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logement - Page 10

  • VANVES, GPSO, LES HAUTS DE SEINE MALTRAITES PAR LA REGION ILE DE FRANCE: Les élus altoséquanais ruent dans les brancards

    Cet avis « sans queue, ni tête » de la Région sur le CDT (contrat de Développement Territorial) de GPSO (Grand Paris Seine Ouest) est une nouvelle étape dans les relations conflictuelle entre le département des Hauts de Seine et le Conseil Régional d’Ile de France. Il y sera fait sûremment référence durant toute cette journée puisque le Conseil Général siége pour voter son budget 2013. D’autant plus que la pression se fait de plus en plus forte sur notre département depuis le changement de président de la République et de gouvernement qui donne des aîles à la Région, et qui vont avoir des répercussions sur le budget départemental  : Des dotations de l’Etat gelées, des péréquations instituées et renforcées depuis peu, avec des ponctions forcées de l’Etat, sans parler du développement d’un « jacobinisme régional » et de la future loi de décentralisation qui devrait créér un Fonds de Solidarité Interdépartemental en Ile de France de 60 M€ dont les principaux contributeurs seraient les Hauts de Seine et Paris, et les principaux bénéficiaires la Seine Saint Denis et le Val de Marne A tel point que Patrick Devedjian, président du CG92 déclarait lors des vœux voilà plus d’une semaine : « L’objectif solidaire, généreux et consensuel, n’est que prétexte pour appliquer une politique partisane confiscatoire » vis-à-vis des Hauts de Seine. Et de menacer « de ne plus participer au financement du prolongement de la ligne 13 ».

     

    Patrick Devedjian dans ses différentes interventions, depuis le début de l’année, comme il l’a fait lors des Vœux du Conseil Général le 15 Janvier dernier auxquels assistaient plusieurs élus de Vanves, ne manque jamais de faire état de ces aggressions dont sont l’objet les Hauts de Seine. Tout d’abord il s’en prend au  « jacobinisme régional qui s’instaure actuellement, notamment en matière de logement, et qui ne me paraît pas être un grand progrès sur le jacobinisme national que nous avons subi si longtemps ». A l’occasion du débat sur la gouvernance du Grand Paris cet automne, il déclarait que « l’acte III de la Décentralisation, c’est la montée en puissance des Régions  et surtout de la région Ile de France. Et je m’inquiéte lorsque je vois ses responsabilités étendues et la façon dont elle les exerce » Et de  citer notamment le SDRIF (Schéma directeur régional) – « c’est le goss plan »  - et surtout  le logement : « Que fait le gouvernement ? Au lieu de tenter de desserrer la pression en favorisant le développement régional, il décrète de façon arbitraire des objectifs de logements pour l’IDF. Il n’y a qu’à densifier ! Construisons des immeubles ! Détruisons l’habitat individuel !  Et cela au mépris des aspirations des habitants et au risque d’une fuite en avant dans les  problèmes insurmontables que nous connaissons déjà : une métropole asphyxiée, une circulation insupportable, une pollution nuisible pour notre santé, une concentration de populations dangereuse pour la cohésion sociale » déclarait il  lors des vœux.  

     

    Ensuite, la péréquation : « Je trouve normal de réguler les équilibres territoriaux en faisant en sorte que les mieux pourvus par la nature aident les moins bien lotis. En revanche, quand la péréquation devient prétexte à encourager la mauvaise gestion, elle est dévoyée. Je ne vois pas au nom de quoi les contribuables des Hauts-de-Seine devraient rembourser la spéculation financière hasardeuse ou les choix politiques désastreux de notre voisin, la Seine-Saint-Denis. Département qui n’est pas moins riche que le nôtre, mais indubitablement moins bien géré ».  Il est bien sûr revenu sur l’amendement surprise du Gouvernement dans le projet de loi de finances pour 2013 « qui modifie substantiellement – c’est le moins qu’on puisse dire – les modalités de prélèvement du fonds de péréquation de la Cotisation sur la Valeur Ajoutée des Entreprises (CVAE) qui remplace la taxe professionnelle. Dans le nouveau système, de manière totalement arbitraire, les Hauts-de-Seine seraient prélevés de 12,5M€, contre 1,6 prévus initialement, soit une augmentation de 681% ! Pendant ce temps, la ville de Paris se verrait, au contraire, appliquer une diminution de 18,5%. C’est un amendement sur mesure, qui ne s’applique qu’aux Hauts-deSeine. La péréquation est à chaque fois calculée avec des critères différents pour aboutir au même résultat : prendre à droite pour donner à gauche ».  

