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ville de vanves - Page 52

  • LA REUNION PUBLIQUE PLENIERE DE VANVES PREND UN TON TRES ELECTORALISTE

    « Un exercice concret de démocratie auquel je suis attaché » a assuré Bernard Gauducheau, en ouvrant la grande réunion publique plénière de jeudi  dernier qui a  permis aux vanvéens d’échanger avec le maire et son équipe municipale «engagée et au travail » sur de nombreux sujets pendant deux heures. Les participants ont pu surtout de  s’apercevoir  que le maire a engagé la campagne électorale à un an des municipales de Mars 2026  avec quelques pics contre ces détracteurs dont certains étaient même subliminaux.

    Plusieurs sujets ont été abordés après deux séquences : La première consacrée sur un retour sur 2024 et les perspectives 2025 à partir de ses commentaires sur des photos et la projection d’un film qui « montre bien que Vanves est une ville bien végétalisée et verte, contrairement à ce qui disent certains vanvéens ». Il a notamment insisté sur la création d’une délégation à la santé publique au sein des services de la mairie à un moment où les cabinets médicaux se développent  à Vanves qui compte 187 Professionnels de santé. Il a indiqué que le budget 2025 de la ville s’éléverait à 70 M€ avec 51 M€ en fonctionnement et 19 M€ en investissement, en listant de nombreux chantiers en voie de finition et livraison - requalification de la rue Auguste Comte et de la place du 19 Mars 1962 sur le Plateau, de la rue Raymond Marcheron sur les Hauts de Vanves,  l’immeuble de 38 000 m2 de Mata Capital qui devrait être inauguré début Avril avec deux commerces au rez-de-chaussée, l’école du Parc, les Glacières du parc F.Pic…- et en insistant sur l’application du nouveau PLUi  qui est « le seul à avoir été validé par l’Etat ». La seconde, très courte, a été consacrée à la coupure du réseau cuivre le 31 Mars prochain, Vanves ayant été choisie pour expérimenter voilà deux ans, cette disparition du réseau téléphonique historique sur toute la France d’ici 2030, car elle est fibrée à 99%. «Vous êtes la première commune en zone dense, car on a déjà coupé le réseau dans 162 communes en s’étant assurée que ce soit possible » ont expliqué deux représentants d’Orange. « Après avoir arrêté le réseau principal, on enlévera les équipements dans un second temps »

    A l’occasion des échanges qui ont suivi, le ton et l’irritation sont montés, peut être à cause de questions incisives :  

    -Rue Raymond Marcheron : « Les tranchées ouvertes ont provoqués une émergence de souris dans notre immeuble » a indiqué une résidence du 34 rue R.Marcheron en expliquant que le syndicat a fait intervenir une société spécialisée dans la dératisation. ‘C’est perturbant et ennuyeux ! Que peut faire la ville ? » -  « La ville de Vanves n’est pas habilitée à intervenir ! On n’a pas été sollicité pour que le service hygiéne et sécurité intervienne pour des mesures complémentaires ! » a fait remarquer le maire

    -Sécurité aux abords des colléges : Un intervenant a fait état d’agressions de collégiens pour leur voler leur portable. « Ce sujet de la violence qui touche les jeunes noust ient à cœur. C’est un phénoméne qui se multiplie alorsq u’il était occasionnel auparavant » a constaté le maire en inisstant sur le fait que la ville a une politique de prévention assez pointue. « On reste vigilant. On ne laisse rien passer » ajoutait il, en faisant remarquer que tous les établissements scolaires sont couvert par la vidéoprotection

    A Suivre demain

  • LE MAIRE DE VANVES EXPLIQUE CE QUI A ETE FAIT PAR LA VILLE APRES L’INCENDIE DU PARKING A DES RESIDENTS A BOUT !

