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conseil dépatemental des hauts de seine

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

    LE COMMISSARIAT DANS LA TOURMENTE

    Décidemment, la ville de Vanves ne fait parler d’elle  dans les médias qu’à propos de «faits divers». Après l’affaire Youriy qui a fait ressortir la question des bandes doit faire l’objet d’un comité interministériel aujourd’hui, où une dizaine de mineurs vanvéens ont été mis arrêté, ne voilà t-il pas que la police nationale s’y met :  Deux gardiens de la paix ont été accusés d'avoir violenté une collègue lors d'un bizutage avant de faire accuser un homme interpellé qui du coup, risquait 75 000 € d’amendes et 5 ans d’emprisonnement, avec la complicité de la policière harcelée qui a participé à la rédaction du faux procés-verbal. On croit rêver, surtout aprés l’affaire du producteur dans le XVIe arr. de Paris que les caméras de vidéo-protecteur ont sauvé d’un fausse accusation après avoir été tabassé par des policiers.  Une affaire rocambolesque remontant à mai 2020 qui ternit la réputation du commissariat de Vanves et que l’on apprend dix mois après les faits, alors que la procureure de la République de Nanterre a ouvert une enquête et saisit l'Inspection générale de la police nationale (IGPN). Les premières réactions sur les réseaux sociaux demandaient des sanctions exemplaires

    UN DOC SUR UN AN DE COVID-19 OU LE FILS DEVEDJIAN SE CONFIE

    Dans un documentaire qui sera diffusé dimanche soir sur LCI, des médecins, des ministres et des élus en première ligne sur la gestion de la crise sanitaire témoignent de l'année intense qui vient de s'écouler, profondément marquée par la pandémie. Avec un témoignage poignant  de François Devedjian, un des quatre enfants de l’ancien ministre et président du CD 92  que beaucoup de vanvéens connaissaient, qui fait partie des 90 000 français qui ont perdu la vie à cause du Covid-19. Il  revient  sur ses 24H où son état va subitement s’aggraver puisqu’il est décédé le 28 mars 2020, deux jours après avoir affirmé qu’il allait mieux. «Le 26 mars, il annonce même sur twitter qu'il est hospitalisé mais qu'il va mieux, et en profite pour remercier les médecins et le personnel soignant. Quand il a tweeté ça, il était convaincu […] qu'il avait passé le plus dur et qu'il allait s'en remettre» témoigne  François Devedjian. Le décès de Patrick Devedjian a d'autant plus surpris ses proches que, à l'époque, « on ne savait pas trop ce qu'était le Covid.  On voyait ça un peu de loin, en se disant «la maladie, c'est pour les autres». Quand Patrick Devedjian décède, je me dis, pardonnez-moi du terme : «Cette maladie, c'est une saloperie… Le fait qu'un homme politique puisse décéder du Covid-19  a alerté des gens, qui se sont dit que, même des personnalités […], ça leur arrive». A Voir Dimanche

    LE PROLONGEMENT DE LA 12 INTERESSE LES VANVEENS

    Le prolongement de la ligne 12 du métro, véritablement serpent de de mer isséen sur lequel s’est de nouveau attelé André Santini, Maire d’Issy les Moulineaux, au lendemain des municipales 2021, a fait l’objet d’études de faisabilité dont les premières conclusions ont été présentés lors du dernier conseil territorial de GPSO. Initialement, il était prévu jusqu’à «la Ferme» à la limite d’Issy les Moulineaux et de Meudon au niveau d’Auchan, ce qui serait pratique pour les vanvéens qui prennent le métro à Corentin Celton ou Maire d’Issy, avec un gare d’interconnexion à Léon Blum avec la ligne 15 Sud du Grand Paris Express et la ligne C Du RER. Mais elle pourrait aller plus loin dans ce quartier de Meudon Sur Seine jusqu’à une station du tramway T2, car il a bien changé. Les communes espèrent que ce prolongement soit inscrit dans le CPER (Contrat Etat-Région 2021-2027) qui doit être négocié ces prochains mois

  • A COTE DE VANVES : INAUGURATION A NOTRE DAME DE FRANCE

    Bernard Gauducheau avec Xavière Martin, adjoint au maire chargé de l’éducation ont participé, hier matin,  à l’inauguration du nouveau bâtiment « Dujarié » de l'Institution Notre-Dame de France par Patrick Devedjian Président du Conseil Départemental des Hauts de Seine,  Luc-Olivier Vignaud, président du conseil d'administration de l'OGEC et d'Alain Bossard, chef d'établissement du collège. La déconstruction/reconstruction du nouveau bâtiment « Dujarié » de l'Institution Notre-Dame a été réalisée en 2016 dans un temps record malgré desproblèmes de carrières, d’inondations et de vols. Le nouveau bâtiment abrite désormais 1 grande salle polyvalente, des salles de classes, le centre de documentation, les salles des enseignants et un espace collégiens. « Le Département s’est engagé régulièrement auprés de vous comme il le fait pour l’enseignement privé », a expliqué Patrick Devedjian,   avec une enveloppe dédiée de 3 M€ pour l’équipement de ses établissements (sur un budget de 163 M€ consacré à l’éducation dont 71 M€ pour les travaux dans les colléges). Pour ND de France, il  a alloué deux subventions de 343 011€ chacune en 2015 et 2016 pour la réalisation de ces travaux. Cet établissement privé accueille 850 enfants de la maternelle à la 3éme dont beaucoup devanvéens. Au moins un ancien éléve de Vanves, chef scout à Saint Remy, a assisté à l’événement

