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malakoff - Page 6

  • LES RENDEZ-VOUS DE CE WEEK END TRES VARIE A VANVES ET A COTE

    EXERCICE SEQUANA 2016 : DES DEMONSTRATIONS POUR LE PUBLIC

    Selon le scénario arrêté pour l’exercice  Sequana 2016  sur une inondation de Paris et sa région  qui dure une quinzaine de jours, au fil des jours, plusieurs démonstrations opérationnelles sont prévus et proposées aux franciliens ce week-end qui correspond, dans le scénario de l’exercice au débordement de la Seine qui serait montée de 8 à 9 m  dans 6 sites d’exercices en petite et grande couronne et 1 site d’informations  au Champs de Mars ouvert de 13H à 19H le 13 Mars où les visiteurs pourront découvrir le film en 3D de l’IAU IDF sur une simulation d’inondation en IDF, retrouver la carte IGN au sol de Paris inondé, tester sa vulnérabilité à la crue à travers un jeu, et des ateliers d’informations par la préfecture de police, l’IFFORME, la Mairie de Paris, et l’assureur  Allianz.   Ainsi au port de Gennevilliers (92) les franciliens pourront assister samedi entre 14H et 23H  à un sauvetage sur site d’éboulement avec hélitreuillage et  dimanche entre 8H et 14H  à une récupération à terre et en darse de polluants fictifs. Au bassin de la Villette dimanche de 13H à 17H, exercice de sauvetage d’une péniche accidentée  et de sauvetage par moyens 3 D et nautiques de personnes en surfaces, recherches cynotechniques, barrages anti pollutions. La  RATP a édifier à la statiion Sully-Morland une protection anti-inondation en mortiers/béton (sur la photo) qui est l’une des techniques utilisées avec les batardeaux et ou les aquabarrières.   

    A COTE DE VANVES : MALAKOFF CELEBRE LES FRONTS POPULAIRES

    À l’occasion du 80ème anniversaire des Fronts Populaires en France et en Espagne, l’ALF, la Bourse du Travail, la Ville de Malakoff, le PCF et l’ACER (combattants en Espagne républicaine) organisent aujourd’hui à partir de 14h, un grand rassemblement à Malakoff, salle Jean Jaurés sous la présidence Catherine Margaté, maire honoraire. Sont prévus  la projection de films sur le Front Populaire, des Conférences – débats sur « Retour sur le Front Populaire » avec  Jacques Girault, historien, professeur d’Université, spécialiste des mouvements sociaux, « De la République espagnole à Podemos » avec Jean Ortiz, maître de conférences, spécialiste de littérature latino-américaniste, chroniqueur au journal l’Humanité, une présentation de la réédition du livre de Léo Figuères «Les Fureurs du XXè siècle» enrichi par une préface de Jean Ortiz, et un hommage aux habitants de Malakoff, combattants pour la République espagnole 

    A VANVES : JEUNE ET PRIERE POUR LE CAREME

    Pour vivre un temps fort paroissial et communautaire pendant ce carême, l’équipe d’animation pastorale propose une semaine de jeûne et de prière du 14 au 18 mars aux paroissiens vanvéens. L'organisation est simple : Elle débutera dimanche soir à 19H à Saint François après la messe pour « lancer la semaine » et distribuer le pain pour le lundi (500g de pain complet). Et du lundi 14 au jeudi 17 mars, chaque soir est prévu à 20h toujours à Saint François d’Assise,  un temps de méditation et d’adoration (silence, chants, prière) pendant 30 mn animé par la communauté des Xavières et porté par le Jubilé de la Miséricorde.  Le vendredi soir 18 mars est prévu une messe d’action de grâce à 19h et une « rupture du jeûne » avec bol de riz partagé. Bien évidemment, tous ceux qui ne pourraient pas jeûner de la sorte sont conviés à ces temps de prière.

