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  • VANVES ET LA LIGNE 13 : UN MOIS APRES LE PROLONGEMENT DE LA LIGNE 14, SES USAGERS RESTENT MITIGES ET LE COUVRE-FEU NE VA RIEN AMELIORE

    Si l’avis des vanvéens qui parcourent l’ensemble de la ligne 13 pour aller travailler en Seine Saint Denis reste mitigés sur les répercussions de l’inauguration du prolongement de la ligne 14 de Saint Lazare jusqu’à Mairie de Saint ouen, ils n’en constatent pas moins une diminution de la fréquentation des rames, mais la fin de «l'enfer» annoncée par Valérie Pécresse, présidente de la Région se fait pour l'heure attendre. Les usagers tirent un premier bilan mitigé : «On a l'impression qu'au niveau des heures de pointe, ça reste assez engorgé malgré tout. Il y a quand même moins de monde mais c'est pas autant que ce que j'aurais pu penser» réagit l’un d’entre eux au micro d’une chaîne d’infos. «Maintenant, je sais que je peux m'assoir alors qu'avant je ne pouvais pas forcément m'assoir, donc il y a un petit peu moins de monde» note un autre usagère. Alorsque ce n’est pas l’avis d’un autre : «Elle reste blindé, même avec la ligne 14. En heure de pointe, on est collés-serrés tout le temps. C'est la ligne 13. Elle ne changera pas !». D’ailleurs, ils voient la différence à partir des stations Miromesnil et Saint Lazare. L’ouverture de la station place de Clichy, à la fin du mois de janvier, pourrait changer la donne. Cette dernière permettra notamment la jonction entre les lignes 13, 14 et le RER C. Et donnera en outre accès au Tribunal de Paris. Il faudra ainsi peut-être patienter quelques semaines pour observer le désengorgement de 25% prévu par Île-de-France Mobilités, la haute autorité des transports franciliens.

    Malheureusement, le couvre-feu institué depuis samedi soir, pourrait changer la donne surtout en fin de journée, puisque l’heure de pointe va être avancer. Or la souplesse est très limitée pour accroître les fréquences de transport peu avant 18 h, sur toutes les lignes de mérro mais aussi RER, de tram et de bus . «Le couvre-feu avancé par l'Etat à 18h va contraindre certains voyageurs à partir plus tôt que d'habitude. […] IDF Mobilités a demandé aux opérateurs de mettre en oeuvre rapidement les renforts avant 16h30 qui seraient nécessaires pour avancer l'heure de pointe. Les renforts de chaque mode de transport avant 16h30 pourraient être augmentés jusqu'30 % selon les besoins des différentes lignes du réseau si nécessaire» précisait on vendredi dernier à IDF Mobilités.  Son souci est d’éviter de densifier beaucoup trop certaines rames sur un laps de temps très court, par un «effet accordéon» déjà enregistré au moment du déconfinement au printemps dernier. L'exercice ne sera pas facile, car sur plusieurs lignes, il existe très peu de souplesse pour rajouter des métros ou de RER peu avant 18 heures, en raison des intervalles de sécurité obligatoires entre chaque rame. «Hors Covid, la pointe habituelle du soir s'étend de 16 heures à 19 heures. A partir de lundi prochain, par la force des choses, elle va donc se décaler pour se concentrer fortement vers le bas, au risque de densifier les rames ou les bus dans la tranche horaire 17h/18h. Et il faudrait éviter qu’il y ait un engorgement des transports de 17H30 à 18H» indiquait la haute autorité des transports «Un effet difficile à cerner avec précision néanmoins, car relativisé par la faible fréquentation générale du réseau » note-t-on à la RATP. En tous les cas, sur la ligne 13, cela va être sportif

  • LES VŒUX D’ESPERANCE DU PERE BERTRAND AUVILLE, CURE DE VANVES POUR 2021

    Comme beaucoup de personnalités, le père Bernard Auville curé de Vanves a présenté ses vieux pour 2021 sur vidéo au lieu de le faire autour d’une galette à la paroisse Saint François, comme l’année dernière.  A la veille non pas d’un nouveau confinement mais de l’avancée d’un couvre à 18H au liezu de 20H qui a perturbé une nouvelle fois, les horaires des messes. Dans ces voeux, il faut référence à un amiral américain qui était le patron des forces spéciales américaines  et un mesage qu’il a pu visionner par  le hasard des chose ou la providence et dont il a tiré quelques réflexions

    « Cet amiral  a tenu un discours aux étudiants de l’Université du Texas sur le thème « si tu veux changer le monde ! ». Cet amiral soulève un certain nombre de points dont il a parlé et fait partager : «Pour changer le monde, notre monde, nos vies ». Le premier point que l’amiral donne c’est « si tu veux changer le monde, fais ton lit tous les matins ! commence la journée par une petite  action à ta mesure et à ta portée qui te permettra de te  donner une  matrice de la journée,  car une petite action en entrainera une deuxième une troisième. Et c’est une tâche à la mesure de tous, pas démesurée.  C’est une tâche à la portée de chacun ». Ainsi la 1ére leçon c’est de ne pas attendre d’être un héros pour le faire le bien. Le bien consiste à faire de petites choses ordinaires  mais extraordinaire aux yeux de en plein  cœur de l’ordinaire de la vie

    Le deuxième message de cet amiral peut vous paraitre incongru : C’est « si ru nages dans un endroit où infesté de requins, il ne faut pas fuir si tu vois un requin en face. Il ne faut lui montrer que l’on a peur, mais au contraire si tu sens qu’il va d’attaquer pour te bouffer, il faut lui taper de toutes tes forces sur le nez. Le monde pullulent de requins, notre environnement en pullule, nous pouvons tenter de les fuir, être effrayer par eux,  or il convient de les affronter avec conviction et détermination. Si nous sommes fermes dans nos convictions et notre détermination, alors nous n’avons plus à avoir peur des requins !

