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région ile defrance

  • LES RENDEZ-VOUS A VANVES D’UNE SEMAINE QUI COMMENCE A PRENDRE DES AIRS DE VACANCES

    Les vanvéens espérent une semaine plus calme que la semaine dernière sur le Plateau qui s’est enflammé, comme partout ailleurs en Ile de France, mais dans une stricte mesure, par rapport à d’autres quartiers, à la suite du décés du jeune Nahel à Nanterre - le café Le Soleil Levant aurait été attaqué et cambriolé en pleine nuit vendredi, -  suscitant de nombreuses réactions sur les réseaux sociaux : «Cette nuit au plateau, ça encore brûlé et tirs de mortiers. Ça va continuer cette nuit. J’espère que le commissariat est prêt car beaucoup de commissariat ont été attaqués. Ou est l’armée ?Les contribuables vont payer la note !!!! » ou encore « Des tir de mortier en bas de chez nous ça fait froid dans le dos on se croirait en guerre ma fille à peur »… « J'ai entendu également. j'habite à 300 m de la rue Jean Jaurès et c'était impressionnant d'entendre, encore plus les autres fois. Mais si c'est toujours au même endroit pourquoi la police ne campe pas là bas ? Est-ce qu'il faut que ça soit les habitants qui interviennent au bout d'un moment ? Genre tous à vos fenêtres on les arrose avec des seaux d'eau/tuyau d'arrosage jusqu'à ce qu'ils décampent ? oui ça paraît marrant dit comme ça. Mais cela ne peut plus durer ! » etc…. et pendant ce temps là, silence radio côté mairie. Pas un mot rassurant du maire alors que ses collégues ont tweeté, se sont exprimés sur les réseaux sociaux, envoyés des communiqués de presse pour appeler au calme, annoncer un couvre-feu, l’annulation d’événements festifs… jusqu'à ce qu'il invite, dimanche,  les vanvéens, en réponse à l’appel de l’association des maires de France à une mobilisation civique contre les violences urbaines, à se rassembler, lundi 3 juillet à 12h devant l'Hôtel de Ville, suite à l'agression contre la famille de Vincent Jeanbrun, maire de l'Hay les Roses, et président du groupe LR  et de la majorité régionale à la Région, qu'il connait bien. 

     «Face à ces événements, décision a été prise d'annuler plusieurs événements festifs et rassemblements dans les départements qui sont les plus sensibles» a annoncé le chef de l'État, lors d’un comité interministériel. Une décision destinée à la fois à protéger les mairies, visées par des dégradations, et à protéger la population, relayée par les préfectures des Hauts de Seine et de la police de Paris, visant à assurer la sécurité et la tranquillité publique dans le contexte actuel . A Vanves, comme dans toute l'académie de Versailles, les fêtes de fin d'année dans les écoles comme à Larmeroux, ont été annulé. Le concert pour les Estivales prévu initialement place de la République samedi soir, a été annulé, mais les autres animations prévus dans l’après-midi sur le Plateau et le parc F.Pic ont été maintenu ainsi que la manifestation sportive au PMS A.Roche. Les bus ne circulent plus à partir de 21H  à Vanves, après la décision de Gérard Darmanin d’arrêter tout service de tramway et de bus sur toute la France dé Vendredi, en prenant exemple sur l’Ile de France, où une telle décision avait été prise par Valérie Pécresse dés jeudi soir,  y compris le Noctilien (service de bus la nuit) dont une ligne dessert la station Plateau de Vanves-Malakoff 

    Mardi  4 Juillet

    A 9H au Conseil Régional (à Saint Ouen) : Bernard Gauducheau assiste à une séance pléniére où il sera question d de la révision  du SDRIF-E 

    A 19H à l’Hotel Mercure : Réunion mensuelle du Challenger Club  sur le thème de « la période estivale compliquée à gérer » pour les petits chefs d’entreprises