  • PREMIERE REUNION PUBLIQUE DE QUARTIER DE VANVES : LES RIVERAINS DE LA RUE JEZEQUEL SE PRONONCENT POUR UNE RUE A DOUBLE SENS

    Au moins le maire de Vanves a un mérite : Il ne veut surtout faire le bonheur des vanvéens contre leur volonté, comme il le répète souvent lors des réunions publiques, comme ce fut le cas lundi soir, à la mairie. Il tenait sa première réunion publique de quartier du printemps à l’hôtel de ville pour le Centre-Ancien-Saint Remy avec un projet important : la requalification de la rue Jacques Jezequel. Deux projets ont été présentés sur lesquels les riverains présents se sont prononcés à 53 pour le maintien du double sens et 30 pour l’instauration d’un sens  unique Insurrection-Gare SNCF. Alors que le Conseil de Quartier consulté avait émis un souhait différent. Mais sans que l’un de ses responsables ou représentant n’expliquent les raisons de cette position. Ce qu’ont regretté quelques élus et militants UDI en visant bien sûr Isabelle Debré Maire adjoint chargée de ce quartier et sa suppléante Sandrine Bourg qui participaient à une réunion sur les élections européennes à Boulogne au même moment. Mais aussi en regrettant que le maire ait été aussi vite en besogne en ne déclarant pas, bien sûr, que ce vote n'était que consultatif. Ambiance à l'UDI d'autant plus que les commerçants de la rue J.Jezequel avaient un allié de poids pour le double sens avec Alain Toubiana, maire adjoint chargé du commerce qui ne s'en cachait pas. 

    Bernard Gauducheau, maire de Vanves a rappelé que cette requalification de la rue Jacques Jezequel est la dernière étape de la municipalisation de la voie départementale constitué par l’axe Pasteur-Marcel Martinie, déjà requalifié, et Jacques Jezequel en cours. Une première réunion avait permis de présenter l’état et le diagnostic de cette voie établi par le cabinet SCE qui est le maître d’oeuvre pour le compte de GPSO : 260 m de long, 9 m de largeur pour la circulation, en mauvais état (fissures, nid de poules) avec 4200 véhicules/jour dans un sens (Insurrection-gare) et 2400 dans l’autre (Gare-Insurrection) avec 100 à 150 véhicules/heure heures de pointe uniquement le matin, trottoirs encombrés et étroits, hors norme PMR (Personne à mobilité réduite) par endroits, 18 arbres d’alignement dont 16 ont des lésions et des saignées, éclairage vétuste, hétérogène, disparate… avec 20 places de stationnements.

    Le bureau d’études a constaté plusieurs besoins : dépose-minute au niveau de la place de la gare qui a besoin d’être apaisée avec élargissement des trottoirs, volonté d’avoir un espace de commerces vers la place de l’insurrection, de redimensionner cette rue à une chaussée de 6 m au lieu de 9, avec une limitation de vitesse de 30 km/h, de renforcer le stationnement à 35/40 places, et de changer les candélabres pour améliorer l’éclairage urbain, de prévoir du nouveau mobilier urbain (bancs…).

    Deux scénarios, à sens unique et à double sens ont été présenté avec des éléments communs : un plateau sur-élevé tout le long de cette voie de 6 m de large  avec une vitesse limitée à 30 km/h, rétrécissement de la place Albert Culot avec disparition du petit îlot central et déplacement de la plaque commémorative rendant hommage à ce jeune résistant mort pour la France sur la petite place donnant sur la gare, avec un dépose-minute, piste cyclable dans le sens (gare-insurrection), traitement de la contre-allée face à Intermarché qui verra s’élargir son aire de livraison. En cas de double sens, il n’y aurait pas plus de places de stationnement (20), mais 7 arbres de plus, des poiriers comme le long de la rue Antoine Fratacci qui s’adapte aux conditions de vie urbaine. Le sens unique permet de créer 14 places supplémentaires de stationnements, de planter 17 arbres en plus.

