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la tribune dimanche

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

     INCENDIE AU STADE HUNEBELLE VU DE VANVES

    Un spectaculaire panache de fumée qui s’élevait au loin, du côté de Clamart, a étonné beaucoup de vanvéens qui ont même entendu des explosions hier à l’heure du déjeuner. Il provenait d’un incendie sur le chantier du complexe sportif Hunebelle, le toit-terrasse du gymnase étant  en proie aux flammes.  Une quarantaine de pompiers, des casernes de Clamart, Meudon et Issy-les-Moulineaux, ont été dépêchés sur place. Selon une source policière, la cause serait accidentelle, potentiellement liée à l’utilisation d’un chalumeau, lors de travaux d’isolation ( ?) sur le toit. Vanves avait connu voilà quelques mois, un incident similaire sur le toit de la piscine,  mais beaucoup moins grave, qui avait aussi dégagé beaucoup de fumée

    VANVES FETE NOTRE DAME DE FATIMA SOURCE D’ESPERANCES ET DE MIRACLES

    Comme au Portugal à chaque 13 Mai de l’année, la ville de Vanves honore Notre Dame de Fatima à l’église Saint Remy, parce que « Notre-Dame de Fatima est très vénérée par les paroissiens d’origine portugaise » explique Xavier Schelker curé de Vanves qui a souhaité placer son ministère vanvéen sous la protection de la Bienheureuse Vierge Marie. Une statue a même été offerte par Illido et José, inauguré et placée dans un petit oratoire situé dans le jardin de la maison presbytéral voilà deux ans. L’année dernière Mgr Matthieu Rougié, Evêque des Hauts de Seine avait célébré la messe en invitant les vanvéens à penser aux ukrainiens, aux arméniens et aux chrétiens des terres saintes qui vivent dans des régions en conflit. Pour beaucoup de portugais, le 13 Mai, est une date très importante à leurs yeux, « car comme pour nous français, avec Notre dame de Lourdes, elle est source de miracles et d’espérance » faisait remarquer Xavier Schelker. 

    ATTAL ET RENAUD SIGNENT UNE TRIBUNE COMMUNE EN FAVEUR DE LA MORT ASSISTEE

    Dans le dernier numéro de La Tribune du dimanche, publié le dimanche 11 mai 2025, l'ancien Premier ministre Gabriel Attal s'est associé à la célèbre comédienne Line Renaud pour rédiger une tribune en faveur du projet de loi sur la fin de vie, à la veille du débat qui a débuté à l’Assemblée Nationale lundi matin. «Il n'y a pas de débat plus intime que celui de la fin de vie. Il provoque des craintes. Des passions. Des caricatures. II est aussi une source d'espoir pour de nombreux malades pour de nombreuses familles qui n'aspirent qu'à une chose. La dignité. Car, disons-le franchement et d'emblée. La mort n'a rien d'anodin. Être arraché à sa famille et à ses proches n'a rien d'anodin. Et donc, les malades qui souhaitent être accompagnés vers la mort ne le font ni par lubie ni par légèreté » ont-ils ainsi commencé. « Si nul ne souhaite mourir, en revanche, certains peuvent vouloir arrêter de souffrir. Car la terrible réalité est là : parfois, la souffrance prend le pas sur la vie », ont ainsi expliqué Gabriel Attal et Line Renaud. Et si les deux personnalités n’ont « ni le même parcours, ni le même âge », ils se retrouvent autour d’une idée commune : celle « d’offrir aux malades la liberté de choix, et à tous l’opportunité d’une fin digne». Et si certains utilisent ce sujet sociétal à des fins politiques, par pur « conservatisme » la chanteuse et l’ancien Premier ministre ne l’entendent pas de cette oreille. « Cette question est trop grave, trop lourde, trop sérieuse, pour être à son tour victime de récupération et otage de guerres purement politiciennes », ont-ils prévenu. Car selon eux, s’opposer à cette « évolution du droit », « c’est manquer à son devoir d’écoute et d’humanité pour imposer sa morale. »

  • 2024 L’ANNEE DE VERITE DU CONSEILLER MUNICIPAL MINISTRE DE VANVES : G.ATTAL

    « Attal sera une figure importante en 2024. Son grand défi est que ses mots se transforment en actions » expliquait  le vanvéen Bruno Jeudy qui dirige la rédaction de la Tribune Dimanche « Ça n'est pas un hasard si c’est la personnalité gouvernementale qui marque des points, car le Ministre a un discours clair. Il pose un diagnostic partagé par les Français et tente d'apporter des réponses » expliquait de son côté Jérôme Fourquet ces derniers jours sur France Info. Ces commentaires sont d’autant plus intéressant que son nom revenait très souvent ces dernières heures pour remplacer Elisabeth Borne à Matignon, après sa démission hier, en fin d’après-midi. Avec un signe : Il a remis tous ces rendez-vous de lundi dont ses voeux. Si c’était le cas, il deviendrait le plus premier ministre à l’âge de 34 ans, et ferait la fierté de la ville de Vanves dont il est un conseiller municipal   

    Ainsi, depuis sa nomination au ministère de l’éducation nationale voilà 6 mois, il s'est installé comme une des principales figures de la majorité et incontournable de la politique française.  Il a même reçu les louanges publiques d'Emmanuel Macron récemment : « Quand je l'ai nommé, je l'ai fait en sachant que j'avais un responsable politique qui avait l'énergie, le courage, pour mener les combats nécessaires » avait déclaré le chef de l'État, le 20 décembre dernier dans l'émission « C à vous», sur France 5.