    La grande réunion publique plénière qui ouvre l’année pour faire le point sur l’an passée et présenter les projets et les réalisations de l’année à venir, avant les réunions publiques de quartier semestrielles ne s’est peut être pas déroulé jeudi soir, comme le souhaitait le maire Bernard Gauducheau. Il a donné l’impression d’être irrité au fur et à mesure des questions des participants sur la rue Marcheron, la sécurité des collégiens, des cyclistes et sur sa vision des circulations douces, le nouveau PLU intercommunal, la densité de la ville, les Permis d construire, la nouvelle aire de jeux du parc F.Pic (sur lesquels reviendra sur le blog )etc… Après ses commentaires à partir de photos projetés sur les écrans sur les réalisations, sur les projets, la projection d’un film sur « Vanves ville verte » et une présentation avec des représentants d’Orange sur l’arrêt du réseau cuivre le 31 Mars à Vanves, l’actualité immédiate a repris le dessus avec les questions et l’intervention de deux résidents des immeubles des rues Jean Jaurés et Auguste Comte  qui ont été  touché par l’incendie du parking le 3 Février dernier

    « On est à bout ! » se sont exclamé ces deux vanvéens au nom des autres résidents dont certains étaient présents,  en expliquant que depuis plus de 8 jours, ils sont sans ascenseur – « des personnes âgées sont confinées chez elles, une assistante maternelle ne peut plus travailler… »  - avec des problèmes d’hygiénes – « on a vu des rats ! » de sécurité, d’odeurs…. en se plaignant de n’avoir plus aucun contact, ni communication avec le bailleur Hauts de Seine Habitat – ce qui explique leur pétition - en faisant remarquer qu’au 32 Rue Jean Jaurés, on en est au sixiéme incendie. «On souhaiterait qu’un expert nous dise si les structures de l’immeuble sont bien solide et n’ont pas été touché ! On voudrait savoir si c’est criminel » ont-ils demandé

    «La municipalité ne peut qu’être solidaire avec vous ! C’est pourquoi j’ai organisé le 7 février une réunion avec les résidents, Hauts de Seine Habitat et la police » (sur la photo) a souligné le Maire en revenant sur les circonstances de l’incendie : « Il a particulièrement été important. La température est montée jusqu’à 1200° m’a dit un pompier, ce qui a suscité une inquiétude sur les structures de l’immeuble et a amené à son évacuation. Les pompiers nous ont assuré par la suite qu’il n’y avait aucun risque. Ce qui explique que les habitants ont pu réintégrer rapidement leur logement (vers 8H30) ». Il a fait remarquer que de son côté, la ville, en ayant assuré leur accueil dans le gymnase, s’est préoccupé des conséquences sur l’école (Max Fuorestier) tout proche qui a surtout été touchée par la fumée et a pu accueillir ses écoliers, et surtout de la crèche au rez-de-chaussée. « On a pu répartir les 30 enfants dans les autres structures de la petite enfance de Vanves, et nous temporisons  le retour dans les locaux » a-t-il précisé.

    « C’est pourquoi, on n'a pas pu se rendre compte tout de suite de l’ensemble des dégâts. Tous ceux qui sont intervenus, ont fait ce qu’ils ont pu ! C’est pourquoi j’ai demandé de réserver une salle dans le gymnase pour le cas où…il aurait fallu accueillir des résidents durant le week-end (dernier). Mais voilà certains petits malins se sont moqués de nous, car on n’en a pas eu besoin. Mais c’était responsable d’agir ainsi en prévention. Deux élus se sont rendus sur place le dimanche matin, pour voir où on en était, et s’il y avait à intervenir. 12 agents de la ville ont rendu visite à chacun des locataires dans la semaine qui a suivie » a-t-il expliqué en reconnaissant les ascenseurs sont un point d’achoppement. « J’ai saisi Hauts de Seine Habitat après votre courrier ! Et je vais insister » a-t-il promis en précisant qu’il a rencontré le directeur général de Hauts de Seine habitat pour lui demander de revoir les plannings de rénovation et de réfection des immeubles touchés par l’incendie, et assurer la sécurité des parkings

