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grand paris - Page 22

  • VANVES AU FIL DU QUOTIDIEN : DU GRAND PARIS AUX CANTONALES AVEC « JOJO » LE TITI VANVEENS

     

    Bernard Gauducheau a assisté hier matin au clash entre Europe Ecologie-Les Verts et Jean Paul Huchon avec le reste de la majorité municipale de Gauche après l’accord Etat-Région Ile de France sur les transports en Ile de France, avant d’aller inaugurer le foyer de 43 logements construit à l’emplacement d’un entrepôt et d’un bâtiment d’habitation, à l’angle des rues Sadi Carnot/Danton. Ces studios sont réservés à des agents de l’Etat (du ministère de la Défense)  en formation ou détachés provisoirement en région parisienne. Un peu plus tard dans la journée, il présidait la cérémonie devant la stéle des victimes vanvéennes du Nazisme Square de l’Insurrection pour la journée internationale de commémoration en mémoire des victimes de l’holocauste. Alors qu’Isabelle Debré était présente aux Vœux de l’OPH92 qui gére 37 000 logements dans les Hauts de Seine dont de très nombreux sites à Vanves (JP Potin, Rue de Châtillon…). Occasion de faire du lyobbing auprés du ministre Maurice Leroy en charge du dossier du Grand Paris pour défendre la station de Vanves de la ligne du futur métro Grand Paris Express

     

     

    GRAND PARIS EXPRESS : GAUDUCHEAU DEFEND LA GARE EN OPTION DE VANVES

    « Je reste mobilisé pour que ce futur métro contribue à améliorer les déplacements des franciliens et des Vanvéens en IDF.  Il impulsera une nouvelle dynamique renforçant l’attractivité économique métropolitaine, tout en créant des emplois, des logements dans une région Capitale synonyme de qualité de vie. Vivant dans la zone dense de la métropole et à la croisée de territoires d’avenir, les habitants de Vanves et de ses communes voisines ont légitimement le droit d’accéder à ce nouveau transport public ». Il est vrai que sa ville bénéficie dans le nouveau tracé d’une gare en option (Vanves/Malakoff) en correspondance avec la ligne Montparnasse sur laquelle il s’est battu.

     

    LE DERNIER VOYAGE DE « JOJO » LE COMMUNARD

    Quelques vanvéens le maire s’étaient déplacés pour accompagner à sa dernière demeure, Georges Munier dit « Jojo » au cimetière de Billancourt. Ils ont été étonnés par la foule des amis présents et surtout de tous ces drapeaux rouges des Amis de la Commune (de Paris), une association créée voilà plus d‘un siécle au lendemain du retour d’exil de ceux qui avaient vécu ce soulévement. Et plusieurs témoignages ont rappelé lors de ces obséques son action et son engagement au sein de cette amicale, s’occupant surtout des activités fêtes et banquets, car tous ont célébré sa bonne humeur, ses histoires (drôles), surtout son refus de l’injustice, ce regard « droit dans les yeux » lorsqu’il s’adressait à ces interlocuteurs, ses expressions « garde tes pieds au sec » lorsqu’il quittait un lieu etc…Même le maire y allé de son petit hommage à ce titi parisien que le provincial qu’il était, a découvert avec son accent, et qu’il rencontrait souvent dans son quartier et qu’il a aidé. Quelques chants communards, et « Jojo » rejoignait sa dernière demeure dans le cimetière d’un quartier, alors ouvrier et industriel, où il est né.  

     

    CANTONALES :

    GAUDUCHEAU S’EN PREND A L’OPPOSITION  

    Bernard Gauducheau a réuni Jeudi soir ses troupes UMP et NC à l’école Larmeroux, avec Françoise Saimpert, sa suppléante-maire adjoint, pour entretenir la campagne et « remuer le cocotier » grâce à cette seconde réunion. Frédéric Lefebvre est même venu faire passer le message de la mobilisation devat près d’une centaine de vanvéens. Il a évidemment expliqué qu’un maire, conseiller général qui fait parti de la majorité départementale, est le mieux placé pour accélérer les dossiers : « C’est un peu fort de café de se dire qu’on fait le travail, qu’on obtient ces aides alors qu’on a un conseiller général qui est l’opposition départementale, qui vote contre tout. N’avez-vous pas remarqué que tout ce qu’il a inscrit dans son bilan c’est : « J’ai obtenu… » ! C’est une imposture qu’il faut dénoncer » a expliqué Bernard Gauducheau en reconnaissant que « certains peuvent penser que c’est de bonne guerre ! Mais il faut voir les choses avec sérénité et objectivité : Elu en 2001 avecd 256 voix d’avance, on a perdu en 2004 de 90 voix dans un contexte difficile avec la vague rose, parce que tout se joue sur 400 voix à Vanves. C’est pourquoi avec l’UMP et le NC, on n’a pas attendu le dernier moment pour se positionner, mener un travail de pédagogie et de fonds. Car l’un de nos handicaps est l’abstention ». 

