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  • LES RENDEZ VOUS A VANVES D’UNE SEMAINE DE VACANCES…MAIS PAS POUR LES CANDIDATS AUX MUNICIPALES

    Les principales têts de listes avec leurs co-listiers et militants ont débutés ce week-end de départ en vacances d’hiver par déambuler dans Vanves : Le PS tractait à une vingtaine dés Vendredi soir sur le Plateau, et samedi matin autour de la place de l’insurrection, du marché et du centre ancien avec un déjeuner à la Girafe, puis du porte à porte dans le quartier de la rue de châtillon pour informer les habitants de la réunion de proximité prévue le 20 Février à l’école Lemel. L’UDI/UMP se promenait avec leur anorak blanc dans Vanves Samedi matin, et continuait leur porte à porte entamé dés Vendredi Soir le jour de la Saint Valentin. Certains binômes UMP/UDI sont tombés sur des vanvéens qui s’apprêtaient à la fêter avec bougies sur la table du dîner. Du côté des rues de  Châtillon et de l’Avenir, beaucoup des leurs interlocuteurs tant des élus et militants UMP/UDI et PS,  ont fait part de leurs inquiétudes sur le projet de centre cultuel et culturel musulman, sur la sécurité de ce quartier. L’événement de la semaine sera bien sûr l’ouverture de la plus grande ferme de France samedi avec le traditionnel salon de l’agriculture. 

    Mardi 18 Février

    A 19H30 à Panopée (Festival Artdanthé) : « Mon cauchemar » d’Elise Simonnet qui a enregistré et travaillé à une pièce sonore à partir des récits, des voix et des souffles de 60 personnes qui lui ont racontés leurs cauchemars et rêves troubles. « Elle a choisit le rêve, pour sa puissance évocatrice, pour le «  tout est permis »

    A 21H au Théâtre Le Vanves (Festival Artdanthé) : « O Montagne ». Une piéce pour 7 interprétes dans le cadre de la « carte blanche à Loic Touzé » qui est un danseur et chorégraphe développant son activité dans le cadre de la compagnie ORO. « Nous avons souhaité le mettre à l’honneur car c’est un chorégraphe important dans le paysage chorégrapghique contemporain, au parcours artistique exemplaire et, de surcroît, très bon pédagogue » indique José Alfarroba. « Je veux raconter, m’adresser, émouvoir, trahir, utiliser, fabriquer, jouer avec le théâtre, profiter de la convention que nous offre le dispositif pour construire une épopée » explique Loic Touzé qui a développé, là, un travail précis avec la voix, pour  jouer avec le son et l’espaces, les costumes.  

    Mercredi 19 Février

    A 19H30 à l’ESCAL : Soirée « tempête neige »  autour d’une raclette et de jeux

    Jeudi 20 Février

    A 19H30 à l’école Maternelle Lemel : Réunion publique de proximité d’Antonio Dos Santos (PS) tête de la liste « Vanves, un nouveau souffle » dont l’un des thémes sera la sécurité avec sa proposition d’installer un local pour la police municipale dans ce quartier et d’étendre ses horaires de présence dans ses locaux et sur le terrain.

    A 19H30 à Panopée (Festival Artdanthé) : « Good Morning ! VOstbil » de Florence Minder, crée en 2011 pour le festival de formes courts XS au théâtre National de Bruxelles

    A 21H au Théâtre Le Vanves (Festival Artdanthé) : « mmeellooddgy nneelissoonn », piéce pour 2 interprétes  de Fanny de Chaillé qui s’inscrit dans la série intitilée « albums » du théâtre de la Cité Internationale de Paris où elle est artiste associée

    Samedi 22 Février

    A 14H30 à la Porte De Versailles : Manifestation du collectif d’associations  « contre la Tour Triangle » à l’occasion de l’ouverture du salon de l’agriculture

     

    A 20H au gymnase Roche : Match de Basket Vanves Aviators – Gries/Oberhoffen BC

  • CARNETS DE CAMPAGNE MUNICIPALE 2014 A VANVES : L’ILOT CABOURG, LE CHANTIER EMBLEMATIQUE DE LA MANDATURE

    L’îlot Cabourg est le chantier et la réalisation de ce mandat dont le maire est fier. Il peut considérer avec fierté d’en être le pére, et c’est l’une des satisfactions que seul  peuvent avoir deux types élus en France : le Maire et le Président de la République.

