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rénovation

  • L’HOTEL MERCURE DE VANVES EN PLEINE RENOVATION SUR LE THEME DES ARTS DECO

    Le blog de Vanves Au Quotidien qui a rencontré Philippe Marchand directeur Général de l’hôtel Mercure, a raconté jeudi dernier, comment cet établissement hôtelier traverse la crise sanitaire qui perdure. Comme tous les hôtels du Grand Paris, il avait dû arrêter ses activités notamment lors du premier confinement, entre le 16 Mars et le 24 Août,  mais aussi tout un programme de rénovation engagé en 2019 et qui devrait se poursuivre à partir de Février.  Car cet hôtel qui aura 40 ans en 2022, en avait bien besoin, notamment pour faire face à la concurrence, avec l’arrivée, sur le marché du Mamma Shelter (200 ch) et le Novotel (250 Ch) en limite de Paris et Vanves, avec le Marriot à Issy les Moulineaux. «Cet hôtel avait besoin d’étre rénbové pour le tenir dans son marché, car les hôtels qui arrivaient, représentaient deux fois la capacité de celui-ci, 800 Ch au total sachant que Mercure en a 388. La société Accor Invest a souhaité remettre cet établissement au goût du jour !» indique Philippe Marchand, son directeur général .

    En mai 2019 un programme de rénovation majeur des 388 chambres, de toutes les salles de réunions, de la réception, avec disparitions de quelques cloisons, déplacement de quelques balcons qui n’avaient pas d’utilité sauf peut être d’accueillir des plantes qui n’étaient pas naturelles,, commençait pour  faire en sorte de remodeler l’établissement, lui donner sa chance. « Nous avons eu une très grosse phase de travaux de Mai 2019 au 16 Mars 2020 où il nous restait 3 étages de chambres à faire, un qui était réalisé à plus de 60% et 2 étages à terminer lorsque les chantiers se sont arrêtés au moment du premier confinement. Nous devrions redémarrer nos travaux à partir du 1er février pour être prêt pour le printemps» indique t-il

    Il fait remarquer que «l’environnement a changé car la rénovation a été fait par un architecte décorateur Laurent Maugoust qui a voulu un esprit lié à l’exposition universelle. On trouve des motifs liés à l’art décor sur le sol, dans les Chambres avec une tête de lit particulière, un comptoir de réception avec des structures tubulaires, et les luminaires où il a essayé de représenter des dirigeables, spectaculaire vu des derniers étages lorsqu’on regarde l’atrium. On a maintenu du végétal avec des plantes naturelles. Et le soir une animation sur les façades en laser. Enfin, nous avons réalisé une rénovation extérieur des façades sur l’arrière du bâtiment» décrit il. « L’investisseur a vraiment fait ce qu’il fallait pour que l’hôtel reste dans son marché. Il a voulu que l’établissement soit représentatif et un produit répondant aux aspirations des clients ». Le point d’orgue devrait être un le bar à vin qu’il souhaitre ouvrir avec un service de restauration des produits du terroir. De surcroit, il a déjà un nom puisque le restaurant se dénomme déjà «le Millésime »

  • LE MAIRE DE VANVES DEFEND LA MISE EN ACCESSIBILITE DES LYCEES AU CONSEIL REGIONAL QUI DEBAT DE LAPOLITIQUE EDUCATION DE PECRESSE

    Le Conseil régional a ouvert depuis hier, une nouvelle session très importante, consacrée au plan éducation de Valérie Pécresse (LR) à laquelle participe bien sûr Bernard Gauducheau, maire de Vanves  Prés d’une dizaine de rapports sont présentés depuis l’accélération de la rénovation des lycées en avançant d’un an la révision du PPI (Plan Pluri-annuel d’investissements), jusqu’à la lutte contre les addictions (alcool, drogue) avec  le rétablissement des bourses au mérite et des aides sociales aux lycées privés,   la mise en place d’un budget autonomie, la lutte contre le décrochage scolaire, l’ouverture des lycées au monde de l’entreprise, la carte des formations débouchant sur l’emploi, la lutte contre la radicalisation grâce à l’opération « grands témoins contre le terrorisme » grâce à Samuel Sandler pére de Jonathan  et Latifa Ibn Ziaten,  mére d’Imad  assassiné tous les deux par Mohamed Mehar en 2012 qui ont accepté de témoigner. «La Région entend ainsi prendre toute sa part dans la réaffirmation des valeurs de la République» a expliqué Valérie Pécresse. Des décisions dont devrait profiter le lycée Michelet bien sûr. Le maire de Vanves (sur la photo en train de voter électroniquement pour ses collègues absents)  est même intervenu sur la révision du PPI au nom du groupe UDI  et adéfendu la mise en accessibilité de ses établissements