    Mercredi 5 Juillet

    A partir de 19H30 à la Maison paroissiale de Saint Remy : Reprise des barbecues de l’été

    Vendredi 7 Juillet

    A 10H au Conseil Départemental des Hauts de Seine : Sandrine bourg participe à la séance plénière

    Samedi 8 Juillet

    A 22H30 au parc F.PIC : Cinéma en plein air dans le cadre des Estivales avec la projection du film « Le grand bain » de Gilles Lellouche

  • A VANVES, LES ABONNES DU PASS NAVIGO VONT LE PAYER 90 € EN JANVIER

    Depuis hier, les médias n’arrêtent pas de parler de l’augmentation du pass navigo à 90 € le 1er Janvier 2023. Une hausse de 20% qui touchera tous les vanvéens en possession de cet abonnement mensuel. Et ils sont nombreux. Pas sûr qu’ils apprécient en ces temps difficiles où ils sont victimes de l’inflation, de la hausse des prix à cause de la crise énergétique. Valérie Pécresse évoque «un contexte inédit d'envolée des coûts de fonctionnement des transports franciliens, liée à la crise énergétique».

    «Il s’agirait de la plus forte hausse jamais connue depuis la création de la carte Orange en 1975. Cette hausse proposée de près de 20%, bien au-delà de l’inflation, est le résultat de deux années de déni et d’enfantillages de la part de V. Pécresse et du Gouvernement qui ont oublié les usagers et les conséquences graves de leur passivité pour les Francilien»  ont dénoncé les communistes franciliens à la pointe du combat contre cette hausse en Ile de France.  «Après avoir joué avec le feu, Valérie Pécresse se brûle les doigts et ajoute de l’huile sur une situation déjà brulante pour les finances des transports franciliens, les salariés et les usagers. Prise au piège de son propre jeu, elle se retrouve à la merci d’un Gouvernement revanchard après l’attitude adoptée par la Présidente de Région pendant et depuis la campagne présidentielle» expliquent les élus communistes pour qui, « le Gouvernement et Valérie Pécresse sont coupables de non-assistance à transports en danger. Ils se sont détournés des intérêts des usagers et de l’intérêt général au profit de combines politiciennes. Résultats : les tarifs vont flamber pour la troisième fois depuis l’élection de Valérie Pécresse en 2015 et les transports franciliens sont au bord du chaos. Il n’est pas exagéré d’affirmer qu’Ile-de-France Mobilités peut se retrouver rapidement en cessation de paiement, situation précipitée par les emprunts nécessaires à la privatisation du réseau (4,9 milliards d’euros avant 2025 pour le seul réseau de bus RATP). Nous en appelons donc à la responsabilité du Gouvernement et à la Première Ministre : il est impossible que l’Etat laisse faire et se retrouve complice d’une hausse considérable du Navigo alors que l’inflation frappe durement les usagers. Il est indispensable que l’Etat annule ou reporte sine die la privatisation et allège ainsi le budget d’IDF, ainsi que le cœur des salariés de la RATP et de la SNCF»

    Gabriel Attal, ministre des Comptes publics au Sénat, Clément Beaune ministre des transports dans les médias ont expliqué:  «Il n’y a pas de justifications à cela, c’est la région qui en décide !». Et ce dernier d’enfoncer le clou : « Je regarde ce qui se passe dans les régions, il y en a qui baissent le prix du train, il y en a qui le stabilisent, il y en a qui l’augmenteront un petit peu. Aucune région n’a augmenté de 35% le prix du train. » expliquait le ministre des transports en soulignant que les tarifs et l'offre des transports du quotidien sont la responsabilité des régions, non de l'Etat. «C'est intenable d'avoir un passe Navigo à 100 euros, et quelle est la justification? Il n'y aucune raison de faire cela, d'augmenter de 30% le prix des transports d'IDF» a-t-il ajouté. Occasion d’indiquer qu’il travaillait quotidiennement avec Valérie Pécresse : «Je sais que la situation est difficile (...) Je suis tout à fait d'accord qu'il va falloir trouver un moyen d'aider la région IDF»,. Tout en rappelant que  2 milliards d'euros d'aides ont  précédemment été versés par l'Etat à la région pendant la crise du Covid. «Des discussions sont en cours, nous verrons dans les prochains jours et prochaines semaines comment on peut aider».

