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  • RENTREE SCOLAIRE A VANVES : LA SECTORISATION DE CABOURG FAIT DES VAGUES

    Vanves n’est pas la seule ville à être tenue de réintégrer dans son école d’origine une élève, puisque Montrouge est tombé aussi sous le joug du tribunal administratif de Cergy Pontoise comme l’indiquait Le Parisien de samedi dernier. Une famille avait vu ses 3 enfants placé dans 3 écoles différentes. A se demander si nos élus mais aussi et surtout  les responsables de l’Education Nationale ne sont pas tombés sur la tête. D’ailleurs, une question vaudrait d’être posé : Le « Mammouth » comme l’a si bien dénommé un ministre de l’Education nationale,  agit il bien dans l’intérêt des enfants et des parents lorsqu’on voit que les vacances de la Toussaint débutent un Mercredi pour s’arrêter un Jeudi. Tout simplement parce des syndicats d'enseignants qui ont 2 mois de vacances, ne voulaient pas d'une pré-rentrée un 29 Août ?  Sans parler des nouveaux rythmes scolaires dont on se serait bien passé. Même un ancien Ministre de l’éducation nationale, Jack Lang le reconnaît. Pas très sympa pour Peillon/Hamon.  Et cela continue avec la sectorisation : Le Blog a reçu un autre témoignage de l’une des trois familles. Sachant que le maire  fera bientôt connaître sa position sur cette affaire qui ne concerne que 3 familles qui "n’ont rien voulu entendre" contrairement aux autres, et sa réaction à la décision du tribunal administratif de Cergy Pontoise.

    « Je fais suite à votre article de ce jour au sujet de la carte scolaire. Nous sommes une des 3 familles concernée par les refus successifs de la Mairie. Nous nous battons vainement depuis novembre dernier pour que notre fille poursuive sa scolarité à l'Ecole Cabourg où elle a suivi la Maternelle et où sa sœur ainée a fait toute sa scolarité. Notre demande de dérogation a été refusée au motif des effectifs. Notre fille a donc fait sa rentrée selon la nouvelle carte sectorisation, dans une classe de 26 élèves alors que l'école Cabourg compte 21,5 élèves en moyenne en CP.

    Nous tenons à souligner que cette nouvelle sectorisation mise en place afin d'assurer l'accueil des futurs habitants des programmes immobiliers du secteur ne touchera réellement les effectifs de Cabourg qu'à l'entrée de notre enfant au CE2 et plutôt en CM1, au regard des retards de livraison. Les projections d’effectifs de la Mairie sont basées sur des statistiques contestables : comment peut-on connaître de façon précise et certaine le nombre et l’âge des enfants qui viendront habiter Vanves à l’horizon 2018-2019 ? Dans ce cas précis,  nos enfants semblent n’être que des variables d’ajustement d’effectifs hypothétiques.

    La Mairie n'a que mépris pour les actifs vanvéens et leurs enfants. Les élus ne respectent pas leur engagement initial de bienveillance quant à la mise en place de la carte scolaire, pour les familles domiciliées à la périphérie du secteur Cabourg (nous habitons à 250 mètres de l'école Cabourg contre 700 mètres pour l'autre école).
    Nos arguments pourtant fondés, sont balayés d'un revers de main au motif que "rien n'est loin à Vanves", ce qui reflète la vision lointaine qu'ont les élus de la réalité que vivent les actifs vanvéens et leurs enfants... Les perturbations qu'occasionnent ce changement pour notre enfant qui se trouve coupé de son environnement habituel, les difficultés organisationnelles importantes dans le cadre de nos activités professionnelles denses indifférent totalement la Mairie.

    La dangerosité du chemin entre notre domicile et la nouvelle école qui nous fait emprunter la rue Bleuzen, extrêmement fréquentée, est également balayée d'un revers de main par la Mairie. Une élue nous a affirmés qu'un passage piéton protégé serait mis en place à la rentrée au niveau des 2 écoles proches du métro mais où est donc ce passage? Les trottoirs de la rue Jean Bleuzen sont coupés par au moins 8 accès à des parkings d'immeubles, les deux-roues y circulent quand la rue est bloquée par la circulation..."

  • LES RENDEZ-VOUS A VANVES D’UNE SEMAINE SOUS LE SIGNE DES ASSOCIATIONS

    C’était la rentrée sportive ce week-end, pour la section football et son équipe première pour son premier match contre Saint Ouen l’Aûmone qu’elle a perdue par 2 à 1, et la section Boules Lyonnaises qui organisait deux concours pour son challenge de la ville de Vanves dont  un  a été remporté par une équipe de Vanves (Nicolas Depreux). Et c’est la rentrée associative cette semaine. Les inscriptions à l’ESCAL ont déjà attirées de très nombreux vanvéens, samedi matin à l’espace Jean Monnet (sur la photo).       