    Ses lycées qui représentent 6,5  millions de m2 sont dans un état préoccupant, car les délais de constructions (9 ans) ou de rénovations sont trop longs, les crédits affectés à la maintenance ont été baissé de 370 à 240 M€, comme il l’a fait remarqué,   la plupart n’ont pas été équipés en THD (Très haut débit)... Des moyens qui n’ont pas été à la hauteur pour rattraper un retard en matière de rénovation et  pour remettre à niveau ces lycées qui doivent faire face aux effets du baby boom des années 2000 : 10% des lycées sont en sur-effectifs. Et beaucoup de classes sont installées dans des BD (Bâtiments Démontables) qui  coûtent extrêmement cher. L’exécutif a décidé d’avancer d’un an la révision du PPI (2016-22)  en mettant sur la table toutes les procédures (avec une approche opérationnelle « projet », la révision du référentiel régional des lycées franciliens qui définit le cadre et les normes de construction…) afin d’accélérer les chantiers. Quite pour aller vite à utiliser la procédure du  PPP (Partenariat Public Privé) même si cela représente un coût plus cher. La présidente de Région a même obtenu une dérogation du préfet de région, et le feu vert des recteurs pour valoriser du foncier  lycée disponible  pour  mener des opérations immobilières qui permettront de financer ces travaux, grâce aux nouvelles recettes générées

    « L’adoption du PPI est un acte important de la mandature, d’autant plus que la construction et la rénovation des lycées ont pris beaucoup de retards depuis 17 ans, 3 chantiers de rénovation sur 4 étaient en retard sous la précédente mandature. Au total, plus de 100 chantiers sont en retard » a-t-il déclaré en prenant l’exemple de Paul Langevin à Suresnes où il s’est écoulé 7 ans entre le début des études et le démarrage du chantier. « Il faut ajouter à cela un manque de transparence. Il était difficile d’avoir un bilan des chantiers en cours tant au niveau de la construction que de la rénovation, et de s’y retrouver. Il a fallut attendre 2012 pour connaître le PPI de la précédente mandature, lequel n’était pas articulé très clairement avec le précédent PPI »  a-t-il constaté. «A tout cela s’ajoute le baby boom de l’an 2000 qui n’a pas été pris en compte dans le précédent PPI » a t-il ajouté.

    « Une des premières demandes faîtes lorsque vous avez été élu, a été celle des recteurs d’académies demandant de réviser le PPI démontrant ainsi l’urgence et l’insatisfaction de la situation. Il devenait urgent de procéder à des changements de méthodes tant au niveau de la conception des espaces et conditions de vie des études que de la maîtrise d’ouvrage régionale sans oublier la maintenance des équipements » a-t-il expliqué en constatant que cette façon de faire permettra de tenir compte des réalités de territoire. « Enfin, force est de constater que très peu de lycées sont accessibles aux PMR » malgré un  schéma de mise en accessibilité lancé en 2013, avec des travaux dans 49 lycées, qui se termineront dans  24 lycées  fin 2016. Par ailleurs, une quarantaine de travaux de rénovation sont en cours respectant les normes d’accessiblités.

  • LYCEE MICHELET DE VANVES ET LA RENOVATION DE SES EQUIPEMENTS SPORTIFS : ENFIN…PRESQUE !

    Une des 125 délibérations examinées ce matin en Commission Permanente du Conseil régional – où siége Bernard Gauducheau, maire de Vanves – concernera le lycée Michelet et l’individualisation de crédits permettant de lancer les études d’un vaste programme, attendu et négocié, des équipements sportifs de cet établissement scolaire. Henriette Zoughebi, vice présidente (FdeG/PC) chargée des lycées, n’a pas cachée que c’était une première, car ce programme de rénovation est financé par trois partenaires, la Région, l’Etat et la ville de Vanves.

    Rappelons que cette cité scolaire réunit collége, lycée d’enseignement général et de classes préparatoires aux grandes écoles dans des bâtiments qui ont fait l’objet d’une vaste rénovation menée dans les années 1980/90, dont certains sont inscrits à l’inventaire des Monuments Historiques. Ils sont entourés d’un vaste parc de 17 Ha. Elle dispose d’infrastructures sportives composés de plusieurs terrains extérieurs (football, rugby, athlétisme, basket ball, handball…) d’une superficie de 38 406 m2 avec un immense gymnase de 5000 m2 de plancher  incluant une piscine couverte, construit dans les années 60… qui ont beaucoup perdus de leurs qualités (vieillissement et conception anciennes) 

    Le rapport du Conseil Régional constate qu’une grande partie de ces équipements extérieurs existants  - 2 terrains de foot de 6000 et 2267 m2, 1 terrain de rugby de 8260 m2, 1 terrain multisport de 2313 m2, 2 pistes d’athlétisme de 581 m2 et 635 m2 -  ne sont aujourd’hui, plus utilisés en raison de leur vétusté. Le programme prévoit donc de réaménager plus de 19 000 m2 d’espaces pour l’exercice des activités de plein air, avec 1 terrain multisport, 1 plateau de lancer (disque, poids, javelot), 1 anneau d’athlétisme (dont espace de saut – 8 couloirs extérieurs),  1 terrain de foot/rugby avec un éclairage extérieur. Le pavillon existant à l’entrée du parc, serait réaménagé de manière à compléter le programme des vestiaires et des locaux de rangement. Les travaux s’effectueraient en site occupé en plusieurs phases garantissant le fonctionnement de l’établissement et la sécurité des personnes.  

    Le coût des études, dans une première phase, se monte à 1 328 800 € pour un montant total d’opération estimé à 7,5 M€, car il restera à s’occuper du gymnase et de la piscine par la suite.