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eelv - Page 23

  • AVEC LE MAIRE DE VANVES DANS UN HEMICYCLE REGIONAL SURCHAUFFE PAR LES FUTURES ECHEANCES ELECTORALES

    Bernard Gauducheau dans sa fonction de conseiller régional a été très assidu à ce débat budgétaire où les 208 conseillers régionaux examinent chapitre par chapitre le budget 2012 qui se monte à 4,7 milliards d’euros et les 216 amendements déposés  dont 150 par les groupes de la majorité régionale (PS, EELV, PC, FdeG, MRC, PRG),   68 par l’UMP et le NC. Occasion d’échanges vifs, quelques dérapages…et surtout d’un débat sur deux types de gestion entre la droite et la gauche... avec en toile de fonds les présidentielles et les législatives.

     

    Pour commencer, la gauche était divisée tout d’abord sur l’enveloppe totale des amendements : 44 M€ selon EELV en se référant aux dépenses supplémentaires escomptés par les verts, 20 M€ selon l’Exécutif se référant aux dépenses supplémentaires engendrées par l’ensemble des sommes engagées et gagées par ses amendements dont les plus importants concerneront le logement (15M€)  et les lycées (10 M€). Le PS a d’ailleurs fait de la lutte contre le décrochage scolaire la grande cause régionale, ses amendements contribuant à hauteur de 10 M€ à lutter contre les « sorties de route » scolaires.  « Nos amendements au budget constituent un signal fort des élus socialistes aux acteurs engagés au quotidien auprès des jeunes et des familles ». Alors que «  La lutte contre le décrochage scolaire n’est envisagée que sous l’angle de la répression ou du fichage par Luc Chatel et Jeannette Boughrab » expliquait leur chef de file.

     

    Ensuite sur l’initiative prise par les verts et le FdeG de  supprimer le recours aux agences de notation.  « En juillet 2011, la région a renouvelée le marché qui l'unit aux agences, choisissant de se faire noter par Standard & Poor's et Fitch Ratings, pour un montant de 197 340€. Si notre note est intégralement corrélée à celle de l'Etat (qui risque de perdre son AAA), cela ne sert à rien de se faire noter » a expliqué Cécile Duflot, présidente du groupe EELV pour qui « la prééminence des agences de notation » amène « la disparition du pouvoir du politique ». Du côté socialiste, les élus se sont réunis hier pour discuter de l’attitude à adpoter. Ca promet !

     

    Pour l’opposition qui a déposée 68 amendements (33 UMP et 35 NC) tout au long de ses débats, l’UMP a présenté carrément un contre budget  « Ce budget est la démonstration que Jean-Paul Huchon ne tient pas ses promesses. Les dotations allouées aux transports et la jeunesse sont loin d’être à la hauteur des ambitions affichées de la majorité PS-EELV-PC » déclarait son chef de file en accusant :  « Alors que l’Etat a versé à la région un Super bonus de 119 M€ pour la rénovation des RER, le budget ne prévoit qu’un investissement de 86 M€ : que fait la majorité régionale des 33 M€ restants ? » -  « Quand j’étais petit,  mes parents achetaient de la lessive Bonux dans laquelle il y avait de petits cadeaux minables. Votre superbonus, c’est comme ces cadeaux Bonux, c’est l’arnaque pure et simple » a répliqué JP Huchon 

     

    « Du côté de la jeunesse, nous assistons à un désengagement indéniable de la région : -21% pour la formation professionnelle et l’apprentissage, -14% pour les logements des jeunes et apprentis, -13% pour l’enseignement supérieur et la recherche, -11% pour les lycées et  - 10%  pour la sécurité dans les établissements scolaires » a surenchérit l’UMP en expliquant que son contre-budget «  s’inscrit dans une logique rigoureusement inverse, selon trois axes : un investissement en hausse (+ 12,4 M€), un fonctionnement en baisse (-137,5 M€) et une réduction de l’emprunt (-125M€) ».

