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crise sanitaire

  • VOILA CINQ ANS VANVES ENTRAIT EN CONFINEMENT A CAUSE DU COVID-19

    Tout le monde se souvient de ce week-end du 15 Mars, voilà cinq ans, marqué par le premier tour de l’élection municipale de 2020 et surtout cette crise sanitaire dûe au Covid-19 qui allait faire entrer les vanvéens en confinement durant deux mois, et reporter le second tour au 28 Juin

    Tout le monde se souvient de cette annonce, le samedi soir par le Premier ministre de la fermeture des bars-cafés-restaurants-hôtels, vécu comme un véritable coup de massue par les restaurateurs. De l’élection municipale, le lendemain dimanche, sous haute protection sanitaire dans les bureaux de vote avec respect des distanciation, gestes barrières, masques, gel hydroalcoolique… où l’ambiance était sereine, mais peu fréquenté (52,96% d’abstention), contrairement au parc F.Pic, par exemple,  fréquenté par de très nombreux vanvéens profitant d’un temps exceptionnellement printaniers, le PMS et les équipements sportifs étant déjà fermé.

    En raison de la grave crise sanitaire et des mesures gouvernementales de confinement qui l’accompagnent, l’équipe de Vanves en Tête (UDI/LR) avait annoncée au lendemain du 1er tour avoir décidé, dans un souci de santé publique, de suspendre toutes ses opérations de campagne de terrain pour le 2ème tour des élections municipales et de se rendre disponible pour apporter son concours aux initiatives municipales de solidarité, suivi par les autres listes.

    Le confinement était annoncé dés lundi lors de l’allocution du président de la République qui déclarait : «Nous sommes en guerre ! » Les municipalités comme  Vanves prenait des mesures de prévention et de précaution sanitaire annoncées dans deux courriers du maire adressés aux vanvéens, et sur le site Internet de la ville, relayées par les associations comme le stade de Vanves notamment : Plus d’école de tennis, de football… plus de matchs, ni de rencontres sportives comme l’avaient demandé les différentes fédérations sportives des disciplines représentées à Vanves ;  fermeture des crèches, des accueils de loisirs, des écoles, des collèges et des lycées où étaient mis en place l’enseignement à distance ; Suspension des activités pour les moins de 18 ans organisées par les structures municipales (ESCAL, Service Jeunesse) avec annulation des classes de neige  ou de voyages à l’extérieur pour les ados par exemple ; fermeture des locaux communaux pour toutes activités associatives ou privées s’adressant à un public de moins de 18 ans, suspension des activités de loisirs et d’animation s’adressant à un public de plus de 70 ans ; fermeture du théâtre et arrêt du festival Art Danthé ; messes annulées, Prieuré Saint Bathilde fermé, les soeurs Bénédictines entrant en retraite…avec un week-end de Pâques inédit et confiné (11-12-13 Avril 2020).  Sans compter toutes les cérémonies annulées comme le « 19 Mars », du 8 Mai pour célébrer la victoire, ou les animations comme  le vide-grenier  du Plateau, la kermesse de Saint François, la fête des voisins, la Vanvéenne, le festival Cinéma-Ecologie à Michelet,  ou l’inauguration de la librairie « Le Cheval Vapeur » sur le Plateau… et cela jusqu’à la mi-Juillet annoncée par la suite par le maire de Vanves.

    Cette épidémie avait commencé à faire voir ses effets la semaine passée et ce week-end avec des vanvéens qui faisaient des réserves, vidant les rayons de pâtes, de riz, de papiers toilettes… avec la formation de longue file d’attente à Carrefour Market, Intermarché, Franprix qui étaient dévalisé, mais aussi devant les pharmacies de Vanves, et les autres commerces d’alimentations restés ouverts.

    Des files d’attentes s’étaient sont formés, comme au marché, avec un circuit barrieré  avant d’entrer puisqu’il ne pouvait pas contenir plus de 100 personnes, commerçants compris, chacun respectant la distanciation de 1 m en attendant d’entrer ou devant les étals dont certains étaient protégés par du plastique, les clients ne pouvant toucher fruits et légumes. La placière demandait au client de ne pas s’attarder et trainer dés qu’ils avaient terminés leurs courses. Mais il était fermé le jeudi 26 Mars, le préfet des Hauts de Seine  « considèrant en effet que nous sommes en train d’entrer au cœur de la vague qui touche l’Ile-de-France et qu’il n’est pas souhaitable d’assouplir les règles dans l’immédiat».