    Le coût de ce projet s’élève 1,250 000 € entièrement financé par le département, avec les travaux d’assainissement (300 000 €) et d’aménagement (950 000 € qui se dérouleront en 3 temps : La rénovation de l’assainissement en Juin.Juillet 2014, de réseau d’eau potable en Août/septembre 2014, et les travaux de requalification entre Octobre 2014 et Mars 2015 en conservant la circulation. « Si le budget est conséquent, c’est parce que je tiens à un aménagement de qualité qui dure » a-t-il précisé.

    Il a répondu avec le représentant de SCE à de nombreuses questions sur les risques de bouchons Victor Basch et Ernest Laval – « qui peut être réglé par la gestion des feux tricolores avec boucle magnétique et détecteur de présence de véhicules » selon SCE -  le stationnement des bus rues V.Basch mais aussi J.Jezequel, « jusqu’à 5 lorsqu’il y a des manifestations à Paris » selon une riveraine, les risques d’accidents sur la piste cyclable à contresens en cas de sens unique, à cause de la sortie des véhicules en stationnement en créneau sans visibilité qui a provoqué quelques échanges vifs entre le responsable de l’auto-école et SCE, mais aussi du bus « même si ce n’est pas un couloir de bus » comme l’a fait constaté le maire. Beaucoup se sont focalisés sur Intermarché, les livraisons par des semi-remorques, et ses palettes. Son patron a fait remarquer que le sens unique poserait des problèmes de déchagement de ses semi-remorques avec des feenwicks en contresens,  tout en faisant constater que « c’est aussi des places de stationnement en plus, des centimétres de trottoirs en plus et des clients en moins ». Les commerçants n’ont pas hésité, à défendre le contre sens, ayant été échaudés par la mise en sens interdit du bd Camelinat à Malakoff qui leur a fait perdre des clients, relayés par des riverains qui ne voyaient pas ce qu’allait apporté de plus une mise à sens unique, en dehors de places de stationnement supplémentaires… et de changer leurs habitudes pour certains : « J’ai pas envie de mettre 10 mn de plus à cause du sens unique pour sortir de chez moi et rejoindre la place de l’Insurrection par V.Basch et E.Laval. 10 minutes de sommeil c’est important. ?..Même si c’est égoiste ! » reconnaissait l’une d’entre eux.   

  • LE PROJET DE LA LISTE VANVES EN TRANSITION (EELV) – INTERVIEW DE LUCILE SCHMID (EELV) : « On est écologiste et crédible »

    Alors que les quatre listes qui se présentent à Vanves ont été déposées en Préfecture (Le 24 pour l’UDI/UMP, le 27 pour le PS, le 28 pour le Front de Gauche, Le 3 Mars pour EELV), les choses commencent à se préciser au niveau des programmes. Alors que les socialistes ont présenté leur projet avant les vacances d’hiver, pour permettre aux vanvéens de se l’approprier, et qu’il est le thème de leurs réunions de proximité, les Verts l’ont dévoilé samedi dernier en commençant à le distribuer au marché, et la majorité municipale (UDI/UMP) commence à le distribuer aujourd’hui, dans les boîtes aux lettres des vanvéens, après une crépe Party hier en fin d’après-midi dans et devant leur permanence, où certains opposants ont été invités à déguster. Vanves Au Quotidien a décidé de rencontrer chaque tête de liste pour qu’il présente les grandes lignes de leur projet et nous éclaire sur leurs priorités s’ils sont élus les 23 et 30 Mars prochain. Nous commençons par Lucile Schmid qui conduit la liste « Vanves en Transition » 

    Vanves Au Quotidien - Pourquoi avez-vous présenté votre projet seulement maintenant ?