     

    Le rapporteur du budget, Eric Berdoati, maire de Saint Cloud a fait le calcul :« Si on additionne ses 6 M€ dû au gel des dotations de l’Etat +  les 11 M€ de ponction supplémentaire sur la CVAE et si l’on regarde tout ce qui est pris dans le cadre des péréquations  - 21 M€ pour les DMTO (droits de Mutations à Titre Onéreux) car on estime que les Hauts de Seine touchent trop - cela fait 38 M€, presque 40 M€. Ainsi nos recettes directes sur notre fiscalité – presque 926 M€ - sont  amputées de 276 M€ au titre de la péréquation car il ajouter  243 M€ au titre du Fonds National des Garanties Individuels et de Ressources (FNGIR). Ce qui commence à faire quelque chose de conséquent sur des dépenses de fonctionnement qui s’élèvent aux alentours de 1,4 milliard d’euros dont 700 M€ consacrés à la solidarité ». Pour lui, « ces péréquations qui ont commencé à être voté sous le quinquennat de Nicolas Sarkozy, ont été nettement amplifiées depuis, et un peu plus orientées qu’elles ne l’étaient dans le passé. Si le principe ne me choque pas forcément, en revanche, ce qui me scandalise c’est de ponctionner des collectivités pour verser à d’autres qui en bénéficient et qui n’ont aucunes mesures contraignantes de retour à l’équilibre »

     

    Enfin, le président du Conseil Général n’hésite plus à faire part  de son ras le bol d’entendre dire que les Hauts de Seine doivent payer. « Les élus altoséquanais n’ont pas de leçon à recevoir ! Une vingtaine de dispositifs nous  sont défavorables parce que nous sommes réputés riches. Les crédits d’Etat de l’ANRU se monte à 22% dans le 92 et à 29% ailleurs. Nous payons plus cher que les autres départements pour le STIF (92 M€) soit plus que la Seine Saint Denis et le Val de Marne réunis. Et la DGF est moindre qu’ailleurs. Alors que les Hauts de Seine, ce sont 13% de la population francilienne, 16% des revenus et 18% des impôts. La péréquation va absorber 1/3 de nos recettes alors que dans le même temps, l’Etat nous transfère des charges comme l’APA. Et on a perdu l’autonomie fiscale »  expliquait-il voilà peu  en constatant  : « le 92 a les mêmes recettes fiscales que le 93. Il faudrait que nous, qui avons été à peu près raisonnables ... nous réduisions les prestations accordées à nos populations pour financer les emprunts toxiques que la Seine-Saint-Denis a inconsidérément souscrits. C'est totalement immoral. Tout n'est pas homogène dans les Hauts-de-Seine ... les populations sont mélangées, contrastées. Il y a des riches et des pauvres. Et s'il y a davantage de pauvres en Seine-Saint-Denis que dans mon département, c’est la conséquence d'une volonté délibérée des élus pour avoir une population assez sûre sur un plan électoral ». Et il n’est pas en reste vis-à-vis de la ville de Paris  Paris avec laquelle « il n’y a aucune concertation. Il suffit de voir la gestion des portes de Paris ! » - Vanves en sait quelque chose avec la Porte Brançion, sans parler du lycée Michelet où certains investissements ont été retardés ou décalés (rénovation des équipements sportifs) et même abandonnés (ouverture d’une partie du parc du lycée) parce que la Région refusait d’aider uner commune considérée comme riche dans un département riche -   et en dénonçant la politique de Bertrand Delanoë « qui consiste à interdire Paris aux banlieusards et à chasser ses habitants en banlieue ».    

