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politique - Page 86

  • EN MARCHE 92 DEMENT LE CARACTERE OFFICIEL DE LA CANDIDATURE DE BERNARD SOUBELET A VANVES ET A ISSY

    A l’occasion de la réunion publique du comté Vanvéen d’en Marche, Laurianne Rossin référente de ce mouvement pour les Hauts de Seine,  a bien précisé que,  depuis l’appel à candidature d’Emmanuel Macron pour les législatives , aucun candidat n’a été investi officiellement, par la commission nationale d’investiture (CNI) présidée par Jean Paul Delevoye. « Plus de 10 000 candidaturs ont été déposées, ce qui est un signe, dont 30% de femmes. Ils seront retenus à partir de cinq critères : Renouvellement, pluralisme, probité, efficacité et clarté. Les candidats d’En Marche seront désignés et connus  entre fin Mars et la mi-Avril, ce qui permet d’êtte tourné tout d’abord vers les présidentielles ». Elle a indiqué  que « dans les Hauts de Seine, il y a un véritable enjeu, du fait d’un important renouvellement dû à la loi sur le cumul des mandats, surtout dans le Nord 92,  et d’autant plus si Emmanuel Macron remporte l’élection présidentielle ».

    Cettte précision est important dans la mesure où un candidat à la candidature dans la 10éme circonscription (Vanves/Issy) fait jouer ses réseaux médiatiques pour faire parler de lui : Il s’agit du général Bernard Soubelet qui a envoyé un courrier à tous les élus de cette circonscription des Hauts de Seine. Il n’en est rien, même s’il a expliqué, à cetains journalistes de la presse nationale qui en ont fait état, d’avoir l’assurance en haut lieu, d’être désigné. Comme le dit un certain dicton : « Les promesses n’engagent que ceux qui y croient ». Fillon vient de la démontrer amplement depuis 48H avec les effets dévastateurs que l’on connait.      

    Son insistance à dire qu’il est pratiquement désigné, a provoqué de la part les dirigeants d’En marche Hauts de Seine, une mise au point face à cette vaste campagne médiatique et politique de la part de M. Bertrand Soubelet. Selon ces responsables qui démentent le caractére officiel de cette candidature, « ces  agissements et cette auto-désignation portent gravement atteinte aux principes et aux règles énoncés par notre mouvement et la Commission nationale d'investiture (CNI), dont le travail d'examen des candidatures est toujours en cours ».

  • 1ére REUNION PUBLIQUE D’EN MARCHE A VANVES : L’idée est d’être visible grâce à un kiosque, distribuer des tracts, échanger et convaincre les indécis ! »

    Sacrée semaine pour les militants et sympathisants du Mouvement En Marche à Vanves. Ils tenaient  leur première réunion mardi soir à Larmeroux animée par Julien Segura responsable du comité local qui réunit pour l’instant 200 membres, Laurianne Rossi, Référente d’En Marche dans les Hauts de Seine qui rassemble 11 000 altoséquanais et en fait le 1er département de France après Paris. Entre une réunion publique consacrée à l’Europe la veille à Suresnes et une autre ce soir à Antony où il sera question  du programme d’Emmanuel Macron qu’il aura présenté dans la journée

    « C’est l’occasion de prendre contact, de faire connaissance afin de se mettre « en marche » à un moment où il y a une accélération de la campagne » a déclaré d’emblée Julien Segura « La dynamique est enclenchée  afin de redonner au pays une respiration» a prévenu Laurianne Rossi qui a présenté ce mouvement En Marche et les différentes étapes de son développement,  à l’aide d’un power point devant prés d’une trentaine de vanvéens qui se sont déplacés ce soir là, et pas des moindres avec d’anciens adjoints au maire de Guy Janvier, quelques élus et militants socialistes,  des jeunes et des vanvéens jamais encartés... « 2/3 des adhérents ne sont pas des militants » indiquait elle en ajoutant que « tout commence par la rénovation politique, avec la double appartenance, la bienveillance étant une régle à « En Marche » avec des parcours très différents de tous ceux qui nous rejoignent. L’objectif est de rendre aux français la place qu’ils n’auraient jamais dû cesser être la leur ».

    A l’avant-veille de la présentation du programme et du contrat d’Emmanuel Macron, elle a bien expliquée « qu’on a pris le temps  d’arrêter notre projet en se déconnectant des primaires. Notre calendrier a toujours été assumé, en organisant des ateliers, des réunions à thèmes des comités locaux avec des fiches/questionnaires, en distribuant les premiers tracts sur le travail, un second sur 8 thémes majeurs, un 3éme sur la ruralité, un quatrième sur le chiffrage du projet. Et on s’apprête à mettre en place des actions pour les six semaines à venir. IL s’agit de convaincre un million d’indécis pour faire la différence,  car tout va se jouer dans un mouchoir de poche. L’idée est d’être visible grâce à un kiosque avec des ballons, des flyers pour être vu de loin, distribuer des tracts et échanger ».