    Il a rassuré ses troupes : « Janvier traîne. On a un coup d’avance ! Il coure derrière nous. On va présenter notre programme alors qu’il défend encore son  bilan. D’ailleurs qu’est-ce qu’il a fait lorsqu’il a été maire ? Et ce qu’il a fait, n’a pas marqué les mémoires. Alors que nous en avons fait beaucoup plus en 6 ans que lui lors du premier mandat. D’ailleurs les vanvéens ,e se rendent pas compte de ce que l’on a fait. On s’en aperçoit à l’extérieur lorsqu’on nous dit que Vanves a changé. Alors qu’à l’intérieur de notre ville, on nous dit que tout va mal ! ». Et de poser la question : «  Et les autres  (candidats) ! On ne les voit pas ! Ne parlons pas des verts ! Ily a pourtant un élu régional que l’on ne voit jamais ! ». Isabelle Debré, sénateur, est venu le rejoindre à la fin de la réunion, pour rappeler à tous qu’il faut lui faire confiance car « il connait bien sa ville et il ailme bien sa commune ». 

  • VANVES ET LE GRAND PARIS AU LENDEMAIN D’UN ACCORD JUGE HISTORIQUE

    Tous les médias parlent depuis hier après midi de l’accord historique intervenu entre l’Etat et la Région sur le Grand Paris,   avec la mise en œuvre du Plan de mobilisation dans les transports, le tracé et le plan de financement  de  « Grand Paris Express »,  après le conseil des ministres où il a fait l’objet d’une communication deux fois repoussée suite à certains désaccords, notamment sur la desserte de Saclay qui n’a pas été réglé, et provoqué la colère des Verts qui a secouée la majorité (de gauche) régionale. Rappelons, pour que vous compreniez, le long chemin parcouru pour parvenir à cet accord, alors que Bernard Gauducheau, Maire de Vanves va siéger une bonne partie de la journée à la commission permanente, après avoir hier, animé une réunion publique à l’école Larmeroux dans le cadre de sa campagne cantonale et assisté dans l’après midi à l’enterrement de Georges Mullier entouré des compagnons de l’amicale des Amis de la Commune dans le cimetière de Billancourt sur lesquels le Blog reviendra.

     

     « A la Région c’est lent, et il faut dégorger les escargots ! »

     

    « Nous ne serions pas parvenus à un accord sans la conjugaison des efforts la SGP,  du STIF, sans le débat public qui a suscité 200 Cahiers d’Acteurs, la participation de 20 000 personnes aux 80 réunions sans le projet des architectes réunis au sein de l’AIPG  (Atelier International du Grand Paris) » a expliqué Maurice Leroy, ministre de la ville chargé du dossier du Grand Paris. « Il y a eu un moment au cours du débat public où l’évidence est apparu de ce rapprochement entre les deux projets (Arc Express et Grande Boucle). Il était clair que le climat était mûr. Nous avons fait notre proposition « un peu bouleversante » le 15 novembre dernier » a ajouté Jean Paul Huchon, président de la Région pour expliquer les raisons du rapprochement de ces deux projets inconciliables au départ. Le ministre de la Ville a ajouté deux éléments importants : Tout d’abord la décision des deux conseils généraux, Seine Saint Denis et Val de Marne, votée à l’unanimité à quelques mois des élections cantonales, de travailler ensemble sur un projet commun « Arc Est ». Ensuite sa longue discussion avec Cécile Duflot présidente du groupe EELV et Jean Vincent Placé, Vice Président transports ;  qui lui a permis d’entendre « leur appréciation sur le projet et les préconisations du rapport Carrez(surle financement de ces projets transports) pour que les moyens financiers soient au rendez-vous », et de comprendre leur désaccord sur la desserte de Saclay auquel tient le Président de la République. Jean Paul Huchon n’a pas pu s’empêcher d’envoyer une pique contre Christian Blanc – « Cette contribution n’est possible que grâce au changement de méthode que Maurice Leroy a su impulser en remplaçant l’affrontement par le dialogue, le mépris par le partenariat » – alors que le ministre a salué son travail : « Sans lui, on n’en serait pas là ».    

