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VANVES ET LA REGION CAPITALE - Page 2

  • LE MAIRE DE VANVES ENTRE SESSION BUDGETAIRE A LA REGION, VŒUX ET GALETTE A LA METROPOLE ET A L’UDI

    On ne l’a pas beaucoup entendu, mais il était présent à ces trois jours de session budgétaire à la Région qui a voté hier en fin d’après midi son budget de 5,5 milliards d’euros, aux Vœux de la Métropole du Grand  Paris lundi qui fêtait son 1er anniversaire, et du Conseil Régional mardi au musée du quai Branly qui célébrait la première année de mandat de Valérie Pécresse. Et pourtant il était aussi très présent dans sa ville malgré tout avec bientôt une galette des rois des adhérents de l’UDI une semaine après celle des Républicains de Vanves

    « C’est bien un budget d’engagements tenus. On a engagé 2/3 de notre programme en s’attaquant aux vrais problèmes de fonds, le budget 2017 étant un acte politique à part entière. Il reflète les combats que  nous menons pour renforcer l’attractivité de l’Ile de France, financer la révolution des transports, améliorer la qualité de l’air, et faire de l’IDF une région solidaire » a constaté Franck Cecconi président du groupe du groupe UDI dans lequel Bernard Gauducheau siége, qui a salué « l'effort sans précédent de 738 millions d'investissement pour les transports ». Face à des socialistes qui ont reproché à Valérie Pécresse   « comme ses amis politiques élus à la tête de grande région,  de se servir de son mandat comme vitrine politique à  sa carrière politique, d’orienter les nouveaux investissements de transports vers les  territoires qui vous sont le plus favorables » en citant « le Grand Paris des Bus  dans lequel il faudrait remplacer Paris par les Hauts de Seine pour être plus fidèle à la réalité » et en l’accusant de détricoter systématiquement toutes les politiques de solidarités desrégions. « Ces dernières sont finalement devenues en quelques mois des laboratoires miniatures de ce que serait la France sous François Fillon si d’aventure la gauche perdait les élections en mai prochain ».

    Aux vœux de la Région, Valérie Pécresse a souhaité unerégion exemplaire  grâce notamment  à l’excellence environnementale, chére au groupe UDI et la vie présidente Chantal Jouanno chargée de l’environnement qui est venu à Vanves plusieurs fois,  en multipliant par 13, ses investissements sur la qualité de l’air  avec une vision précise : Promouvoir une écologie incitative et non punitive. « Face aux embouteillages et à la galère des transports, nous voulons être la collectivité des solutions en proposant, en matière de circulation à Paris, des scénarios alternatifs de piétonisation, plus progressifs, plus doux et plus équilibrés » a-t-elle expliquée, alors que la ville de Paris met en place un Plan Piéton qui sera examiné au Conseil de Paris lundi prochain, et qui va encore limiter la place de la voiture dans la ville.

    Aux Vœux de la Métropole du Grand Paris, Bernard Gauducheau s’est retrouvé parmi plus de 400 personnes pour fêter son premier anniversaire de la Métropole du Grand Paris, mais entre Anne Hidalgo et le vice président Thierry Beaudet (Transports) à la région, lors des discours. Lors des prises de paroles, les différents intervenants se sont félicités des nombreuses actions portées par la MGP depuis un an, notamment l'appel à projet « Inventons la métropole » (425 dossiers de candidature ont été déposés pour les 59 sites retenus dont la porte Brancion), la création du Fonds d'Investissemernt métropolitain  (FIM) et le versement, dès 2016, de plus de 6 M€ de subvention dont devrait profditer Vanves pour la rénovation de la tribune du PMS A.Roche,  la mise en place de l'aide « Métropole roule propre! » qui permet à un particulier de remplacer son véhicule polluant grâce à une aide pouvant aller jusqu'à 5 000 € dont peuvent profiter les vanvéens… « En 2017, la montée en charge dans la construction métropolitain doit se poursuivre, particulièrement avec la compétence GEMAPI (Gestion des milieux aquatiques et prévention des inondations), la définition du Plan métropolitain de l'Habitat et de l'Hébergement (PMHH), la rédaction de documents d'urbanisme structurants tels que le Plan Climat-Air-Energie métropolitain, le Schéma de Cohérence Territoriale métropolitain ou encore le Schéma énergétique et le schéma d'aménagement numérique.».