    Cette opération d’aménagement a été lancé un certain 18 Juin 2003 lors d’une réunion publique où le Maire et son équipe avaient présenté ce projet qui s’étendait alors sur 9500 m2 avec reconstruction du groupe scolaire entre le commissariat qui devait alors déménager dans l’ancienne gendarmerie et le square Jean Monnet avec le LEP Dardenne. Entre cet établissement et le Tribunal d’Instance, sur une superficie  sur 500 m2, une centaine de logements devraient être édifiés avec un parking public de 60 places. L’opposition accusait le maire de dilapider le patrimoine communal et de densifier alors que la Majorité expliquait que ses équipements publics seraient financés grâce à ses logements. Une association de riverains et de parents d’éléves dénommé « Ilot Cabourg » s’était tout de suite constituée pour veiller au grain, défendre leur environnement et leurs écoles, et surtout avoir un droit de regard.  Ils craignaient que ce projet confié à un promoteur, celui-ci « ne refasse Max Fourestier avec une école en rez-de-chaussée et des immeubles au-dessus ». 

    Un an après, le 3 Juin 2004,  il coupait l’herbe sous les pieds des opposants au projet qui s’apprêtaient à demander l’organisation d’un référendum en annonçant  que la ville gardait la maîtrise foncière totale de l’opération avec l’abandon du projet de construction de logements et d’extension du tribunal d’instance, avec la reconstruction des écoles, du centre de loisirs couplé avec la préservation du pavillon de l’ancien commissariat, la construction d’une salle polyvalente et d’un parking de 80 places.  « La ville se retrouve avec un scénario nouveau et deux options : Soit on détruit intégralement l’ensemble, soit on envisage une opération de réhabilitation/reconstruction avec maintien des surfaces en cours (au delà des normes requises par l’éducation nationale) » indiquait-il en proposant de réfléchir à la reconstruction de l’école élémentaire derrière le Tribunal d’Instance, avec dans son prolongement, le long de la rue J.Cabourg, une salle polyvalente ou de sports de 400 m2, le déménagement du Centre de loisirs dans les bâtiments du Commissariat.

    « On pouvait difficilement attendre plus » indiquait une des représentante de l’association Ilot Cabourg en remerciant le Maire de les avoir écouté et en se félicitant d’avoir été persévérant. « Vous allez nous enlever du travail. Vous avez présenté ce que nous voulions » reconnaissait Guy Janvier (PS) pour lequel il restait des questions sur le type d’équipement public, sur les circulations douces et la liaison de ce projet avec le Centre Ancien. Les discussions se poursuivirent alors sur ce qu’il fallait faire, notamment lors de réunion de concertation association parents d’éléves-enseignants et personnels administratifs et techniques des écoles et des Centres de Loisirs durant toute le reste de cette année 2004. Le 15 Décembre 2004, le conseil municipal approuvait le programme relatif aux travaux de recomposition de l’îlot Cabourg. Comme le montant de l’opération s’élevait à 8 163 001 €, la ville a sollicité diverses subventions en 2007/08 qui se montaient à 1 761 590 € et la Communauté d’Agglomération Arc de Seine pour l’attribution d’un fonds de concours 2009 d’un montant de 405 808 €. Ainsi 5 595 603 € devait rester à sa charge. 

    « Les équipes municipales précédentes n’ont pas pu le faire (la reconstruction) car c’était difficile ! » surtout au niveau financier. « Elles  ont surtout replâtrer en fonction des urgences en limitant les dégâts au niveau des écoles. Alors que toutes les conditions sont réunies aujourd’hui…Nous n’allons pas laisser tomber parce que la période n’est pas excellente. Le risque que l’on prend n’est pas aussi mauvais que cela » répondait le maire, à ses détracteurs qui s’inquiétaient de l’état des finances communales et des possibilités de la ville de mener une telle opération. Pour lui deux leviers étaient essentiels : la reconstruction du commissariat à la place de l’ancienne gendarmerie. Puis l’idée de rendre cet espace moins impénétrable, d’ouvrir des voies de circulation douce pouvant être la jonction entre le sentier des écoles pour rejoindre le square Jean Monnet, la rue René Coche, la gare….

    Les Verts regrettaient « que ce travail sur l’îlot Cabourg n’ait pas été relié  avec tout ce qu’il y a autour, et en particulier le Centre ancien de Vanves ». Ils mettaient en avant « un déficit de vision stratégique de la ville »… « dû à une sorte de tronçonnage de la ville ». Ils avaient même présenté le projet d’un éco-quartier durant la campagne municipale de 2008 qui s’étendrait au delà du périmétre de l’îlot Cabourg entre la Mairie et  le centre ancien, avec  des logements de très haute qualité environnementale, permettant mixité sociale et intergénérationnelle, relié par un cheminement piétonnier et cycliste continu vers le centre ancien et le parc F. Pic, et par dessus l’avenue Fratacci grâce à une passerelle qui devait le relier au marché puis au plateau de Vanves. « C’est exactement ce que l’on fait, avec des transparences, des cheminements qui traverseront ce quartier, des éléments de développement durable. Mais voilà, les Verts proposent de construire du logement social. Mais nous avons exclu la construction de logements lors de la concertation puisqu’on nous l’avait demandé. . L’ilôt Cabourg n’est pas un champ de pommes de terre… » répliquait  Bernard Gauducheau en Février 2008 durant la campagne des municipales en ajoutant qu’il est  « innovant en faveur du développement durable » avec toitures végétalisées, ventilation en double flux, éclairage basse tension concernant les bâtiments, cheminements piétonniers à travers cet îlot et connexion avec le mail Sadi Carnot et la future liaison douce entre le Plateau et le Centre Ancien. 