     

    Mais voilà, entretemps, il y avait eu le psychodrame au sein de la majorité régionale de gauche. Valérie Pécresse avait profité des Vœux du groupe Majorité Présidentielle au Conseil Régional, voilà une semaine,   pour accuser Jean-Paul Huchon, d'être « prisonnier de son alliance avec les Verts » qui « ont pris le relais de l'opposition au Grand Paris » et « refusent de soutenir le projet d'accord Etat-région sur un point bien précis, Saclay ». Elle avait déploré que les Verts aient « aujourd'hui une capacité de nuisance et de blocage sur des projets qui peuvent être des projets phares pour la France » comme Saclay « où le gouvernement veut créer un phare de la recherche technologique française ». Au même moment d’ailleurs Cécile Duflot et Jean Vincent Placé  participaient à une réunion du débat public sur le projet de transports du Grand Paris notamment sur Saclay pour rappeler leur opposition à ce projet pour préserver les 2300  ha de terres agricoles  et « que le gouvernement veut faire passer en force ».

    Une attitude que jugeait très sévérement le groupe UMP du Conseil de Paris en faisant part de sa profonde indignation  face à l'irresponsabilité dont faisait preuve Jean-Vincent Placé, vice-président Transport EELV : « Il est inconcevable qu'un élu régional, qui plus est en charge des transports, fasse obstruction à un accord entre l'Etat et la région en arguant du prétexte fallacieux de la desserte du plateau de Saclay ». Ce bras de fer entre la Région et l’Etat, mais aussi entre JP Huchon et sa majorité de gauche expliquait peut être le nouveau report de la communication de Maurice Leroy, ministre de la politique de la ville devant le Conseil des Ministres précédent. « A la région, on pense que le ministre a sous-estimé ce que représente cette gauche multiple. La région, c'est compliqué, c'est lent, il faut faire dégorger les escargots... » expliquait un observateur averti de la Région.

     

    En tous les cas Maurice Leroy avait lancé un Comité de Pilotage du Grand Paris qu’il préside chaque  Mercredi soir depuis la mi-décembre, pour trouver une voie de passage, notamment sur les transports, et l’avait ouvert aux présidents des 8 Conseils Généraux, l’AMIF et Paris Métropole la semaine dernière pour justement aborder cette question qui divisait la majoroté régionale. « Nous nous sommes retrouvés autour du document » baptisé « vision partagée de l'Etat et de la région » - établi après discussions entre l'exécutif régional et le cabinet de M. Leroy - et « sur la mise en œuvre du rapport Carrez (sur le financement) avec notamment l’augmentation du V.T. (Versement Transports)  »  confiait alors JP Huchon  Jeudi dernier au lendemain de cette réunion. Dans l’après midi, il réunissait les présidents des groupes de gauche dans son bureau pour rédiger une lettre de réponse à celle que lui avait  envoyé le ministre Leroy chargé du Grand Paris, qui devait porter sur le tracé, les financements, la desserte et la maîtrise d'ouvrage des projets. Et il était décidé à ce que les présidents de groupe ne sortent pas de son bureau tant qu’une réponse ne serait pas trouvée, afin de ne pas rééditer le coup de sang de ses alliés raconté dans Libération : «  On est arrivé le mardi matin en commission permanente et on nous a mis un texte sous le nez. On a nous dit qu'il sera présenté en conseil des ministres le lendemain, avec une conférence de presse après. Les représentants des écologistes (Europe Ecologie-Les Verts), ceux du groupe Front de gauche, n'ont pas apprécié la méthode » racontait un des participants. « On ne peut pas dire qu'un accord peut être décidé par deux personnes »  estimait Cécile Duflot. « C'était un moment désagréable, et on aurait pu s'en passer ». D’où le fameux clash.