  • CDT GPSO : LE MAIRE DE VANVES PORTE PAROLE DE GPSO FACE A UNE REGION BIEN EN PEINE

    L’un des temps fort de la Commission permanente d’hier matin à la Région Ile de France a été l’examen de l’avis du Conseil Régional sur le CDT (contrat de Développement Territorial) de GPSO (Grand Paris Seine Ouest) qui a donné lieu à un grand exercice d’hypocrisie. Il n’était ni favorable, ni défavorable. « C’est pas un signe encourageant pour les territoires participant au projet du Grand Paris et de Grand Paris express » a constaté Bernard Gauducheau, maire UDUI de Vanves et vice président de GPSO en relevant que ce CDT était le premier à être soumis à l’avis du Conseil Régional puisque maintenant Région et dépatements sont signataires des CDT.   

     

    L’exécutif régional a tenté d’expliquer avoir voulu discuter davantage avec GPSO « car ce CDT est intéressant au niveau des objectifs, mais insatisfaisant au niveau des actions. Il a été signé alors qu’il n’a pas été présenté à nos services. Nous avons été mis devant le fait accompli ! ». Des arguments réfutés par Bernard Gauducheau (UDI) : « Les services de la Région qui ont été conviés et présents à toutes les réunions  de travail durant l’élaboration du CDT  n’ont jamais fait mention d’aucunes des observations contenues dans ce rapport. La délibération que vous présentez est ainsi surprenante d’autant plus que les arguments développés ne sont pas convaincants ». L’UMP a fait part de sa perplexité  : « Pourquoi la Région donne un avis mal ficelé et présentant des contre-vérités. Parce qu’il fallait rapidement rendre cet avis, car si vous ne l’aviez pas fait, il aurait été considéré comme favorable. Ce CDT est particulièrement complet. Vous reconnaissez que ses perspectives sont bonnes. Et vous rendez un avis avec de nombreuses contradictions ».  EELV n’a pas manqué de demander « qu’il faudra expliquer pourquoi l’Etat l’a avalisé »

     

    La Région dans son avis « regrette que le projet de CDT ne comporte pas de projet de territoire complet, au-delà de l’accent particulièrement appuyé autour du numérique, qui doit s’inscrire dans une vision régionale partagée » mais il reconnait « l’intérêt des orientations du projet stratégique de développement » s’appuyant sur 3 moteurs : la ville numérique, créatrice et durable. Elle constate que « certains projets de transports en commun inscrit dans le projet de  CDT ne figurent pas dans le cadre fixé par le Plan de Mobilisation pour les transports, les projets de PDUIF et de SDRIF ».  Elle regrette que « l’objectif de réalisation de logements sociaux soit inférieur au taux de 30% que préconise le projet de SDRIF ». Elle demande enfin que « l’objectif de développement équilibré en faveur des populations et des entreprises locales, en particulier des plus petites entreprises soit mieux affirmé afin de favoriser une plus grande diversification en termes d’emploi, en cohérence avec la SRDEI (Stratégie régionale de développement Economique et d’Innovation » 

     

    Bernard Gauducheau a démonté tous ses arguments à travers trois amendements qui ont été déposés par son groupe et rejetés par la majorioté PS-PS-EELV-PC-PG. Il n’a pas manqué de relever une contradiction dans cet avis qui nie l’existence d’un projet de territoire et de l’autre reconnait « l’intérêt des orientations du projet stratégique de développement durable de ce CDT ». Il a rappelé que certains projets de transports figuraient dans le plan de Mobilisation, d’autres dans le PDUIF  (Plan de déplacement)  et le SDRIF (Schéma Directeur Régional) en citant les projets de qaurtiers de la gare Pont de Sévres, Issy-RER, Fort d’Issy/Vanves/Clamart, le prolongement de la ligne 12 du métro et des TCSP « Croix du Sud (Antony-Clamart) » et  Val de Seine. Il a indqué que « le PLH (Plan Local de l’Habitat) arrêté le 20 Décembre 2012 engage GPSO sur un objectif de production globale de 650 Logements sociaux/an ( 500 par  production neuve et 150  par agrément dans le parc ancien) soit 32,50 de l’objectif de territorialisation des objectifs de logements (TOL) de 2000, qui me semble supérieur aux objectifs en valeur absolue de l’avant projet de SDRIF »  Enfin, il a relevé qu’à ce jour, « 80% du tissu économique de GPSO est composé de PME et de TPE. « GPSO n’a pas attendu vos recommandations dans la mesure où plusieurs structures permettant d’accueillir ce type d’acteurs économiques existent ou sont en projet (pépinières d’entreprises, hôtel des métiers d’arts…) »

