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malakoff - Page 4

  • CONTRATS AIDES A VANVES : DES EMPLOIS SUR LA SELETTE

    Les maires sont remontés lors de cette Rentrée 2017 contre la diminution du nombre de contrats aidés qui s’ajoute à d’autres annonces estivales faîtes par l’Etat, d’autant que beaucoup concernent les écoles, les centres de loisirs et même certaines associations

    Le maire de Vanves fait mentir le chef de l’Etat lorsqu’il explique que les contrats aidés n’apportent pas de réponse durable et ne sont pas un tremplin vers l’insertion professionnelle : « La ville de Vanves embauché 24 personnes en contrats aidés en 2013, 11 d’entre elles ont intégré définitivement les services municipaux, avec à la clef un emploi stable. Une preuve de plus que de dispositif permet à certaines personnes de s’insérer durablement dans la vie professionnelle » constatait il  dans un communiqué cesjours-ci

    Il ajoutait que « la fin de ce dispositif serait un coup supplémentaire porté à l’encontre des collectivités territoriales et du monde associatif. La disparition brutale des contrats aidés fragiliserait des secteurs entiers de nos territoires dont l’avenir est chaque jour plus incertain. S’ils ne sont pas la panacée, ils ont le mérite d’exister. Ils sont un formidable moyen d’inclusion sociale pour les populations fragiles, souvent à l’écart du marché du travail classique».

    Sa collègue de Malakoff a alerté Matignon des conséquences sur certaines associations comme l’Union sportive municipale, Musiques Tangentes qui pourrait à terme supprimer 35 emplois, Anges au Plafond, 3quatre… : « Je reconnais que ces contrats ne constituent pas l’unique solution aux difficultés des acteurs locaux, car ils comportent une part d’instabilité. Mais une fin brutale toucherait de plein fouet la vie sociale et économique de Malakoff, et de l’ensemble de notre territoire. Je ne peux l’accepter » écrit Jacqueline Belhomme (FG/PC).

  • TRAVAUX GPSO A VANVES : l’ETE SERA CHAUD !

    Ses réunions publiques de quartier, comme hier à l'école Larmeroux,  sont l’occasion de faire un bilan et de présenter les nouveaux travaux menés par GPSO dans chaque quartier avec pour vedette, Yann Texier (sur la photo avec B.Gauduchrau) qui a tout même rappelé que durant ses six derniers mois, l’interco était intervenu une soixantaine de fois pour des petits travaux sur la voirie. Pour le centre Ancien-Saint Remy, il a présenté les travaux de la balançoire du parc F.Pic qui a réouvert après un chantier de rénovation de 12 200 €, et durant l’été l’aire de jeux des « petits » qui n’est plus aux normes (80 000 €) avec réfection des deux bacs à sable. D’ailleurs le maire a précisé qu’il faudra bien se préoccuper de la « Glaciére » du parc dont le coût de sécurisation et de remise en état se monte à 800 000 €, alors qu’il faut refaire les bassins. « On doit faire des arbitrages. C’est frustrant car on est obligé de faire moins que prévu ! »

    Pour les rues, 4 Septembre (150 000 €), Jullien (18 000 €), Falret, Raphael, Rabelais, le trottoir de la rue Falret côté école, la partie haute de la rue de l'avenir (pour 88 000 €)  sont concernées, avec la création de passage piétons surélevés Jean Bleuzen devant le square Marceau et le métro, et les travaux d'accessibilité avec les bandes sur les trottoirs (pour 100 000 €). Il a rappelé la réfection du terre-plein central de la rue Antoine Fratacci, avec de nouveaux végétaux pour faire une barrière végétale lorsqu’ils auront poussé et pris de l’ampleur. Il en a profité pour parler de ses 250  corbeilles en ville qui servent maintenant de dépots d’ordures ménagéres, dedans et autour lorsqu’elles sont pleines bien sûr. Elles ne servent pas à cela bien sûr ! « Une campagne de sensibisation devrait être lancée. Mais si les vanvéens ne respectent rien, on les enlèvera » a prévenu le maire qui a ajouté : « On devrait s’inspirer que ce qu’a fait Malakoff où 600 habitants se sont mobilisés pour nettoyer leur ville »

  • NOTRE DAME DE FRANCE : LE 3éme COLLEGE DE VANVES A MALAKOFF

    Le 24 Mars dernier était inauguré un nouveau bâtiment à l’Institut Notre Dame, certes à Malakoff, mais derrière la gare SNCF Vanves/Malakoff où de nombreux vanvéens sont accueillis parmi ses 500 élèves et où beaucoup ont fait leurs études de la CP  jusqu’en 3éme avant de rejoindre un lycée. Une institution résolument engagée dans une éducation de l’avenir, dans une recherche fine de formation humaine et intellectuelle comme l’ont expliqué ce jour là ses dirigeants. Ce bâtiment baptisé « Dujarié » est destiné au collège avec deux salles de sports,  des salles de classes dont une de musique, une autre de technologie, une salle des professeurs et un CDI. Il a été construit en un temps record malgré la présence de carrières en sous-sol, des inondations et des vols comme l’a indiqué Alain Boissard chef d’établissement  

    Avec Michelet, Notre Dame de France est l’un des plus vieux établissements scolaires où ont été accueilllis des générations d’élèves notamment vanvéens, 152 ans pour Michelet, 143 ans pour cet établissement privé. A ses débuts, en 1874, c’était une maison d’éducation   qui accueillait 35 jeunes filles, que le curé de Notre Dame de Malakoff avait confié à des religieuses de la congrégation des sœurs de la Providence de Ruillé-sur-Loir (Sarthe). Cette congrégation religieuse a acquise le terrain le long de la voie SNCF en 1883  et a donné le nom de Notre Dame de France à  cet établissement qui accueillait 170 élèves dont 70 pensionnaires. Ses bâtiments ont connus des expansions successives avec la construction de la chapelle en  1896. Mais il a  rencontré des difficultés au début du siècle dernier lié à la  loi sur la séparation de l’Eglise et de l’Etat en 19303, les sœurs étant mis en demeure de quitter les lieux ou d’abandonner leur habit religieux pour continuer à s’occuper des pensionnaires,  accusée même d’avoir transgressée la loi pour avoir ré-ouvert un établissement congréganiste, après une fermeture de quelques mois, traînées en justice mais sans suite . En 1914,  les bâtiments sont réquisitionnés pour accueillir les blessés de la guerre,  comme Michelet, puis 1939/40, les carrières ont servis d’abri durant le second conflit mondial, alors qu’ils devaient accueillir une société d’ambulance.

    235 sœurs se sont ainsi relayées pendant 119 ans pour assurer l’éducation de ces jeunes selon un projet éducatif toujours en vigueur permettant "un accueil de tous les élèves sans discrimination, dans leur diversité", veillant à "les éduquer et les instruire pour accéder à l’autonomie et la culture, et à leur apprendre à bien vivre et grandir  ensemble dans un climat propice à l’épanouissement et au partage ». Même si au début des années 1990, les laîcs ont pris le relais des soeurs  qui se sont retirées, cet établissement est resté sous la tutelle de  cette congrégation, tout en continuant à évoluer avec une ouverture à l’international  grâce à des liens avec la Belgique, Madagascar et le Sri Lanka, les USA, et aux nouvelles technologies avec ce CDI numérique … Ses dirigeants sont d’ailleurs fiers d’avoir 100% de réussite au brevet dont 70% avec mention.