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politique - Page 101

  • NATHALIE KOSCIUSKO MORIZET AU MARCHE DE VANVES POUR LES PRIMAIRES

    Nathalie Kosciusko Morizet, député de Longjumau et Conseillére de Paris LR effectuait  dans le cadre de la Primaire de la Droite et du Centre, une visite  dans les Hauts-de-Seine samedi matin qui a commencée  par une rencontre au marché de Vanves  suivi d’un café politique à Boulogne et une dédicace à la librairie Bagatelle à Neuilly.

    Mais voilà, tout au long de cette visite vanvéenne, elle a été coatchée par Bernard Gauducheau et Xavier Lemaire, maire et adjoint au Maire UDI dont la formation politique  a refusée de participer à cette primaire. Ils auraient pu la saluer d’une manière républicaine à son arrivée et la laisser faire campagne avec des militants et sympathisants LR qui la soutiennent ou non. Rien de tel, ils l’ont accompagné tout au long de sa visite, rejoint par d’autres élus UDI venu se faire photographier avec elle (et que l’on retrouve sur Facebook). Isabelle Debré, Vice Président du Sénat était amusée, Bertrand Voisine référent pour NKM placide comme à son habitude, laissant passer la tempête, et Patricia Kaazan silencieuse qui n’en pensait pas moins. NKM, très décontractée est allée à la rencontre des commerçants, échangeant sans barrière avec les uns et les autres, avant de prendre un café à la buvette. Un de ses commerçants lui a même offert un petit pot de confiture « mi-figues, mi-raisins ». Elle reconnaissait que ces primaires dans ce département des Hauts de Seine se déroulent dans un climat apaisé par rapport à d’autres départements. Même l’UDI s’y intéresse de prés à Vanves, surtout lorsque l’un (e) de ses candidat(e)s se déplace…pour la photo bien sûr 

  • LA PHOTO DU JOUR A VANVES : DEBRE ET LES MAIRES

    Le Sénat a reçu une flopée de Maires, pendant ses 3 jours de Congrés des Maires au parc des expositions prés de Vanves  avec sa vice présidente Isabelle Debré au première loge, au côté de Gérard Larcher président du Sénat  : « Nous les avons trouvé  abattu, pessimiste pour l’avenir des communes,  préoccupé de ne pas pouvoir répondre aux attentes de leurs citoyens pour des raisons surtout financières,  pas du tout content sur les rythmes scolaires » confiait d’elle.

  • CAVADA DE NOUVEAU A VANVES POUR PARLER D’UNE EUROPE BOULEVERSEE ET EN CRISE

    A Vanves, pour la fête de l’Europe célébrée une semaine après la date officielle, la ville de Vanves avec le Mouvement Européen avait invité Lundi soir  Jean Marie Cavada, son président et député européen, à l’hôtel de Ville. Un personnage incontournable dans notre ville dés qu’il s’agit d’Europe, car ce n’est pas la première fois qu’il vient dans notre ville à l’invitation de Bernard Gauducheau, pour lequel « il est une institution à lui tout seul : On peut reprocher aux députés  européens de ne pas être sur le terrain. Ce n’est pas le casavec lui. Il a de surcroît des qualités de pédagogues » souvenir de son passé audiovisuel.

    Et les vanvéens présents ont pu s’en apercevoir en le questionnant après un exposé liminaire où il a beaucoup été question de crises qui n’ont pas réussi à mettre à bas l’Europe  (crise économique internationale,  crise de l’euro – « proposer de sortir de l’euro, c’est vouloir du mal à son pays » - crise grecque, crise des réfugiés : « L’Europe devait elle fermer ses frontières ? Non ! L’Europe a une responsabilité morale vis-à-vis de ses  réfugiés persécutés. Les démagogues de tout poil se sont déchaînés sur cette affaire qui nous déshonorent. Nous avions un devoir de les accueillir » a-t-il expliqué en considérant que « c’est la crise la plus grave que l’ion a eu à vivre depuis la création de l’Europe ». A ses yeux, personne ne peut croire que l’on vit mieux en fermant ses frontières : « c’est un crime de l’esprit. Elle touche à note identité. Elle montre que nous n’avons pas su créer les outils pour pacifier ceux qui sont turbulents autour de nous » a-t-il expliqué en étant reconnaissant à Jacques Chirac d’avoir refuser que la  France s’engage en Irak lorsqu’on voit les événements actuels avec Daesch. « On en paie aujourd’hui la facture. L’Europe n’est plus qu’une envie que les anti-européens tolérent ».

    Pour Jean Marie Cavanda, « l’Europe ne va pas bien ! Ce n’est pas une raison de ne pas l’aider ! C’est ce qui manque à nos leaders politiques. Le moment est venu de changer l’Europe, surtout lorsqu’on voit le Brexit, et de faire un pas vers une intégration plus forte pour les pays qui le veulent (en matière de défense, de sécurité extérieure, de conduite convergente de l’économie avec une fiscalité commune, une transition énergétique commune…). Pour les autres, ils resteront en l’état. Mais qu’on laisse faire ceux  le veulent. Puisque l’Europe est bouleversée, le moment est venu de la reconstruire. Mais où sont les leaders pour le faire ? »  s’est il interrogé en pensant aux pères de l’Europe (Monnet, Schumann), de l’(euro (VGE)…..