des disparus ne tombent pas dans l’oubli» a souligné le maire Bernard Gauducheau. 

    NON CENSURE : Gabriel Attal a accusé, mercredi lors du débat sur la motion de censure,  le Rassemblement national de commettre « une erreur devant l'Histoire » en censurant le gouvernement Barnier, une décision qui devait «mal au pays et mal aux Français ».  Il n’avait pas caché, avant son intervention dans le débat qu’une «censure du Gouvernement viendrait plonger notre pays dans l'inconnu. Et les Français en seraient les premières victimes ». Tout en plaidant pour un accord de non-censure qui inclurait les socialistes –qu’il a appelé à « se re-saisir » -  «en plus des LR». «Ce qui peut changer maintenant , c’est d’arriver à une équation politique où ce n’est plus le Rassemblement national qui est en capacité de dicter la politique du gouvernement », avait il déclaré à des journalistes, comme l’ont relaté mercredi plusieurs médias.  « Cela nous sortirait collectivement d’une situation où on a un gouvernement otage de Marine Le Pen »  

    TRICOT : Une vanvéenne, Sophie,  a participé la semaine dernière au championnat vitesse du tricot (« Spedd Knitting ») à la porte de Versailles lors du salon Créations & Savoir-Faire, parmi de nombreuses concurrentes dont la Francilienne Isabelle Stieger, dénommée la «Poulidor du tricot» :.« Le tricot, normalement, ça a un effet apaisant, calmant», expliquait la vice-championne, qui intervient dans une clinique psychiatrique près d'Argenteuil pour faire de la «tricothérapie». «On utilise le tricot comme outil thérapeutique, c'est une pratique qui apporte de la confiance en soi, qui fait travailler la concentration, la mémoire, les fonctions exécutives et qui fait entrer dans un état de relaxation». Sophie de Vanves fait partie de ceux qui ont rajeuni le tricot qui n’est réservé qu'aux grands-mères. «Avec le tricot, on se concentre, on s'éloigne des écrans, on n'a plus mal à la tête. C'est aussi une activité de partage, entre les jeunes qui ont vu des choses intéressantes sur les réseaux et leurs aînés ». Au fait, le record de France établi en 2019  était à 267 mailles tricotées en trois minutes.  

    ILLUMINATIONS (Suite) :  «Si la place de l'église, l'église, la mairie et le bd du lycée sont joliment mis en valeur par les décorations de Noël, le reste de la ville est un peu tristoune, surtout le clos Montholon où, cette année encore, il n'y a aucune décoration » signalait ces jours-ci un internaute. « Le carrefour de l'insurrection avec sa fontaine est toujours impressionnant. La rue Jean Bleuzen est quand même bien décorée (après on aime ou pas ) même si les arbres en cachent une partie (mais bon je les aime les arbres, c'est juste dommage de ne pas en tenir compte) » ajoutait un autre en ajoutant : « Par contre on a été étonné de voir la rue Marcheron en travaux mais illuminée : on aurait peut-être pu les mettre ailleurs cette année.. ». La palme des décorations de vitrines pourrait revenir à Vanv’En Poupe et à l’agence immobiliére Plaza

  • VANVES PAR LE PETIT BOUT DE LA LORGNETTE

    MISE EN GARDE : Dans la matinée de lundi, Gabriel Attal a publié un long message sur X dans lequel il mettait notamment en garde les oppositions sur les conséquences d'une censure, estimant que le pays a besoin de stabilité - «Il n’est pas trop tard pour se ressaisir, et être à la hauteur du moment » - critiqué par l’opposition. «Rarement, sans doute, notre pays n’aura eu autant besoin de stabilité. Stabilité politique, stabilité institutionnelle, stabilité économique» commençait l’élu de Vanves. «Nous appelons solennellement les oppositions à ne pas céder à la tentation du pire, à renoncer à leur funeste projet, et donc à ne pas voter la censure du gouvernement» martelait-il. Le président du groupe Ensemble pour la République à l'Assemblée nationale estimait que «les extrêmes préfèrent regarder ailleurs alors que les oppositions aurait dû être de donner un budget à la France et ainsi ne pas menacer la stabilité d’un gouvernement qui est aujourd’hui la seule voie pour répondre aux urgences de notre pays. Ils préfèrent se faire la courte échelle dans une vaste pièce de théâtre dont les Français ne sont que le décor» dénonçait-il encore en pensant « à nos chefs d’entreprise, qui redoutent plus que tout l’instabilité et la crise économique qui pourrait succéder à la crise politique, à tous ces Français modestes, qui sont toujours les premières victimes des crises lorsqu’elles frappent». Et de terminer en prévenant : «l’instabilité est un poison lent, qui s’attaquera progressivement à notre attractivité économique, à notre crédibilité financière, à la confiance, déjà entamée, que les Français ont dans leurs institutions».

