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assemblée nationale

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

    Week-end très catho à Vanves avec samedi la participation de vanvéens au pélrinage diocésain  qui les ménera à pied de leurs paroisses à Saint Sulpice, avec un Café dialogue à La Girafe. Puis dimanche la grande cérémonie religieuse d’intronisation du pape Léon XIV que les sœurs bénédictines vont suivre en direct dans la salle Saint Jean de leur prieuré Saint Bathlide,  avec les Vanvéens qui le souhaitent à 10H. Du coup, elles ont avancées leur messe dominicale à 9H. Mais aussi politique avec des élections chez LR:  Les adhérents vanvéens, comme tous les militants français devront choisir entre Bruno Retailleau et Laurent Wauquiez sachant que Sandrine Bourg  délégué  LR de la 10e circonscription (Vanves-Issy) soutient Laurent Wauquiez.

    NOUVELLLE ETAPE DANS LE CHANTIER DES GLACIERES

    Une nouvelle étape a été franchie la semaine dernière dans le chantier de restauration des Glacières du parc F.Pic : Un lanterneau a été posé, sur le toit du bâtiment  (sur la photo) pour permettre une ventilation naturelle des Glaciéres. D’après les techniciens, « les avantages sont de réduire l’humidité en permettant à l’air humide de s’échapper, de contrôler la température en prévenant les points chauds et en maintenant une température plus uniforme, de faire des économies d’énergie en réduisant la charge sur les systèmes de refroidissement ». Les vanvéens qui se promènent dans le parc peuvent voir  l’état d’avancement des travaux, leurs intérieurs étant visible et accessible aux artisans qui réalisent cette restauration. 

    D’ici l’été, les coupoles, les façades, les parements intérieurs, les huisseries devraient être réalisées…dans un chantier qui « peut réserver des surprises au fur et à mesures de son avancement et des imprévus » a précisé Pascal Vertanessian lors d’une réunion de quartier,  pour éteindre, là encore une polémique, lancée sur les réseaux sociaux, par des vanvéens qui faisait état d’une augmentation du budget de ce chantier.

    ATTAL ET DREYFUS

    Le 2 juin prochain, l’Assemblée nationale examinera une proposition de loi que  Gabriel Attal, député de Vanves a  déposée avec le groupe EPR visant à élever Alfred Dreyfus au grade de Général de brigade à titre posthume. « Accusé, humilié et condamné parce que juif, Alfred Dreyfus a été radié des cadres de l’Armée, emprisonné et exilé sur l’île du Diable. Le 13 juillet 1906, déjà, au lendemain de la réhabilitation d'Alfred Dreyfus par la Cour de cassation, c’est l’Assemblée nationale qui avait agi pour laver l’honneur de la République, en votant une loi pour réintégrer Dreyfus dans les Armées. Malgré cela, la carrière d’Alfred Dreyfus a été irrémédiablement freinée »rappelle l’ex-premier ministre.

    « C'est pourquoi nous portons cette proposition de loi visant à l’élever au grade de Général de brigade, grade qu’il aurait atteint sans l’ignoble machination dont il a fait l’objet, selon Frédéric Salat-Baroux, Pierre Moscovici et Louis Gautier, qui ont signé dans Le Figaro un appel à légiférer en ce sens » ajoute-t-il en remerciant le Gouvernement d'avoir engagé une procédure accélérée pour permettre une adoption rapide de cette proposition de loi. « Je formule le vœu que le 2 juin, la représentation nationale puisse, à l’unanimité, œuvrer à réparer l’indignité et faire honneur à la République »

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

     INCENDIE AU STADE HUNEBELLE VU DE VANVES

    Un spectaculaire panache de fumée qui s’élevait au loin, du côté de Clamart, a étonné beaucoup de vanvéens qui ont même entendu des explosions hier à l’heure du déjeuner. Il provenait d’un incendie sur le chantier du complexe sportif Hunebelle, le toit-terrasse du gymnase étant  en proie aux flammes.  Une quarantaine de pompiers, des casernes de Clamart, Meudon et Issy-les-Moulineaux, ont été dépêchés sur place. Selon une source policière, la cause serait accidentelle, potentiellement liée à l’utilisation d’un chalumeau, lors de travaux d’isolation ( ?) sur le toit. Vanves avait connu voilà quelques mois, un incident similaire sur le toit de la piscine,  mais beaucoup moins grave, qui avait aussi dégagé beaucoup de fumée

