Dans les échanges entre le maire et les habitants des Hauts de Vanves, il a été beaucoup questions de circulation et de transports. C’est d’ailleurs parti de la réflexion d’un riverain de la rue René Coche se plaignant « que ce soit la panique chaque matin entre les parents qui déposent leurs bébés à la créche, ou leurs enfants à l’école, les livreurs qui choisissent toujours la bonne heure et les automobilistes fûtés qui ont trouvé un chemin malin par René Coche et la gare » et d’une riveraine qui considérait que l’aménagement de la rue Georges Clemenceau n’avait pas été terminée « à cause de chantiers su’on me dit plus urgents », juste au moment où le maire arrivait dans le préau de l’école Larmerox, Jeudi soir.
Bernard Gauducheau :
« Il faut aller avoir ailleurs…ce qui ne se fait pas !
« Le festival des camions et des véhicules peut être important autour des chantiers. Mais cela diminue après, car l’école provisoire du Centre va retrouver l’îlot Cabourg, que les résidents de la résidence hôtelière ou étudiante ne se déplacent pas en voiture….ou peu. D’ailleurs les riverains de la rue Marc Sangnier où j’habite, qui craignaient qu’un nouveau parking ne crée des embouteillages dans cette voie, ont pu s’apercevoir qu’il n’en a rien été, et qu’il n’y a pas plus de problèmes qu’avant » a expliqué le maire en se voulant rassurant. Par contre, il s’est élevé en faux face à l’habitante de la rue Georges Clemenceau en afformant que « les travaux ont été achevé, en ce qui concerne les enrobés et le marquage au sol. Par contre, sur l’enfouissement des réseaux, nous ne nous sommes pas précipité. A partir de maintenant, nous le ferons à chaque opération de voirie, en fonction de notre budget, comme c’est le cas pour la rue Sadi Carnot. Pour la rue Mansart, les riverains y auront le droit l’année prochaine. L’essntiel est que la voie soit en bonne état ».
A une autre question sur les trottoirs de l’avenue du Général de Gaulle, il a expliqué qu’il ne connaissait pas « au millimétre prés les 16 km de rues, dont 32 km de trottoirs de la commune », invitant les vanvéens à signaler les problèmes. « Je me dis quelquefois que depuis 20 ans, nous avons fait des choses importantes. Mais nous sommes arrivés à un tel niveau d’exigence que le moindre détail prend des proportions incroyables. Il faut aller avoir ailleurs…ce qui ne se fait pas ! » a-t-il expliqué. Une riveraine de la rue Diderot a reposé la question de sa mise en sens unique : « II y a un problème ! Ma régle d’or est d’être le garant de l’intérêt général. Dans ce cas là, l’avis des riverains est très partagé sur la mise en sens unique ou le statu quo en gardant les deux sens de circulation » - « Mais beaucoup se servent de cette rue pour éviter le carrefour de l’insurrection et prendre le parcours malin de la gare ! » répond un autre riverain – « Mais si on met la rue Diderot en sens unique, ils en trouveront une autre rue ! » a-t-il argumenté. Tout en faisant part d’une idée pour réduire ses parcours malins : Inverser le sens unique de l’avenue de Verdun, « car certains y font le grand détour pour rejoindre la rue J.Bleuzen et éviter le carrefour de l’insurrection ». Et d’un autre projet qui n’est pas nouveau avec la mise en sens unique de la rue Jean Bleuzen, dans le sens Paris-vanves et se servir de l’axe Martnie-Pasteur ou du Bd du Général de Gaulle à Malakoff pour l’autre sens. « Les choses ne resteront pas en l’état ! » a-t-il prévenu.
Il n’a pas caché qu’à ses yeux, le plus urgent est de refaire la rue Raymond Marcheron, dossier sur lequel il travaille avec GPSO et le Conseil Général, car il s’agit d’une route départementale, à qui il a demandé « de prendre en charge ce projet ». Un axe sur lequel circule le trafic le plus important de la commune et sur lequel il n’y a pas eu beaucoup de ré-aménagements faits. Il subit des nuisances importantes, surtout avec les nouvelles constructions et les chantiers de ses derniers temps
A Suivre....