     

    Les élus centristes se sont étonnés de la forte diminution des AP Autorisations de Programmes  (-24,8 M€)) et Crédits de Paiement (-7,2M€) dans le logement social :  « Un comble en pleine période de crise du logement et alors que le SDRIF prévoit de passer à un rythme de construction de 60 000 logements contre 35 000 actuellement…Le logement des jeunes et des apprentis n’est pas non plus épargné.  Décidemment, nous sommes bien loin des promesses de campagne d’il y a… à peine deux ans » constatait Laurent Lafon, président du groupe ARES dont fait parti Bernard Gauducheau .

     

    Ainsi, à ses yeux, « Sous l'effet des très nombreux amendements déposés par les groupes de la majorité régionale l'emprunt en 2012 devrait être proche de 900 M€. D'après les simulations effectuées par la région elle même dans le document d’orientations budgétaires, un tel niveau d'endettement met durablement en danger les finances régionales et induit un effet d'éviction sur les politiques publiques ».

    Même constat de la part de Roger Karoutchi  (UMP) président de la Commission des Finances qui a noté que « l’on est passé en 5 ans  de 420 à prés de 900 M€ d’emprunt,  ce qui a renforcé  l’allongement des délais de remboursement  à 6,6 ans, alors qu’elle était de 2,4 ans en 2007 et la charge liées aux  intérêts de la dette qui passent de 170 M€ en 2011 à 185 M€ en  2012 ».

     

    Ainsi le débat tout au long de  cette session a portée finalement sur l’emprunt, la dette, le fonctionnement : « On ne sous-estime pas le poids de l’emprunt sur nos dépenses de fonctionnement. Mais c’est la solution pour venir en aide à nos concitoyens qui attendent beaucoup de la Gauche » expliquait le représentant du PC..  « D’un côté on dit que la Région s’endette trop et de l’autre on dit qu’elle n’investit pas assez ! Et on met en cause le fonctionnement, ennemi perpétuel de l’UMP ; mais quand on créé une ligne de bus, il faut le faire fonctionner, l’entretenir, payer ses chauffeurs. Quand on prend des agents TOS, il faut les payer ! Ce n’est pas de la graisse  car le fonctionnement est le suivi logique de l’investissement » ajoutait un élu socialiste.

     

    L’UMP calculait que « depuis le débat sur les orientations budgétaires voilà un mois, l’emprunt de 2012 aura augmenté de 12 M€, et avant même que l’année commence un demi million sera chaque jour venu grossir une dette déjà colossale….Et ces millions n’incluent pas les 36 ME d’amendements…qui vont alourdir le fardeau de la dette. Le vote de votre budget est désormais acquis : Mais à quel prix ! 550 M€ par an, c’est le prix du Pass Navigo à tarif unique, c’est le prix du vote des verts : plus de 10 M€ la voix ! » 

    De son côté Cécile Duflot, chef de file des écologistes a tenu à dire que ce budget est une question de projets : « tenir nos engagements de campagne ! Oser malgré la crise !  avec un budget volontaire en hausse de 2,5% la région n’étant pas tombé dans le piége de la rigueur ! » en ajoutant à l’intention de l’opposition  « Nous sommes capables de résoudre nos difficultés et nos désaccords sans nous cacher derrière des portes capitonnées ».

     

    Ambiance qui a failli déraper avec quelques incidents surtout durant la première journée de débats, Valérie Pécresse ministre du budget n’étant pas là pour tenir ses troupes , l’un de ces colistiers s’en prenant à JP Huchon à propos des dépenses immobilières de la région : « M. Huchon, nous savions que vous appuyiez sur le champignon, vous avez perdu le permis mais à cette vitesse vous allez perdre votre mandat » en  faisant référence à l'excès de vitesse du président Huchon, flashé à 171 km/h.  « Vous même qui roulez en Saab, bravo pour le « made in France » a attaqué un second en référence à sa voiture de fonction avec laquelle il s'est fait flasher. Du coup, Michèle Sabban (PS), qui défendait ses crédits de fonctionnement, a réagi en les qualifiant de « duo digne d'Elie Semoune et Dieudonné »… alors que JP Huchon les qualifiait de « jeunes turcs » sur BFM jeudi matin.