    VANVES FETE NOTRE DAME DE FATIMA SOURCE D’ESPERANCES ET DE MIRACLES

    Comme au Portugal à chaque 13 Mai de l’année, la ville de Vanves honore Notre Dame de Fatima à l’église Saint Remy, parce que « Notre-Dame de Fatima est très vénérée par les paroissiens d’origine portugaise » explique Xavier Schelker curé de Vanves qui a souhaité placer son ministère vanvéen sous la protection de la Bienheureuse Vierge Marie. Une statue a même été offerte par Illido et José, inauguré et placée dans un petit oratoire situé dans le jardin de la maison presbytéral voilà deux ans. L’année dernière Mgr Matthieu Rougié, Evêque des Hauts de Seine avait célébré la messe en invitant les vanvéens à penser aux ukrainiens, aux arméniens et aux chrétiens des terres saintes qui vivent dans des régions en conflit. Pour beaucoup de portugais, le 13 Mai, est une date très importante à leurs yeux, « car comme pour nous français, avec Notre dame de Lourdes, elle est source de miracles et d’espérance » faisait remarquer Xavier Schelker. 

    ATTAL ET RENAUD SIGNENT UNE TRIBUNE COMMUNE EN FAVEUR DE LA MORT ASSISTEE

    Dans le dernier numéro de La Tribune du dimanche, publié le dimanche 11 mai 2025, l'ancien Premier ministre Gabriel Attal s'est associé à la célèbre comédienne Line Renaud pour rédiger une tribune en faveur du projet de loi sur la fin de vie, à la veille du débat qui a débuté à l’Assemblée Nationale lundi matin. «Il n'y a pas de débat plus intime que celui de la fin de vie. Il provoque des craintes. Des passions. Des caricatures. II est aussi une source d'espoir pour de nombreux malades pour de nombreuses familles qui n'aspirent qu'à une chose. La dignité. Car, disons-le franchement et d'emblée. La mort n'a rien d'anodin. Être arraché à sa famille et à ses proches n'a rien d'anodin. Et donc, les malades qui souhaitent être accompagnés vers la mort ne le font ni par lubie ni par légèreté » ont-ils ainsi commencé. « Si nul ne souhaite mourir, en revanche, certains peuvent vouloir arrêter de souffrir. Car la terrible réalité est là : parfois, la souffrance prend le pas sur la vie », ont ainsi expliqué Gabriel Attal et Line Renaud. Et si les deux personnalités n’ont « ni le même parcours, ni le même âge », ils se retrouvent autour d’une idée commune : celle « d’offrir aux malades la liberté de choix, et à tous l’opportunité d’une fin digne». Et si certains utilisent ce sujet sociétal à des fins politiques, par pur « conservatisme » la chanteuse et l’ancien Premier ministre ne l’entendent pas de cette oreille. « Cette question est trop grave, trop lourde, trop sérieuse, pour être à son tour victime de récupération et otage de guerres purement politiciennes », ont-ils prévenu. Car selon eux, s’opposer à cette « évolution du droit », « c’est manquer à son devoir d’écoute et d’humanité pour imposer sa morale. »

  • LE DEPUTE DE VANVES EN UKRAINE : « Une visite dont on ne revient pas indemme ! » confie Gabriel Attal

    Alors qu’Emmanuel Macron rencontrait Donald Trump, le 24 Février dans son bureau ovale à Washington, Gabriel Attal débutait un séjour de 3 jours en Ukraine, où il a, ce jour-là, participé à un forum de soutien à l’Ukraine « YES » où étaient présent Ursala Von der Leyen, présidente de la commission, Antonio Da Costa président du Conseil Européen, plusieurs chefs d’Etat et de gouvernement, 3 ans après le début de l’invasion russe. Dés son retour, il évoquait devant quelques journalistes un voyage dont «on ne revient pas indemne» fait de rencontres avec des mères endeuillées et des vétérans mutilés,  d’une visite d’une école souterraine, qui lui a permis de mesurer la « détermination des Ukrainiens à tenir coûte que coûte », avec des nuits souvent ponctuées d’attaques de drones russes, notamment à Odessa (sur la photo lors de la visite de la cathédrale de Transfiguration plusieurs fois bombardé)

