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education nationale

  • LE LYCEE MICHELET DE VANVES PARTICIPE AU PRIX GONCOURT DES LYCEENS

    L’annonce de la première sélection des romans de l’Académie Goncourt a marquée le semaine dernière,  le coup d’envoi du Prix Goncourt des Lycéens 2025. Créé et organisé par la Fnac et le ministère de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, sous le haut patronage de l’Académie Goncourt, le Prix Goncourt des Lycéens donne l’opportunité à près de 2 000 lycéens, accompagnés par leurs professeurs, de se plonger dans une lecture passionnée et de faire entendre leur voix pour élire leur lauréat, parmi les 14 auteurs sélectionnés par l’Académie.

    Et c’est le cas pour des élèves du lycée Michelet  qui sont dans la course du Prix Goncourt des Lycéens. Le coup d’envoi a été donné officiellement mardi dernier à la médiathéque de Vanves en présence du maire de Vanves, du proviseur du lycée, de la directrice de la médiathéque, des trois enseignantes Pauline Delabroy-Allard, Charlotte Girard et Lucile Péguet, qui accompagneront les élèves dont certains étaient présents

    Ils auront pour mission de lire ire les romans de la sélection Goncourt, en débattre en équipe, confronter les points de vue… et élire le livre qui les aura le plus touchés. «Avec les élèves du lycée Michelet, sélectionnés pour faire partie du jury, nous avons échangé sur le rôle unique qui leur est confié : lire, débattre et choisir, parmi la sélection du Goncourt, l’ouvrage qui les aura le plus marqués » relatait Bernard Gauducheau sur son blog pour qui c’est «une expérience littéraire et humaine exceptionnelle : Découvrir la richesse de la création contemporaine, débattre et confronter les idées, développer un regard critique et personnel sur la littérature »

    Parmi les 14 romans sélectionnés pour le Prix Goncourt des Lycéens 2025 : «  La nuit au cœur » (Gallimard) de Natacha Appanah, « Kolkhoz »e (P.O.L) d’Emmanuel Carrére (fils Héléne Carrére d’Encausse),  « L’Adieu au visage » (Marchialy) de David Deneugermain, « Un amour infini » (Albin Michel) de Gishaine Dunant, « La collision » (Gallimard) de Pascal Garnier, « Passagères de nuit » (Sabine Wespieser) de Yannick Lahens,  « Le Bel Obscur » (Seuil) de Caroline Lamarche, « Tambora » (Verdier), d’Héléne Laurains, «Le nom des rois » (Stock) de Charif Majdalani, « La Maison vide » (Minuit) de Laurent Mauvignier, « Le crépuscule des hommes » (Robert Laffont) d’Alfred de Montesquiou, « Perpétuité » (Verticales) de Guillaume Poix, « Tressaillir » (Stock) de Maria Pouchet et « Un frère » (L’Olivier) de David Thomas .

    Des livres dont dira sûrement un mot Güler Le Pape, responsable de la libraire Le Cheval Vapeur lors de la soirée dédiée à la Rentrée littéraire organisée le 23 Septembre par la médiathéque

  • VANVES AU CŒUR DE L’ANIMATION ET DE L’ACTUALITE OLYMPIQUE

    En cette semaine olympique à Vanves puisqu’elle est ville-étape du Tour Olympique et Paralympique des Hauts-de-Seine (TOP 92) avec de très nombreuses animations sportives -ne ratez pas aujourd’hui l’animation sportive hors-stade sur trois sports olympiques ( golf, tennis et tennis de table) place de la République à 17H et la «Nuit des Arts Martiaux» au gymnase A .Roche à 20H30 - quelle est l’actualité olympique cette semaine : L’inauguration du Stade Yves du Manoir, Mardi dernier (sur la photo, Georges Siffredi, la ministre des sports Oueda-Castera, Valérie Pécresse, Patrick Ollier) auquel a assisté Sandrine Bourg, conseillère départementale de Vanves, qui accueillera, les épreuves de hockey sur gazon des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024, 100 ans après avoir accueilli les JO de 1924. Outre la rénovation du terrain olympique et la réhabilitation de la tribune historique, ce projet a permis de construire : 2 terrains synthétiques de hockey avec une tribune de 1 000 places, 2 bâtiments neufs accueillant vestiaires, locaux administratifs, salles de réunion, salles de musculation et salles de réception, 4 terrains de football synthétiques, 3 terrains de rugby synthétiques, Une nouvelle piste d’athlétisme…Il y a tout ce qu'on aime dans ce projet. C'est un formidable clin d'œil à l'histoire, au patrimoine sportif français. On sait ce que ce stade a représenté dans l'histoire du sport hexagonal, mais aussi dans l'histoire des Jeux pour notre pays. C'est un lieu emblématique et c'est tellement formidable de voir ce site revivre pour des Jeux cent ans plus tard. Cela va être un lieu de sport incroyable» a déclaré Georges Siffredi président du Conseil Départemental ; pour qui «il rentre dans le club très fermé des rares sites de compétition au monde, si ce n'est le seul, à être le théâtre de deux olympiade 