    Lucile Schmid : « Nous avons eu une démarche un peu particulière puisque nous avons organisé ses ateliers participatifs et ensuite, nous avons mis beaucoup de temps à discuter sur la façon dont on voulait faire un programme qui ne soit pas un catalogue de mesures. D’une certaine façon, cela a mis du temps à murir parce qu’il fallait plus expliquer, faire comprendre notre démarche, et montrer que l’on connaissait les contraintes, c'est-à-dire qu’on est écologiste et crédible. Je sais très bien, ayant une formation budgétaire, que dans la crise,  les vanvéens sont extrêmement attentif à l’idée du réalisme. Quand on a fait Vanves 2020, les gens s’étaient demandés si les écologistes étaient capables de faire ce qu’ils disent. Et bien nous avons travaillé sur la crédibilité. Nous voulions surtout insister sur la démarche : L’idée est d’associer participation des habitants, association aux décisions, services municipaux et expertise municipale avec des expérimentations. Nous voulions en faire une sorte de cœur de programme avec quelques coups de projecteurs sur des dossiers qui nous tiennent particulièrement à cœur comme le logement, les déplacements, la petite enfance, l’éducation.   

    VAQ - Comment l’avez-vous conçu et avec qui ?

    L.S. : « Au travers de ces ateliers et en utilisant les compétences de la liste. Car nous avons, dans notre liste, des gens qui viennent de milieux professionnels assez différents, et nous avons essayé de mobiliser notre expertise. Nous avons réfléchi s’il fallait faire quelque chose de spécial pour les jeunes adultes. Et nous nous sommes aperçus que nous préférions prévoir quelque chose sur la relation entre tous les vanvéens, et comment cela se faisait pour que cela fonctione ensemble

    VAQ - Quelles sont ses grandes lignes ?

    L.S. : « Vanves en Transition est un terme un peu mystérieux mais qui est intéressant. Nous avons vu cette idée de la « transition » à travers le débat sur la transition énergétique. Nous savons que nous sommes dans une période de crise profonde sur le plan écologique, économique avec la rareté de l’emploi, social avec le sentiment que les jeunes ne savent plus forcément où va la société, et de mutation. Nous associons souvent à ce constat d’incertitudes, l’idée de menaces. Nous nous sommes dit qu’il fallait prendre un contrepied, que l’on aille sur cette idée que nous vivons une période de transition, où il faut changer, transformer profondément le modèle. Et donc, à la fois reconnaitre la réalité et l’incertitude, et transformer le modèle économique, social et écologique. En se référant au mouvement des villes en transition qui a été fondée en Angleterre et qui a consisté à transformer les politiques énergétiques dans la ville, l’aménagement, l’urbanisme, et en même temps, à susciter de nouveaux lieux démocratiques de façon à ce que les habitants participent par une modification des comportements.

    VAQ - Que voulez-vous faire de Vanves en 2020 ?

    L.S. : « Nous voulons transformer la démocratie locale, parce qu’ayant passé un certain nombre d’années dans l’opposition, ayant même été toujours dans une forme d’opposition politique depuis que je suis à Vanves (depyuis 2002), il n’y a pas assez de mobilisation en France des compétences entre ceux qui appartiennent à l’opposition et à la majorité. Les conseils municipaux sont des pièces de théâtre dont on connait l’issue à chaque fois. Ceux qui viennent y assister sont rares, parce qu’ils ne mobilisent pas les foules. Ce n’est pas un lieu de débat. Nous insistons sur le fait qu’il y ait une partie du conseil municipal consacré aux questions des habitants, avec un compte rendu, des réponses pas préparées à l’avance, une vraie interpellation démocratique. Nous proposons de confier la présidence d’une commission municipale à l’opposition.

    Nous souhaitons ainsi que Vanves soit une ville réanimée, car ceux qui y habitent depuis longtemps, en parlent et disent qu’il y avait plus d’animations dans cette ville, une vie qui était plus évidente, où les habitants se parlaient davantage. Alors que Vanves est une ville que l’on peut parcourir à pied. C’est l’aspiration vers Paris, la voiture qui a créé cette espéce de difficulté à communiquer.

