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association agir sur le plateau

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

    TARIFS MUNICIPAUX

    Le conseil municipal lors de sa réunion du 27 Mars  où il a voté le budget municipal 2024 de la ville, a aussi actualisé de nombreux tarifs municipaux qui se sont traduites par des augmentations substantielles touchant plusieurs secteurs :

    -La location d'équipements sportifs avec une hausse de + 20%  pour les entreprises vanvéennes à + 50 %, pour les entreprises extérieures, et la création d’un tarif forfaitaire de participation aux charges liées aux événements non inscrits dans le calendrier événementiels de la ville. Ainsi les tarifs peuvent varier de 64 € (80 € pour un non vanvéen) pour le gymnase André Roche à 155 € (188) pour le terrain d’honneur du PMS avec éclairage

    - Les stands augmentent aussi  de + 25 à + 50 %  avec passage d'un tarif de 15 € à 18 € pour un vanvéen, de 18 à 20 pour un non vanvéen à la braderie Bout’choux, de  18 à 20 € pour un vanvéen et de 18 à 24 € pour un non vanvéens à la braderie du Plateau (sur la photo) qui se déroulera le 5 Mai prochain.

    - La location d’une salle municipale par un syndic pour une AG  : + 15 %  auquel est ajouté un tarif « intervention logistique » de 20 € pour chaque personnel mobilisé pour préparer une salle, installation en amont et en aval de matériel : sono, tables chaises….  Ainsi, par exemple le tarif pour  un préau  scolaire peut varier de 11-14 € pour une association vanvéen bénéficiant d’une convention sans caution , 22 -32 € pour une association ou un particulier avec caution (176 à 258 €)  à 57,50-85,10 € (avec caution de  à 656 € à 432) pour un syndic ) et même 74,75-113,85 € (avec caution de  432 à 656 €) pour une personne morale hors commune

    SECURITE ROUTIERE   

    L’association Agir sur le Plateau a eu l’occasion ‘intervenir sur le théme de la sécurité sur les voies publiques (ralentisseur avenue Pasteur, synchronisation des feux tricolores, stationnement sur les trottoirs, etc...) lors d’une réunion de ses responsables avec Erwan Martin, maire adjoint chargé des associations. Cette association a  demandé  tout d’abord que soit déplacé vers la porte de la Plaine le ralentisseur de l'Avenue Pasteur. Ensuite, une modification de la temporisation des feux piétons sur les carrefours Albert Legris et Insurrection en augmentant le temps et la cadence de passage au vert des feux piétons. Ils ont insisté sur le stationnement illicite sur les trottoirs gênants pour les piétons, les personnes à mobilité réduite. Ils ont demandé l’installation de feux-radar tricolores dans les rues à gros débit (Jean Bleuzen, Marcheron, Pasteur, Marcel Martinie, etc...) avec passage au rouge quand la vitesse des véhicules excèdent les 30 km/h : «Il faut cesser de favoriser en permanence les voitures et motos au détriment des piétons et cyclistes». Ils ont fait remarquer que Rue René Coche, il semble que l'espace entre les plates-bandes et les bornes de paiement ne permettent pas le passage d'un fauteuil roulant, d'une poussette.

  • AGIR SUR LE PLATEAU DE VANVES REVIENT SUR LE COUP D’ARRET DES CONSTRUCTIONS AU DESSUS DU PERIPH

    Le blog de Vanves au Quotidien avait déjà signalé, en son temps la coup d’arrêt de l’urbanisation en surplomb du périphérique et à ses abords, de la suite de décisions de justice administratuve (tribunal administratif, Cour d’appel, Conseil d’Etat) dont le Journal Le monde a fait état de nombreuses fois. Ces jours-ci l’assiciation Agir sur le Plateau a envoyé au maire l’article du Monde, publié le 26 décembre 2022, «qui mentionne le coup d'arrêt de l’urbanisation en surplomb du périphérique et à ses abords, nous renvoyons au maire de Vanves M Bernard Gauducheau sa citation de J.F. Kennedy « les problèmes du monde ne peuvent être résolus par des sceptiques ou des cyniques dont les horizons se limitent aux réalités évidentes. Nous avons besoin d’hommes capables d’imaginer ce qui n’a jamais existé». Nous le laissons méditer sur sa politique d'urbanisation du quartier du Plateau à la lecture de cet article» indique-t-elle alors que Woodeum avait prévu porte btrancion un foyer de jeunestravailleurs au dessus du Périph – Abandonné ? – et que s’éléve face à l’hôtel Mercure les premiers étages de la tour hôtelière qui surplombe le Périph et le parc  des expositions.