    ROSIER ROUGE : Comme chaque année, le Rosier Rouge a accueilli tous les malades polynésiens présents dans l'Hexagone, pour un repas festif fin Novembre. En musique, ils ont pu déguster un poisson cru, du taro et même des firi-firi. « C'est devenu une tradition, chaque année les malades évasanés de Polynésie française se retrouvent pour partager un repas convivial et chaleureux au Rosier rouge, la plus grande maison d'accueil hospitalière de France, située à Vanves, juste à côté de Paris. De quoi réchauffer le coeur de ces malades qui ont pu retrouver un peu de leur Polynésie » indiquait la 1ére Chaine Polynésienne en précisant que Tepuaraurii Teriitahi, élue à l'assemblée de Polynésie française et Lana Tetuanui, sénatrice étaient présentes pour l'occasion.

    DEREGLEMENT CLIMATIQUE : Pour les vanvéens attentifs, il y a des signes qui ne trompent pas notamment sur les répercussions du dérèglement climatiques dans la commune. Jamais, de mémoire d’adhérents de la section tennis du Stade de Vanves, ils peuvent jouer aussi tard dans l’année sur les terrains de terre battu. Généralement ces cours-là sont fermés à la Toussaint. Durant cette première semaine d’Avant, ils continuent d’y jouer malgré l’épisode neigeux voilà presque quinze jours. Une satisfaction pour cette section Tennis qui a tenu son assemblée générale samedi dernier. Ses responsables ont fait part aux représentant de la mairie présent, de leur mécontentement sur les nouveaux horaires du PMS André Roche qui ferme à 20H le soir et maintenant tous les jours fériés, à un moment où justement ceux qui travaillent, peuvent jouer à leur sport favori, surtout le soir, en été, où il fait jour jusqu’à 22H

  • LES RENDEZ-VOUSA VANVES D’UNE SEMAINE DE CONCERTATION

    Ce week-end de Pâques a été marqué par un bel orage dimanche après-midi après des célébrations qui ont rassemblées beaucoup de vanvéens : 10 Vanvéens ont été baptisé,  4  lors de la veillée Pascale à Saint Remy samedi soir,  6 de l’Aumonerie dimanche à la messe de Pâques de Saint François. La veillé Pascale et la messe de Pâques ont été célébré par mgr Migliore, Nonce apostolique chez les bénédictines,  clôturé par à un déjeuner amical  autour d’un buffet organisé par les soeurs auxquels ont participé les habitués. Beaucoup de résidents de Simon de Cyréne de Vanves ont participé ce week-end à une rencontre à Lourdes marquant les 15 ans de cette association qui ouvrait en 2009 sa première maison partagée dans notre commune. 25 ont été ouverte depuis, et 20 autres sont en projet où vivent ensemble personnes valides et handicapés. 650 résidents des ces maisons créées à Lyon, Dijon, Angers, Rungis, Vanves, Nantes, Toulouse, St Malo, Lille, Paris, Bordeaux, et l’île de Ré ont partagés, échangés sur le théme : « l’épreuve non choisie, la relation d’aide, le regard qui transforme, et rebondir après l’épreuve »

    Cette semaine sera dominé par la concertation à travers deux réunions publiques, l’une sur la Tour Triangle organisé par le comité des Riverains, la seconde sur le quartier du Plateau (sur la photo).  Elle se terminera par le festival du film écologique organisé par La Ruche, non plus au lycée Michelet mais à la salle Panopée, et pendant 3 jours au lieu d’une semaine.