     

    A la suite de cette réunion JP Huchon envoyait un courrier Vendredi dernier à Maurice Leroy, où il jugeait « insuffisantes pour parvenir à un accord » les avancées réalisées lors des réunions du Comité de pilotage du Grand Paris. Il se réjouissait que le ministre « reprenne enfin à son compte l'urgence d'une amélioration du réseau de transport existant exprimée par les Franciliens, l'intérêt du projet Arc Express et l'importance d'un renforcement de la desserte à l'est par la réalisation de deux arcs ». Néanmoins, il considèrait que « le nombre de gares envisagé ne répond pas au principe de desserte fine des territoires (...) Une réflexion commune devra être conduite quant à la localisation, au nombre de gares et à leur financement ». Par contre, il renouvellait son  désaccord sur Saclay : « Notre proposition de desservir Saclay par un transport en commun en site propre susceptible d'évoluer en tramway s'appuie sur l'évolution des besoins en desserte de ce secteur ».  Il émettait plusieurs réserves portant sur les financements et les tracés des projets de transports, le rôle du Syndicat des transports d'IdF (Stif), la gouvernance, qu'il souhaite « plus démocratique » de la Société du Grand Paris (SGP) et le déblocage du Sdrif . « Un nécessaire rééquilibrage des ressources s'impose entre la modernisation du réseau existant et le développement d'infrastructures nouvelles ». JP Huchon réclamait notamment tout d’abord  « un engagement formel et ferme de l’Etat sur sa part dans les Contrat de projet » ; ensuite des « avances » de la SGP pour financer ses opérations du Plan de Mobilisation sur les transports et des garanties claires sur l’étanchéité de la dette de la SGP puisque celle-ci compte emprunter  pour réaliser la part de métro automatique qui lui reviendra, afin qu’elle ne se répercute ni sur le STIF,  ni sur les collectivités locales ; enfin   la « maîtrise totale par la région » du versement transport ainsi que son relèvement qui nécessiterait une décision législative. Ce qu’il a plus ou moins obtenu mardi soir et qui a été présenté au Conseil des Ministres,puis à la presse hier.

  • EN 2011 TOUT ARRIVE BIEN TROP TOT A VANVES POUR QUI NE SAIT PAS ATTENDRE

    C’est la Reprise pour Vanves Au Quotidien. Et personne ne sera déçu. Tout le monde se plaint depuis la trêve des confisseurs que tout arrive trop tôt : La neige depuis début Décembre, avec des trottoirs et des places gelées et glissants au lendemain du reveillon de noël, la crue de la Seine fin décembre avec  la première attaque de la grippe…que l’on attendait  tout cela plutôt en Janvier. Sans compter les surprises du 1er Janvier : Bientôt l’interdiction des 4x4 en ville qui font hurler de rage leurs adeptes (stupides) en région parisienne, d’autant plus que cela vient de Denis Baupin, le maire adjoint  (Verts) de Delanoë qui a inventé les couloirs de bus à Paris, véritable couloirs de la mort pour piétons grâce aux technocrates de l’Equipement (dont certains roulent à vélo) qui ont imaginé des usines à gaz (CF Bd Saint Marcel dans le 5éme arr. par exemple)  et les pistes cyclables à contre sens….repris évidemment par le gouvernement qui se veut plus écolo…que ses opposants Verts…et donnent cette bonne idée ( ?) à des élus le soutenant. Bonjour les dégâts à Vanves.

    Les cartes de vœux commençent à pleuvoir : Electronique et bougeant pour le maire Bernard Gauducheau, avec un avantage certain, c’est que le message passe dans tous les sens.  Magique et pratique pour un politique ! Nostalgique pour la Sénateur Isabelle Debré qui a choisie une carte postale ancienne du carrefour du 8 Mai 1945 sur le Plateau. C’est plus reposant et historique.  Aérien pour le conseiller général Guy Janvier avec une superbe photo prise d’hélicoptére de Michelet et de ce quartier pavillonnaire qui lui fait face.

     

    Avec beaucoup d’oublis, les bons et mauvais souvenirs de 2010 ! Et les petites phrases de 2010 !

     

    LES TOPS DE 2010…

    BASKET : 1382 vanvéens sont venus assister le 9 Janvier 2010 au Palais des Sports d’Issy les Moulineraux au match de Vanves contre Caen que notre équipe première a battue comme lors du match aller

    MAISON RELAIS HANDICAPES : Première pierre de la  future Maison-Relais pour personnes handicapés « Simon de Cyréne » le 7 Mai 2010 dont le gros œuvre se termine ces jours-ci, qui a vu le  rassemblement dans le jardin du Prieuré Sainte Barthilde des bénédictines de Vanves de tous les acteurs autour d’un mur symbolique. « Cette première pierre revêt pour nous tous une importance car chacun a apporté la sienne » a expliqué  Laurent de Cherisey son instigateur.