    Ce n’est pas la première fois que Gabriel Attal s’est rendu dans ce pays où sa famille maternelle a des origines ukrainiennes. L'an passé, après son départ de Matignon, il s'était rendu sur les rives de la mer Noire en compagnie de sa mère à la découverte des lieux où ont vécu ses grands-parents et arrière-grands-parents. Cette fois-ci, il s’est rendu à Zaporija à 30 km de la ligne de front, et à Odessa, en Crimée, sur la terre de ses aïeux, où il a visité le château de son grand-père, devenu aujourd'hui un lycée agricole. L'an passé, Le Monde avait rapporté que son arrière arrière-grand-père Iouri Meyendor avait été assassiné par un révolutionnaire anarchiste ukrainien, Nestor Makhno, chef d'une armée de combattants opposés au tsar et aux bolcheviques. Le chef des députés Ensemble pour la République (EPR) qui était accompagné de Delphine Lingemann et Natalia Pouzyreff, députées Renaissance respectivement du Puy de Dôme  et des Yvelines en est revenu avec l’idée de plaider pour «la poursuite et le renforcement de notre soutien militaire» à l’Ukraine et de porter «l’accélération du calendrier d’adhésion à l’Union européenne».

    D’autant plus – Et ll est d’ailleurs,  l’un des rares députés à s’être exprimé  - après le retournement de la position américaine après l’investiture de Trump  concernant ce pays et l’Europe,  les propos sidérants du vice président américain à la conférence de Munich sur la sécurité qui ont plus que troubler  spécialistes et journalistes, et surtout la violente altercation Trump -Zelensky dans le bureau ovale  : « Les États-Unis ont perdu le droit de se revendiquer comme les leaders du monde libre. Ce rôle nous revient à nous, Européens. L'Europe a la force de tenir ce flambeau. Elle doit en avoir le courage » réagissait il vendredi dernier  en faisant confiance au Président Emmanuel Macron « pour, sans attendre, et avec tous les États qui y sont prêts, aller au maximum des livraisons d’équipements et de fonds disponibles à l’Ukraine. Et plus largement, c’est une Europe souveraine et indépendante qui assure sa sécurité et son autonomie stratégique que nous devons construire. Maintenant »

    « Depuis 3 ans, les Ukrainiens se battent avec bravoure et héroïsme contre l'agresseur russe. Je viens leur dire toute la solidarité et le soutien absolu que nous portons au peuple ukrainien, victime d’une guerre cynique et brutale, voulue, enclenchée et menée par Vladimir Poutine. Toute paix négociée sans l’Ukraine serait illusoire. Elle préparerait les conflits de demain, plus forts et plus violents encore. Elle marquerait l’avènement d’un nouvel ordre mondial fondé sur la loi du plus fort et les instincts de prédation » expliquait le député de Vanves juste avant son départ. «Livraison de canons Caesar, livraison de Mirage-2000, formation de militaires ukrainiens, ce soutien concret et tangible apporté au peuple ukrainien, est un honneur pour notre pays. Ce sont nos valeurs de liberté universelle en actes. Et ce sont précisément ces valeurs, le droit international et le multilatéralisme qui sont ici testés par le Kremlin. Abandonner les Ukrainiens serait abandonner ce que nous sommes » ajoutait l’ex-premier ministre qui a été tout récemment élu  président du groupe d’Amitiés France-Ukraine

    Il  avait eu l’occasion d’affirmer, à la réunion du 20 Février à l’Elysée avec les différents partis, « qu’aucune négociation ne peut avoir lieu sans l’Ukraine et sans l’Europe. Ce qui est en jeu, c’est leur pays, c’est notre continent, ce sont les valeurs universelles. Le dialogue bilatéral qui s’est ouvert entre les Etats-Unis et la Russie ne décidera pas du sort des ukrainiens. Comment pourrait-il en être autrement alors que le régime du Kremlin continue de bombarder l’Ukraine, refuse de discuter avec ses dirigeants, et que le Président Trump a lui-même remis en cause la légitimité démocratique du Président Zelensky ? Dire cela, ce n’est pas renoncer au dialogue, et nous devons continuer à échanger avec les Etats-Unis pour les convaincre de soutenir une paix solide et durable, négociée avec et pour les Ukrainiens » expliquait le Secrétaire Général de Renaissance quelques jours avant le déplacement du Président de la République à Washington. Tout en rappelant que l'année dernière, en tant que Premier ministre, il avait défendu et obtenu l'adoption par le Parlement d'un accord bilatéral de sécurité sans précédent entre la France et l'Ukraine : « Il y a quelques semaines, nous étions collectivement fiers de voir la France livrer à l’Ukraine de premiers avions de combat Mirage-2000 ».