    Et les vanvéens vont découvrir cette opération « kiosque » dés Samedi matin place de l’Insurrection devant la poste, comme ce devrait ête le cas dans de très nombreuses villes de France pour 11H.    Et pas seulement ce samedi, car ils retrouveront ce kiosque dans tous les endroits stratégiques de Vanves tout au long de cette campagne, et même au pied de certains immeubles. Il sera l’un des outils majeurs de cette campagne avec non pas des apéritifs politiques mais des « diners Macron », des échanges au travers d’ateliers etc…

  • ANDRE SANTINI DEPUTE UDI DE VANVES/ISSY A-T-IL SONNE SA DERNIERE CHARGE CONTRE LA LOI SUR LE CUMUL A L’ASSEMBLEE ?

    A l’occasion de la dernière séance de questions d’actualité au gouvernement de la législature, la semaine dernièe, André Santini député maire UDI d’Issy les Moulineaux  s’est livré à une véritable charge contre la loi sur le cumul des mandats qui n’est pas passée inaperçue.  

    « À Issy-les-Moulineaux comme dans cet hémicycle, j’ai consacré ma vie à l’amélioration de celle des Français. Au niveau local, j’ai milité pour faire émerger les nouvelles technologies comme un outil de lien social et de développement économique. Demain, nous devrons faire face à la révolution de l’intelligence artificielle. Aux niveaux national et international, grâce à la loi du 9 février 2005 dite Oudin-Santini, votée à l’unanimité par l’Assemblée nationale et le Sénat, nous avons contribué à ce que plus de 150 M€ soient consacrés à la solidarité internationale dans le domaine de l’eau et de l’assainissement, ce qui a amélioré l’accès à l’eau de 4,5 millions d’habitants du tiers-monde. Demain, nous devrons faire face au défi de l’excellence environnementale, qui est non plus une option mais une exigence légitime. Ce double engagement, aux niveaux local et global, démontre la pertinence de la complémentarité des mandats. J’affirme donc, avec la modestie qui me caractérise, que ces mandats n’ont pas été simultanément exercés en vain. Mais les temps changent. Le Gouvernement a fait adopter une réforme du cumul des mandats. Sans présager de son efficacité ou de son échec, je souhaite que les futurs élus au sein de cette assemblée sachent malgré tout entendre la voix des territoires pour que subsiste la part essentielle de réalisme, nécessaire à l’esprit des lois. À l’aube d’une nouvelle ère pour cette assemblée, messieurs les ministres, éclairez les Français sur les garanties prévues dans cette loi pour préserver sa connexion indispensable avec la réalité du terrain. Comment nos futurs collègues pourront-ils réaliser leur mission de façon efficace ? » a-t-il conclut en étant très applaudis dans les rangs de l’UDI, de LR,  des radicaux et du FG/PC.

    « Pensez-vous réellement que l’énergie que vous avez mise à transformer votre ville aurait été moins forte si vous n’aviez pas été député ? Non, vous auriez eu, monsieur le maire, la même énergie. Pensez-vous qu’au Parlement vous auriez manqué d’engagement, notamment sur les questions de l’eau et de l’assainissement, si vous n’aviez pas été élu local ?  Je ne le pense pas » a répondu Bruno Le Roux (PS) Ministre de l’Intérieur.  « Aujourd’hui, 55 % des élus de cette assemblée ne dirigent pas d’exécutif local : pensez-vous pour autant qu’ils soient moins ancrés dans les réalités que ceux qui cumulent ? L’engagement du président de la République à faire adopter cette loi du non-cumul entre des fonctions exécutives locales et des fonctions parlementaires a été l’occasion d’un débat qui a traversé tous les groupes de cette assemblée, aucun d’entre eux n’ayant eu une position unanime sur cette question.  L’important réside dans l’ancrage territorial et non dans les mandats que l’on incarne. De ce point de vue, le mode d’élection de cette assemblée garantit à tous ses membres de représenter à la fois les intérêts des habitants de leur circonscription et l’intérêt général ; ainsi, ils légifèrent en connaissant les situations locales, mais en ne les privilégiant pas ».

    « À travers vous, monsieur Santini, je remercie de leur engagement tous ceux qui ont annoncé qu’ils achevaient leur dernier mandat » a conclut le ministre de l’Intérieur. Mais voilà, André Santini n’a pas fait encore connaître officiellement ses intentions, même si beaucoup pensaient qu’il a ainsi fait ses adieux à cette assemblée où il a siégé pendant près de 30 ans. Beaucoup de noms circulent de Chantal Jouanno à Bernard Gauducheau, avec pas moins de trois de ses adjoints à la mairie qui se verraient bien à sa place.