  • LES ELUS DE VANVES PAR LE PETIT BOUT DE LA LORGNETTE

    CUMUL DES MANDATS : GAUDUCHEAU DEFEND UN STATUT DE L’ELU LOCAL

    Dans l’édition du 28 janvier de @lalettreduMaire, Bernard Gauducheau a signé une tribune « Du cumul au statut : Repensons l’exercice des responsabilités locales » qu’il a publié sur son site facebook, à un moment où cette question a été ravivé après la nomination de François Bayrou, maire de Pau à Matignon. « Le cumul des mandats, longtemps perçu comme un enjeu institutionnel, est désormais au cœur d’une réflexion démocratique cruciale » constate le maire de Vanves, en rappelant que « Si les parlementaires ne peuvent plus cumuler avec des fonctions exécutives locales depuis 2017, il est essentiel de réévaluer l’équilibre entre l’ancrage local des élus et la multiplication des mandats ». D’autant plus que cette loi a eu des effets dommageables en renforcant le sentiment de parlementaires déconnectés ou hors sol. « A rebours d’un débat pour / contre qui enferme la question du cumul dans une opposition binaire, il convient d’adopter une approche plus nuancée, qui soutient l’ancrage local des gouvernants tout en rejetant les cumuls excessifs, nuisibles à l’exercice réel de la responsabilité » souligne-t-il en se référant à une proposition de loi sénatoriale de 2021 qui propose de rétablir la possibilité de ce cumul pour les communes de moins de 10 000 habitants. « Elle peut constituer une réponse équilibrée et garantir l’ancrage local minimal des parlementaires sans les exposer à des cumuls inconciliables ».

    Il en profite pour défendre la mise en place d’un véritable statut pour les élus locaux, inspiré de celui des parlementaires qui « constituerait une alternative à ce cumul, en offrant aux élus, notamment ceux des plus petites collectivités, la protection fonctionnelle et les ressources qui leur manquent aujourd’hui…Il permettrait  de mieux encadrer cet exercice, d’améliorer les conditions de travail, de faciliter leur reconversion professionnelle et leur éviterait certainement le cumul horizontal, souvent synonyme de dispersions »

    Enfin, à ses yeux, « une amélioration des conditions d’indemnisation leur garantirait un revenu suffisant , leur permettant de se consacrer pleinement à leur mandat sans avoir besoin d’exercer une activité parallèle »… ou  de rechercher à cumuler des mandats  et fonctions publiques (indemnisées), comme l’a noté un internaute sur son blog  en citant, qu’il est maire, vice-président de GPSO,  conseiller régional d'Ile-de-France, membre du conseil d'administration de Hauts-de-Seine habitat, bailleur social du département, président d'Ile de France construction durable qui gère notamment les constructions-rénovation des lycées Franciliens , vice-président du Sigeif (service public du gaz et de l'électricité et des énergie locales en Ile-de-France).

    JUSTICE DES MINEURS : ATTAL REVIENT SUR LA SCENE

    Avec le texte sur la justice des mineurs, Gabriel Attal  qui était en retrait depuis plusieurs mois, tente un retour au premier plan comme l’ont noté les journalistes politiques. Ils n’ont remarqué que l’élu de Vanves  était aux abonnés absents, qu’il avait perdu le peu de prise qu’il avait sur la politique du gouvernement à l’époque de Michel Barnier, et perdu la main avec  la défaite de sa candidate à l’élection législative partielle dans les Hauts-de-Seine Laurianne Rossi  qui n’a même pas été qualifiée pour le second tour, dans une circonscription tenue depuis 2017 par les macronistes. «Un comble pour ce jeune loup de la politique, qui fut jusqu’à l’été 2024 le plus jeune Premier ministre de la Vème République et à qui beaucoup promettaient un avenir radieux ».

    Ce texte sur la justice des mineurs, dont l’objectif est d’aboutir à une remise en cause de l’excuse de minorité et à la création d’une comparution immédiate pour les mineurs, devait être voté à l’assemblée Nationale jeudi soir, même si cette proposition de loi a  fait grincer des dents au sein du groupe EPR qu’il préside. Et que la gauche remarquait que «pendant que Gabriel Attal se fait de la pub sur le dos de la justice des mineurs, la protection judiciaire de la jeunesse est à l’os» comme le sénateur PCF Ian Brossa (PC). 

    Le sujet permet en tout cas à Gabriel Attal de revenir sur le devant de la scène. Les militants Renaissance comme à Vanves ces jours-ci, ont distribués un  tract où apparaissent les visages gris de Marine Le Pen et de Jean-Luc Mélenchon derrière le sien, coloré, frappé du slogan « Ni LFI, ni RN, le sursaut maintenant ! »…Diversement apprécié, certains militants ayant refusé de le distribuer. « Beaucoup veulent donner le sentiment qu’on ne pourrait plus rien faire et qu’il faudrait attendre la prochaine élection présidentielle. Je me dresse contre ça, je me mets à la place des Français qui ont d’autres préoccupations» expliquait il sur RTL ce 12 février, en continuant de tracer son chemin malgré les commentaires.