    Une troisiéme message de cet amiral  nous fait plonger dans cet univers de l’armée  américain qui avait plusieurs équipages de nageurs de combats. La plupar étaient constitués par de grands gaillards très costauds puis il y avait  un équipage de petits chétifs, américains venus de partout. Ces petits trapus avaient gagnés en agilité ce que les autres avaient en force, et au final cela  leur apermis de l’emporter sur ces grands gaillard.  Cela inspire deux attitudes : La première, il faut être capable de  se connaitre et se connaissant, on peut jouer avec ses handicaps, ses faiblesses. Ne se connaissant pas, on ne pourra pas ajuster la  posture et la confiance. Cet exemple nous rappelle qu’il convient que nous nous laissons enseigner par les faibles, les petits, les pauvre. Ils ont beaucoup à dire ! Ecoutons les !

    Enfin le dernier conseil qu’il donne, c’st un message particulier : Au large des USA, il y a une baie et dans ce bourbier, il fait froid, avec du vent. Les candidas à ces forces militaures doivent rester des heurs nuitamment dans ce lieu pour être recruté. beaucoup abandonnent, sortent, renoncent. Et un soir, dans une promotion, l’un  d’entre eux a commencé à chanter. Et  son chant a donné envie à un  second de chanter, pour finalement toute la promotion chante. Et le lendemain, les hommes ont défilé comme si de rien n’était, il faisait moins froid et le vent était moins violent, et ils ont arrivés ragaillardi par le chant. Tout ela m’inspire un ultime conseil que j’aimerai former pour chacun aujourd’hui: dans l’adversité on bombe le torse et on chante plus fort ;  dans la difficulté, il faut continuer à avancer et non pas à faire du surplace et prendre un chemin de traverse. Voilà ses bons conseils d’un amiral américain qui nous appelle à la force de l’expérience, à la connaissance de soi, à la fraternité, mais encore à l’éloge de l’espérance

  • L’HOTEL MERCURE DE VANVES EN PLEINE RENOVATION SUR LE THEME DES ARTS DECO

    Le blog de Vanves Au Quotidien qui a rencontré Philippe Marchand directeur Général de l’hôtel Mercure, a raconté jeudi dernier, comment cet établissement hôtelier traverse la crise sanitaire qui perdure. Comme tous les hôtels du Grand Paris, il avait dû arrêter ses activités notamment lors du premier confinement, entre le 16 Mars et le 24 Août,  mais aussi tout un programme de rénovation engagé en 2019 et qui devrait se poursuivre à partir de Février.  Car cet hôtel qui aura 40 ans en 2022, en avait bien besoin, notamment pour faire face à la concurrence, avec l’arrivée, sur le marché du Mamma Shelter (200 ch) et le Novotel (250 Ch) en limite de Paris et Vanves, avec le Marriot à Issy les Moulineaux. «Cet hôtel avait besoin d’étre rénbové pour le tenir dans son marché, car les hôtels qui arrivaient, représentaient deux fois la capacité de celui-ci, 800 Ch au total sachant que Mercure en a 388. La société Accor Invest a souhaité remettre cet établissement au goût du jour !» indique Philippe Marchand, son directeur général .

    En mai 2019 un programme de rénovation majeur des 388 chambres, de toutes les salles de réunions, de la réception, avec disparitions de quelques cloisons, déplacement de quelques balcons qui n’avaient pas d’utilité sauf peut être d’accueillir des plantes qui n’étaient pas naturelles,, commençait pour  faire en sorte de remodeler l’établissement, lui donner sa chance. « Nous avons eu une très grosse phase de travaux de Mai 2019 au 16 Mars 2020 où il nous restait 3 étages de chambres à faire, un qui était réalisé à plus de 60% et 2 étages à terminer lorsque les chantiers se sont arrêtés au moment du premier confinement. Nous devrions redémarrer nos travaux à partir du 1er février pour être prêt pour le printemps» indique t-il

    Il fait remarquer que «l’environnement a changé car la rénovation a été fait par un architecte décorateur Laurent Maugoust qui a voulu un esprit lié à l’exposition universelle. On trouve des motifs liés à l’art décor sur le sol, dans les Chambres avec une tête de lit particulière, un comptoir de réception avec des structures tubulaires, et les luminaires où il a essayé de représenter des dirigeables, spectaculaire vu des derniers étages lorsqu’on regarde l’atrium. On a maintenu du végétal avec des plantes naturelles. Et le soir une animation sur les façades en laser. Enfin, nous avons réalisé une rénovation extérieur des façades sur l’arrière du bâtiment» décrit il. « L’investisseur a vraiment fait ce qu’il fallait pour que l’hôtel reste dans son marché. Il a voulu que l’établissement soit représentatif et un produit répondant aux aspirations des clients ». Le point d’orgue devrait être un le bar à vin qu’il souhaitre ouvrir avec un service de restauration des produits du terroir. De surcroit, il a déjà un nom puisque le restaurant se dénomme déjà «le Millésime »