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politique - Page 28

  • CHRONIQUES DE LA PRESIDENTIELLES A VANVES : UNE VANVEENNE EXPLIQUE POURQUOI LE CLIMAT EST L’OUBLIE DE LA CAMPAGNE

    A L’occasion d’un dossier du quotidien Le Monde sur «le climat l’oublié de la présidentielle», une vanvéenne s’est exprimée au travers d’un interview sur «l’écologie (qui) reste traitée comme une question de second ordre» : Lucile Schmid, vice présidente du think tank La Fabrique écologique, ex-conseillère municipale et candidate PS et EELV aux élections législatives dans la 10e circonscription des Hauts de Seine (Issy-Vanves). Le Monde lui demandait de réagir sur son enquête qui montrait que «même si 94%des français estiment que le déréglement climatique est un enjeu capital, le débat public fait l’impasse sur le sujet « car la plupart des candidats esquivent ce théme » que «le climat n’intéresse pas les journalistes politiques, trop technique, anxiogéne…  Ils sont autant dans le déni que les candidats »

    « Au cours des derniers mois, le débat sur le sujet a été assez pauvre. Les discussions ont été notamment portés sur la production électrique et la chasse qui sont des sujets importants mais qui ne correspondent pas à l’ampleur des enjeux qui sont devant nous. L’écologie reste traitée comme une question de second ordre » expliquait elle dans le Monde du 18 Février en y mettant un  bémol : Le discours du président à Belfort le 11 Février «qui a toutefois eu le mérite de montrer qu’il n’existe par un seul modèle pour articuler l’urgence  écologique au projet de société. Cela arrive par le biais du nucléaire, mais le «presque candidat » s’est tout de même positionné en mettant en avant un projet baésue la fierté nationale, le réindustrialisation, la poursuite de la croissance et la technologie. D’autres candidats comme Yannick Jadot, par exemple, portent clairement un autre discours, axé plus sur la sobriété. Ceci dit, il y a tout de même une focalisation sur le nucléaire, et l’énergie, alors que les enjeux écologiques sont bien plus complexes» explique-t-elle en souhaitant parler plus d’aménagement du territoire interactions entre biodiversité et climat, des enjeux de la protection de la nature, de la place de la croissance et des technologies, ainsi que du financement

    Lucile Schmid a son explication sur cette absence de positionnement des candidats : « Ils  semblent tétaniser par la crainte de de voir se reproduire un nouvel épisode des «Gilets jaunes »… Ils peinent surtout à trouver une mesure de transformation écologique qui puisse convaincre la majorité de l’opinion : Les proposition restent très ségmentées sur le vélo, l’alimentation, l’agriculture… Seul le choix énergétique permet peut être de rassembler, au moins, une importante minorité » explique-t-elle en jugeant que « concernant l’écologie, il faut accepter de ne pas tut connaître, d’explorer. Il faudrait promouvoir le tatônnement politique plutôt que la certitude permanente, accepter une autre relation au savoir ». A ses yeux  «les médias ont un rôle déterminant pour structurer le débat. Installer de la profondeur, introduire de la nuance, décrire les horizons possibles… mais de nombreux sont soumis sans ce sceau court terme et à l’audience. Il est nécessaire d’imaginer de nouveaux espaces et des formats différents, notamment à la télévision…Il faut peut être envisager le journalisme politique autrement, élargir les angles et sortir de lac description stricto sensu des mœurs politiques »

  • CHRONIQUES DE LA PRESIDENTIELLES A VANVES

    ATTAL DANS LA CELLULE RIPOSTE

    Un organigramme très intéressant est paru dans le journal Le Monde  ce week-end, de l’équipe de campagne du non-candidat Macron où apparait bien sûr le vanvéen Gabriel Attal: Différents pôles ont été constitués, «société civile», «idées», «communication et stratégie numérique», «poilitique», avec une cellule «riposte» où apparaissent les noms de Gabriel Attal, Christophe Castaner et Stanilas Guerini. Elle est chargée de délivrer les éléments de langage à une dizaine de porte-parole de la campagne et du parti comme les députés Aurore Bergé ou Sacha Houlié, ainsi que les angles d’attaque à développer sur les plateaux TV. Elle se réunit déjà, une fois par semaine au siége de LREM. Ils sont prêts pour la déclaration de candidature officielle qui devrait intervenir la semaine du 21 février, avant ou pendant le salon de l’Agriculture que le chef de l’État doit inaugurer samedi 26 février. A partir de ce moment là, il est possible que Gabriel Attal porte-parole du gouvernement démissionne avec Julien Denormandie, ministre de l’Agriculture, de Sébastien Lecornu, ministre des Outre-Mer pour se consacrer entièrement à la campagne

    DES ELUS UDI PAS CONTENT DU TERME «GRAND REMPLACEMENT»

    L’UDI  par la voix de son président Jean Christophe Lagarde a appelé Valérie Pécresse à «sortir des thèmes de l’extrême droite» dans le cadre de sa campagne présidentielle. Ses élus et militants, comme à Vanves, ainsi que des vanvéens non encartés,  n’ont pas apprécié du tout, à quelques exceptions prés, lors de son meeting au Zénith qu’elle affirme notamment qu’il n’y a « pas de fatalité, ni au grand déclassement, ni au grand remplacement», et regretté qu’elle utilise l’expression « Français de papier » qui était celle de Jean-Marie Le Pen. Selon le président de l’UDI, «ces mots-là sont un piège tendu par l’extrême droite » et il faut « qu’elle sorte de ces thèmes qui étaient ceux de la primaire» de la droite.

