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école du parc - Page 9

  • LE PROJET DE LA NOUVELLE ECOLE DU PARC DE VANVES PRESENTE A LA MAJORITE MUNICIPALE

    A L’occasion de la dernière réunion de la majorité de l’année, ce soir, avant la trêve des confiseurs, le maire de Vanves devrait présenter le projet d’extension et de reconstruction de l’école du Parc. «Elle a vieilli. Elle doit être remise aux normes. On a choisi la démolition-reconstruction pour l’agrandir afin d’accueillir les enfants des nouveaux habitants qui s’installeront dans les nouveaux immeubles du Clos Montholon » indiquait le maire de Vanves lors des réunions publiques de quartier qui se sont tenus cette année. Ce groupe scolaire édifié en 1953-1954 comprend une école maternelle répartie dans un bâtiment en reez-de-chaussée et dans le pavillon Arnaud (avec 7 classes), une école maternelle répartie dans deux bâtiments de 13 classes avec deux préaux, ne communiquant que par les espaces extérieurs.

    Cette opération s’effectuerait sur la même emprise foncière de l’école actuellement, selon un schéma de réalisation et l’étude de l’architecte, avec un niveau de plus pour l’école maternelle. Selon les dernières informations, il prévoirait un accés différencié pour les deux écoles, un regroupement les classes maternelles qui passeraient de 7 à 9 en un seul site, l’école élementaire passerait de 13 à 18 classes, avec une seule cuisine et un seule réfectoire commun aux deux écoles. Les batiments de l’école maternelle seraient toujours en rez de chaussé raccolé au pavillon Arnaud, et relié au réfectoire aménagé en rez-de-chausée côté parc, fermant la cour verte actuelle, puisqu’il serait accolé à l’école élementaire sur-élevé, avec un centre de loisirs élementaire la séparant de l’école Larmeroux    

    Cette opération devrait donner lieu à une vaste opération tiroir : les ateliers municipaux devraient déménager dans le vaste espace existant dans le sous sol de la piscine au niveau du terrain de football annexe J.Saccard. Un espace occupé en partie par une butte en terre datant sûrement de l’origine qui a avait été enlevé voilà quelques années lorsqu’il était destiné à accueillir un espace sportif (salle de musculation etc…) dont le projet a été abadonné. Le site des sateliers avec le garage municipal est appelé à être détruit pour une opération immobilière. Mais entretemps, ce terrain libéré servira à accueillir l’école du parc provisoire pendant les travaux, comme ce fut le cas pour l’école du Centre sur les terrains A.Briand avant la construction  de la résidence Niwa, pendant les travaux de l’îlôt Cabourg.

  • RETOUR SUR LE CONSEIL MUNICIPAL DU 25 JUIN A VANVES

    ECOLE du PARC : Le conseil municipal a avalisé le contrat de développement Département des Hauts de Seine/Ville de Vanves pour la période 2019-2021 qui prévoit notamment 3,2 M€ de subventions départementales dont 1,2 M€ d’investissement pour l’extension-reconstruction de l’école du Parc dont le coût du chantier se monte à 16,3 M€. Ce groupe scolaire édifié en 1953-1954 comprend une école maternelle répartie dans un bâtiment en rez-de-chaussée et dans le pavillon Arnaud (avec 7 classes), une école maternelle répartie dans deux bâtiments de 13 classes avec deux préaux, ne communiquant que par les espaces extérieurs. L’objectif de la ville, avec ce projet, est de réaliser un accès différencié par les deux écoles, regrouper les classes maternelles qui passeraient de 7 à 9 en un seul site, d’éviter une circulation extérieur pour l’école élémentaire qui passerait de 13 à 18 classes, avec une seule cuisine et un seule réfectoire commun aux deux écoles. Les batiments de l’école maternelle serait toujours en rez de chaussé raccolés au pavillon Arnaud, et relié au réfectoire aménagé en rez-de-chausée côté parc, fermant la cour verte actuelle, puisqu’il serait accolé  à l’école élémentaire sur-élevé, avec un centre de loisirs élémentaire la séparant de l’école Larmeroux    

    PLAN D’ALIGNEMENT : Une délibération du Conseil municipal du 25 Juin dernier a éclairé l’un des points principaux soulevés par les riverains du projet de construction Bouygues Immobilier rue Marcheron à l’emplacement de 3 pavillons. La question est finalement de savoir pourquoi la ville n’en a pas profité pour obliger ce promoteur à respecter l’alignement de cette rue afin d’élargir le trottoir à cet emplacement, même s’il a maintenant concédé à reculer son projet d’un métre ou un mére et demi. Il se trouve que les PAA (Plan d’Alignement Approuvé) qui ont valeur de servitudes d’utilité publique figurant en annexe des PLU, ne sont plus adaptées aux politiques du département sur ses voies départementales dont il se sépare. Elles datent de la période entre 1865 à 1953 et n’autorisent que des corrections mineures, pour une collectivité qui a maintenant recours à un dispositif plus adapté de création d’emplacement réservés de voirie. Vanves est concerné mais pour la rue Larmeroux comme c’est le cas pour 8 autres communes avec une vingtaine de PAA. La rue Raymond Marcheron qui est inclut sur le RD 130 n’est pas concerné, car en cours de municipalisation, si ce n‘est déjà fait. Ce qui a laissé libre la ville de Vanves pour faire ou non respecter cet alignement qui était obligatoire pour toute nouvelle construction avant, ce qu‘elle sera obligé de faire, en partie, sous la pression des riverains qui ont déposé un recours.

