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ENVIRONNEMENT - Page 18

  • LA PLUS GRANDE FERME DE FRANCE A COTE DE VANVES A OUVERT POUR UNE SEMAINE

    Pas moyen d’ignorer que le parc des expositions accueille la plus grande ferme de France pour une semaine, notamment à cause de ses nuisances (embouteillage, stationnement anarchique, mais aussi payant auquel veillent scrupuleusement, plus qu’à l’habitude, les ASVP pour les riverains du Parc), même si certaines rues sont bloquées et l’allée Jullien face au lycée réservée aux riverains disposant d’une carte de résidents.

    La Région ile de France tout comme le département sera présent au salon de l’agriculture sutr le stand organisé par Terre de Saveurs. inauguré demain en fin d’après midi par Valérie Pécresse, mais aussi Patrick Devedjian, respectivement président de l’Ile de France, des Hauts de Seine.  L'incroyable diversité des bons produits franciliens sera mise à l'honneur à travers la scénographie du pavillon de la Région sur 400 m2 : Il recréera l'ambiance d'un véritable marché, où la convivialité sera de mise. Les visiteurs pourront ainsi échanger avec des femmes et des hommes passionnés par leur métier, leur acheter directement leurs produits, découvrir leurs secrets de fabrication. La marque «PRODUITS IDF» qui compte déjà 1400 références, sera mis en avant. Au menu, chaque jour :  Des professionnels des métiers de bouche donneront aux visiteurs le goût de l'Île-de-France, en leur faisant déguster leurs belles recettes, hautes en saveurs et en savoir-faire. Des viticulteurs et des maîtres restaurateurs se joindront aussi à l'événement pour dévoiler de délicieuses associations mets/vins, 100% franciliennes.  Les fédérations des bouchers, crémiers-fromagers et boulangers, accompagnées de jeunes apprentis, viendront quant à elles partager les valeurs et la richesse de leurs métiers.  Des éleveurs témoigneront également de leurs engagements en termes de qualité, de protection des ressources naturelles, de gestion sanitaire, de traçabilité, d'approvisionnement sain et local pour nourrir leurs animaux... Les Hauts de Seine, avec les Yvelines présenteront aux visiteurs leurs produits et proposeront aussi des animations : la bière brassée de Colombes, La bière éco-responsable et sociale La Moissine (bières fabriquées avec du pain invendu), le vin de Suresnes qui posséde le plus grand vignoble d’IDF,  la dégustation de délicieux produits laitiers de la ferme de Grignon.  Le pâtissier lauréat du concours «Imaginons le meilleur gâteau des Hauts-de-Seine» viendra fabriquer son gâteau à base de caramel de pommes des Yvelines.

  • POURQUOI LES ORDUNES N’ONT PAS ETE ENLEVES NORMALEMENT MEME A VANVES 

    A Vanves, cela se voit moins, contrairement à certains quartiers de Paris, et des villes voisines comme Issy les Moulineaux,  mais le ramassage des poubelles était toujours perturbé ces jours-ci, à cause de l’arrêt des trois incinérateurs d’ÎDF (Saint Ouen, Isséanne à Issy les Moulineaux, et Ivry) à l’appel de la CGT Énergie, pour protester contre le projet de réforme des retraites. Le préfet de police a réquisitionné à la demande du Syctom des personnels des usines pour «permettre le retour à un fonctionnement minimal» a indiqué le Syctom, organisme intercommunal qui gère les déchets d’une partie des communes d’ile de France, qui reconnaîssait que «la situation devient critique».  

    Un seul four a fonctionné sur les sept répartissur ses 3 usines, car le syndicat avait mis en place un filtrage des bennes entrantes à Saint-Ouen et un arrêt de la gestion des fosses à Isséane et Ivry-sur-Seine. Résultat: les bennes ne pouvaient plus déverser leurs déchets et repartir faire la collecte jusqu’au week-end dernier. Mais la galère devrait commencer à se régler, avec parait il le redémarrage d’Isséanne, mais il faut environ deux jours pour redémarrer les fours, et un retour à la normale. En attendant, alors que le Syctom récupère 6 000 tonnes par jour, une partie a été envoyée dans d'autres incinérateurs de la région, vite saturés. Le reste, environ 5 000 tonnes par jour, a dû être enfoui.

    Pour Hervé Marseille, sénateur UDI des Hauts-de-Seine que les vanvéens connaissent bien, le blocage coûte énormément d'argent au contribuable. Il déplore l'absence de prise de position des écologistes : «On ne les entend pas, ils sont muets dans cette circonstance. Et en plus l'État ne fait rien. On a demandé à ce que la police interviennent pour faire rouvrir les centres. Mais l'État attend parce qu'ils ne veut pas faire d'histoire. Il attend que les poubelles soient dans les rues» affirmait-il ses derniers jours. En outre, l'incinération contribue au chauffage urbain, et l'arrêt des fours prive la Compagnie parisienne de chauffage urbain (CPCU) d'une partie de son approvisionnement.

     

  • LES RUCHES DE VANVES VICTIMES DU VANDALISME

    Dans la nuit  du 6 au 7 janvier dernier, des vandales se sont introduit  dans le parc F.Pic, et dans l’ilot de la piéce deau, où ils ont retourné plusieurs ruches et ont même jeté une des ruches dans le ruisseau. Il en résulte une forte mortalité des abeilles selon Pierre Kerg qui est l’un des deux apiculteurs qui les ont implanté dans ce site.

    «Ces actes sont odieux et  inqualifiables. Cela fait la deuxième fois que nous subissons des dégradations dans le rucher» indiquait Pierre Kerg retraité qui s’est mis à l’apiculture. «Cette nuit là, d’autres incivilités ont été constatées dans le parc, les poubelles du parc ont elles aussi atterri dans le ruisseau. De nombreux riverains se plaignent de personnes qui, la nuit, pénètrent dans le parc pour y faire la fête avec toutes les nuisances qui en découlent. J’ai relaté ces faits à Mr le Maire mardi 7 janvier, à ce jour, sans réponse. Etant donné qu’aucune surveillance la nuit n’est mise en place, j’ai suggéré au maire d’installer des caméras afin de dissuader les intrusions» indiquait-il au Blog samedi, en précisant qu’il a déposé une plainte au commissariat de police .

    Ces ruches avaient été implantés voilà huit ans dans cet îlot située à l’extrémité du bassin, car cet endroit assure un cadre parfait pour accueillir des abeilles, à proximité du parc municipal des sports, proche d’arbres et de plantes méliféres, plantes qui produisent le nectar que les abeilles récoltent et transforment en miel, sachant que la colonie évolue en fonction des saisons. «Ainsi en hiver, ce qui est le cas actuellement, l’essaim vit regroupé dans la ruche en se nourrissant de ces réserves. Il diminue de moitié car la Reine pond beaucoup moins. Pendant cet hivernage, les abeilles assurent le confort de la Reine et la protégent en maintenant le couvain (l’ensemble formé par les œufs et les larves) à bonne température. Occasion d’entretenir et nettoyer son matériel et préparer la saison de pleine activité » expliquait Pierre Kerg dans un numéro de Vanves Infos. Pendant la saison active, ses abeilles peuvent produire entre 10 et 40 kg de miel par ruche et par an. Un miel de bien meilleur qualité qu’à la campagne, car aucun pesticide n’est utilisé dans le parc et alentours