    Il a incontestablement changé de stature. « Son poids politique croît en même temps que sa côte de popularité » notait Le Monde en révélant qu’il faisait parti de la poignée de ministre de premier plan (avec Gérard Darmanin, Bruno Le Maire, Eric Dupont Moretti, Christophe Béchu)  qui sont invités à des discrétes réunions autour du chef de l’Etat  pour « mettre le systéme en action » et lui « faire des propositions » en vu de ce 24 Janvier durant lequel Macron présentera son « nouveau cap ».  Qu’il devra mettre en œuvre s’il est nommé à Matignon

    Son nom, entre enthousiasme et scepticisme, commençait même à circuler pour 2027. D’ailleurs les journalistes politiques n’ont pas manqué de constater que sur la photo prise pour illustrer la »Une » de la Tribune Dimanche  du 17 décembre 2023,  le représentait avec la même posture, le même regard déterminé, le même sourire esquissé  de Macron sur sa photo officielle de  2022, ont remarqué les journalistes politiques.

    Au début de cette année, il était classé parmi les personnalités préférées des français « Sa décision d’interdire l’abaya dans les établissements scolaires a fait exploser sa cote de popularité et vu le jeune ministre s’imposer comme la personnalité politique préférée des Français, devant l’ex-Premier ministre Edouard Philippe » notait l’un d’entre eux en ajoutant : « le bon élève de la majorité, dont le nom circule déjà pour la mairie de Paris ou l’élection présidentielle de 2027, devra toutefois se méfier de « l’effet chouchou » dont avait bénéficié son prédécesseur Jean-Michel Blanquer, avant de voir son étoile pâlir rue de Grenelle ».

    Il ferait même des jaloux dans les couloirs du pouvoir dont l’ascension commence à en agacer certains.  Il est même attendu au tournant, car selon un député, « il n'a pas encore transformé l'éducation nationale ». En d'autres termes, il doit montrer son savoir-faire après avoir usé de son savoir-dire. En tous les cas, cela ne l’a pas empêché à s’offrir un break pour Noël, en Savoie, avec quelques jours de ski en famille dont témoigne une photo parue sur Facebook (sur la photo), pour recharger ses accus. Il en aura bien besoin s’il accède à Matignon

  • BRUNO JEUDY, UN JOURNALISTE HABITANT VANVES A LA TETE DE LA TRIBUNE DIMANCHE

    Un vanvéen se trouve à la tête de la rédaction du premier numéro d’un nouvel hebdomadaire généraliste du dimanche qui parait demain, 8 Octobre, comme prévu, « La Tribune Dimanche » : Bruno Jeudy, ex-journaliste de Paris Mach, viré par Vincent Bolloré que les vanvéens voient souvent commenter l’actualité politique sur BFM-TV, ou dans des émissions de la Cinq ou Public Sénat

    «Réaliser un journal en 80 jours, c’est un peu comme un marathon couru par un sprinteur» expliquait il hier sur France Infos en présentant cet hebdo qui sera vendu en format berlinois au prix de 2,40 €. Il fera 48 pages, au lieu des 32 annoncées pour ce premier numéro «la confession d'une personnalité importante qui a un peu quitté la politique il y a quelques années». Il assurait que «ce premier numéro sera formidable ! Il va faire 48 pages et le premier succès, c'est qu'il y aura beaucoup de publicités ce qui veut dire que le marché l'a bien accueilli. Mais on voudrait surtout que les lecteurs soient heureux de l'avoir dans les mains dimanche. Ils le seront parce que la promesse de ce journal d'être généraliste, c'est à la fois pour moitié d'explorer le monde, la politique, l'international, le business, l'écologie, mais aussi les sciences, l'intelligence artificielle. On traitera moins les faits divers que l'on retrouve beaucoup sur les chaînes d'info le samedi». Bruno Jeudy a défini La Tribune Dimanche comme « nuancé et prescripteur », ne voulant pas d’un titre « anxiogène » et dans lequel « l’opinion n’a pas sa place… On fera des coups journalistiques, des interviews et il y aura un grand format enquête » expliquait il sur France Info. Le tirage devrait être de 120 000 exemplaires. La direction espère en vendre 30 000. Un abonnement à 9 € par mois permettra d’avoir accès au journal dès le samedi soir, ainsi qu’à La Tribune

    «Moi, je ne cherche pas des électeurs, je cherche des lecteurs et pour avoir des lecteurs, il faut être bons !» at-il répondu lorsque France Infos lui demandé s’il espérait des lecteurs qui lisaient avant le JDD ? Est-ce une revanche pour vous qui avait été viré de Paris-Match à l'été 2022 ? «  À l'époque, j'ai pris mes responsabilités, ça a été un déchirement. J'en ai pleuré de quitter le journal, mais la page est tournée ! ». Des anciens journalistes grévistes du JDD ont rejoint sa rédaction dont il a constitué une équipe tout au long de l’été 2023. Soazig Quéméner, rédactrice en chef politique de Marianne, sera sa numéro deux. Ludovic Vigogne, de L’Opinion, sera aussi de la partie, avec lequel il avait co-écrit un livre sur Nicolas Sarkozy après son élection à l’elysée. Le quotidien liste également la présence de Philippe Vandel, Anna Cabana et François Clemenceau.

    En tous les cas, pas question de faire de la Tribune Dimanche,  un anti JDD :  « Je sais bien qu’on veut nous opposer, mais plus il y aura d’offres, mieux ce sera ».  Bruno Jeudy concède tout de même que la crise au JDD a « accéléré » la sortie de La Tribune dimanche. Mais il rappelle aussi que Jean-Christophe Tortora avait ce projet en tête depuis longtemps. Mais, surtout, tous les deux préfèrent évoquer la concurrence avec les autres titres du dimanche, dont les régionaux, avec la nécessité de se faire une place sur un marché occupé entre autres par Le Parisien Dimanche, L’Équipe dimanche et Dimanche Ouest-France.