     

    Les élus centristes n’ont pas cherché à provoquer mais tenter de faire avancer les débats. Bernard Gauducheau a ainsi défendu un amendement pour abonder les crédits prévus aux Contrats régionaux, après être intervenu sur le budget aménagement du territoire jeudi matin. Sans succés regrettant « d’entendre parler de clientélisme alors qu’il s’agit d’un montage financier et spécifique qui reste très administratif ». Et les maires comme lui le savent très bien.  Enfin, tout le monde a parlé de triple A, exercice obligé en ces temps de crise : « Abracadabra, Amnésie, Arnaque » pour l’UMP, « Autonomie, Ambition, Audace » pour EELV qui curieusement s’est inspiré de JP Huchon dans son discours pour les vœux de 2011. Preuve que l’on ne s’ennuie durant ces longues séances dans l’hémicycle régional

  • UNE ACTUALITE POLITIQUE RICHE A VANVES : DU CANDIDAT SORTANT PAS ENCORE SORTI AU CANDIDAT CONTRE SON PLEIN GRE !

    Commençons par André Santini, le député de Vanves qui, à l’ocasion, de la sortie de son dictionnaire autobiographique « Le Santini » (Editions Le Cherche Midi), organise une  dédicace cet après midi à partir de 17H  au  magasin Auchan (centre commercial Les 3 Moulins) à Issy les Moulineaux.

     

     « Cet ouvrage ne suit pas les chemins de la forme autobiographique habituelle. De même qu'il y a Le Robert, Le Larousse, Le Littré, voici Le Santini, un dictionnaire «autobiographique ». Ce dernier ouvrage du député maire d’Issy, président de la SGP, qui vient d’être publié,  ne suit pas les chemins de la forme autobiographique habituelle. Humour, émotion et informations se succédent à toutes les pages, avec une partie « Noms communs » et une partie « Noms propres » de 1 000 mots qui renvoient à l'histoire personnelle de Santini : sa famille, ses lieux, ses proches, ses goûts et ses dégoûts, ses héros, ses grandes dates, ses livres, ses cigares...Un antidote contre l'ennui écrit par  ce docteur en droit et diplômé des Langues O, ce passionné de nouvelles technologies, celui que certains nomment le « cyber-maire », bon vivant, amateur de cigares.

     

    Continuons avec la Sénateur de Vanves et des Hauts de Seine, Isabelle Debré qui a accepté la proposition qui lui a été faite de siéger dans la future commission sénatoriale de contrôle de l’application des lois constituée le 30 novembre 2011 au Sénat. Un poste stratégique depuis que la Haute Assemblée est présidé par le socialiste Jean Pierre Bel qui, avec une majorité sénatoriale de gauche, est en train de détricoter ce qu’a fait la majorité présidentielle, notamment avec la suppression du Conseiller Territorial. Mais ce n’est pas aussi facile que cela car, devant le refus de la droite sénatoriale de participer au Comité de Pilotage des Etats Généraux des Collectivités locales, il a dû les reporter après les présidentielles, alors qu’il voulait les débuter dés Janvier/février 2012.  