    CAUE : Le CAUE (Conseil d’Architecture, d’Urbanisme et de l’Environnement) 92 qui s’est installé à Vanves, est chargé de conseiller, de former, d’informer sur l’architecture, l’urbanisme, l’environnement tous les acteurs du département notamment grâce à des expositions, des plaquettes, des livres, des colloques et des réunions des ateliers multimédias et pédagogiques.

    TOURISME : Bernard Olivier, président du SIAVV (Syndicat d’Initiative de Vanves) a succédé à Pierre Brosson  à la tête l’UDOTSI, Union qui regroupe l’ensemble des Offices du Tourisme et des syndicats d’Initiatives du département des Hauts de Seine

    ZONE 30 : 7 axes « zone 30 » devraient être instituée avec double sens vélo lorsque la voie est en sens unique.

    PANNEAUX INDICATEURS DE VITESSE : 98% des vitesses enregistrées sur ces radars préventifs sont inférieurs à 50 km/h comme l’a indiqué Laurent Lacomére lors d’une réunion publique ; Preuve que rouler à 30 km/H dans nos rue fait des adeptes.

    MUR ANTI BRUIT : Le principe des travaux a été retenu pour les riverains de la voie SNCF. La Région a débloquée les crédits pour l’étude finale. Il devrait y avoir une phase de concertation, sachant que les foyers concernés seront directement contactés.  

    MAIL SADI CARNOT : Début des travaux pour faire de cette voie une zone de « rencontre » entre le Plateau et le Centre Ancien. C’est un des rêves du maire qui avait parlé dés la campagne de 2001 d’une liaison douce entre le Plateau et le Centre Ancien : « J’ai travaillé sur ce projet lorsque je me suis porté candidat parce que j’avais constaté la nécessité de relier le Plateau et le Centre Ancien en requalifiant cet axe qui dessert beaucoup d’équipements publics et divers ( une église, un collége, un cimetière, des services municipaux, une mairie, un théâtre et une bibliothéque etc…),  véritable épine dorsale de la ville, mais aussi un axe structurant, un itinéraire « bis » protégé contrairement à Jean Bleuzen ou Antoine Fratacci, plus paisible, emprunté par les piétons, les cyclistes… » expliquait il lors d’une réunion publique consacrée à cet aménagement.

    GRAND PARIS : Vanves a adhéré à Paris Métropole après être resté un an au dehors de ce syndicat d’Etudes, et  a rejoint les 110 collectivités membres de cette structure issue des travaux de la conférence métropolitaine mise en place en 2006 par le maire de Paris Bertrand Delanoë (PS) à Vanves.

    VOISINS SOLIDAIRES : La ville a lancé cette opération dans la lignée d’Immeubles en Fête en expliquant : « Notre objectif est de donner l’occasion aix vanvéens de participer mais aussi de se cotoyer. Il faut encourager les gens à se regrouper, à porter attention aux autres, aux personnes isolées. 1000 à 1500 vanvéens s’investissent dans la vie locale.. Prendre en compte l’aspect humain et non l’aspect matériel est notre objectif »

     

    …ET LES FLOPS DE 2010

    FOOTBALL : Le match de foot du 14 Février 2010 entre les équipes de jeunes deVanves et de Ville d’Avray qui s’est terminé par une bagarre général et a fait des blessés transportés, a eu des conséquences très importantes. Cette affaire est remontée jusqu’à la ligue, aux maires qui ont été saisis et même au préfet des Hauts de Seine qui est très sensibilisé à la violence dans les stades.  

    URBAIN: Vanves a changé en 2010 de titulaire de la concession -  Vediaud remplace JC Decaux - pour l’ensemble de son mobilier urbain publicitaire et surtout les arrêts de bus qui ont posé quelques problèmes, notamment de bancs et d’affichages du temps d’attente des bus.

    ESPACE SEBASTIEN GINER : L’échec avéré d’un espace jeune qui est devenu un lieu associatif

    SITE PROPRE : A quoi va servir le site propre aménagée rue A.Fratacci dont les travaux ont perturbé la vie des riverains et clients du marché qui par de nulle part (Malakoff) pour arriver à Issy sur un bout de boulevard réduit à une voie au carrefour Corentin Celton. Perdre les 8 secondes magiques gagnées en descendant Fratacci à quoi cela sert ?

    ROULOTTE : La belle roulotte choisie comme couverture du programme de la saison du Théâtre le Vanves et de Panopée alors que se développait cet été la polémique sur les roms, ce qui n’était pas très heureux, ni politiquement correct.

