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ville de vanves - Page 251

  • LE TRAVAIL FORMIDALE A VANVES DE L’ASSOCIATION L’ECOLE DES SABLES AU NIGER

    L’association Les lézards en Scéne chante pour les enfants touaregs au profit de l’association l’Ecole des Sables  Samedi soir à Panopée. Une association qui aide à la scolarisation des enfants des nomades Touaregs de l’Aïr, dans le nord du Niger. Un pays très pauvre, parmi les derniers dans le classement mondialde l’ONU pour le développement.

    «Plus de 60% des enfants de ce milieu rural ne sont pas scolarisés et ce chiffre tombe à 73% pour les filles. Les rares écoles existantes sont sous équipées et les enseignants mal payés, sont souvent absents » indiquent les dirigeants de cette association qui ont l’ont créé, voilà 20 ans, en réponse  à la demande de familles de nomade de créer une première école primaire dans l’ouest de Galélo, puis une seconde dans un autre oued, à In Tédayné. «D’abord précaires (paillottes), nous avons trouvé les financenements nécessaires pour lespérenniser. Ces écoles sont maintenant composées de bâtiments en dur. En plus des classes, des latrinesont été construits. A Galileo, où tous les parents sont semi-nomades, un dortoir acceuille les enfants. Nous leur fornissons les équipements scolaires et le fornitures courantes. Dans chaque école, l’eneignement comporte 3 noiveaux (CI-CP, CE1-CE2, CM1(CM2)  assurés par 3 institueurs que nousavons recruté et dont nous payons lessalaires » précisent ils.

    Ils assurent la cantine midi et soir. « Nous avons mis en place une banque céréalière pour les habitants de l’oued de Galileo».  Mais ils ont fait creusé un puit réservé à l’école d’où est remontée l‘eau  à l’aide d’une pompe solaire, d’une nappe fossile,  dans cette région où le probléme de l‘eau est crucial. Enfin, ils ont pemlis la création d’un accueil de collégiens à Agadez …

    Ils expliquent «qu’aller à l’école, appendre le français, représente pour ses enfants, l’espoir de s’intégrer dans la communauté nationale d’un pays dont le français est la lague officiele alors que les touareghs parlent le Tamaheq, et d’avoir une vie meillure. Pour les filles, l’éducation est un moyen d’accéder à un métier et offre lachance d’éviter un mariage précoce». Mais bien sûr, ils ont d’autres besoin sauxquels, il faut qu’elle réponde comme l’achat de fournitures, le soutien aux cantines, le salaire des enseignants et du personnel, et pour investir dans la constitution d’une bibliothéque pour l’écoe d’In Tédaynén, ainsi qu’un projet Eau , la construction de murs d’enceinte dans les deux écoles de brousse pour des raisons de sécurité, la mise en culture d’une jardin dans chacunees ses écoles.

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

  • VANVES COMME L’ILE DE FRANCE A ECHAPPE A UN PASS NAVIGO A 12O EUROS...POUR L'INSTANT

    «Si nous ne faisons rien, le passe Navigo finira à 120 euros» avait avertit David Belliard (EELV) vice président d’IDFM  à la veille d’une réunion très intéressante lundi dernier au siége du conseil régional : Valérie Pécresse avait réunie des assises du financement qui ont rassemblés pour la première fois l’ensemble des acteurs des transports. Dans une démarche inédite, économistes, universitaires, représentants des entreprises, opérateurs de transports, collectivités et Etat, politiques de tous bords, ont échangé et dressé un constat objectif et partagé de la situation :  des financements pérennes sont nécessaires pour faire face à l’ouverture des nouvelles lignes de transport en ÎDF

    Le réseau de métro va doubler d’ici 2030 avec plus de 300 km de lignes nouvelles et 70 gares. Dès 2024, le besoin de financement d’ile  de France Mobilités (IDFM) pour ces nouvelles lignes s’élèvera à 600 M€ et à 1,6 milliard d’euros en 2030 chaque année. Ces besoins doivent augmenter ces prochaines années, au fur et à mesure de l'ouverture de nouvelles infrastructures: prolongement des lignes 11 et 14 du métro, de la ligne E du RER, des trams T1, T3a, T7, T8, ouverture du T12 et surtout du métro du Grand Paris. lDFM doit en outre commencer à rembourser à l'Etat 2 milliards d'euros d'avance remboursable de la «dette Covid». Mais ce n’est pas tout, les coûts de fonctionnement du seul métro du Grand Paris devraient atteindre le milliard d'euros par an à partir de 2031, année prévue de son achèvement. A cette date, IDFM aura besoin de 2,6 milliards d'euros supplémentaires par rapport à la situation actuelle.  Ainsi, l'exploitation du réseau francilien coûte actuellement près de 11 milliards d'euros par an, dont 80% environ vont à la RATP et la SNCF. Le tiers de la somme vient des usagers (36%) et 48% du versement mobilité, une taxe sur la masse salariale des entreprises de plus de 11 employés, le solde étant des contributions publiques. Si ce n’était pas le cas le Pass navigo s’éléverait à 254 € par mois

    Valérie Pécresse s’est engagée, grâce à la bonne gestion d’ÎDFM, à financer l’ensemble des besoins du réseau actuel, sans baisser l’offre, sans sacrifier les investissements nécessaires à sa modernisation et en s’appuyant sur la dynamique actuelle des recettes existantes. Elle a dû se battre pour que l’Etat décaisse 200 M€ pour permettre de limiter la hausse du passe Navigo (passé tout de même de 75,20 euros à 84,10 euros mensuels au lieu de 90 ou 100 €) ou celui des tickets de bus. Et de prévenir : « Pas question de réaugmenter massivement le Navigo. Je n'ouvrirai les nouvelles lignes de métro et RER que si je peux les financer avec de nouvelles recettes identifiées» a-t-elle prévenue. Son objectif : penser un nouveau modèle plus large, en vue de décisions fiscales au printemps, et inscrites dans prochaine loi de finances 2024 L’objectif est de trouver ces nouvelles recettes promises par le Premier Ministre Edouard Philippe il y a 3 ans avant le printemps afin qu’elles puissent être inscrites au projet de loi de finances

    Ces  assises ont permis de chercher de nouvelles pistes de finances : Les touristes qui ne contribuent à l’heure actuelle que faiblement au coût de leur déplacement en Ile de France pourraient ainsi payer une surtaxe d'hébergement sur chaque nuitée d'hôtel (2 à 5 euros de plus qu'actuellement), tandis que les locations Airbnb seraient soumises à une TVA de 10 % ; les bénéficiaires de la plus value foncière autour des nouvelles gares, avec des modalités qui restent à affiner ; Une taxe sur les bureaux ou une fraction additionnelle aux frais de notaire ; une hausse du «versement mobilités» tout au moins dans les départements les plus riches ; la suppression de la tarification sociale à demi-tarif pour les personnes en situation irrégulière ; la réduction de la TVA sur les transports du quotidien à 5.5%, le taux appliqué aux services essentiels. Clément Beaune le ministre des transports a annoncé la mise en place d’une mission d’expertise qui devrait être rendue en mars 2023 pour obtenir, d’ici l’été, une «trajectoire de financement pérenne», en examinant ces propositions