    Des vanvéens participeront sûrement samedi  à la Convention des Volontaires organisé par  Paris 2024 samedi à l’Arena Défense, futur site de compétition des épreuves de natation, para-natation et de la finale de water-polo. «A cette occasion, les volontaires sélectionnés vivront le coup d’envoi d’une expérience unique et ils prendront la mesure de la grande équipe des 45 000 volontaires dont ils font partie. Les volontaires pourront commencer à se projeter dans les coulisses du plus grand événement sportif mondial et ils découvriront à cette occasion leur uniforme conçu par Decathlon, partenaire officiel des Jeux de Paris 2024» indique le COJO Paris 2024

    Il a été beaucoup question d’héritage des JO, ces derniers jours, c’est à dire ce qu’il en restera après le déroulement des jeux Olympiques et Paralympiques entre Juillet et Septembre 2024, le COJO Paris 2024 ayant fait le point lors d’une conférence de presse dont bénéficieront sûrement les vanvéens, et peut être de futurs champions de notre commune. D’autant plus que 1 Français sur 2 (49%) estime que l’organisation des Jeux en 2024 les incite à pratiquer une activité physique et à faire du sport selon une enquête réalisée par Harris Interactive pour le COJO auprès d’un échantillon de 3 167 personnes représentatif de la population française, du 16 au 23 février 2024.

    A l’initiative de Paris 2024, en lien avec l’Education Nationale, les 30 minutes d’activité physique quotidienne qui ont d’abord été expérimentées au sein de l’académie de Créteil, puis au sein de 10 000 écoles volontaires seront généralisées dans les 36 800 écoles élémentaires françaises. Au mois de juin 2024, chaque école, et notamment à Vanves, aura reçu un kit de matériel sportif cofinancé avec les pouvoirs publics pour soutenir la réalisation de ces 30 minutes quotidiennes, dont une récente étude de l’ONAPS met en évidence les effets positifs sur les élèves.

    Mais il en restera surtout des infrastructures sportives, une quarantaine  auxquels  ont contribué tant la région que la MGP que le département des Hauts de Seine qui deviendront des lieux privilégiés pour la pratique sportive de tous les franciliens : Le plus emblématique est bien sûr la piscine olympique dont le maître d’oeuvre a été la MGP, l’ARENA La Chapelle, le village des Athlétes qui deviendra un quartier de ville sur l’ile St Denis, Saint Denis et St Ouen, « véritable vitrine de l’excellence française et de ce que nos entreprises font de mieux en matière d’aménagement et de construction pour répondre aux grands enjeux urbains » indique le COJO Paris 2024. Mais aussi la possibilité pour les franciliens de se baigner dans la seine, promise dans les années 1980 par Jacques Chirac lorsqu’il était maire de Paris. «A l'issue des Jeux, il y aura trois piscines dans la Seine, trois espaces de baignade. Et partout en Ile de France à terme, 27 points de baignade sont envisagés sur la Marne et la Seine. C'est un héritage incroyable !» constatait Anne Hidalgo. Sans parler des transports, avec la ligne 14 qui reliera le Carrefour Pleyel à l’aéroport d‘Orly, divers prolongements de ligne de métro et de tram…etc…

    Mais entretemps, il faudra vivre cet événement exceptionnel à plus d’un titre, les vanvéens comme les franciliens étant partagé entre le désir de rester pour y assister ou de partir pour ne pas en subir les désagréments. Et cela est un autre sujet sur lequel reviendra le blog

  • UNE RENTREE A VANVES MARQUEE PAR DES ANNULATIONS, DES TESTS ET QUELQUES TENSIONS

    Cette semaine de Rentrée pour la nouvelle année s’est déroulée sur fond de crise sanitaire, avec des suppressions ou des reports de rendez-vous comme le repas paroissal prévu le 15 Janvier pour célébrer la Saint Remy reportée en Mai, comme les « galettes » traditionnellement organisé par les associations à cette époque, le banquet des seniors, des matchs comme c’était le cas pour le basket qui devait jouer à Tourcoing à cause de joueurs contaminés, des congrés et salons annulés ou reportés en Mars au parc des exposition…. Dans certaines communes, les classes d'instruments à vent dans les conservatoires er les leçons individuelles et collectives ont été annulée jusqu'à fin janvier, à cause de la propagation du variant Omicron. Les pharmaciens sont  sous pression avec ces longues files d’attente devant les barnums blancs pour se faire tester surtout, et vacciner (sur laphoto devant la pharmacie de l’Eglise).