  • AUTOUR DE VANVES, LA RENTREE POLITIQUE S’ANIME GRACE AUX REPUBLICAINS ET A PECRESSE

    Première semaine d’automne animée par des rendez-vous politiques : Le PS 92 tient son université d’été départementale à Suresnes et l’UDI tient son université d’été à Issy les Moulineaux où seront présents élus et militants vanvéens. Il était temps, car l’été est passé. Les Républicains sont en ordre de bataille pour les primaires, avec le lancement de la campagne de François Fillon ce soir au Cirque d’Hiver où devrait être présent Isabelle Debré, vice présidente du Sénat ; une réunion de lancement du Comité de Soutien à Bruno Lemaire dans les Hauts de Seine, ce soir à Clichy, où devrait être présente Sandrine Bourg, conseillère municipale de Vanves, sachant que le député de l’Eure sera à Courbevoie lundi prochain pour une réunion publique d’échanges. Enfin, au Palais des Sports de Puteaux , les sarkozystes invitent ce soir  à un apéritif-rencontre de soutien à l’ex-chef de l’Etat avec Eric Woerth où seront présents d’autres vanvéens bien sûr. 

    Mais l’événement de ces derniers jours était le retour de Valérie Pécresse  sur ces terres où tout a commencé voilà 3 an, dans le parc de l’ile Saint Bermain pour un pique nique républicain quelque peu  humide samedi dernier, entouré  par quelques uns  de ses nouveaux visages de l‘IDF, gagnants de l’alternance dans plus de 50 villes franciliennes, 2 nouveaux départements (77 et 91) -  «Nous avons gagné parce que nous étions unis et rassemblés : c’est l’union de la droite et du centre qui a fait notre victoire. Ne l’oublions pas à l’heure où nous devons choisir notre candidat pour l’élection présidentielle» a-t-elle déclarée - et la Région qu’elle a reconquiert voilà prés d’un an : «Quand nous sommes arrivés,  nous avons trouvé une région minée par les inégalités sociales et territoriales, une région où les caisses étaient vides, une région où aucun grand projet n’était financé. L’ambition pour notre formidable territoire n’était pas là. En neuf mois, nous avons commencé à «inverser la courbe», comme disent certains. Nous avions dit ce que nous allions faire et nous avons fait ce que nous avions dit : c’est ce que j’appelle faire de la politique par la preuve.  Le résultat, aujourd’hui, c’est que parmi les 174 propositions de mon programme de campagne, plus de 100 ont déjà été lancées. C’est 8 mois de promesses et d’engagements tenus !» a-t-elle déclaré en rappelant quelques unes des mesures emblématiques de son programme mis en place : bouclier de sécurité, lutte contre la radicalisation, contre la fraude,  contre la pollution de l’air,  contre le gaspillage et la gabegie avec un nouveau siège pour 2018, la révolution des transports, le lycée de toutes les réussites….avec un plan contre les bouchons et une stratégie culturelle pour 20126-20 qu’elle fera adopter Jeudi et vendredi par le Conseil Régional auquel participe le maire de Vanves

    Mais elle en a profité pour défendre un nouveau statut pour la Région grâce à «un vrai choc de simplification et de décentralisation,  car l’efficacité de l’action publique exige de la simplicité. Nos cloisonnements et nos empilements de strates administratives incompréhensibles font de nous un sujet de moquerie chez tous nos voisins. Rendez-vous compte : cinq échelons administratifs pour la seule ÎDF ! Deux autorités différentes pour gérer les transports. Des dizaines d’organismes différents pour s’occuper du tourisme. Des dizaines de guichets différents pour nos entreprises... Je défends, vous le savez, une région-métropole stratège sur les grandes orientations économiques, les infrastructures-clés et les grands événements. Je défends aussi un conseiller territorial unique siégeant à la fois au département et à la région ». Elle n’est pas la seule à vouloir tout changer et surtout supprimer la Métropole du Grand Paris

  • LE MAIRE DE VANVES DEFEND LA MISE EN ACCESSIBILITE DES LYCEES AU CONSEIL REGIONAL QUI DEBAT DE LAPOLITIQUE EDUCATION DE PECRESSE