    Enfin,  sur le plan politique, il faut reconnaitre que notre vanvéen Premier Ministre a été nommé à Matignon à un moment plutôt difficile, entre la crise des agriculteurs,  le déficit de nos finances publiques qui a amené dans un courrier à Gabriel Attal, Éric Ciotti, président des Républicains, à dénoncer l’état «catastrophique» de nos finances publiques en lui demandant de prévoir un budget rectificatif, tout en  laissant planer la menace d’une motion de censure. Et de renverser le gouvernement comme ce fut le cas lorsque Georges Pompidou dont on célèbre aujourd’hui les 50 ans de sa disparition, était à Matignon. Un président qui a succédé au Général auxquels beaucoup de nos politiques actuellement, se référent, nostalgiques de cette France des « Trente glorieuses » et qui prônait la réindustrialisation de la France, comme aujourd’hui Macron,  à travers livres et colloques

    Mardi 2 Avril

    A 18H30 à l’hôtel EKLO : Comité des Riverains de la Tour Triangle

    A 19H30 à l’école Marceau : Réunion publique du quartier du Plateau qui reviendra sûrement sur les projets de requalification des rues louis Vicat et Auguste Comte, et le réaménagement du square Marceau (Charles de Gaulle), avec une présentation du budget 2024

    Mercredi 3 Avril

    A 18H30 à l'hôtel de ville de Boulogne : Conseil territorial de GPSO  

    Vendredi 5 Avril

    A 9H30 au conseil Départemental des Hauts de Seine : Réunion plénière consacrée au vote du budget 2024 auquel participe Sandrine Bourg

    A 20H30 à  Panopée : Dans le cadre du festival du film écologique organisée par La Ruche, sur le théme « Agir avec la biodiversité » projection du film «Comment échapper à la canicule en ville ? (2023) de Nina Montané, avec Hugo Clément :  Face aux nombreuses agressions dont elle est victime, dont la canicule, la biodiversité en ville tente de résister. Que faire pour la protéger ? Comment faire en sorte qu’elle se développe ? Échange avec Hélène Soubelet, directrice générale de la Fondation pour la recherche sur la biodiversité

    Samedi 6 Avril

    A 15H  à Panopée : Dans le cadre du festival du film écologique organisée par La Ruche, projection du film : « L'Europe à la reconquête de la biodiversité » (2018) de Vincent Perazio et Nicolas Cennac : Des scientifiques tentent de faire revivre une nature sauvage par la réintroduction de grands animaux comme les bisons, les chevaux, les ours, qui agissent comme de véritables architectes du paysage, permettant une diversification des habitats et l’installation de nombreuses espèces. Mais dans une Europe très cultivée, la cohabitation est-elle possible

    A 16H30 à Panopée : Dans le cadre du festival du film écologique organisée par La Ruche, projection du film : «Des fraises pour le renard» (2020) de Thierry Robert et Stéphane Durand : En France, des agriculteurs tentent de faire dialoguer vie domestique et vie sauvage. On découvre comment ils produisent, tout en favorisant une biodiversité dont ils savent utiliser les services. Pourquoi ne sont-ils pas plus nombreux à appliquer ces méthodes. Echanges avec Bernard Chevassus-au-Louis, écologue, personnalité scientifique, président de l’association Humanité et Biodiversité.

    Dimanche 7 Avril

    A 16H Chez les Bénédictines : Concert  « les plus beaux airs sacrés pour violoncelle et Orgue » avec Christophe Jeannin et Lorenzo Cipriani

    A 17H à Panopée : Dans le cadre du festival du film écologique organisée par La Ruche, projection du film : « L'Océan vu du cœur (2023) de Iolande Cadrin-Rossignol et Marie-Dominique Michaud, avec Hubert Reeves : Hymne à l’infinie variété du vivant dans ces océans longtemps perçus comme une ressource inépuisable, ce film explore les menaces alarmantes qui pèsent sur leur équilibre, mais propose aussi sources d’espoir et pistes de réflexions pour une préservation devenue indispensable. Échange avec Jean-Benoît Charrassin, professeur du Muséum national d'Histoire naturelle et directeur du LOCEAN (Laboratoire d'Océanographie et du Climat : Expérimentations et Approches Numériques).