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mise en accessibilité

  • LE MAIRE DE VANVES DEFEND LA MISE EN ACCESSIBILITE DES LYCEES AU CONSEIL REGIONAL QUI DEBAT DE LAPOLITIQUE EDUCATION DE PECRESSE

    Le Conseil régional a ouvert depuis hier, une nouvelle session très importante, consacrée au plan éducation de Valérie Pécresse (LR) à laquelle participe bien sûr Bernard Gauducheau, maire de Vanves  Prés d’une dizaine de rapports sont présentés depuis l’accélération de la rénovation des lycées en avançant d’un an la révision du PPI (Plan Pluri-annuel d’investissements), jusqu’à la lutte contre les addictions (alcool, drogue) avec  le rétablissement des bourses au mérite et des aides sociales aux lycées privés,   la mise en place d’un budget autonomie, la lutte contre le décrochage scolaire, l’ouverture des lycées au monde de l’entreprise, la carte des formations débouchant sur l’emploi, la lutte contre la radicalisation grâce à l’opération « grands témoins contre le terrorisme » grâce à Samuel Sandler pére de Jonathan  et Latifa Ibn Ziaten,  mére d’Imad  assassiné tous les deux par Mohamed Mehar en 2012 qui ont accepté de témoigner. «La Région entend ainsi prendre toute sa part dans la réaffirmation des valeurs de la République» a expliqué Valérie Pécresse. Des décisions dont devrait profiter le lycée Michelet bien sûr. Le maire de Vanves (sur la photo en train de voter électroniquement pour ses collègues absents)  est même intervenu sur la révision du PPI au nom du groupe UDI  et adéfendu la mise en accessibilité de ses établissements

    Ses lycées qui représentent 6,5  millions de m2 sont dans un état préoccupant, car les délais de constructions (9 ans) ou de rénovations sont trop longs, les crédits affectés à la maintenance ont été baissé de 370 à 240 M€, comme il l’a fait remarqué,   la plupart n’ont pas été équipés en THD (Très haut débit)... Des moyens qui n’ont pas été à la hauteur pour rattraper un retard en matière de rénovation et  pour remettre à niveau ces lycées qui doivent faire face aux effets du baby boom des années 2000 : 10% des lycées sont en sur-effectifs. Et beaucoup de classes sont installées dans des BD (Bâtiments Démontables) qui  coûtent extrêmement cher. L’exécutif a décidé d’avancer d’un an la révision du PPI (2016-22)  en mettant sur la table toutes les procédures (avec une approche opérationnelle « projet », la révision du référentiel régional des lycées franciliens qui définit le cadre et les normes de construction…) afin d’accélérer les chantiers. Quite pour aller vite à utiliser la procédure du  PPP (Partenariat Public Privé) même si cela représente un coût plus cher. La présidente de Région a même obtenu une dérogation du préfet de région, et le feu vert des recteurs pour valoriser du foncier  lycée disponible  pour  mener des opérations immobilières qui permettront de financer ces travaux, grâce aux nouvelles recettes générées

    « L’adoption du PPI est un acte important de la mandature, d’autant plus que la construction et la rénovation des lycées ont pris beaucoup de retards depuis 17 ans, 3 chantiers de rénovation sur 4 étaient en retard sous la précédente mandature. Au total, plus de 100 chantiers sont en retard » a-t-il déclaré en prenant l’exemple de Paul Langevin à Suresnes où il s’est écoulé 7 ans entre le début des études et le démarrage du chantier. « Il faut ajouter à cela un manque de transparence. Il était difficile d’avoir un bilan des chantiers en cours tant au niveau de la construction que de la rénovation, et de s’y retrouver. Il a fallut attendre 2012 pour connaître le PPI de la précédente mandature, lequel n’était pas articulé très clairement avec le précédent PPI »  a-t-il constaté. «A tout cela s’ajoute le baby boom de l’an 2000 qui n’a pas été pris en compte dans le précédent PPI » a t-il ajouté.

    « Une des premières demandes faîtes lorsque vous avez été élu, a été celle des recteurs d’académies demandant de réviser le PPI démontrant ainsi l’urgence et l’insatisfaction de la situation. Il devenait urgent de procéder à des changements de méthodes tant au niveau de la conception des espaces et conditions de vie des études que de la maîtrise d’ouvrage régionale sans oublier la maintenance des équipements » a-t-il expliqué en constatant que cette façon de faire permettra de tenir compte des réalités de territoire. « Enfin, force est de constater que très peu de lycées sont accessibles aux PMR » malgré un  schéma de mise en accessibilité lancé en 2013, avec des travaux dans 49 lycées, qui se termineront dans  24 lycées  fin 2016. Par ailleurs, une quarantaine de travaux de rénovation sont en cours respectant les normes d’accessiblités.