    Selon les dernières données de Santé publique France, un test au Covid-19 sur cinq s’avère positif en IDF. Le taux de positivité est de 20,5 % dans la région contre 17,1 % au niveau national. Un résultat qui s’explique par un nombre record de tests réalisés ces derniers jours : 9,5 millions de testes réalisés la semaine derniére (+25%) contre 3 millions de tests hebdomadaires en 2020 et 6 en Août  2021. La hausse du nombre de cas positifs témoigne «d’une circulation virale toujours plus intense, dominée par le variant Omicron» affirme SPF. Cela s’explique également par un nombre de tests réalisés ces derniers jours. Le taux d’incidence se rapproche des 3.000 cas pour 100.000 habitants dans la Région. Une tension hospitalière se fait déjà ressentir. Les scientifiques prévoient un pic épidémique à la mi-janvier.

    Dans les écoles, la tension est grande actuellement après l’annonce d’un nouveau protocole considéré comme « hors sol » annoncé par le ministre de l’Education la veille de la Rentrée dans le Parisien, heureusement allégé depuis peu….  «Ce nouveau protocole sanitaire rend la situation ingérable. Il veut que dans un cas de contamination dans une classe, tous les élèves devaient passer un test antigénique. Puis, un second test, deux jours après le premier cas et un troisième, quatre jours après. Si l’un des élèves était déclaré positif pendant ce laps de temps, la démarche des trois tests devait être relancée du début. On arrive plus à gérer» expliquait un responsable d’un syndicat enseignant qui ajoutait : «Depuis trois jours, les directions scolaires ne font que rappeler les parents. Ce protocole entraine une consommation massive d’autotests car les écoles demandent aux parents d'utiliser des autotests, et ils se tournent donc vers les pharmacies. Les pharmacies ne savent pas si elles seront remboursées et sont réticentes à fournir des tests, alors que le stock diminue. Les parents reviennent voir les écoles sans avoir d'autotests et sont déboussolés. Ils n'en peuvent plus et les directions scolaires aussi !».

    Et certains témoignages de parents vanvéens sont édifiants, car emmener les enfants à l’école, c’est devenu depuis la rentrée une sorte de parcours du combattant pour beaucoup d’entre eux. Selon le nouveau protocole, les élèves de moins de 12 ans doivent subir trois tests en cinq jours et justifier à chaque fois d’un résultat négatif pour pouvoir revenir en classe. Encore faut-il pouvoir se faire tester. «On a fait une heure de queue par deux degrés» racontait à France Info, une maman d’une écolier en CP. Même galère pour Louise, qui elle est en CM1 : «On en fait presque toutes les semaines. (…) C’est un peu beaucoup !» témoignait une autre mére. «Trois tests je trouve ça un peu lourd pour les enfants (…) mais c’est imposé !» ajoutait un père de famille devant une pharmacie dont la plupart sont déjà saturées et à bout.. Selon un pére de famille qui déposait ses deux garçons à l'école du parc hier matin, un enseignant faisait le tri à l'entrée, en laissant certains élèves aller en classe, en renvoyant d'autres se faire un test.   

    Face à la demande croissante de tests la ville de Montrouge propose depuis lundi un dépistage covid dans les écoles pour faciliter la vie de tous. Les enfants cas contacts au sein d'un établissement scolaire montrougien peuvent se faire tester directement dans leur école grâce à une cellule mobile de dépistage COVID mise en place par la Ville en accord avec l’Edication nationale. Et à Vanves, c’est pour quand ? Mais ce n’est pas tout, dans le contexte actuel,  les absences  des enseignants malades ou contaminés, n’arrangent pas le situation, que ce soit dans le primaire ou le secondaire. Cette semaine à Lemel, les parents doivent se débrouiller pour cause d’absence ces deux premiers jours de lasemaine, à cause de l’absence d’un enseignant, et de la grève jeudi, Vanves n’est pas épargné. C’est pourquoi  les syndicats ont appelés les enseignants et les professionnels de l’éducation à la grève à partir du 13 janvier prochain, ce qui ne va pas arrangés la situation de parents excédés. Parmi les revendications : « Des consignes discutées et adaptées à la réalité, communiquées clairement et directement aux collègues et avec des délais de mise en place ; des équipements de protection et de prévention en nombre (masques chirurgicaux et FFP2, autotests, capteurs de CO2), dès les prochains jours et pas dans plusieurs semaines ; un recrutement de personnels via les listes complémentaires des concours et via des contrats décents pour les enseignants et CPE contractuels ainsi que pour les assistants d’éducation» décrit le SE-Unsa dans un communiqué