     

    Du côté socialiste, la semaine qui vient, sera marquée par l’entrée de Valérie Mathey au Conseil Municipal Mercredi prochain, à la place de Guy Janvier. Le Conseiller Général s’en expliquera le lendemain, Jeudi 8 Décembre à 20H30 lors d’une réunion « compte rendu de mandat » qu’il organise dans l’ex-école maternelle (du centre) rue Aristide Briand. La section PS de Vanves n’a pas procédé Jeudi soir à la désignation de son candidat aux élections législatives dans la 10éme circonscription, comme ailleurs, puisqu’elle a été réservée aux verts suite à l’accord PS-EELV. « Le bureau national du parti socialiste ayant enterriné le gel de la 10ème circonscription pour un candidat EELV, il n'y a pas lieu de présenter une candidature socialiste… Nous avons pris acte, à Vanves, de cette décision du national et étant légitimistes nous la respectons » a précisé Anne Laure Mondon qui avait été pressentie pour être la suppléante d’un candidat isséen (Puijalon) au Blog de Vanves Au Quotidien.

     

    Enfin, du côté des Verts, Lucile Schmid n’est pas la seule candidate à la candidature : Pierre Toulouse et Nicolas Laforêt ont fait aussi acte de candidature. La première souhaite, notamment,  « faire cesser l’exception anti démocratique dans les Hauts de Seine et porter nos engagements contre le non cumul. André Santini est député de notre circonscription depuis plus de 20 ans. Il cumule ce mandat avec celui de maire, de très nombreuses responsabilités politico-économiques et des liens connus avec les lobbies ». Ce sera pour elle, l’occasion d’un troisiéme duel sachant qu’elle y va,  aguérrie, en espérant que les troupes verts isséennes la soutiendront mieux que lors des cantonales de Mars 2011.    Le troisiéme a le mérite de défendre certaines causes en se présentant « pour qu’il y ait des cours de langues adaptés à chaque catégorie de personne », « créer des maisons pour des projets artistiques » ou « pour des entreprises ou des personnes qui ne savent pas comment faire », « d’augmenter les cotisations sociales pour le cif et le dif » ….

     

    Enfin, le second qui se déclare « militant de base et simple conseiller municipal d’opposition à Vanves où je vis (mal) au quotidien l’indifférence des copains du groupe par rapport aux maigres enjeux de cette fonction élective, très engagé dans la promotion du vélo comme mode de transport – y compris au sein d’EELV où ça n’est pas gagné- et qui n’avait aucune raison de briguer un mandat supplémentaire ». Pierre Toulouse n’y va pas de main morte dans sa profession de foi : « J’ai néanmoins considéré qu’on ne pouvait pas accepter sans un minimum de concurrence la désignation d’un candidat annoncé. Même si cette candidature annoncée est le résultat d’un travail de longue haleine ayant nécessité un sens tactique et une ténacité remarquable…Il faut sans doute des gens comme ça dans l’appareil politique. Mais ce n’est pas ma conception de la « politique autrement » et je voulais le dire haut et fort. Je n’aurai aucune amertune à n’être pas retenu in fine, n’ayant, en tout état de cause, que bien peu d’appétence à rejoindre une Assemblée Nationale dont une bonne patie des représentants – sans doute pas chez les EELV – a pour seul objectif de se faire ré-élire ou de favoriser les copains ».

     

    Cela a le mérite d’être clair comme son commentaire sur cette « pantalonnade des présidentielles/législatives et de l’accord PS » qui « n’est pas très réjouissante », mais « simplement financièrement indispensable…être idéaliste n’empêche d’avoir les pieds sur terre » ! Cela ne doit pas nous empêcher de vivre au quotidien la vie qu’on souhaite proposer aux électeurs pour « sauver l’humanité ! » déclare t-il en croyant à la force de l’exemple : « Manger moins de viande, se déplacer en train et à vélo, investir pour isoler son logis, partager ce qu’on a, donner de son temps aux autres, s’engager, soutenir les exclus, apprendre, cultiver et se cultiver…et avec tout ça, « être heureux et le montrer », cela fera plus que bien de palabres ou que quelques amendements. L’austérité joyeuse n’est pas un oxymore…c’est une question de survie ». Pour une fois que cet élu de Vanves, réservé, s’exprime aussi publiquement, c’était dommage de ne pas en faire profiter les vanvéens.