    Le Conseil régional a ouvert depuis hier, une nouvelle session très importante, consacrée au plan éducation de Valérie Pécresse (LR) à laquelle participe bien sûr Bernard Gauducheau, maire de Vanves  Prés d’une dizaine de rapports sont présentés depuis l’accélération de la rénovation des lycées en avançant d’un an la révision du PPI (Plan Pluri-annuel d’investissements), jusqu’à la lutte contre les addictions (alcool, drogue) avec  le rétablissement des bourses au mérite et des aides sociales aux lycées privés,   la mise en place d’un budget autonomie, la lutte contre le décrochage scolaire, l’ouverture des lycées au monde de l’entreprise, la carte des formations débouchant sur l’emploi, la lutte contre la radicalisation grâce à l’opération « grands témoins contre le terrorisme » grâce à Samuel Sandler pére de Jonathan  et Latifa Ibn Ziaten,  mére d’Imad  assassiné tous les deux par Mohamed Mehar en 2012 qui ont accepté de témoigner. «La Région entend ainsi prendre toute sa part dans la réaffirmation des valeurs de la République» a expliqué Valérie Pécresse. Des décisions dont devrait profiter le lycée Michelet bien sûr. Le maire de Vanves (sur la photo en train de voter électroniquement pour ses collègues absents)  est même intervenu sur la révision du PPI au nom du groupe UDI  et adéfendu la mise en accessibilité de ses établissements

    Ses lycées qui représentent 6,5  millions de m2 sont dans un état préoccupant, car les délais de constructions (9 ans) ou de rénovations sont trop longs, les crédits affectés à la maintenance ont été baissé de 370 à 240 M€, comme il l’a fait remarqué,   la plupart n’ont pas été équipés en THD (Très haut débit)... Des moyens qui n’ont pas été à la hauteur pour rattraper un retard en matière de rénovation et  pour remettre à niveau ces lycées qui doivent faire face aux effets du baby boom des années 2000 : 10% des lycées sont en sur-effectifs. Et beaucoup de classes sont installées dans des BD (Bâtiments Démontables) qui  coûtent extrêmement cher. L’exécutif a décidé d’avancer d’un an la révision du PPI (2016-22)  en mettant sur la table toutes les procédures (avec une approche opérationnelle « projet », la révision du référentiel régional des lycées franciliens qui définit le cadre et les normes de construction…) afin d’accélérer les chantiers. Quite pour aller vite à utiliser la procédure du  PPP (Partenariat Public Privé) même si cela représente un coût plus cher. La présidente de Région a même obtenu une dérogation du préfet de région, et le feu vert des recteurs pour valoriser du foncier  lycée disponible  pour  mener des opérations immobilières qui permettront de financer ces travaux, grâce aux nouvelles recettes générées

    « L’adoption du PPI est un acte important de la mandature, d’autant plus que la construction et la rénovation des lycées ont pris beaucoup de retards depuis 17 ans, 3 chantiers de rénovation sur 4 étaient en retard sous la précédente mandature. Au total, plus de 100 chantiers sont en retard » a-t-il déclaré en prenant l’exemple de Paul Langevin à Suresnes où il s’est écoulé 7 ans entre le début des études et le démarrage du chantier. « Il faut ajouter à cela un manque de transparence. Il était difficile d’avoir un bilan des chantiers en cours tant au niveau de la construction que de la rénovation, et de s’y retrouver. Il a fallut attendre 2012 pour connaître le PPI de la précédente mandature, lequel n’était pas articulé très clairement avec le précédent PPI »  a-t-il constaté. «A tout cela s’ajoute le baby boom de l’an 2000 qui n’a pas été pris en compte dans le précédent PPI » a t-il ajouté.

    « Une des premières demandes faîtes lorsque vous avez été élu, a été celle des recteurs d’académies demandant de réviser le PPI démontrant ainsi l’urgence et l’insatisfaction de la situation. Il devenait urgent de procéder à des changements de méthodes tant au niveau de la conception des espaces et conditions de vie des études que de la maîtrise d’ouvrage régionale sans oublier la maintenance des équipements » a-t-il expliqué en constatant que cette façon de faire permettra de tenir compte des réalités de territoire. « Enfin, force est de constater que très peu de lycées sont accessibles aux PMR » malgré un  schéma de mise en accessibilité lancé en 2013, avec des travaux dans 49 lycées, qui se termineront dans  24 lycées  fin 2016. Par ailleurs, une quarantaine de travaux de rénovation sont en cours respectant les normes d’accessiblités.