  • COMPTE RENDU DE MANDAT DU CONSEIL GENERAL PS DE VANVES : GUY JANVIER EN TERRE VANVEENNE UDI ET UMP

    Après avoir animé avec ses 6 collégues du groupe PS au Conseil Général un compte rendu de mandat le 24 Novembre dernier dernier devant une assemblée de militants socialistes altoséquanais, Guy Janvier a fait préau d’école comble à Max Fourestier mercredi soir pour son compte rendu de mandat annuel devant les vanvéens. L’ensemble des élus de l’opposition municipal,  de Claire Papy (EELV) à Claudine Charfe (FdeG/PC) avec Lucile Schmid (EELV), et tous les élus PS….était présent à cette réunion qui fut très animée avec beaucoup de questions et d’interventions

     

    « Beaucoup d’événements se sont déroulés depuis le 8 Décembre 2011, date de mon précédent compte rendu de mandat : un président, un premier ministre, un  gouvernement de gauche. Un livre : « itinéraire d’un socialiste en pays sarkozyste » où je parle des raisons de faire de la politique » a-t-il d’emblée déclaré en reprenant l’exposé voilà plus de quinze jours sur « un département riche mais inégalitaire » et sur « une politique départementale qui aggrave les inégalités » avec quelques chiffres significatifs : 26,6% de logements locatifs sociaux, 13 villes sur 36 ne respectant pas le seuil légal de 20% de logement sociaux. 19,55% de logements sociaux à GPSO et 23% à Vanves « ce qui permet à Bernard Gauducheau de dire que l’on passera bientôt à 25%. Mais ce n’est pas cela qui résoudra le problème du logement social à Vanves, ce qui est assez inquiétant ». 

     

    RSA

    Un potentiel fiscal par habitant de 1 034 € qui varie de 570 € à Bagneux à 2 258 € à Levallois. 35 571 allocataires du RSA dans le 92 dont 4000 à Villeneuve La Garenne, 1971 à Gennevilliers,  266  à Bourg La Reine… et plus de 400 à Vanves. Lucile Schmid (EELV) a demandé « si le passage du RMI au RSA avait permis une meilleure insertion ? » - « Aucune action d’insertion n’est menée par le département. Les allocataires ont seulement droit à un accompagnement ! » a-t-il répondu en insistant sur le fait que « Patrick Devedjian dépense plus pour la Vallée de la culture que le social » et  en démontrant que « les dépenses de solidarité sont inférieures dans le 92 (57,3%) à la moyenne nationale (61,2%) alors que nous devrions mettre beaucoup plus l’accent là-dessus. Le Conseil général diminue les dépenses  d’aides sociales (-0,2%), de prévention sociale et médico-sociales (-3,45%), les subventions aux associations d’aides sociales lorsqu’il ne les supprime pas, les crédits pour la prévention spécialisée, le fonds solidarité logement (FLS), le fonds d’insertion des Jeunes (FIJ)…sans parler du désengagement des centres PMI et des postes non pourvus dans les CVS (circonscription de la vie sociale) » 

     