  • RETOUR SUR LE BUDGET 2014 DE VANVES (Suite) : Economies d’énergies, mise en accessibilité et pérénisation pour le patrimoine municipal

    Avec ce nouveau retour sur le budget 2014, le Blog s’intéresse à tout ce qui tourne autour de l’urbanisme, des bâtiments, espaces publics, services techniques de la ville. Si la mairie est compétente en matière d’urbanisme, elle a transférée depuis maintenant dix ans, la gestion de la voirie, de l’assainissement et de l’environnement à GPSO. Toutefois certaines opérations restent de sa compétence en matière d’espaces publics, de bâtiments… 

    L’actualité dans ce domaine pour le service urbanisme se focalise sur la mutation des terrains situé rues René Coche-Aristide Briand-Diderot avec le concours de Seine Ouest Aménagement, le règlement communal de la publicité et des enseignes, et le PLU. Le service Urbanisme dispose d’un budget de  129 000 € en fonctionnement  (+8,34%) dont 50 000 € pour les études  avec des dépenses exceptionnelles liées justement à la révision du règlement communal de la publicité et des enseignes  (10 000 €) et du projet de cession des terrains Coche-Briand-diderot (35 000 €) ;  22 000 € de frais d’actes et de contentieux… Il est prévu 3 815 000 € en investissement (+4419,34%) qui comprend l’acquisition de la propriété départementale du 16 rue René Coche avec une dotation de 3 750 000 €

    En matière de services techniques, 3 entités ont un budget distinct : Le pôle Espaces publics avec un budget de  215 325 € en fonctionnement  (+23,99%) et  de 278 195 € en investissement (+1,93%). Pour le cimetière, il a programmé la création de 4 fontaines extérieures (18 500 €) et la pose d’un colombarium de 12 cases (15 000€). Pour le domaine public, il est prévu le ravalement du pont Jezequel (25 000 €) qui va accompagner la requalification de la rue Jacques Jezequel cet été, un fonds de concours pour la réfection du square Jarousse (105 000 €), et 61 602 €pour la plantation d’arbres notamment au square de l’hôtel de ville et au cimetière 

    Le pôle patrimoine s’occupe bien évidemment des Bâtiments avec un budget de 1 933 550 € pour le fonctionnement  (+2,35%) qui s’accompagne d’un effort considérable sur les économies d’énergie grâce à la présence d’un chargé de mission développement durable : Nouveau contrat avec Direct Energie prestataire moins coûteux qu’EDF (avec les consommations dites « tarifs bleus »), remplacement de luminaires basse consommation (leds), mise en place de mouseurs économiseurs d’eaux, campagne Display dans les écoles

    Son budget investissement se monte à  5 891 811 € (+46,27%) avec de nombreuses opérations :  travaux de couverture des escaliers de secours de la placette Sadi Carnet (50 000 €) qui a fait l’objet d’une demande de subvebntion auprès de l’agence de l’Eau Seine Normandie ; réhabilitation de locaux du 19 av.de Verdun (150 000€) qui devrait devenir une salle associative au même titre que Latapie ou l’espace Tuilerie ;  fonds de concours des travaux du conservatoire  2éme partie (500 000€), rénovation des façades de l’hôtel de vie  (60 540 €) ; réhabilitation du biblioclub avec la végétalisation de la terrasse (498 00 €) ; rénovation du 1er étage et mise en accessibilité de l’école élémentaire Marceau (803 061 €) ; rénovation de l’aide droite de la créche Pomme Canelle  (617 800 €) ; réhabilitation des tribunes  du PMS A.Roche (520 000 €).

    D’autres travaux sont inscrit comme la mise en accessibilité des bâtiments communaux (78 000 €) qui s’articule autour d’un plan pluri-annuel suite à un  diagnostic des bâtiments communaux : Mise en accessibilité PMR du marché couvert, du bibliclub, et création d’une rampe au gymnase Magne). D’autres sont liés aux économies d’énergie et développement durable (131400€) avec double vitrage des logements Larmeroux, mise en place de systéme de régulation thermique dans des bâtiments non équipés, de robinets thermostats dans les écoles, achats de composteurs pour les bâtiments ayant des espaces verts et de collecteurs de piles. Enfin, une troisiéme série de travaux sont liés à la pérennité des ouvrages : Mise en ouvrage du réseau d’assainissement de l’école maternelle Marceau et des courts de tennis couverts, réfection des logements Larmeroux, Rénovation de la plomberie au Chalet de la Féclaz

    Dans les service techniques, il ne faut pas oublier le garage municipal qui dispose d’un budget de 205 450 € en fonctionnement  (+10,77%), avec location d’une nouvelle voiture électrique et abonnement à Velib et Autolib »,  et 48 000 € en investissement (-29%) pour l’achat d’une voiture électrique pour les ateliers et de 2 Citadines.