  • 38e COLLECTE ALIMENTAIRE A VANVES DANS UN CONTEXTE DE HAUSSE DE LA DEMANDE

    La 38e collecte de la banque alimentaire démarre en fin de journée à 16h devant Carrefour Market, Intermarché, Franprix et se poursuivre toute la journée de Samedi (entre 9H et 20H), et de dimanche (entre 9H et 12H). Cette Collecte Nationale, un temps fort de solidarité du grand public avec les plus fragiles Alors que la demande d’aide alimentaire dans l’hexagone est en hausse de 9% - 200 000 personnes supplémentaires accueillies en 6 mois - et dans un contexte de crise du pouvoir d'achat et de crise énergétique, le premier réseau d’aide alimentaire en France appelle à l’engagement de tous les acteurs des filières alimentaires : agriculteurs, industriels, distributeurs, pouvoirs publics et consommateurs, unis dans un élan de solidarité nationale pour lutter contre la précarité alimentaire.

    «Exceptionnelle par son organisation et son déroulement, la Collecte Nationale des Banques Alimentaires sera, cette année (plus que toute autre), un défi contre la précarité alimentaire» indique la BAPIF (Banque Alimentaire de Paris et d’Île-de-France). En Île-de-France, la Collecte Nationale permet de distribuer chaque année environ 19% des 13 millions de repas destinés aux personnes accueillies à l’aide alimentaire. En 2021, la BAPIF  avait collecté 1 758 tonnes de denrées. Les 385 associations partenaires de la BAPIF mobilisées dans près de 1 000 magasins alimentaires collecteront les dons des particuliers en sortie de caisses et sur les plateformes des enseignes.. En 2022, les besoins sont en augmentation, notamment pour les couches et les aliments bébé.

    Lauréate d’un appel à projet organisé par la Région Île-de-France, la BAPIF a obtenu le financement des cartons de la collecte à hauteur de 45 000 euros. Ces cartons permettent d’acheminer les denrées depuis les magasins où sont recueillis les dons en sortie de caisse, jusqu’au stock des associations partenaires et aux entrepôts de la BAPIF. Ce partenariat est particulièrement bienvenu alors que les prévisions de hausse des coûts du papier sont de 15 à 25% pour l’année 2022. Cette collaboration s’inscrit dans le cadre d’un partenariat de longue date entre la BAPIF et la Région Île-de-France en faveur de la mise en place d'un programme alimentaire régional (approvisionnement en produits agricoles franciliens), la structuration du réseau de distribution de denrées alimentaires (ex : acquisition de véhicules) ou encore la lutte contre le gaspillage alimentaire.

    Voilà bientôt prés de 40 ans que cette collecte est organisé par la BAPIF créée en 1984. Elle est une des 79 Banques Alimentaires régies par la Fédération Française des Banques Alimentaires (FFBA). La solidarité, l’équité et la gratuité sont les valeurs qu’elle partage avec les 385 associations partenaires conventionnées, à Paris et dans les départements franciliens : collecte, tri, stockage et distribution de denrées alimentaires aux associations. Elle sensibilise les jeunes publics contre le gaspillage alimentaire, forme les associations à l’hygiène et à la sécurité alimentaires, participe à la collecte annuelle dans les magasins de la région parisienne, participe à des manifestations ponctuelles : animations, salons professionnels, etc. En 2021 elle a distribué 7 370 tonnes de denrées aux associations, soit l’équivalent de 13,4 millions de repas aux personnes démunies.