  • VANVES , LE DEPARTEMENT ET LA REGION : UNE EGALITE FEMME/HOMME PAS EVIDENTE MALGRE LES DISCOURS

    A l’occasion de la journée internationale de la femme, Isabelle Debré, vice président du Sénat et du Conseil Départemental des Hauts de Seine devrait participer à l’hôtel du département des Yvelines à Versailles à un déjeuner débat organisé par Patrick Devedjian et Pierre Bédier, Présidents respectivement du 92 et du 78,  sur le thème « Le droit à l'éducation pour toute femme », animé par Bénédicte de Kerprigent directricede l’Institut des Hauts de Seine avec Annie Genevard, Députée-Maire de Morteau, Secrétaire générale adjointe des Républicains et Déléguée générale à l'éducation. « Assurer à toutes les femmes, l'accès à une éducation de qualité, est un des objectifs majeurs dans l'éducation féminine universelle. Accéder à l'instruction et à la maîtrise de la langue française contribue à défendre la place de la femme dans la vie sociale et professionnelle » explique t-elle. Sachant que notre  département a mis en place un programme d'action favorisant l'alphabétisation, le perfectionnement du français et l'insertion professionnelle en faveur des femmes, et a apporté son soutien à l'Institut des Hauts-de-Seine pour la création de quatre écoles Françaises des Femmes où 400 femmes sont actuellement inscrites et suivent un parcours pédagogique d'enseignement général.  

    A cette occasion,  l’ADF  (Association des départements de France) a mené une étude de fond pour évaluer les effets de l’instauration des binômes paritaires dans les cantons depuis Avril 2015. Les conseillères départementales représentent la moitié des assemblées et des bureaux, et ont multipliés par 4 leur représentation par rapport à 2011 (13,8%). Les élus ont constatés des changements visibles dans le fonctionnement des assemblées départementales : Une présence féminine devenue automatique et accrue, un rajeunissement des élus, un degré d’implication et d’engagement fort de l’élue dans ses missions,  contribuant à une nouvelle approche dans les politiques à conduire. « l’arrivée massive de femmes, souvent issues de la société civile, donne un second souffle aux conseils départementaux. Dans la plupart des départements, le nouveau mode de scrutin a induit une nouvelle atmosphère de travail, des premières évolutions dans la redistribution des responsabilités, permettant plus de mixité dans les politiques menées. Cette nouvelle répartition des rôles témoigne de la transition actuellement opérée dans les Conseils départementaux pour de nouvelles gouvernances, souhaitées par les élus eux-mêmes ».

    La Région ile de France de son côté, a fait de la « Lutte contre les violences faites aux femmes », sa grande cause régionale 2017. Les nouvelles mesures pour favoriser l'égalité entre les femmes et les hommes en Île de France ont fait l’objet d’une communication présentée lors du dernier conseil régional. Elle montrait que les disparités entre les femmes (52% de la population francilienne) et les hommes demeurent une réalité : Les femmes gagnent en moyenne 26% en moins que les hommes. Prés de 3 fois plus de femmes (21%) que d’hommes (8%) sont à temps partiel. Sur 75 000 entreprises crées en IDF, seules 27% l’ont été par des femmes. Les violences conjugales sont plus élevées en IDF (10,9%) que sur l’ensemble du territoire (9%). Les avances et les agressions sexuelles envers les femmes sont plus importantes en IDF (3,9%) que sur l’ensemble du territoire (1,9%). Dans les transports en commun, les franciliennes sont plus sujettes (58,7%) que les franciliens (30,7%) à ressentir un sentiment d’insécurité.  La lutte contre les discriminations et pour l’égalité entre les femmes et les hommes, ainsi que les violences faites aux femmes ont fait l’objet de deux nouvelles politiques cadre présenté le 22 Septembre et le 13 Octobre 2016. Cinq cinq axes ont été définis : Agir pour l’égalité professionnelle au sein des services ; accompagner et soutenir les acteurs franciliens de l’égalité entre les femmes et les hommes ; agir pour l’égalité professionnelle  dans l’éducation et la formation ; améliorer et faciliter la vie des franciliennes ; rendre vers la parité dans toutes les commissions et groupes de travail régionaux.