    Mercredi 7 Septembre

    A 19H à l’Hôtel de Ville : Le Maire réunit les élus de sa majorité comme c’est le cax chaque mois. A L’ordre du jour la rentrée culturelle et la saison du théätre Le Vanves présenté par Valérie Vignaud (UDI), maire adjoint

    Samedi 10 septembre

    A 9H au Parc Pic   : Braderie d’Automne organisé par le Syndicat d’Initiatuve

    Dimanche 11 septembre

    A 10H au Parc Pic : Forum des Associations inauguré à 11H

    A 10H au PMS A.Roche : Journées Portes Ouvertes du Stade de Vanves inauguré à 12H

  • LA RENTREE SCOLAIRE A VANVES : MICHELET SUR LE POINT D’EXPLOSER ?

    La cité scolaire Michelet serait elle en sur-effectif : « Au collège, nous avons dépassé la barre fatidique de 30 élèves par classe, au lycée, toutes les classes sont à 35, voir même 37 élèves  pour certaines. Ce qui fait des conditions de travail et de vie quotidienne difficile pour les élèves, se traduisant par exemple par des temps d’attente longs au self service à l’heure du déjeuner : Conçu  1150  élèves, il en accueille 1600 » indique Bernard Gary proviseur du lycée Michelet (sur la photo dans son bureau), en donnant des chiffres :  650 collégiens, 1300 lycéens,  500 étudiants en classes préparatoires,  dont 150 internes pour une centaine de chambres. Là aussi, la liste d’attente est longue, mais le proviseur privilégie les jeunes qui ont vraiment des difficultés à se loger (notamment pour des raisons financières, car leurs familles n’en ont pas les moyens), les autres pouvant financer la location de studios aux alentours. « Nous accueillons les derniers effectifs liés à l’augmentation des naissances en 2000/01, sans compter tout ce qui se construit aux alentours. Compte tenu du prix de l’immobilier, ce sont plutôt des familles un peu installée dans la vie qui viennent et dont les enfants ne sont pas nécessairement dans les maternelles, ce qui rend les prévisions d’effectifs un peu difficile » précise t-il.  Il est vrai aussi que le projet de sectorisation pour les collèges initié un temps par le Conseil Départemental est un échec, car il est au point mort. 

    L’actualité de cette rentrée est l’aplication de la réforme du collége du collége : « Au lycée, on est toujours dans la suite de la réforme du ministre Chatel, ce qui est bien car lorsqu’une réforme est installée, il faut prendre un peu de temps pour voir si elle est efficace. Par contre au collége, c’est l’an I de la mise en place de la réforme avec des programmes qui ont changé à tous les niveaux, 6éme, 5éme, 4éme, 3éme, des nouveaux manuels scolaires, les maisons d’éditions peinent à répondre aux demandes, tous les manuels n’étant pas arrivés, heureusement que le collége est équipé en ordinateur. Nous avons beaucoup travailllé avec les enseignants l’année dernière pour être porêt. Et nous le sommes. Avec le temps, j’ai constaté à chaque fois qu’on demandait au systéme édactif de changer quelque chose, il y avait toujours beaucoup d’inquiétudes, éventuellement de la part de ceux qui disaient « le fonctionnement actuel ne nous satisfait pas ». Mais on va travailler, on va mettre en place, on évaluera » annonce t-il

    D’ailleurs lors de son intervention, devant la communauté scolaire à la veille de la Rentrée, Bernard Gary a déclaré aux enseignants  que sur le plan pédagogique, ils pouvaient être  fier de ce qu’ils ont fait l’année dernière, « car les résultats sont aussi bien au niveau du brevet, du bac  et de nos étudiants en classes préparatoires,  qui ont été très bons ». Et à l’ensemble de la communauté scolaire, enseignants, personnels, vu le  contexte, il a délivré un message de vigilance. « Car même si c’est désagréable de dire cela le jour d’avant- rentrée alors que tout le monde a davantage envie de parler de ses vacances, il faut que cela devienne chez nous une habitude comme les petits japonais qui 's’entraînent régulièrement en prévention des tremblements de terre. C’est malheureux, mais il faut que cela devienne un sixième sens. On a organisé une réunion en Juin pour déjà en parler et nous allons mettre en place un certain nombre de dispositifs de chaînes téléphoniques afin de se donner les moyens de parer au plus pressé ».