    Certains restaurants qui avaient fait leur stock pour la semaine ont commencé à vendre des plats à emporter, dés le lendemain de l’annonce du premier Ministre, comme chez Manu, ou des espaces de restaurations rapides comme l’îlot Grec. Enfin, il reste aujourd’hui une structure mise en place lors de cette période de confinement : Le réseau municipal de solidarité

  • VOILA 3 ANS, VANVES SE CONFINAIT DURANT UN WEEK-END DE LA MI-MARS

    Tout le monde se souvient de ce weed-end de la mi 2020n voilà 3 ans : l’annonce samedi soir par le Premier ministre de la fermeture des bars-cafés-restaurants-hôtels, vécu comme un véritable coup de massue par les restaurateurs, comme le racontait sur le blog, le patron du Petit Vanves. Le scrutin municipal du dimanche sous haute protection sanitaire dans les bureaux de vote avec respect des distanciation, gestes barrières, masques, gel hydroalcoolique… où l’ambiance était sereine, mais peu fréquenté (52,96% d’abstention), contrairement au parc F.Pic par exemple fréquenté par de très nombreux vanvéens, le PMS et les équipements sportifs étant déjà fermé.

    Le confinement était annoncé dés le lundi soir lors de l’allocution du président de la République qui déclarait : «Nous sommes en guerre ! » Les municipalités comme  Vanves prenait des mesures de prévention et de précaution sanitaire annoncées dans deux courriers du maire adressés aux vanvéens, et sur le site Internet de la ville, arrêtant tout vie citoyenne et animation locale, avec annulation tant du festival artdanthé que des cérémonies comme le 19 Mars, des messes, les sœurs bénédictines entrant dans une retraite totale dans leur prieuré fermé. D’ailleurs les vanvéens avaient commencé à prendre leurs précautions les jours précédents en faisant des réserves, vidant les rayons de pâtes, de riz, de papiers toilettes… avec la formation de longue file d’attente à Carrefour-Market, Intermarché, Franprix qui étaient dévalisé, mais aussi devant les pharmacies de Vanves, un circuit barriéré ayant été installé au marché qui ne pouvait pas contenir plus de 100 personnes, commerçants compris, avant d’être totalement fermé par décision de la préfecture. Certains restaurants qui avaient fait leur stock pour la semaine ont commencé à vendre des plats à emporter, dés le lendemain de l’annonce du premier Ministre,  comme chez Manu, ou des espaces de restaurations rapides comme l’îlot Grec

    Le lendemain, mardi matin, le spectacle était saisissant sur la place de République où les parents avec leurs enfants  profitaient de leurs derniers instants de  liberté jusqu’à midi. Plusieurs commerçants annonçaient sur les réseaux sociaux les dispositions qu’ils avaient prises suite à la fermeture de leurs boutiques. L’après midi était impressionnante, personne dehors à quelques exceptions prés, des supérettes et magasins ouverts mais sans file d’attente aux rayons vides. Par contre à 20H, notamment sur le Plateau, beaucoup de vanvéens avaient ouvert leurs fenêtres pour applaudir le personnel soignant à la suite d’un mot d’ordre lancé sur Internet où il est demandé de réitérer ce geste chaque soir.  Mercredi, les premiers contrôles de police étaient effectués notamment sur le Plateau à Carrefour-Market,  et dans le Centre Ancien, place de la République.

    Les habitants redécouvraient une ville sans ses bruits habituels, avec moins d’hélicoptéres dans le ciel au dessus du Plateau, avec ses cloches, même lointaines que l’on n’entendait plus sonner dans le brouhaha urbain, ni le chant des oiseaux. RTE enregistrait une baisse de 28% de la consommation électrique, le Syctom une baisse de 17% de la collecte d‘ordures ménagéres, la RATP une fréquentation qui n’était plus que 5 à 6% par rapport à la normale et la SNCF autour de 10% soit une baisse de 80 à 90% des usagers, amenant ses entreprises à réduire leur trafic et à fermer des stations de métro pour la RATP.Airparif relevait une amélioration de la qualité de l’air de 20 à 30% dans l’agglomération parisienne consécutive à une baisse de plus de 60% des émissions d’oxydes de czrbione, du jamais vu depuis 40 ans de mesures. Il en était de même pour le bruit où les mesures de BruitParif entregistraient une baisse de 5 à 10 décibels le long des axes routiers, de 2 à 7 décibes le long des voies ferrées… «Avec la chute de la pollution sonore en ville, le paysage s’est beaucoup modifié. Il devient possible de percevoir les sens de la nature comme le chant des oiseaux ou les bruissements des feuilles dans les arbres. Autant de sonorités qui sont habituellement difficiles à entendre, masquées par le bruit incessant de la circulation et des activités humaines» constatait un vanvéen    