    Au printemps 2009 les 15 lots de l’appel d’offres avaient été accordés du premier coup, aucun ne s’étant révélé infructueux, pour 18 M€ au lieu de 23 M€ selon les prévisions. Durant l’été, les services municipaux s’étaient mobilisés pour déménager les deux écoles vers les locaux de la CPAM/PMI ou les bungalows du lycée Michelet. Et à la veille du démarrage du chantier, un petit groupe de plus d’une trentaine d’anciens écoliers avait pu effectuer une dernière visite dans cette école qui était « l’école de Vanves » grâce à l’initiative de Bernard Roche. Il n’y a pas eu trop de soucis « parce que les entreprises ont respecté les délais », quelques retards vite rattrapés par la suite, à cause des intempéries et des périodes neigeuses des deux hivers 2009 et 2010. Une réunion de chantier se réunissait tous les mardis matin sous la houlette de Gérard Laubier maire adjoint, secondé par Michel Dingreville, conseiller municipal, avec des fonctionnaires de la ville et surtout tous les entreprises intervenantes.  Ainsi ce chantier a participé au Plan de Relance lancé par le gouvernement en 2009.  Il faisait parti des 1947 projets  de moins de 50 M€ recensés en Ile de France, évalués à 6,4 milliards d’euros soit 40,4 milliers d’équivalents emplois en 11 mois d’activités.

    A la fin du chantier, et c’est encore le cas aujourd’hui, le maire était fier de faire visiter ce chantier. En Juin 2011, il faisait découvrir les nouvelles écoles aux  parents et à leurs enfants le 18, et aux conseillers municipaux le 21, avant de siéger en conseil municipal. Le consensus était très net sur cet îlot, sauf peut être de la part des écologistes : « Il faut voir comment ce bâtiment va vivre, comment sur le plan financier, il ne va pas empêcher de faire des travaux nécessaire dans les autres écoles. Il faut le voir maintenat habité, vivre, comment les enseignants l’apprécient, comment on en tire de nouvelles pratiques de convivialité » expliquait Lucile Schmid alors que ses collègues Pierre Toulouse et Claire Papy s’inquiétaient de savoir si ces bâtiments étaient HQE. Lors de l’inauguration le 15 Octobre, le préfet des Hauts de Seine était étonné : « C’est exceptionnel d’avoir récupérer une telle emprise ». Jean Marie Cavada était surpris par la luminosité qui régnait dans les piéces de cette école parlant de « légéreté ».

  • BILAN D’UN MANDAT MUNICIPAL A VANVES (suite et fin) : UNE POLITIQUE DE LA JEUNESSE ENTIEREMENT REViSEE

    Vanves au Quotidien termine sa série d’articles sur le bilan avant les Municipales de 2014 qui vont permettre de voir quel est le bilan de l’équipe municipale en place, à partir de son programme municipal pour 2008-14,  axé autour de 3 grands objectifs : Vanves Agréable, Vanves Vivante et Vanves Solidaire. Dans le cadre de « Vanves Solidaire », l’un des deux  grands bjectifs était « une solidarité active au cœur de toutes les étapes de la vie » avec pour l’adolescence : « épanouir » Qu’en est il 6 ans après ( le programme étant en gras) dans la mesure où la jeunesse a été très souvent l’un des thèmes de confrontations et de frictions entre la majorité et l’opposition municipal, l’équipe municipale ayant complétement réorganisée sa politique en direction de la jeunesse au cours dece mandat

    4) S’épanouir : l’adolescence

    - De Baes à Giner : une vraie politique socio-éducative

    La municipalité a pris le temps pour réorganiser sa politique de la jeunesse  au service des jeunes 11/17 et des 18/25 ans après avoir tatonnée. Dans un premier temps,  une structure ouverte et inter-générationnelle avec les 11-17 ans, une plateforme d’activité pour les 18-26 ans avec 2 associations, furent mis en place avec  un renforcement de l’action de prévention grâce à des éducateurs de rue du département. Ce changement d’orientation devait permettre d’élargir les activités du centre Albert Gazier qui accueillait les 13-17 ans car son responsable prenait aussi la direction du service jeunesse. Les activités musculations, Ju Jitsu et Foot  en salle étaient externalisées dans les locaux plus adaptés d’une association rue Ernest Laval, avec appel à l’association Art Evolution. Le home studio restant à Giner.  « Nous sommes plus dans une démarche d’insertion que d’activités pour les  + de 17 ans. Il ne faut pas se faire d’illusion, car à cet âge, ils recherchent du travail et des activités » expliquait  Marie Françoise Goloubtzoff, maire adjoint chargé de la Jeunesse.