    Nous souhaitons que Vanves soit une ville plus innovante, qui expérimente. A partir de là, nous proposons un certain nombre de mesures pour la réanimer, la rendre plus animée, plus douce à ceux qui sont fragiles (petite enfance, handicapés,  seniors avec les échanges inter générationnelles), et où le principe d’égalité fonctionne quelle que soit l’origine, où le droit de vote des étrangers soit porté en organisant une votation citoyenne sur ce sujet. Nous souhaiterions que ce soit une ville qui ait de l’ambition. Vanves l’audacieuse comme à Issy.

    VAQ -Quelles sont les 2 à 3  propositions sur lesquelles vous avez envie d’insister ?

    L.S. : « Tout d’abord sur le logement où on met l’accent sur deux points : la rénovation énergétique parce que la précarité énergétique est un vrai sujet, y compris à Vanves. Les ménages dépensent dans le logement et le chauffage une partie importante de leurs revenus (jusqu’à 40%). Et notamment en organisant une politique de rénovation thermique plus importante notamment sur les logements sociaux. La ville n’a pas d’office HLM, mais peut être faudrait il avoir une relation plus forte avec tous les bailleurs sociaux qui ont des logements sociaux à Vanves, de façon à organiser une priorité à la rénovation thermique. La rénovation des logements dégradés de façon à ce qu’il y ait une offre de logements qui progresse notamment dans le logement social – il n’y en a pas assez – parce que le prix du métre carré augmente. Il y a ainsi une espèce de sélection qui se fait par les prix, qui fait évoluer Vanves. Alors que nous sommes attaché à la mixité sociale.

    Ensuite, les déplacements sur lesquels nous avons beaucoup d’ambitions. Nous souhaiterions organiser un système de sens unique rue Jean Bleuzen après en avoir discuté avec un comité d’habitants réunissant l’ensemble des vanvéens concernés (résidents,  commerçants, entrepreneurs, associations d’usagers) sur la manière de l’organiser. L’idée est que le trafic de transit qui est extrêmement important dans Vanves et qui tue la possibilité d’avoir un vrai centre animé, soit mieux régulé puisqu’il est impossible à éviter. Et de le faire en concertation avec la ville de Malakoff pour voir dans quel sens on pourrait imaginer faire un lien, avec un sens rue Jean Bleuzen, et un autre sens bd du Général de Gaulle. La concertation avec Malakoff qui est aujourd’hui très faible, puisque nous avons été happé par GPSO, pour des raisons politiques, est nécessaire dans le  cadre de la future MGP. Nous souhaitons re-développer des relations plus fortes avec Malakoff, Clamart et Paris, car cela cotrrespond à la réalité humaine de Vanves. 

    VAQ - Quelles sont les premières propositions que vous allez mettre en chantier sur vous êtes élu ?

    L.S. : « Le partage des responsabilités avec l’opposition, puisque nous avons appelé cela « jouer collectif » dans notre programme. On programmerait des Etats Généraux de l’Emploi et de l’Innovation car nous pensons que Vanves est une ville qui tout à fait la capacité humaine, avec des initiatives de jeunes – une jeune femme a crée une start-up sans le domaine numérique -  le siége d’Hachette qui va s’installer. On travaillerait sur un projet d’animation qui montrerait qu’elle peut être reprise à bras le cotrps par l’ensemble des acteurs et se déroulerait avant l’été 2014, et que Vanves est une ville festive et qu’elle peut attirer au-delà des vanvéens  

    VAQ – Quelle votre position sur la MGP ?

    L.S. : « C’est encore un objet politique non identifié. Nous avons des inquiétudes sur son opacité, son caractère technocratique. Nous relayons ces inquiétudes. En même temps, je considère que GPSO est une interco qui a certainement apporté des choses à Vanves en terme budgétaire, mais elle était déjà extrêmement opaque, une sorte de  club de copains. Le bureau de GPSO n’est il pas dominé par Issy et Boulogne. Est-ce que l’on peut imaginer que la MGP soit plus redistributive,  car elle porte des priorités en terme de logements, d’aménagement du territoire, mais qu’en terme de solidarité et d’égalité des droits, qu’elle soit une métropole de gauche. C’est ce à quoi j’aspire. Je ne regretterai pas GPSO.