    CARTE SCOLAIRE

    Il a insisté sur les deux dossiers qui lui tiennent à cœur et sur lesquels il se bat depuis qu’il est conseiller général, et qui ont avancé : la rénovation du collége Saint Exupery, inscrit au PPI des colléges par le Conseil général. Et la réfection des équipements sportifs du lycée Michelet inscrit au PPI Lycée par le Conseil régional. Et sur un troisiéme qui est sous-jacent : le trop grand nombre d’éléves à Michelet – plus de 2000 – qui entraînent des dégradations des conditions de travail. « L’idée est de diminuer le nombre d’éleves au collége Michelet pour les mettre à Saint Exupery. 100 éléves peuvent y être transférés (lorsque la rénovation aura été faite bien sûr). Nous pouvons changer la carte scolaire, mais le maire freine des 4 fers. Et elle dépend du Conseil général pour les colléges » reconnaissait Guy Janvier. « La question se posait déjà en 1995 ! » a indiqué Pierre Bousquet ex-proviseur du lycée Michelet à la retraite, pour qui « la rénovatin du lycée a entraîné la création de divisions qui sont dévoreuses d’espaces. Et on s’est rendu compte de problèmes de locaux. Nous avions deux solutions avec les mercredis après-midi et les samedis. Mais la solution préconisée était de répartir les éléves dans les colléges ».

     

    ARISTIDE BRIAND

    Guy Janvier  a fait part de ses inquiétudes sur le devenir de la CVS (circoncription de la vie sociale) et des terrains de la rue Aristide Briand (5237 m2) à proximité de la gare Vanves-Malakoff. « Une partie appartient à la ville  où se trouve la PMI, la CVS et le CMP. Le Conseil municipal de Vanves a passé contrat avec Seine Ouest Aménagement. Et le maire a décidé de vendre ce terrain, en expliquant que cela permettra de désendetter la ville après l’opération cabourg. L’autre partie appartient au Conseil Général, avec l’ex-CPAM, la DDE. J’ai du mal à croire que le maire n’ait pas regardé de prés les possibilités de constructibilité sur ces terains. Selon le directeur de la Vie Sociale, le maire aurait dit « pas touche aux services sociaux ! ». Et bien je demande : « prouvez-nous le ! ». La discussion s’est alors engagée avec la salle sur notamment la pétition initiée par les élus municipaux de gauche à l’initiative d’Anne Laure Mondon  et mis en ligne sur le site du PS. « On s’est fixé 1000 signataires » a-t-elle indiqué. Alors que Claudine Charfe constatait qu’il n’y avait « rien de nouveau pour le personnel de la CVS qui s’attend à déménager de Vanves ».

     

    UN TROISIEME GYMNASE ?

    Jacques Dumont a posé la question d’un troisiéme gymnase sur ces terrains Aristide Briand, notamment pour « le hand qui a dû mal à s’entraîner et à jouer à Vanves, come à Issy les Moulineaux et à Malakoff. Sans parler des zizanies avec le basket. Et ce gymnase pourrait servir à d’autres sections du Stade Vanves qui ont du mal à trouver des salles ». Guy Janvier a botté en touche : « Cela reléve de la mairie ! ». Du coup Lucile Schmid en a rajouté une couche : « On ne peut pas considérer que ne pouvoir aller à Issy les Moulineaux est impossible. La Région a financé à 33% ce Palais des Sports dédié à l’interco ! C’est une question importante. Car André Santini le loue à des entreprises ! ». Puis elle a expliqué que « le risque, avec cette question de la CVS, est de voir partir des services publics à Issy, de devenir un satellite d’Issy, de se retrouver dans une ruralité urbaine car on est à côté d’une grande commune ».

     

    Le Conseiller général a terminé son compte rendu en souhaitant aider les AMAP de Vanves à se développer, et créer un SEL (Service d’Echange Local), avec quelques mots sur la réforme territoriale, en regrettant que Patrick Devedjian ait refusé d’organiser un débat sur la gouvernance du Grand Paris, et la décentralisationn qui devrait voir les cantons évoluer avec une extension à 70 000 habitants, deux représentants, un homme et une femme -  Guy Janvier et Valérie Mathey sont candidats a-t-on compris -  et surtout la suppression du conseiller territoriale avalisé par le parlement voilà quelques semaines.