  • LA CRISE SANITAIRE A CHANGE LES HABITUDES DE CONSOMMER TANT A VANVES QU’EN ILE DE FRANCE OU AILLEURS

    Voilà deux ans, le premier confinement, puis les deux autres suivant entrecoupés de périodes d’assouplissement, avec des couvre-feux aux horaires plus ou moins contraignants et des limitations dans les déplacements entrecoupés de périodes d’assouplissement, avec des couvre-feux aux horaires plus ou moins contraignants et des limitations dans les déplacements, ont profondément changé nos habitudes de consommer

    Près de neuf Franciliens sur dix ont «profité» de la crise Covid-19 pour acheter plus souvent en ligne ou « s’y mettre», pour ceux qui ne le faisaient pas auparavant. La proportion d’acheteurs fréquents (une fois par semaine ou plus) est en nette augmentation, à 21% contre 14% en 2016. Les 25-34 ans sont les acheteurs les plus fréquents. Cette progression s’est faite au détriment des achats en magasin : si l’alimentaire, les cosmétiques et la santé, le bricolage-jardinage et les fleurs restent encore principalement achetés en magasin, le prêt-à-porter et les chaussures, les jeux et les jouets, ainsi que les produits électroménagers sont achetés presque autant en ligne qu’en magasin.

    En fonction des produits considérés, une proportion variable de Franciliens (entre 6% et 17 %) a acheté sur Internet pour la première fois lors de la crise Covid-19, et cela, quel que soit le produit. C’est particulièrement le cas pour l’alimentation  avec 61% de nouveaux acheteurs, et la restauration avec 65%.. En 2021, un Francilien sur quatre achètait des produits alimentaires en ligne, et quatre Franciliens sur dix y commandaient des repas, contre deux sur dix un an plus tôt. Les plus de 65 ans ont le plus maintenu ou augmenté leur fréquence d’achat de produits alimentaires en ligne par rapport à l’année précédente (54%), tandis que, pour la restauration, ce sont les 18-24 ans (72%). Les actifs sont susceptibles de consommer de la restauration en ligne 1,3 fois plus que les non-actifs ; les 25-34 ans quatre fois plus que les plus de 50 ans ; et les 18-24 ans trois fois plus. Les habitants de Paris et de la petite couronne y ont recours 1,3 fois plus que ceux de la grande couronne, sans doute en raison de revenus plus élevés et, surtout, d’une plus grande offre de restauration au cœur de la métropole.

    Si ces confinements ont changé nos habitudes, elles ont eu un fort impact sur nos commerces d’une ampleur variable selon leur secteur d’activité, leur format ou leur localisation : Le commerce spécialisé non alimentaire en magasin a été le plus touché, avec des secteurs plus affectés que d’autres : habillement-chaussures (-22 %), culture-loisirs (-15 %) et parfumerie (-13 %). En revanche, d’autres secteurs, comme l’alimentation, ont mieux résisté. Les charcuteries-traiteurs-épiceries fines (+57% de magasins), les primeurs (+11%) et les magasins bio (+13%), par exemple, ont profité du «fait maison» et du «manger sain », favorisés pendant les confinements ; mais les cavistes et les boulangeries-pâtisseries ont souffert davantage». Face à ces contraintes et à l’évolution des comportements, les commerces, qu’ils soient petits ou grands, ont dû s’adapter, et ils ont su le faire: prise de commande à distance ; développement du click and collect ; recours aux caisses en libre-service et au paiement sans contact ou dématérialisé ; livraison par les commerçants et les restaurateurs ; ouverture plus tôt lors des couvre-feux à 18 h…Le commerce en ligne s’est avéré être une réponse efficace aux contraintes imposées par la pandémie