    PREVENTION : Les commerçants qui pourtant se plaignent de tas de maux, étaient absents lors de la réunion organisée en Novermbre pour relayer la campagne commune à la Préfecture et aux Chambres consulaires (Commerce et Industrie, Métiers) sur leur sécurité. Peut être est-ce dû à la période choisie  où ses acteurs économiques préparent la période de Noël et ont autre chose à penser qu’à se réunir…pour prévenir tout incident. Mais c’est leur problème !

     

    LES PETITES PHRASES DE 2010

    Lucide Schmid (Verts)  : « J’ai fait mon outing en claquant la porte du PS ! Et beaucoup de socialistes passent la porte d’Europe Ecologie en restant fidéle à leurs idées. Avec l’espoir de redonner une fierté à ceux qui sont à gauche. Dans cette campagne, il faut démontrer que la victoire d’Europe Ecologie aux Européennes n’était pas une exception. Cessons d’être une anomalie politique. Il y a une capacité à se réconcilier avec une vraie union de la gauche… car on doit penser à 2012. Une victoire d’Europe Ecologie en Mars 2010 sera une porte vers 2012 et la preuve que l’on peut construire une alternative ! » (Février 2010).

    Mgr Gérard Daucourt, Evêque du diocés des Hauts de Seine  : « Nous avons vécu la restauration de l’église Saint Remy. Le signe de la restauration d’un bâtiment comme celui-ci est d’abord social parce que les non-pratiquants, les  non-chrétiens viennent là pour un concert, pour un événement cultuel ou culturel. Cela veut dire que la paroisse apporte quelque chose, avec l’aide de la municipalité pour l’ensemble de la commune.  C’est le signe que dans les paroisses, nous avons réfléchit sur sa signification, car dans la tradition de l’église, nous expliquons que l’église est le symbole de ce que nous devons être en communauté, car nous sommes tous des pierres vivantes et nous nous  ajustons les uns aux autres pour faire une belle construction » a-t-il déclaré lors d’une visite sacerdotale le 1 Février aux paroisses de Vanves.

    Bernard Gauducheau (NC) : « Vanves n’est pas destinée à subir des changements profonds. Nous avons la chance de faire partie d’une intercommunalité en s’attelant à des locomotives comme Issy les Moulineaux et Boulogne qui peuvent nous assurer un train de vie. Alors que Vanves est à la pointe Ouest de GPSO (Grand Paris Seine Ouest). C’est une garantie de développement, de pérennité financière. Nous arrivons à mener plusieurs projets de fonds qui tendent à moderniser notre ville »

    Isabelle Debré (UMP) après une visiste à l’Elysée à propos du Président :« Ce n’est pas la première fois qu’il nous réunit. Nicolas Sarkozy a la nostalgie des réunions de groupe. Il a vraiment besoin de rencontrer les sénateurs de la majorité, et cela lui manque de ne pas nous voir plus souvent. Il a toujours été très proche des élus et des militants. Il aime être à leur rencontre, pour échanger et écouter, et c’est un vrai besoin, et un plaisir de dialoguer et de nous écouter 

    Guy Janvier (PS) à propos du Président : « Pendant 3 ans, j’ai vu comment il fonctionnait. Inquiétant ! » - en racontant sa première rencontre avec ses 5 collégues : « Je garde un souvenir étrange de cette première rencontre avec celui qui allait devenir le président de la République. Un homme petit, mal fagoté dans un costume de velours côtelé marron, se voulant afable »… « Il savait, pour bien connaître ce département dont il est l’élu depuis bientôt 30 ans, qu’il fallait, s’il voulait avoir la paix, ne rien  changer à son fonctionnement ».

    Françoise Saimpert, Maire adointe et suppléante de Bernard Gauducheau qui a raconté 3 étapes de sa vie avec beaucoup d’humour lors du lancement de la campagne : Ses racines à Vanves où elle réside depuis 24 ans et où elle est née à la Maternité de la Poussiniére à côté du Lycée Michelet. « Un vrai petit poussin de Vanves devenue une poule blonde ». Sa famille qui lui a inculqué les valeurs de solidarité d’entraide de respect. La politique avec l’association « lire et faire lire » avec Alexandre Jardin, puis l’engagement dans la vie municipale entrainé par Isabelle Debré alors qu’elle n’était encarté dans aucun parti. « Sans la parité, je ne serais peut être pas là ».