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ratp - Page 12

  • L’EVENEMENT DE L’ANNEE 2018 A VANVES : LE 126 PASSE A L’ELECTRICITE

    Île-de-France Mobilités (ex-Stif) dont le maire de Vanves est un administrateur,  poursuit ses investissements pour atteindre son objectif de transformation de la flotte francilienne en véhicules propres, c’est-à-dire les 9500 bus de la RATP  et cars de société privée en grande couronne. L’un des objectifs majeurs fixés par cette haute autorité des transports régionale, est de  développer un réseau de bus propre pour atteindre  100% de véhicules propres dans la zone dense en 2025.

     

    Et les vanvéens vont s’en apercevoir cette année puisque 10 bus élétriques seront  mis en service sur la ligne 126 (Parc de St Cloud / Porte d’Orléans) au premier trimestre 2018. Ces bus électriques de type Bluebus, conçus par le groupe Bolloré, seront équipés d’un système de recharge partielle en terminus par pantographe inversé (dispositif articulé qui descend depuis un mat pour alimenter le bus au niveau de son toit). Ces nouvelles technologies apportent aux bus électriques une autonomie plus importante. La recharge des batteries en terminus de ligne vient ainsi en complément de la recharge de nuit lors du stationnement au dépôt.

    Pour Île-de-France Mobilités et la RATP, l’objectif demeure de tester différentes technologies à grande échelle afin de réaliser les choix des véhicules les mieux adaptés, les plus économiques et écologiques suivant la typologie de chaque ligne. Il va permettre de maîtriser toutes les technologies (charge lente en centre bus, charge partielle au terminus par prise ou pantographe…) en disposant ainsi d’un éventail complet de possibilités. Pour le confort des voyageurs, ces bus sont équipés d’un nouveau type de chauffage qui fonctionne avec l’énergie électrique du véhicule alors que jusqu’à présent le chauffage des bus électrique était thermique et fonctionnait avec un carburant de synthèse issu de gaz naturel, le GTL.

  • VANVES PIEGE PAR VELIB ET LES OFFRES DE « FREE FLOTTING » ?

    Isabelle Debré, vice président Mobilités du Conseil Départemental des Hauts de Seine a eu l’occasion d’apporter aux élus qui siegeaient Vendredi dernier pour voter le budget 2018, une précision importante concernant la mise en place du nouveau service de Vélib par Smovengo à partir du 1er Janvier 2018 qui pose quelques soucis. D’autant plus que dans  le même temps, plusieurs offres de locations privées dites « Free Flotting » inexistantes en 2007, au moment de la création de Velib, sont aujourd’hui présentes sur le marché avec notamment Gobee Bike, oBike, Ofo.

    «On n’a pas le droit, à partir de l’instant où vous avez plusieurs acteurs en concurrence sur le marché, de subventionner l’un d’entre eux quel qu’il soit. Et je ne veux pas être condamné pour avoir soutenu l’un d’entre eux. Je ne peux pas sur la voie publique, faire une discrimination parmi les usagers de la voie publique, exonérer tel entrepreneur et pas un autre » a précisé Patrick Devedjian, président du département,  pour justifier la redevance d’occupation du domaine public que devront payer tous ces opérateurs aux Hauts de Seine  lorsqu’ils installeront une station sur une voie départementale, ce qui est le cas pour deux stations vélib sur l’axee J.BLeuzen-R.Marcheron et Larmeroux

     « Le département ne veut pas soutenir un service dont la plus value par rapport à l’offre privée, manifestée lors de création du nouveau service vélib’, n’est aujourd’hui, plus démontrée et ne peut exister sans une dépense publique élevée. Ce mode économique souffre de décisions biaisées et unilatérales de la ville de Paris prises lors de la conception de Vélib/AutoLib Métropole. Le service Vélib exerce une activité commerciale et concurrentielle, ce qui pose par ailleurs la question de la justification des aides publiques directes ou indirectes liées à l’éxonération notamment de la redevance d’occupation du domaine public -  On ne peut pas le faire pour l’un et pas pour les autres  - qui distourne la concurrence et constitue un frein à l’essor des offres privées qui pourraient répondre aux besoins de plus de flexibilité. Le département ne souhaite pas s’engager de manière plus importante dans un service dont la compétitivité est artificiellement entretenue par le soutien public dont il bénéficie.  La mairie de Paris est en train de réfléchir à ce propos, car elle ne veut plus que ses deux roues, vélos et motos, ne puissent plus  se garer sur le domaine public s’il n’y pas d’aménagements spécifiques» a répondu Isabelle Debré, vice Présidente Transports.

    Elle n’a pas cachée avec son collègue PC Baguet qu’on assiste à un emballement et que les communes se retrouvent piégés avec d’un côté Vélib, Gobee Bike, oBike, Ofo,  les chinois envisageant de mettre 1000 vélos en service d’ici la fin du mois de décembre sur Paris et les villes limitrophes, en libre service commandés par lphone, et de l’autre des systèmes comme City Scoot ou même tes trotinettes de la RATP

  • INAUGURATION DU PASSAGE DES REFLETS A VANVES SOUS LA PLUIE

    Temps d’orage pluvieux jeudi en fin d’aprés midi à l’heure où les vanvéens rentrent du bureau, pour l’inauguration du passage des Reflets nom donné au fameux tunnel du métro : « On avait identifié la nécessité de s’en préoccuper parce qu’il était préoccupant. Il ne faisait que remplir sa fonction jusqu’au jour où on a pris conscience qu’il fallait en finir » a expliqué Bernard Gauducheau maire de Vanves, sous une grande tente où s’étaient abrité les invités, la sénateur Isabelle Debré, les représentants de Viparis (Michel Dessolain), de la RATP,  de la ville de Malakoff, des élus, des vanvéens . « Nous avons rendu agréable ce lieu où passe 4 millions de personnes. Bérangère Giotte, l’architecte,  a remplit sa mission  avec ce travail sur les jeux de lumières qui a rendu ce passage plaisant et sécurisant ». Il en aura coûté 600 000 € supporté par GPSO (30%), la ville de Vanves (30%) avec une participation de Viparis à hauteur de 150 000 € qui favorise tous les accès au parc des expositions de la porte de Versailles en cours de rénovation avec son centre des congrés dans le Palais Sud qui sera inauguré en Novembre prochain. « Il faut créer de la désirabilité qui commence par les transports » a déclaré Michel Dessolain. Et c’est le cas depuis l’aménagement du nouvel escalier mécanique par la RATP à la station de métro qui voit passer 13 000 voyageurs/jour