  • CHRONIQUES DE LA PRESIDENTIELLES A VANVES

    DES VANVEENS AU ZENITH POUR REGONFLER LA CAMPAGNE A PLAT DE PECRESSE

    Le meeting parisien de Valérie Pécresse au Zénith de Paris dimanche auquel devraient participer quelques vanvéens, la section LR ayant affrété un car,  intervient à un moment crucial de sa campagne qui connait un plat depuis quelques jours. Les Républicains mise sur cet évènement pour mettre en avant «sa vision». La présidente de région sera quasiment seule en scène. Pas un tunnel de discours pour chauffer la salle, mais des vidéos de témoignages ou des interventions depuis le public car «ma force c'est vous tous» expliquait elle ces jours-ci . La candidate  ne fera pas un discours version catalogue de mesures. Elle donnera sa vision, elle donnera du sens, avec un  impératif : se faire connaître davantage des Français, en espérant qu’elle sedévouile et  «fende l’armure». «Tout le monde a compris que tu avais un cerveau, maintenant il faut que tu montres ton cœur», c'est ce que lui a suggéré un élu. «Car c'est maintenant que les choses sérieuses commencent» explique un autre.

    Ses soutiens espérent que ce meeting donnent un coup de bouster à cette campagne qui ne décolle pas encore. Certains ont leur explications : «A la télévision, Valérie Pécresse livre de très bonnes prestations, détendue, souriante sachant convaincre. Sur le terrain, la candidate semble moins à l’aise dans un genre qui exige de la spontanéité, et peine à se faire entendre par les électeurs». Ils sont nombreux chez LR, depuis quelques semaines, à regretter des déplacements et des discours sans réel impact sur une campagne qui peine à décoller. «Une campagne électorale c'est du long terme, nous faisons des propositions écrites, avec des projets de loi prêts pour les 100 premiers jours» expliquait, Philippe Juvin concernant le «faux plat » de sa campagne, à la veille de son meeting au  Zénith  «Une campagne présidentielle se coagule dans le tout dernier mois. L'important c'est d'être crédible, nous ne faisons pas de com. Rachida Dati a raison de dire qu'une campagne n'est pas qu'une addition de propositions» ajoutait il

     

    LES PREMIERS PARRAINAGES D’ELUS ALTOSEQUANAIS DONT 2 VANVEENS

    Le Conseil constitutionnel actualise,  chaque semaine, depuis début février 2022, la liste des parrainages validés pour les candidats à la présidentielle, sachant que cinq types d’élus peuvent signer le parrainage d’un candidat à la présidentielle dans la région capitale : sénateurs, députés, conseillers régionaux, maires d’arrondissement et conseillers de Paris. Au 8 février 2022, une semaine après le début des validations des parrainages par le Conseil constitutionnel, trois candidats ont les 500 parrainages requis :  Emmanuel Macron, Valérie Pécresse Anne Hidalgo. C’est moins le cas pour Yannick Jadot (EELV), Fabien Roussel (PCF) et Jean-Luc Mélenchon (LFI), où les signatures se font plus rares. La moitié des élus franciliens pouvant donner un parrainage ne l’a pas encore fait au 8 février. Aucun élu n’a parrainé Christiane Taubira, Marine Le Pen (FN), ni Éric Zemmour. Parmi les élus des Hauts de Seine :

    Pécresse : Jeanne Becart maire (Garches), Sandrine Bourg CD, Yves Coscas CD, Sophie Deschiens CR, Roger Karoutchi et  Christine Lavarde, sénateurs, Jean Yves Senant maire (Antony), David-Xavier Weiss, CD, Marie Do Aeschlimann CR, Jean Didier Berger maire (Clamart), Véronique Berjerol CD, Guillaume Boudy maire (Suresnes), Joelle Ceccaldi Raynaud maire (Puteaux), Rita Demblon et Josiane Fischer CD, Florence de Pampemlonne CR, Vincenty Franchi CD, Bernard Gauducheau maire (Vanves), Marie Laure Godin, Thomas Lam, Nathaly Lederman CD, Constance Le Grip, députée, Marie Pierre Limoges CD, Pascal Pelain maire (Villeneuve La garenne), Nathalie Pitrou CD, Agnés Pottier Dumas maire (Levallois), Georges Siffredi CD président du CD 92,   

    Macron : Christine Hennion députée, Caroline Calvez, Jacques Marilossian, Bénédicte Pastelle, Florence Provendier, Laurianne Rossi députés, Aurélie Taquillain CR, Isabelle  Florennes députée, Alexandra Fourcade CD, Savier Iacovelli sénateur, Jacques Maire et Thierry Solére députée

    Hidalgo : Lougnes Adjroud CD, Joaquim Timotéo CD, Chantal Barthelemy-Ruiz, CD

    Jadot : A.Bouzid CR, Astrid Brobecker CD

    Roussel : Pierre Ouzoulias sénateur, Jacqueline Belhomme maire (Malakoff), Nadia Mouaddine CD

    Mélenchon : Raphael Qnouchi CR