  • CONSEIL MUNICIPAL DE VANVES : UN DEBAT D’ORIENTATION BUDGETAIRE REPUBLICAIN

    Le Débat d’orientation budgétaire est un rendez-vous immuable comme le vote du budget, le premier s’est déroulé le 21 Février dernier, le second est programmé le 3 Avril. Occasion d’un échange très républicain, entre majorité et opposition municipale, apaisé comme l’a constaté le maire de Vanves, que le blog avait déjà, mais en partie, traité concernant les échanges sur l’urbanisme et les nouvelles constructions (voir blog du 22 Février 2019).

    Bernard Gauducheau a reconnu que le climat est plus favorable sur le plan financier entre l’Etat et les collectivités locales, même si depuis deux ans, rien de miraculeux ne s’est passé. « On a gagné de la stabilité rendu possible par une phase de croissance qui a eu un effet direct sur les droits de mutation en hausse de 30% (2M€), et la taxe de séjour (1,7 M€) grâce à l’attractivité de Vanves (et au succés du Paris Convention Center au parc des Expositions) » a-t-il indiqué. Mais il reste des inquiétudes : le devenir institutionnel du Grand Paris et de l’ile de France, le déficit public, le sort qui sera fait à la taxe d’habitation : « comment sera traité cette onde de choc ? » s’est il interrogé. « Ces incertitudes nous incitent à la prudence » en privilégiant trois axes : La qualité des services publics locaux avec un maintien de la politique tarifaire au niveau de l’inflation,  une dette basse (13 M€) depuis 10 ans, une épargne nette de 2 M€, des efforts sur la sécurité, avec un renforcement de la police municipale,  et un plan d’investissement en matiére culture (médiathéque, espace Gazier),  d’éducation  (construction-réhabilitation de l’Ecole du Parc), de sports  ( tribune et  nouveaux bâtiments du PMS A.Roche, aménagement de la salle omnisports sous la piscine, modernisation de l’espace extérieur de la pataugeoire et du solarium ) et d’espace vert (replantation de l’allée principale du cimetière)  sur lesquels est revenu en détail Bertrand Voisine, maire adjoint, chargé des finances, dans un trop long exposé surtout pour quelqu’un atteint d’un début de grippe   

    Anne Laure Mondon (PS) n’en a pas moins relevée « qu’il s’avère clairement que les équilibres budgétaires reposent essentiellement sur l’attractivité de notre commune et plus précisément sur ses nouvelles constructions », allusion aux droits de mutations qui devraient augmenter compte-tenu des nombreuses livraisons et ventes à venir, même si comme cela est indiqué « un tassement de l’immobilier n’est pas à écarter en lien avec la remontée des taux d’intérêt ». Elle n’en a pas moins relevé, et cela depuis plus de deux ans, la problématique, à terme, d’offre d’équipements publics face à un niveau de construction relativement important : «Les centaines de nouveaux logements livrables ces deux prochaines années (sans compter les constructions liées à la future gare du Grand Paris Express) engendrent inévitablement des besoins nouveaux en équipements, ces besoins en nouveaux équipements entraînent des investissements importants… Comment pourrons-nous financer ceux qui ne sont pas encore budgété sans recourir encore à l’emprunt… Comment ferons-nous pour réduire notre dette et dégager assez d’autofinancement alors que, contrairement à ces dernières années, nous n’avons plus de réserves foncières disponibles à la vente » s’est elle interrogée   

    «Vous souhaitez, pour mener cette « politique d’équipement ambitieuse », préserver les équilibres indispensables et vous mettez en avant le fait que l’encours de la dette ait été divisé par deux (moins 14 millions) entre 2014 et 2018… Mais si cette réduction de la dette a été possible cela est uniquement dû à la vente du terrain Briand dont 12 M€ ont été affectés au remboursement de nos emprunts !... Le bâtiment de la rue Diderot acquis pour 2 millions d’€ en 2015 pour y réaliser à terme un équipement sportif constituera-t-il une nouvelle variable d’ajustement ?» s’est elle interrogée. Alors que Boris Amoroz (FG./PC) demandait « s’il n’allait pas être nécessaire de vendre l’Hôtel de ville ? » Il s’est étonné des 75 000 € de pénalités dû au non respect de la loi SRU, » alors qu’on était en équiibre dans les constructions de logements HLM et qu’on était en dessous du seuil ! ». Bernard Gauducheau a répondu que « Vanves était à 23,5% de logements et qu’elle a du mal à arriver à 25%, avec ses nouvelles constructions. Mais on continue à faire du logement social ! »