  • LA CRISE AU CENTRE DES DEBATS POLITIQUES A VANVES : Les écologistes proposent des remédes radicaux…sans y croire !

    C’était au tour des Verts mardi soir au Bistroquet de parler de la crise et surtout du contre budget d’Eva Joly pour 2012  « un new deal écologique et social » dans le cadre de leur café politique mensuel sur le théme général  « comment s’en sortir ? » : « La conversion écologique de l'économie » après « comment sortir du nucléaire » et avant  « comment sortir de la Véme Répubblique », « des systémes et agences de notation »…comme l’a indiqué Marc Lipinski, conseiller régional EELV qui accueillait Eva Sas, experte auprès des comités d’entreprises et chargée du programme économique et social d’EELV pour les présidentielles

      

    Ce théme a fait moins recette que le nucléaire alors que « cette crise que nous connaissons dure depuis la chute de la banque Lhemans Brothers et va durer » à l’entendre. « C’est une crise de la dérégulation, de la finance, des inégalités, de l’écologie avec l’augmentation (erratique) des matières premières, budgétaire dû au dogme anti impôt » a-t-elle déclaré en expliquant pourquoi le Verts ne croient pas au retour de la croissance, d’autant plus que « les entreprises ne vont pas se remettre à investir et les consommateurs vont épargner…La croissance faible, voir molle va durer ». Pour elle (et les verts) « on ne peut pas s’en sortir avec le même modèle ! »…. « Il faut affronter la crise budgétaire par exemple, en augmentant la fiscalité, car le déficit et l’endettement sont anti social ». Et de parler de 100 Milliards de pertes fiscales depuis 2000, grâce aux cadeaux fiscaux avec la réforme du barême de l’impôt sur le revenu, le crédit-impôt-recherche « qui est une niche fiscale accordée aux entreprises », la baisse de la TVA (dans la restauration)… « sur lesquelles il faudra revenir ». A ses yeux « la conjonction des politiques de réduction fiscales fait peser le danger d’une récession ».

     

    Elle a alors abordé les solutions proposées par les écologistes qui apparaissent drastiques et reposent principalement sur une réforme profonde de la fiscalité, en appelant carrément à une augmentation des recettes fiscales, à une taxation du revenu capital, de l’héritage « au maximun »,  à un impôt plancher  sur les bénéfices pour les grands entreprises, à une réorientation des dépenses de l’Etat afin de répondre à l’objectif de la conversion écologique de l’économie. Elles reposent aussi sur les marges de manœuvres fiscales afin de lancer une politique énergétique globale avec des mesures importantes : Rénovation thermique des bâtiments, réorientation de la politique des transports, imposition de ritères carbones dans les marchés publics, développement des emplois verts « car les politiques environementales créent de l’emploi ». Sans rentrer dans le détail des mesures prévues pour les entreprises dans leur programme pour les présidentielles et dont elle longuement parlé.

     

    Heureusement, dans l’assistance, il y avait quelques éclogistes réalistes : « On ne passera pas au pouvoir avec une telle politique ! Les français ne pourront pas accepter cela » s’est exclamé Pierre Toulouse.  « C’est poser la question comment convaincre les gens ?  Comment vend on cette politique ? On est coincé dans un systéme complexe où la politique radicale que l’on propose est impossible à mettre en oeuvre » a reconnu Marc Lipinski. « On a vraiment l’impression de ne voir que par la question « qui va payer la dette ? ». Mais comment met ont plus de justice dans le traitement de la crise pour s’en sortir » a demandé un participant. Alors qu’un autre faisait état d’un sondage (sérieux) qui faisait apparaître que les français n’ont pas envie de se priver à Noël. « Mais c’est compréhensible. Noël, la famile, la bouffe, c’est ce qui reste quand on déprime ! »