    Extrait de cet article du Monde, publié le 26 décembre 2022 et titré : «L’urbanisation en surplomb du périphérique reçoit un salutaire coup d’arrêt, et celle de ses abords est sérieusement questionnée» : «Après l’annulation par la justice administrative de Paris des projets d’immeuble-ponts au-dessus du périphérique parisien, il faut maintenant mettre fin à l’urbanisation de ses abords soulignent, dans une tribune au « Monde », deux élus parisiens et un avocat, qui expliquent qu’il ne suffit pas de loger les gens, encore faut-il ne pas mettre leur santé en danger. En matière de lutte contre la pollution de l’air, les citoyens peuvent heureusement compter sur la justice administrative pour aiguillonner le politique. Une dizaine de jours avant la décision du 17 octobre 2022 du Conseil d’État infligeant au gouvernement une nouvelle amende de 20 M€ pour non-respect des normes de qualité de l’air dans plusieurs zones en France, dont Paris, la cour administrative d’appel de Paris a rappelé, le 6 octobre, la maire de Paris à ses responsabilités s’agissant de santé environnementale et d’urbanisme. En l’espèce, la maire de Paris avait délivré deux permis de construire pour des ensembles immobiliers sur dalle, à destination notamment de bureaux, d’habitations et de crèches, avec cette particularité d’enjamber le périphérique : le projet Mille arbres, près de la porte Maillot, qui est la portion routière la plus fréquentée d’Europe, et le projet Ville multi-strates, près de la porte des Ternes.

    Ces permis ont été annulés par le tribunal administratif le 2 juillet 2021, à la suite de recours émanant notamment d’associations de protection de l’environnement et d’élus écologistes. Annulation donc confirmée par la cour administrative d’appel de Paris par deux arrêts du 6 octobre considérant que la municipalité n’aurait pas dû délivrer les permis de construire, en vertu de l’article R111-2 du Code de l’urbanisme qui permet de refuser un projet « de nature à porter atteinte à la salubrité publique ». En effet, la cour a jugé que « le déplacement des polluants issus de la circulation automobile à l’entrée et à la sortie des tunnels créés par les projets entraînera, en particulier, une augmentation de la concentration de dioxyde d’azote aux alentours, où sont situés des immeubles d’habitation et de bureaux, ainsi que des établissements recevant du public, dont une résidence pour personnes âgées et une crèche, alors même que ces lieux connaissent déjà des taux de polluants élevés, qui peuvent dépasser les valeurs limites ».

  • VANVES PAR LE PETIT BOUT DE LA LORGNETTE

    DES TEMPERATURES DOUCES A VANVES

    Ses températures exceptionnellement douces à vanves mais aussi dans toute l’agglomération  depuis 20 jours sont une première depuis 150 ans, soit depuis la mi-décembre 2022. Les températures maximales ont dépassé les 10°, dont 13° à Noël, 16° à la Saint Sylvestre. Une première en hiver en 150 ans. L’année 2022 a été la plus chaude jamais enregistrée depuis le début des relevés en France, et l’année 2023 démarre sous les mêmes augures. Sur Twitter, le météorologue François Jobard indique : « La station de Paris Montsouris, ouverte en 1872, mesure une température supérieure à 10 °C pour le 20ème jour consécutif et nous sommes début janvier. Si la capitale est de nouveau passée sous cette barre le 9 janvier et devrait poursuivre sur cette voie demain, les températures devraient à nouveau dépasser ce seuil dès mercredi 11 janvier » annonce-t-il.

     

    QUAND LA PARISIEN PARLE DU FUN PARK DE VANVES

    Un article est paru dans Le Parisien, lundi dernier, à propos du Fun Park qui a été fermé fin Novembre à cause des travaux de la résidence étudiante par Woodeum. «L’association Agir pour le Plateau tente de porter leur voix depuis plusieurs années sur ce sujet, mais il est désormais trop tard : les pelleteuses ont terminé leur besogne et les jeunes devront s’armer de patience. Un équipement sportif similaire doit en effet être réaménagé à proximité de l’emplacement initial, de l’autre côté du skatepark qui, lui, ne bougera pas, mais pas avant… fin 2024» indique l’article en citant son préside, Pierre Bouleau : «Il aurait fallu anticiper le coup, faire en sorte de reconstruire le funpark avant de le détruire. Il était tout le temps fréquenté, les gens du quartier ne sont pas contents». Et il fait état d’ une pétition a par ailleurs été lancée par une riveraine pour réclamer une structure de remplacement. La convention de coopération relative aux enjeux de prévention et de sécurité entre les villes de Paris et de Vanves, approuvée le 8 décembre par le conseil municipal de Vanves, va également dans ce sens, puisqu’elle vise notamment à proposer aux jeunes des activités sportives communes.

    Le Parisien donne bien évidemment la parole à Bernard Gauducheau, maire de Vanves qui explique : « Ce funpark, je l’ai créé, je n’ai pas l’intention de le supprimer », tout en se dsantt surpris de ce « faux procès. Sa démolition s’inscrit dans « l’élaboration d’un projet plus large » de la Métropole du Grand Paris de requalifier la porte Brancion côté Vanves et et Paris. « Aujourd’hui, elle ressemble plus à un no man’s land qu’autre chose. En lieu et place du funpark, dont les terrains étaient vieillissants, nous allons implanter une résidence étudiante mais notre idée est d’en recréer un de l’autre côté  duskate park». L’élu se défend d’avoir manqué d’anticipation. « Nous avons été confrontés à des procédures administratives très complexes car nous avons dû racheter ces terrains à l’État (dont celui du funpark) puis les revendre au maître d’ouvrage, Woodeum. Je n’allais pas me lancer dans un planning de reconstruction avant que les ventes ne se fassent », justifie-t-il. En attendant le dépôt des demandes de subventions et une concertation, la ville propose aux jeunes de se déplacer sur les terrains de sport en accès libre des XIVe et XVe arrondissements de Paris.