    En Juin 2010 la ville créait tout d’abord  L’ESCAL (Espaces Socioculturels d’Animations et de Loisirs ) pour le secteur qui regroupe le Club Enfant, le Club Jeunesse (11-17 ans) avec des ateliers, des séjours et mini-séjours, un suivi-scolaire, ainsi qu’un Service d’Aide à la Parentalité(Forum des Familles) qui utilisaient les espaces Albert Gazier et Sébastien Gîner (puis Jean Monnet à partir de 2011) : « L’objectif est de mettre fin à des confusions entre l’appellation des locaux de la rue J.Bleuzen et celle du Centre socioculturel pris dans sa globalité et une interrogation sur la place du club jeunesse 11/17 ans dans cette organisation » expliquait on à la Mairie.   

    Ensuite, un service municipal  - pôle jeunesse - était constitué tourné vers les 11/30 ans  avec des activités sportives et (foot en salles, club Moving de Boulogne avec des activités Fitness, musculation, danses) culturelles pour les 16/25 ans en introduisant la notion d’accompagnement de projets dans un cadre collectif (formations AFPS, BAFA, séjours en autonomie ou humanitaires, projet Défi Jeunes avec 10 Projets en 2012…) qui touchent prés de 200 jeunes (en 2012) et non de reproduire des activités que les jeunes sont capables d’organiser eux même Avec des ateliers annuels, des animations pendant les vacances, des séjours avec une implication des jeunes dans leurs déroulés. Et un point Information  Jeunesse pour les 11/30 ans qui est fréquenté par prés de 800 Jeunes (791 en 2012). Il est à l’écoute des demandes des jeunes, accueille les collégiens en exclusion scolairer temporaire, coordonne les aides aux projets jeunes, organise des événements, des journées européennes, des forums, des rencontres inter-jeunes, oriente les porteurs de projet vers le bon interlocuteur etc…

    - Bourses pour le permis de conduire et le BAFA en échange de bénévolat social (18-25 ans)

    Le Pôle Jeunesse a mis en place une bourse au permis de conduire. Il concerne les jeunes (18/25 ans) scolarisés ou en formation qui en ont besoin pour faciliter leur intégration dans le monde professionnel (commerciaux, chauffeurs-livreurs…). En contrepartie de cette aide financière d’un montant de 600 €, le bénéficiaire doit donner 25H de bénévolat dans différents domaines d’aide à la personne  (agées ou à mobililté réduite) aux enfants ou aux jeunes en difficultés scolaires (soutien) ou à la collectivité (mise en place de manifestations sportives ou festives). 8 Jeunes en ont profité en 2012.

    Le Conseil municipal du 8 Février 2012 a décidé de financer une formation au BAFA de jeunes qui souhaitent s’orienter vers des métiers nécessitant ce diplôme. En contrepartie de cette participation financière de 50 €, ils s’engagent à effectuer leur stage pratique dans l’une des structures de la ville. 20 Jeunes en ont profité en 2012

    - Bourse d’aides aux projets des jeunes

    Des jeunes de 18-25 peuvent bénéficier d’une aide de la ville depuis le début de l’année 2011 pour des projets qui vont de la formation à la réalisation d’un clip vidéo en passant par le tour de la péninsule ibérique et la traversée de la France à vélo ou un échange universitaire à l’étranger

    -  Création d’un Comité Consultatif de la Jeunesse (18-25 ans),

    Il a été mis en place le 16 Décembre 2008

    - Création d’une carte jeune facilitant l’accès aux équipements sportifs, culturels et éducatifs de Vanves

    Elle est encore à l’état de projet

    - Mise à disposition d’un Home Music Studio  et création d’un site internet géré par les jeunes

    Cette activité pour les 18/25 ans qui comprend l’enregistrement et l’encadrement des projets musicaux et de vidéos clips de jeunes vanvéens (animations des projets, planning, encadrement des artistes) a beaucoup évoluée et changé de lieux de Giner au studio d’enregistrement de l’association Art Evolution

    - Animations sur le Fun Park rue Louis Vicat et organisation d’une nuit du cinéma

    Ce fut Fun Park avait été inauguré en Février 2008 juste avant les élections municipales. Si des animations se sont déroulées, elles sont restées discrétes, sachant que la ville a dû mettre en place des horaires de fonctionnement (8H-22H)  et effectuer des travaux de rénovation et de sécurisation. La nuit du Cinéma n’a jamais vu le jour en dehors d’une soirée cinéma en plein air sur la place de l’îlot Cabourg